L'Amazone De La Salle De Sport

Récit érotique écrit par Leonheart [→ Accès à sa fiche auteur]
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L'Amazone De La Salle De Sport
Sam était un jeune homme d'une vingtaine d'années. Depuis un peu plus de trois semaines, il se rendait régulièrement dans une petite salle de sport pour garder la forme. Beaucoup l'auraient décrit comme efféminé : de petite taille, maigre, la peau pâle comme de la porcelaine, de grands yeux noisette, des cheveux bruns mi-longs. Discret et timide, il venait tôt le matin, avant le travail, pour éviter la foule. À cette heure-là, la salle était presque toujours vide. Presque... Car il y avait cette femme.Elle était toujours là avant lui et toujours là quand il partait.
Elle s'appelait Audrey. Elle ressemblait à une véritable amazone : grande, musclée, des cheveux blonds tressés qui coulaient comme une rivière d'or sur ses épaules larges. Elle portait souvent les mêmes tenues de sport moulantes, dévoilant chaque muscle, chaque courbe, sans la moindre gêne ; composées d'une brassière moulante comprimant sa poitrine généreuse, et d'un legging extrêmement ajusté, ne cachant absolument rien de ses courbes, ni du fait qu'elle ne portait jamais rien en dessous. Plus âgée que lui, elle approchait la quarantaine. Dans la force de l'âge, c'était une femme forte et souveraine et malgré lui, Sam se sentait minuscule face à elle à la fois fasciné et impressionné.
Ils avaient échangé quelques mots, toujours à son initiative, lorsqu'elle le saluait ou qu'elle lui donnait un conseil. En dehors de cela, Sam faisait de son mieux pour l'ignorer, même si elle était à la fois sympathique et terriblement attirante. Il se concentrait sur ses exercices, bien qu'il sentait souvent son regard perçant posé sur lui, tout particulièrement lorsqu'il faisait des squats. Son fessier rebondi attirait les regards depuis toujours, il avait fini par s'y habituer.
Ce jour-là, comme à son habitude, Sam se rendit aux douches communes. L'endroit était désert. Il se déshabilla entièrement et profita d'une douche bien méritée. Il entendit alors quelqu'un entrer dans le vestiaire et se déshabiller à son tour. C'était inhabituel à cette heure-ci, mais il préféra ne pas s'en inquiéter.
Il n'aimait pas vraiment ces douches collectives. Alignées tous les mètres et demi, séparées uniquement par un petit muret d'une trentaine de centimètres au niveau de la taille, elles offraient bien peu d'intimité. Il accéléra le rythme, espérant finir avant que l'inconnu ne le rejoigne. Mais c'était déjà trop tard. Il entendit des pas derrière lui.
Fixant obstinément le carrelage du mur, il s'efforça d'ignorer la présence de l'autre, évitant tout regard. Pourtant, au bout de quelques secondes, en dehors de l'eau qui coulait de sa propre douche, un silence étrange s'installa. Pas un autre bruit.
Intrigué, Sam jeta un coup d'œil discret par-dessus son épaule. Ce qu'il vit le laissa bouche bée.
Audrey se tenait là, dans la douche des hommes. Il se figea. Elle était entièrement nue, elle le fixait, un sourire énigmatique aux lèvres et le regard brûlant. Elle le fixait de ses yeux bleus perçants, parcourant son corps du regard, lentement, intensément, de la tête au pied. Elle était imposante, ses muscles saillants, ses abdominaux sculptés, ses cuisses puissantes, sa poitrine opulente, son pubis parfaitement lisse laissant paraître une magnifique chatte rosée ; le tout formait un équilibre envoûtant entre force sauvage et sensualité envoûtante.
- Bonjour, Sam...
Il se retourna lentement, cachant de ses mains ses parties intimes.
- Au... Audrey? bredouilla-t-il. Que... que fais-tu ici?
Elle fit un pas vers lui. Lent, sûr, tel un prédateur avançant vers sa proie. Ses yeux le dévoraient du regard.
