L'artilleur. - histoire érotique

Omar est militaire français, artilleur, son père est sénégalais et sa mère marocaine. Ce croisement a donné un colosse d'une beauté inégalable.

Il est militaire depuis qu'il a quitté le domicile familial, la cité où il faisait le con avec ses potes. Sa masse en avait fait un rempart pour ses potes, quand il y avait de la bagarre c'est lui qui répondait, ses poings étaient là. Mais son père ne voyait pas ça du même œil, de le voir traîner dans les caves de la cité et faire l'andouille, alors il l'a conduit dans un centre de recrutement et il a bien été obligé d'obéir à son père.

Et il n'a jamais été déçu de son choix forcé. Il est tombé entre les mains d'instructeurs qui lui ont fait prendre conscience de sa force et qu'il fallait s'en servir avec intelligence. Avec le sport intensif qu'ils pratiquaient son corps s'est encore amélioré en muscles. Plus un gramme de graisse, plus d'embonpoint naissant... maintenant son corps n'était que muscles.

1m95, 110 kg et ceux qui le voyaient sous les douches n'en revenaient pas... Il avait comme surnom Blackos ou Big Blackos mais ils étaient entre vrais mâles, pleins de testostérones et même s'ils bandaient comme cela arrivait souvent, ils se branlaient ensemble pour souder le groupe disait l'adjudant qui pouvait montrer l'exemple.

Et Omar avait la plus belle bite de la caserne... 25 cm de long et personne ne connaissait l'épaisseur.
Lorsqu'ils sortaient en perm dans la ville c'était pour rencontrer des meufs et baiser...
15 ans après, Omar était adjudant-chef et commandait une unité d'artilleurs.
Ses traits avaient vieilli, mais aucune ride sur le visage de black, son surnom était encore là car Omar était un bon mec qui savait commander et se faire écouter. Tout le monde l'appréciait.

Il revenait de temps en temps voir ses parents toujours dans la cité qui avait bien changé. Il ne connaissait plus personne, mais faisait sensation quand il arrivait dans son treillis. Vu le gabarit les jeunes branleurs ne sont jamais venus lui demander qui il était! Ils s'en foutaient...
Ce week-end d'août Omar est venu voir ses parents. C'est la canicule, une chaleur torride. Il est allongé dans sa chambre d'ado, toujours le même mobilier et il repense à sa vie d'avant, ce qu'il faisait avec les potes dans les sous-sol. Putain y'en avait de la salope qui venait pour se faire baiser. Il se souvient de ces jeunes céfrans qui venaient les sucer avec son pote Ali, marocain également. Ils niquaient les mecs à deux et ils en redemandaient.

Allongé sur son lit, il sourit en repensant à ses séances... Dire qu'il côtoie à longueur d'années de beaux mecs, de super mecs qu'il voit à poils, bander, se branler mais n'a jamais rien fait avec eux!
Là, sa belle queue appelle sa main. Il se caresse par dessus le treillis. Sa grosse queue se raidit, il la sort et se caresse en repensant au zob d'Ali, aux petits culs qu'ils niquaient...
Est-ce que ça à changé ? pense t-il.
Il a envie d'aller voir, faire un tour dans le parking, retrouver l'endroit des exploits de jeunesse.

Il reste avec ses rangers, son treillis, le pantalon serré par le ceinturon, la veste ouverte sur son torse ébène, musclé, imberbe. La peau luit dans la lumière. Il met une casquette à visière qui tombe sur ses yeux noirs masquant sa gentillesse, sa douceur.

Il descend directement au parking comme il faisait 15 ans auparavant et quand il sort de l'ascenseur, c'est exactement le même local de béton grisâtre, ça sent la pisse et l'on voit le coin où les mecs se soulagent!
Il fonce vers la porte du fond, l'ouvre pour se retrouver devant le grand parking, les lumières sont toujours aussi blafardes, scintillantes comme si elles ne savaient pas si elles devait rester allumées ou éteintes. Il retrouve la même odeur d'huile, d'essence, la moiteur, la sueur. Il sourit en avançant dans l'allée pour aller vers LE box où ils attendaient les salopes...

15 ans après le box est toujours là sous une lumière vacillante comme à l'époque.
Un matelas taché traîne dans un coin, un escabeau rouillé tient à peine debout, et quelques affaires éparpillées – un vieux blouson, des canettes vides – complètent le tableau. C'est tout à fait ce qu'il se souvenait comme si rien n'avait changé. Si il manque Ali dans ce décor!

Il entre dans le box ouvert et va s'appuyer contre le mur, la jambe pliée et il sent sa queue se manifester, comme si elle voulait sortir...
C'est ce qu'ils faisaient avec Ali, ils sortaient leur queue et attendaient les mecs qui venaient se mettre à genoux et s'étouffer sur les zobs!

