L'amant de ma meilleure amie - histoire érotique

Je m’appelle Céline. Pour me présenter brièvement, j’ai 40ans et je suis mariée et mère de deux enfants. Je connais Fabienne, ma meilleure amie, depuis notre rencontre à la maternelle.

Lorsque Fabienne m'annonça qu’elle avait un amant qu’elle voyait régulièrement, j’avoue avoir été choquée. Certes, nous avions eu une jeunesse très libérée mais depuis de nombreuses années, nous étions dans une vie bien rangée. Nous étions désormais des femmes mariées et heureuses d’avoir de beaux enfants. Toutes les fêtes et évènements importants, nos deux familles étaient réunies.

Elle avait la chance d’avoir un super mari alors comment pouvait-elle le tromper ? Cela me faisait trop mal au cœur. Pendant un mois, je refusais de lui répondre au téléphone alors que nous nous appelions tous les jours.

Fabienne m’harcela de messages pour que j’accepte qu’on se voit autour d’un café pour s’expliquer. Elle était comme une sœur depuis l’école primaire et donc je ne pouvais rester dans cette situation et j'accepte sa proposition.

J’estimais qu’on a avait passé l’âge d’avoir des plans culs. Fabienne m’expliqua que cela n’avait rien à voir avec cela. Elle construisait une vraie relation avec son amant en le voyant en moyenne 2 ou 3 fois par semaine… Elle ne souhaitait pas du tout divorcer mais simplement vivre une autre relation en parallèle basée uniquement sur le plaisir. D’ailleurs, son mari acceptait cette relation. Depuis qu’elle le voyait, la femme qui dormait en elle s’était réveillée.

Elle me proposa de me présenter son amant. C’est ainsi que je fis la connaissance de Moussa. C’était un Sénégalais et visiblement un peu plus jeune qu’elle. Il était célibataire et donc il pouvait sans aucun problème recevoir Fabienne chez lui pour leurs ébats amoureux.

- Bonjour Céline, je suis heureux de faire ta connaissance. Fabienne m’a beaucoup parlé de toi.

Je ne savais pas quoi répondre. Mes sentiments étaient diamétralement opposés : d’un côté, j’avais en face de moi un homme qui s’occuper de ma meilleure amie pour la rendre heureux en lui faisant découvrir les plaisirs de son corps; de l’autre, un gars qui osait baiser une femme mariée et mère de famille.

Je pense qu’il a senti que je n’étais pas à l’aise. Mais au fur et mesure, l’ambiance se détendit. Il faut dire que Moussa avait beaucoup d’atouts pour lui : il savait entretenir une conversation en s’intéressant aux autres et puis j’avoue qu’il était très beau. Je comprenais mieux pourquoi mon amie avait pu lui offrir son corps.

- Toute femme devrait avoir un amant sachant que nous n’avons qu'une vie. Je répondis que j’étais très heureuse avec mon mari. Moussa éclata de rire.
- Toutes les femmes disent cela… mais une fois qu’un autre homme pose ses mains sur leurs corps, toutes oublient immédiatement leurs conception
- Pas moi, répondis-je automatiquement
- Si je pose mes mains, c’est toi qui va me demander de te faire l’amour
- Tu es beaucoup trop sûr de toi
- Alors laisse-moi te caresser quelques instants

Comment j’avais fait pour me retrouver dans cette situation ? Je venais reprocher à mon amie sa liaison et là, je venais de donner mon accord à son amant pour qu’il puisse me caresser…

Moussa me banda les yeux. Je le sentis passer derrière moi et me susurra au creux de l’oreille de ne pas avoir peur car il suffisait que je lui demande d’arrêter pour qu’il stoppe toute caresse sur moi.

Dès qu’il posa ses mains sur mes épaules,tout s’éclaira et je comprenais parfaitement Fabienne. J’étais prête à tromper mon mari pour la première fois.

Il déposa ses premiers baisers sur mon coup, incapable de protester. Pire, je savourais ces instants interdits. Moussa posa ses mains sur ma poitrine. Mon absence de réaction était une invitation à aller encore plus loin. Bientôt une main caressait mon clito. Fabienne me dit qu’il était pour moi mais uniquement pour aujourd’hui. Moussa me retira alors le bandeau et me dit
Si tu ne me dis pas “non” maintenant, je vais t’amener sur mon lit pour te faire l’amour

Sans dire un mot, il m’amena dans la chambre. Sans réfléchir, je pris son sexe en bouche pour lui faire une fellation. Quelques minutes plus tard, Moussa était dur et prêt à me prendre. J’étais tellement excitée qu’ il rentra en moi sans aucun problème. J’avais l’impression de revenir dans mes années de jeunesse où seul l’envie de faire ce que j’avais envie de faire compter. Il me baisa en alternant des moments tendres et des moments virils. À un moment donné, je sentis qu’il fouillait l’entrée de mon petit trou : aucun doute possible, il voulait m’enculer ! En levrette sur le lit, je l’invitais ainsi à me prendre par derrière. Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu plusieurs orgasmes à la suite.

Je voulais également le faire jouir pour le remercier. Il me prit en missionnaire . C’est une position classique mais qui a l’avantage de pouvoir voir son amant les yeux dans les yeux. La jouissance n’était pas loin quand je sentis Moussa se contracter et dans un long cri, il éjacula en moi. C’était un vrai plaisir de sentir sa semence chaude en moi.

Fabienne nous observait en me lançant en éclatant de rire :
- alors ce n’est pas bien d’avoir un amant ?
Je pouvais difficilement dire non.
- Moussa est pour moi mais je suis sûr qu’il pourra te présenter quelques uns de ses potes.

Et puis, ce fût un retour à la réalité. Fabienne me rassura en me disant qu’ils faisaient les tests réguliers : je n’avais pas à craindre de choper une IST. Je n’avais pas de contraceptif mais je n’étais pas dans ma période féconde. Cependant je ne voulais pas prendre le moindre risque d’accoucher dans 9 mois d’un bébé black…

Heureusement que la pilule du lendemain existe ! Un petit coup d’œil sur le smartphone pour voir où se trouvait la pharmacie la plus proche. Moussa souhaitait m’accompagner estimant que c’était lui qui m’avait mis dans cette situation. J’étais surpris et je réalisais que Moussa était bien plus qu’un simple plan cul et que Fabienne avait beaucoup de chance de l’avoir.

Je n’avais plus qu’à m’excuser auprès de Fabienne. Nous n’avons qu’une seule vie et nous devons la vivre à fond sans se soucier de la morale.