- Allons, Sam... Tu sais très bien pourquoi je suis là. Cela fait des semaines que tu viens ici avec ton adorable petit corps... Ton visage parfait, ce fessier insolent, et ces grands yeux d'ange... Tu crois vraiment que je n'ai pas remarqué ce que tu essayes de faire? Je n'en peux plus, je ne suis qu'une femme après tout!
- Je... Ce n'était pas mon intention...
- Chhh...
Elle posa un doigt contre ses lèvres tremblantes. Sam n'osait plus bouger. Son cœur battait trop vite, ses jambes semblaient prêtes à céder.
- Les garçons timides comme toi... ce sont mes préférés, murmura-t-elle en s'approchant de son oreille. Tout en toi appelle à être découvert, exploré, dompté, dévoré...
Il recula d'un pas, mais heurta le mur froid. Il était pris au piège. Elle était maintenant si proche qu'il sentait la chaleur de sa peau, son parfum mêlé à la sueur. Tout en elle émanait une puissance brute et une sensualité irrésistible. Une femme qui n'avait peur de rien, et surtout pas de ce qu'elle voulait. Elle avança encore et pressa son corps contre le sien, effaçant la moindre distance.
Elle leva une main, lui attrapa doucement le menton et força son regard à croiser le sien. Son regard accrocha celui de Sam une fraction de seconde avant qu'elle ne l'embrasse, langoureusement.
Pris de court, il resta figé. Mais quand sa langue effleura la sienne, une vague de chaleur l'envahit. Ses paupières se fermèrent malgré lui, et il se laissa porter, le cœur battant à tout rompre. Quand Audrey rompit le baiser, elle resta tout près.
- On dirait que tu as aimé ça, dit-elle d'un ton espiègle. Je peux sentir quelque chose grossir contre moi... Pas besoin de répondre, mon chaton. Ton corps parle pour toi.
Avant qu'il ne puisse répondre, elle l'embrassa à nouveau, plus passionnément encore. Ses mains glissèrent sur son corps, fermes, possessives. Elle empoigna ses fesses et les pétrit avec vigueur, le plaquant un peu plus fort contre elle, pressant plus encore le sexe déjà complètement dur de Sam contre sa cuisse musculeuse.
Sam laissa échapper un petit gémissement malgré lui. Son corps, si frêle entre les bras puissants d'Audrey, réagissait bien plus vite que son esprit. Son bassin se mit à bouger, de manière presque inconsciente, frottant son sexe durci contre la peau douce et chaude d'Audrey.
Elle recula légèrement, inclinant la tête pour admirer son état. Elle passa doucement sa langue sur ses lèvres avec désir alors que dans ses yeux se lisaient une envie et une luxure débordantes.
- Magnifique... murmura-t-elle. Même si tu fais semblant de ne rien vouloir, ton corps, lui, ne ment pas...
Il était perdu, trahi par son propre corps, consumé par le désir. Il ne pouvait plus le nier, il voulait qu'elle continue, qu'elle le touche, qu'elle le domine.
- Je suis désolée, mon chaton... Je me suis laissée emportée, si ce n'est pas ce que tu veux... Je devrais te laisser tranquille...
Il ne répondit pas tout de suite. Sa gorge était sèche. Sa respiration, saccadée. Mais quand il ouvrit la bouche, ce ne fut qu'un murmure :
- Non... s'il te plaît... ne t'en va pas...
- Ah! Voilà qui est plus honnête. Tu admets donc que tu as tout fait pour me séduire? Avec tes grands yeux, ta peau de porcelaine, ton ventre adorable... et ce petit cul à croquer...
À chaque mot, elle caressait lentement la zone qu'elle mentionnait. Sam tremblait de plaisir sous ses doigts. Il ne put retenir de mignons petits gémissements à chaque fois que les doigts d'Audrey entraient en contact avec sa peau.
- Je l'admets... Je suis désolé...