Il sourit Omar et ouvre sa braguette, sort le monstre qui doit reconnaître l'endroit car il devient raide comme pas souvent. Le gland circoncis est dur, la mouille commence à arriver et luit sous la faible lueur de la lampe, il voit sa grosse veine palpiter le long de la queue.
Il se caresse doucement, sort ses grosses couilles s'adossant bien au mur, il ferme les yeux et savoure ses caresses. Il a envie de juter, voir son jus gicler dans le box comme à l'époque.
Il se caresse toujours aussi lentement, il ne veut pas jouir de suite, il veut savourer ce moment.

Dans le silence du parking une porte claque, des pas se font entendre. Il écoute, tenant juste son monstre dans la main.
-une salope arrive pense t-il les yeux brillants, j'vais me faire sucer ?
Les pas se rapprochent encore, le mec tousse, s'éclaircit la gorge et d'un seul coup apparait dans la lumière blanchâtre du box. Et pour être surpris il est surpris mais pas apeuré car le mec se rapproche lentement et Omar voit bien ses yeux ne pas quitter sa grosse queue qu'il lâche pour qu'elle oscille lentement, laissant couler la mouille à terre.

Le mec le regarde, il hésite, c'est un jeune rebeu, mais un croisé lui aussi, y'a du céfran dans ses veines, la beauté du céfran ressort, les yeux vicieux du rebeu sont là. Le mec continue de s'approcher, ils se regardent, le jeune mec n'a pas froid aux yeux :
-c'est pour moi ? chuchote t-il en montrant la queue black.
Et Omar s'entend répondre :
-à genoux et viens faire ta salope mec!

Putain d'envie qu'il a d'avoir les belles lèvres du mec autour de son sexe.
Le mec se laisse tomber à genoux, ses mains saisissent le membre, trop gros pour une seule prise. Il lèche la veine saillante, titille le gland, savoure une goutte salée. Ses lèvres écartelées engloutissent la grosse bite noire.

Mais cela ne va pas très loin car ce gourmand se met à éternuer, tousser et pleurer.
Il regarde Omar d'un air de dire :
-attend, tu vas voir de quoi je suis capable!
Il repart à l'assaut, suçant avec voracité le gland, l'entourant bien de ses lèvres, le serrant. Omar ouvre sa veste de treillis et à chaque succion du jeune, son torse se contracte, ses abdos luisants de sueur...
Il sent son gland glisser sur la langue, passer le fond de gorge... le mec pleure, s'étouffe, mais ne lâche rien, la salive coule à terre se mélanger avec la poussière.
-putain t'es un bon dit Omar de sa voix de mâle militaire.

Encouragé, le mec reprend ses longs va-et-vient sur la grosse queue, il pleure toujours autant, malaxent les grosses couilles donnant des frissons à Omar.
Putain y'a longtemps que j'avais pas été sucé comme ça, les meufs c'est vraiment nulle!
Ses grosses couilles sont pétries, sa mouille avalée et le petit mec avale pratiquement tous ses 25 cm, en pleurant certes. Il sent la jute arriver.

C'est lui qui bloque la tête du minet qui lâche ses couilles, resserre bien ses lèvres, la grosse queue coulisse bien sur sa langue jusqu'à sa luette et les giclées arrivent en même temps qu'un lourd grognement d'Omar. Un tsunami de bon jus sénégalais marocain se répand avec force dans la gorge du mec et coule en lui.
Il déglutit et avale tout ce qui lui est offert.

Omar s'appuie sur le mur, lâchant la tête du petit mec qui sourit et lèche bien le monstre encore raide.
Il se relève vite fait pour se coller à Omar, le fixant :
-tu bandes encore mec, ça te dirait de me niquer là sur le matelas! J'ai envie de ta grosse queue dans mon petit cul.
-mais tu vas gueuler mec! dit Omar.
-pas grave j'aime ça, mais t'es militaire ? demande t-il en caressant le treillis.
-oui et ça fait mouiller ton petit cul ?
-j'ai jamais vu un militaire avec une si grosse queue, alors tu me niques ?
-alors fous toi à poils et montre ton cul!

Il avait l'air d'être heureux ce jeune rebeu quand il s'est mis nu complètement, montrant à Omar le devant, un beau zob bien raide dans la moyenne, le gland coulait abondamment, mais quand il s'est retourné pour se mettre à quatre pattes sur le vieux divan, écartant bien ses jambes, relevant son petit cul la grosse queue d'Omar était prête, se redressant d'un seul coup et le plaisir recommençait à couler...

