l'amour que tu me feras peut être un jour. - histoire érotique

L’amour que tu me feras un jour peut être.

Pourquoi un jour peut être, car nous faisons toujours la même chose et je commence à m'en lasser.


On est endormi tous les deux, il est tard, très tard dans la nuit, et demain tu dois te lever tôt pour dépanner un ami.

Tu te réveilles, tout bandant, tu as du faire un rêve très coquin, tu te tournes vers moi, ta main se pose sur mon sein, le caresse, tu fais rouler mon téton encore mou sous tes doigts, tu fais de même avec l’autre mais ta bouche se rapproche de mon sein, tu l’embrasses, le lèche, le mordille, mes tétons sont tout durs sous tes caresses, je gémis c’est bon, là tu vois que je suis réveillée mais reste figée. Ta main malaxe mon sein et ta bouche joue de mon téton dur, Ta main toute douce descend sur tout mon corps en passant par mon bas du ventre, redescend sur ma cuisse pour remonter par l’entre cuisse, passe sur ma chatte toute chaude et toute mouillée, redescend par l’entre jambes et remonte par l’autre cuisse reviens sur mon minou, et remonte rejoindre mon seins laisser au dépourvu.

Tu me dis je t’aime, t’est douce, j’aime te caresser, tu m’excites, j’ai envie de toi, des mots doux, et tu m’embrasses d’un long baiser, nos langues se mélangent, et ta bouche retourne vers mon sein, tu me le mords humm, c’est bon, passe à l’autre et tu me remords mais avec ta main qui le malaxe en même temps je gémis un peu plus fort.

Tu te places entre mes jambes sans t’arrêter de me baiser sur tout le corps, ta bitte me cogne la chatte, ce qui me fait sursauté de plaisir et me fait cambrer pensant que t’allais me prendre, mais non, tu écartes mes jambes par les genoux, et tu t’allonges afin que ta tête se trouve au niveau de ma chatte, tu sent la chaleur qu’elle dégage, met tu n’y prêtes pas attention, ta bouche parcours mes cuisses de baiser, tu passes juste au dessus de mon clito, je gémis humm oui, je me cambre plus pour que tu me lèches mais rien tu redescend sur mon autre cuisse, tu me fais languir de plaisir, j’aime ça, tes 2 mains me malaxent les seins, doucement puis tellement fort, plus tes baisers sur mon corps, un cri sort de ma bouche, ce qui t’excite plus, mes tétons roulent sous tes doigts.

Enfin ta langue passe d’un coup sur ma chatte comme si elle voulait prendre toute ma mouille d’un coup, j’adore ta langue sur ma chatte, elle fouille entre mes lèvres, tu me mords les lèvres pour m’entendre gémir, je me cambre pour te proposer mon clito, que tu embrasse et titille de gauche à droite, ce qui me fait gémir très fort de plaisir, ce qui t’excite plus donc tu le titilles de plus en plus vite, mes mains se pose sur ta tête pour mieux te diriger, et voilà qu’un doigt rentre dans mon vagin tout humide, puis un deuxième puis un troisième, j’en peux plus c’est bon, je me déhanche pour mieux sentir, puis de l’autre main un petit doigt viens me masturber l’anus, oh j’aime ça c’est bon, hum, le doigt rentre, le temps de mieux le dilater un deuxième rentre, je me retrouve avec trois doigt dans le vagin, deux doigt dans l’anus et ta langue si chaude sur le clito, mon souffle s’accélère , tu sent que je vais jouir donc tu retires tes doigt de mon vagin pour me pénétrer ta langue, et me bouffer la chatte je te dit c’est bon je vais jouir , oui oui oh oui c’est bon encore encore, rrrraaaaaa hummmmm c’est bon, sans me contrôler je hurle de plaisir et resserre les cuisses sur ta tête comme si je ne voulais pas que tu partes et je fini par jouir et ta langue lape toute la mouille.
Je me lève, et tu t’allonges sur le dos, ta main sur mes fesses, ma tête se dirige vers ta queue très dur, ma langue lèche ton gland, fait le tour , et descend sur tes testicules pour les embrasser, les lécher et remonte le long de ta verge, un de tes doigts est déjà entré dans mon anus encore dilater, je prend ta queue à pleine bouche, le gobe et descend le plus bas possible ma main viens rejoindre la base de ta queue, pour te branler en même temps que les va et vient sur ta queue, ma bouche remonte et embrasse ton gland qui a baigner dans ma salive chaude, ton autre main viens me caresser mes cheveux et je comprend que toi aussi tu désire jouir donc accentue la vitesse sur ta verge dans ma bouche, je t’entend dire que c’est bon, mais je ralenti pour que ton plaisir se face attendre, ma langue continue à lécher ton gland passe par le petit filet l’arête et fini pas arriver sur ton urètre, j’aime ça et tu le sait, ton pouce se trouve dans mon vagin et deux doigt dans mon anus, c’est bon je gobe ta queue et m’affaire dessus comme une folle, ta main sur ma tête me donne le rythme, et je t’entend dire ça arrive oui c’est bon aspire mon jus aspire ,c’est bon, et je récupère tout ton sperme dans ma bouche pour l’avaler comme une sucrerie. Tu ne débandes pas, et je continue de l’essuyer avec la langue, je me relève et me pose sur ton sexe, dans cette position ta queue va le plus loin possible j’adore quelque va et viens et tu me jettes pour que je me retrouve à quatre pattes, ta langue fait un petit tour sur ma chatte, et ta main le suis afin de mettre ma mouille sur mon anus, ta queue se trouve à l’entré de mon cul je sens ton gland se frayer un chemin, mes mains t’aident en écartant mes fesse, tous doucement elle me pénètre, c’est bon tu m’entend crier de douleur mais aussi de plaisir, tes mains ce plaquent contre mes hanches afin de mieux me contrôler, je t’entend dire c’est bon, ton cul est serré ma chérie j’adore, t’aime ça c’est bon, tes va et viens se presse de plaisir, je me masturbe le clito sous tes coups, c’est bon vas y encore oui ou i oh oui je jouis , viens viens avec moi, à m’entendre prendre du plaisir je sens ta semence me bruler les entrailles tandis que des spasmes m’envahit tous le corps, je relève le buste afin que tu me serres dans tes bras, une de tes mains se pose sur mon clito, l’autre main se pose sur mes seins, tes mains se mettent à titiller respectivement mon clito ainsi que mes tétons, comme pour prolonger le plaisir.

C’est ainsi qu’on a pu prendre le même plaisir ensemble, on se rallonge et tu me prends dans tes bras et on finit par s’endormir tout deux enlacés, l’un près de l’autre de l’autre.