Il aurait dit n'importe quoi pour que les caresses continuent. Son aveu suspendit l'instant. Audrey sourit de toutes ses dents, un sourire prédateur, victorieux et tendre à la fois.
- Tu es donc prêt à prendre tes responsabilités, mon chaton? Parce que moi... je n'en peux plus. Et j'ai bien l'intention de te manger tout cru!
- Oui... Je ferai n'importe quoi pour me faire pardonner...
- Très bien. Tu es un bon garçon.
Audrey s'empara alors fermement le sexe de Sam, s'approcha à nouveau et se baissa légérement pour que son vagin soit à hauteur du sexe de Sam. Elle guida son membre, frottant d'abord son gland sur ses lèvres, avant de le presser contre l'entrée de son antre chaude et humide. Sam sentit son penis fondre à mesure qu'il pénétrait plus profondément le vagin de cette femme qu'il connaissait à peine. Vagin qui enserrait parfaitement son penis avec à la fois chaleur, douceur et fermeté. Il n'avait jamais ressenti autant de plaisir simplement en pénétrant le sexe d'une femme. C'était intense, brûlant, enivrant. Il en avait des papillons dans le ventre.
Quand enfin, il fut entièrement en elle, Audrey laissa échapper un long gémissement de plaisir et de satisfaction.
- Enfin... C'est tellement bon...
Elle embrassa Sam avec passion alors qu'avec son bassin elle commença les mouvements de va-et-vient. L'étreinte douce et passionnée dura quelques secondes puis Audrey cessa son baiser.
Elle attrapa Sam par le cou, serrant légèrement sa gorge entre ses doigts. L'étreinte devint plus intense, plus sauvage. Ses mouvements étaient amples et puissants, son souffle court, son regard incandescent. Sam n'était plus qu'un pantin dans ses bras.
Le bruit de leurs corps s'entrechoquant résonnait dans la pièce, ses puissantes cuisses claquant contre celles de Sam. Audrey grognait presque comme une bête, relâchant toute la frustration qu'elle avait accumulée.
Sam, incapable de résister, gémissait lui aussi, complètement à sa merci. Le mur froid de la douche contrastant avec la chaleur d'Audrey. C'était son membre qui pénétrait Audrey, mais c'était bien elle qui le dominait, il n'y avait aucun doute la dessus. Et elle le dominait durement, violemment, sauvagement, se déchargeant de toute cette frustration accumulée à grand coup de puissant coups de reins.
Totalement soumis, Sam était au septième ciel. Perdu dans l'allégresse du moment, il oublia sa timidité et où il se trouvait, il gémissait bruyamment.
S'approchant de l'orgasme, Audrey augmenta encore la cadence. L'eau fraîche coulait toujours sur leurs corps chaud et transpirant. Sam sentit le plaisir monter, son membre se faisait dévorer par le vagin d'Audrey qui l'enserrait toujours plus fort. Après quelques minutes, il ne pouvait plus tenir, c'était trop bon. Il gémit de plaisir et il éjacula comme il n'avait jamais éjaculé, remplissant le vagin d'Audrey de sa semence chaude. Son orgasme sembla durer une éternité, ses jambes tremblaient de plaisir. Il était épuisé comme si toutes ses forces avaient été aspirées.
Mais Audrey ne s'arrêta pas. Elle n'était pas encore satisfaite. Elle le tenait fermement, et continua à le baiser, avec des grognements sauvages presque animaux, jusqu'à ce qu'elle atteigne aussi l'orgasme. Les spasmes puissants de son vagin autour du sexe sensible de Sam lui arrachèrent de nouveaux gémissements étouffés.
Enfin, elle relâcha doucement son étreinte.
- Ahh! C'était parfait... C'est tout ce dont j'avais besoin. J'aimerais beaucoup continuer mais je dois filer avant que quelqu'un ne nous surprenne. Maintenant, mon chaton, finis ta douche, et attends-moi devant la salle.
Voyant l'air hébété de Sam, elle lui lança un dernier sourire prédateur :
- Tu ne pensais tout de même pas que j'en avais fini avec toi? Bien sûr que non. Après... on va chez moi. Tu as encore beaucoup de choses à te faire pardonner!