Il caresse les fesses offertes, de l'index vient toucher l'anus qui s'ouvre tout seul et deux longs doigts entrent facilement, s'enfonçant au plus profond!
Putain de trou pense Omar, excité comme dans sa jeunesse où il fallait convaincre certains pour les niquer, là il s'offrait le mec. Il a posé son gland sur l'entrée, ses mains ont saisi les hanches et le cul est venu à la rencontre.

Putain de trou gourmand, dans la pénombre Omar voit son gros gland se faire avaler par le trou qui s'ouvre comme une fleur au printemps.
Il donne un coup de reins, le gland entre et le mec hurle mais continue de s'enfoncer sur la grosse queue. Deux coups de reins plus tard le monstre est rendu à destination, bien au chaud au fond de ce petit cul chaud bouillant accueillant.

Le mec se redresse en grimaçant, collant son dos au torse d'Omar.
Omar passe ses mains sur le torse de ce jeune rebeu en caresses douces et chaudes et lui dit à l'oreille :
-alors maintenant ce sont les jeunes rebeus qui font les salopes ici ?
-t'es déçu le militaire ? mais d'abord t'es qui ?

Omar n'a pas répondu, l'a repoussé sur le matelas et l'a niqué comme il le faisait 15 ans auparavant. Son pubis claquait sur les fesses dures du rebeu qui encaissait comme un chef et un nouveau tsunami est arrivé comblant le moindre recoin du cul du rebeu qui n'arrêtait plus de gémir, crier, râler, grogner...
Omar l'a ramené contre lui, lui faisant tourner la tête et ses lèvres viennent prendre celles du rebeu qui offre sa langue directement. Il gémit encore, pendant qu'Omar vient se saisir du zob humide et le branle doucement, lentement, prenant son temps comme lui aime se le faire. Il sent les fesses serrer sa queue, le souffle du rebeu vient directement dans sa gorge, ses mains tiennent la sienne et d'un seul coup il lâche les lèvres d'Omar pour hurler qu'il jute.

Omar sent bien les soubresauts dans sa main et continue de le caresser jusqu'à la dernière goutte. Le rebeu s'empare de sa main, la porte à ses lèvres et lèche tout le sperme qui reste et revient offrir ses lèvres à Omar qui ne se fait pas prier.
Sa grosse queue est toujours au fond du petit cul et n'a pas débandé. Le rebeu le regarde en souriant, l'air coquin, vicieux...
-mais ça débande jamais un militaire ?
-ma queue adore ton petit cul mec! Tu veux une autre tournée ?
-oui dit le jeune rebeu les yeux brillants.
Et il reprend la position tendant bien son petit cul.

Le jeune rebeu a su ce qu'était se faire niquer longuement. Il avait le cul en surchauffe et se demandait quand il allait juter, mais Omar faisait durer son plaisir et sûrement celui du rebeu. Et quand le 3ème tsunami est arrivé, ce fut un long soulagement pour les deux qui retombent sur la matelas, épuisé quand même avec ce sport...

Le rebeu se retire la queue et vient dans les bras d'Omar qui reprend son souffle. Il sent la main du rebeu passer sur son torse et s'attarder sur ses abdos durs comme de l'acier, sa main remonte sur sa poitrine bien dessinée, ses tétons raides qu'il touche en les effleurant. Il vient se coller encore plus à Omar en soupirant, sa jambe passe entre les siennes et sa main reprend la queue.
Il fait des bisous à Omar.
-j't'ai jamais vu ici ? dit le rebeu, alors t'es qui ? comment tu connais cet endroit ?

Omar ne s'est pas fait prier plus longtemps pour raconter qu'il venait là dans sa jeunesse pour niquer avec un pote rebeu.
-y'a 15 ans ? dit le rebeu en rigolant, j'avais 7 ans, je m'appelle Ali et toi ?
-tu t'appelles Ali ? c'est vrai ?
-ben oui dit le rebeu étonné pourquoi ?
-tu vas rire mais le pote avec qui je venais ici, s'appelle Ali aussi!

C'est curieux un jeune rebeu et il n'a pas arrêté de poser des questions auxquelles Omar a répondu.
-tu reviens quand alors ?
-je suis là tout le week-end pourquoi ?
-ça te dirait de venir chez moi pour prendre une douche ? j'ai jamais pris de douche avec un militaire!
-t'es bien un voyou Ali et faudra que je fasse quoi d'autres ?
-ben si mon cul réclame... et comme il est souvent affamé, je sais que tu seras capable de t'en occuper!
Il s'est laissé apprivoiser le militaire, heureux de connaître la douche du jeune Ali.

Ses parents n'ont pas encore compris pourquoi leur fils revenait encore plus souvent qu'avant mais ne couchait pas dans son lit.

Ali le jeune était content d'avoir trouvé un gode sur pattes, musclé, endurant qui savait le baiser comme il adorait!