Sam, incapable de résister, hocha la tête. Il était perdu. Il ne réalisait pas ce qui venait de lui arriver, mais une chose était sûre, il était impatient de voir ou cela le mènerait!
Elle s'appelait Audrey. Elle ressemblait à une véritable amazone : grande, musclée, des cheveux blonds tressés qui coulaient comme une rivière d'or sur ses épaules larges. Elle portait souvent les mêmes tenues de sport moulantes, dévoilant chaque muscle, chaque courbe, sans la moindre gêne ; composées d'une brassière moulante comprimant sa poitrine généreuse, et d'un legging extrêmement ajusté, ne cachant absolument rien de ses courbes, ni du fait qu'elle ne portait jamais rien en dessous. Plus âgée que lui, elle approchait la quarantaine. Dans la force de l'âge, c'était une femme forte et souveraine et malgré lui, Sam se sentait minuscule face à elle à la fois fasciné et impressionné.
Ils avaient échangé quelques mots, toujours à son initiative, lorsqu'elle le saluait ou qu'elle lui donnait un conseil. En dehors de cela, Sam faisait de son mieux pour l'ignorer, même si elle était à la fois sympathique et terriblement attirante. Il se concentrait sur ses exercices, bien qu'il sentait souvent son regard perçant posé sur lui, tout particulièrement lorsqu'il faisait des squats. Son fessier rebondi attirait les regards depuis toujours, il avait fini par s'y habituer.
Ce jour-là, comme à son habitude, Sam se rendit aux douches communes. L'endroit était désert. Il se déshabilla entièrement et profita d'une douche bien méritée. Il entendit alors quelqu'un entrer dans le vestiaire et se déshabiller à son tour. C'était inhabituel à cette heure-ci, mais il préféra ne pas s'en inquiéter.
Il n'aimait pas vraiment ces douches collectives. Alignées tous les mètres et demi, séparées uniquement par un petit muret d'une trentaine de centimètres au niveau de la taille, elles offraient bien peu d'intimité. Il accéléra le rythme, espérant finir avant que l'inconnu ne le rejoigne. Mais c'était déjà trop tard. Il entendit des pas derrière lui.
Fixant obstinément le carrelage du mur, il s'efforça d'ignorer la présence de l'autre, évitant tout regard. Pourtant, au bout de quelques secondes, en dehors de l'eau qui coulait de sa propre douche, un silence étrange s'installa. Pas un autre bruit.
Intrigué, Sam jeta un coup d'œil discret par-dessus son épaule. Ce qu'il vit le laissa bouche bée.
Audrey se tenait là, dans la douche des hommes. Il se figea. Elle était entièrement nue, elle le fixait, un sourire énigmatique aux lèvres et le regard brûlant. Elle le fixait de ses yeux bleus perçants, parcourant son corps du regard, lentement, intensément, de la tête au pied. Elle était imposante, ses muscles saillants, ses abdominaux sculptés, ses cuisses puissantes, sa poitrine opulente, son pubis parfaitement lisse laissant paraître une magnifique chatte rosée ; le tout formait un équilibre envoûtant entre force sauvage et sensualité envoûtante.
- Bonjour, Sam...
Il se retourna lentement, cachant de ses mains ses parties intimes.
- Au... Audrey? bredouilla-t-il. Que... que fais-tu ici?
Elle fit un pas vers lui. Lent, sûr, tel un prédateur avançant vers sa proie. Ses yeux le dévoraient du regard.
- Allons, Sam... Tu sais très bien pourquoi je suis là. Cela fait des semaines que tu viens ici avec ton adorable petit corps... Ton visage parfait, ce fessier insolent, et ces grands yeux d'ange... Tu crois vraiment que je n'ai pas remarqué ce que tu essayes de faire? Je n'en peux plus, je ne suis qu'une femme après tout!
- Je... Ce n'était pas mon intention...
- Chhh...
Elle posa un doigt contre ses lèvres tremblantes. Sam n'osait plus bouger. Son cœur battait trop vite, ses jambes semblaient prêtes à céder.
- Les garçons timides comme toi... ce sont mes préférés, murmura-t-elle en s'approchant de son oreille. Tout en toi appelle à être découvert, exploré, dompté, dévoré...
Il recula d'un pas, mais heurta le mur froid. Il était pris au piège. Elle était maintenant si proche qu'il sentait la chaleur de sa peau, son parfum mêlé à la sueur. Tout en elle émanait une puissance brute et une sensualité irrésistible. Une femme qui n'avait peur de rien, et surtout pas de ce qu'elle voulait. Elle avança encore et pressa son corps contre le sien, effaçant la moindre distance.
Elle leva une main, lui attrapa doucement le menton et força son regard à croiser le sien. Son regard accrocha celui de Sam une fraction de seconde avant qu'elle ne l'embrasse, langoureusement.
Pris de court, il resta figé. Mais quand sa langue effleura la sienne, une vague de chaleur l'envahit. Ses paupières se fermèrent malgré lui, et il se laissa porter, le cœur battant à tout rompre. Quand Audrey rompit le baiser, elle resta tout près.
- On dirait que tu as aimé ça, dit-elle d'un ton espiègle. Je peux sentir quelque chose grossir contre moi... Pas besoin de répondre, mon chaton. Ton corps parle pour toi.
Avant qu'il ne puisse répondre, elle l'embrassa à nouveau, plus passionnément encore. Ses mains glissèrent sur son corps, fermes, possessives. Elle empoigna ses fesses et les pétrit avec vigueur, le plaquant un peu plus fort contre elle, pressant plus encore le sexe déjà complètement dur de Sam contre sa cuisse musculeuse.
Sam laissa échapper un petit gémissement malgré lui. Son corps, si frêle entre les bras puissants d'Audrey, réagissait bien plus vite que son esprit. Son bassin se mit à bouger, de manière presque inconsciente, frottant son sexe durci contre la peau douce et chaude d'Audrey.
Elle recula légèrement, inclinant la tête pour admirer son état. Elle passa doucement sa langue sur ses lèvres avec désir alors que dans ses yeux se lisaient une envie et une luxure débordantes.
- Magnifique... murmura-t-elle. Même si tu fais semblant de ne rien vouloir, ton corps, lui, ne ment pas...
Il était perdu, trahi par son propre corps, consumé par le désir. Il ne pouvait plus le nier, il voulait qu'elle continue, qu'elle le touche, qu'elle le domine.
- Je suis désolée, mon chaton... Je me suis laissée emportée, si ce n'est pas ce que tu veux... Je devrais te laisser tranquille...
Il ne répondit pas tout de suite. Sa gorge était sèche. Sa respiration, saccadée. Mais quand il ouvrit la bouche, ce ne fut qu'un murmure :
- Non... s'il te plaît... ne t'en va pas...
- Ah! Voilà qui est plus honnête. Tu admets donc que tu as tout fait pour me séduire? Avec tes grands yeux, ta peau de porcelaine, ton ventre adorable... et ce petit cul à croquer...
À chaque mot, elle caressait lentement la zone qu'elle mentionnait. Sam tremblait de plaisir sous ses doigts. Il ne put retenir de mignons petits gémissements à chaque fois que les doigts d'Audrey entraient en contact avec sa peau.
- Je l'admets... Je suis désolé...
Il aurait dit n'importe quoi pour que les caresses continuent. Son aveu suspendit l'instant. Audrey sourit de toutes ses dents, un sourire prédateur, victorieux et tendre à la fois.
- Tu es donc prêt à prendre tes responsabilités, mon chaton? Parce que moi... je n'en peux plus. Et j'ai bien l'intention de te manger tout cru!
- Oui... Je ferai n'importe quoi pour me faire pardonner...
- Très bien. Tu es un bon garçon.
Audrey s'empara alors fermement le sexe de Sam, s'approcha à nouveau et se baissa légérement pour que son vagin soit à hauteur du sexe de Sam. Elle guida son membre, frottant d'abord son gland sur ses lèvres, avant de le presser contre l'entrée de son antre chaude et humide. Sam sentit son penis fondre à mesure qu'il pénétrait plus profondément le vagin de cette femme qu'il connaissait à peine. Vagin qui enserrait parfaitement son penis avec à la fois chaleur, douceur et fermeté. Il n'avait jamais ressenti autant de plaisir simplement en pénétrant le sexe d'une femme. C'était intense, brûlant, enivrant. Il en avait des papillons dans le ventre.
Quand enfin, il fut entièrement en elle, Audrey laissa échapper un long gémissement de plaisir et de satisfaction.
- Enfin... C'est tellement bon...
Elle embrassa Sam avec passion alors qu'avec son bassin elle commença les mouvements de va-et-vient. L'étreinte douce et passionnée dura quelques secondes puis Audrey cessa son baiser.
Elle attrapa Sam par le cou, serrant légèrement sa gorge entre ses doigts. L'étreinte devint plus intense, plus sauvage. Ses mouvements étaient amples et puissants, son souffle court, son regard incandescent. Sam n'était plus qu'un pantin dans ses bras.
Le bruit de leurs corps s'entrechoquant résonnait dans la pièce, ses puissantes cuisses claquant contre celles de Sam. Audrey grognait presque comme une bête, relâchant toute la frustration qu'elle avait accumulée.
Sam, incapable de résister, gémissait lui aussi, complètement à sa merci. Le mur froid de la douche contrastant avec la chaleur d'Audrey. C'était son membre qui pénétrait Audrey, mais c'était bien elle qui le dominait, il n'y avait aucun doute la dessus. Et elle le dominait durement, violemment, sauvagement, se déchargeant de toute cette frustration accumulée à grand coup de puissant coups de reins.
Totalement soumis, Sam était au septième ciel. Perdu dans l'allégresse du moment, il oublia sa timidité et où il se trouvait, il gémissait bruyamment.
S'approchant de l'orgasme, Audrey augmenta encore la cadence. L'eau fraîche coulait toujours sur leurs corps chaud et transpirant. Sam sentit le plaisir monter, son membre se faisait dévorer par le vagin d'Audrey qui l'enserrait toujours plus fort. Après quelques minutes, il ne pouvait plus tenir, c'était trop bon. Il gémit de plaisir et il éjacula comme il n'avait jamais éjaculé, remplissant le vagin d'Audrey de sa semence chaude. Son orgasme sembla durer une éternité, ses jambes tremblaient de plaisir. Il était épuisé comme si toutes ses forces avaient été aspirées.
Mais Audrey ne s'arrêta pas. Elle n'était pas encore satisfaite. Elle le tenait fermement, et continua à le baiser, avec des grognements sauvages presque animaux, jusqu'à ce qu'elle atteigne aussi l'orgasme. Les spasmes puissants de son vagin autour du sexe sensible de Sam lui arrachèrent de nouveaux gémissements étouffés.
Enfin, elle relâcha doucement son étreinte.
- Ahh! C'était parfait... C'est tout ce dont j'avais besoin. J'aimerais beaucoup continuer mais je dois filer avant que quelqu'un ne nous surprenne. Maintenant, mon chaton, finis ta douche, et attends-moi devant la salle.
Voyant l'air hébété de Sam, elle lui lança un dernier sourire prédateur :
- Tu ne pensais tout de même pas que j'en avais fini avec toi? Bien sûr que non. Après... on va chez moi. Tu as encore beaucoup de choses à te faire pardonner!
Sam, incapable de résister, hocha la tête. Il était perdu. Il ne réalisait pas ce qui venait de lui arriver, mais une chose était sûre, il était impatient de voir ou cela le mènerait!
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire ou une quarantenaire domine un jeune homme et le baise durement mais sans coup ni vexation. Daniel

