L'artiste est mon beauf (2ème épisode)
Récit érotique écrit par Moilephilou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'artiste est mon beauf (2ème épisode)
Résumé de l'épisode précédent :
Après le départ de mon mari et de ma sœur pour un congrès de comptabilité à l'étranger, Roland, mon beau-frère me propose de faire un dessin de moi, mais suite à un repas (très) arrosé les choses ne tardent pas à déraper.....
Je me sens excitée comme une puce et il faut le dire terriblement fautive vis à vis de mon homme. Comment ai-je bien pu le tromper comme cela, car il y a tromperie de ma part, c'est certain, même si je suis plus ou moins ivre.
Et puis je ne sais pas ce qui m'a poussé à lui dire que mes seins étaient plus lourds et avaient une aréole plus large et plus sombre. C'est comme si je l'invitais moi-même à vérifier de visu.
Je m'en veux oui, mais en même temps c'est si bon de me retrouver dans des bras câlins, dans les bras câlins d'un homme qui me fait fantasmer, et à la réflexion, qui m'a fait rêver depuis bien longtemps (en fait, ça coïncide avec le début des aveux de ma propre sœur sur son mari!).
Je me dis que ma conscience est tout aussi malléable et extensible que l' élastique du slip de bain de Roland qui peine à contenir son phallus tumescent.
Toujours aussi grisée par l'alcool que j'ai ingurgité, je ris à gorge déployée à cette pensée.
Et bien voilà, tu doit être mieux maintenant. Tu devais avoir beaucoup trop chaud, ainsi vêtue!...
Je reste un peu dubitative, comment une jupette de tennis, un chemisier plus que léger et un bikini minimaliste (selon moi) peuvent-ils donner trop chaud ? Non en fait, ce qui en est réellement, c'est que ces vêtements constituaient une barrière que je me suis plu à franchir (je le reconnais au fond de moi).
Deviendrais-je une trainée, une putain, une salope ? J'ai mauvaise conscience vis à vis de mon époux.
Roland en profite pour servir à chacun d'entre nous, une eau de vie bien parfumée selon lui (je suis tout à fait d'accord avec), mais convenez-en : ce n'est pas ce qui ne va pas arranger mon état.
Je bois mon verre cul sec et m'aperçois avec un certain trouble qu'il m'en sert un autre dans la foulée.
Il veut donc me faire boire ?
Eh bien soit, je vais boire et m'enfoncer dans l'ivresse et le stupre.
De cette manière, j'aurai au moins l'excuse d'avoir agi sous l'emprise de la boisson, moi qui ne boit quasiment pas, je suis effrayée de comptabiliser ce que j'ai bu : un apéro, du vin, un digestif, de l'eau de vie.
Comme je titube, Roland me rattrape et m'allonge sur une chaise longue.
Tu ne tiens pas l'alcool ? s'inquiète-t-il
Il est vrai qu'avec tout ce qu'on a éclusé j'ai consommé autant d'alcool que depuis ma première communion! plaisanté-je.
De plus tu as de l'humour, je ne t'en apprécie que davantage.
Et de nouveau, il cherche à me rouler une pelle.
Seulement cette fois je renonce à lutter contre le plaisir, j'entr'ouvre ma bouche et il en profite : nos dents s'entrechoquent, nos langues s'enroulent en jouant un ballet délicieusement érotique. Mes tétons sont durcis à un point innommable et je sens même que mon abricot s'humidifie sérieusement.
Tu es bien ? Me demande Roland.
Ouiii fais-je en sentant sa queue qui grossit et vient se nicher tout contre ma vulve. Je ne pensais pas que ça pouvait être aussi bon...
Qu'est-ce qui est aussi bon ?
Ma tête sur ta poitrine velue et ton sexe sur le mien.
Non. Dis "ta queue sur ma chatte".
Comme tu veux...
Alors ?
Ta queue sur ma chatte, ta bite sur mon con.
Voilà qui est mieux
Pendant ces échanges verbaux, sa queue a pris des proportions énormes et il conduit ma petite main vers son sexe, il commence à lui imprimer un mouvement de haut en bas et satisfait de voir ce va-et-vient se pérennise il m'introduit un doigt puis deux dans mon sexe, d'abord en lissant mes grandes lèvres puis débusquant mon petit clito.
Quand je disais que sa queue était un peu moins longue que celle de Charles, je me trompais. Je ne l'avais pas vu en érection totale, non seulement son sexe est très long mais de plus il a une de ces circonférences! Comment vous dire mesdames ? C'est un peu comme si vous essayiez d'encercler un de ces aérosols pour travaux ménagers, avec vos doigts fins et délicats.
De mon côté, je le branle tant et si bien que je le sens tout proche de l'explosion finale, j'accélère le mouvement pendant qu'il me masturbe et voilà qu'il finit par jouir sur ma toison et mes doigts.
Ouiii c'est bon je viens Antigone.
Il possède vraiment un phallus hors norme. Son sexe vient de cracher sa semence et il reste encore plus gros que celui de Charles.
Je suis en train de me sucer délicatement les doigts pour me nettoyer et tenter de le remettre en forme quand le téléphone sonne.
Encore à moitié dans les vaps, je décroche :
Oui ?
Antigone chérie, c'est moi.
Charles, que se passe-t-il ? J'attendais ton coup de téléphone de toi ce soir avant ton départ, mais pas aussi tôt!
Je te demande de m'excuser, je ne pouvais savoir que tu étais en train de faire du sport. Je te sens tout essoufflée Je voulais te prévenir que Brigitte et moi ne rentrerons pas demain dans la nuit comme prévu, mais dans une longue semaine, les diverses nouveautés que nous avons à étudier font l'objet de cours de perfectionnement se déroulant sur une semaine et j'ai pu nous inscrire à cette session de rattrapage au tout dernier moment. Tu me manques terriblement.
Reviens vite chéri tu commences aussi à me manquer sérieusement. Je t'aime.
Ainsi, je lui ai parue essoufflée ? C'est vrai que j'étais en train de faire du sport et tout ce que je vous demande mes ami(e)s lectrices et lecteurs c'est de ne surtout pas lui dire qu'il s'agissait de sport en chambre.
Je suis donc condamnée à rester seule avec mon beau-frère préféré pendant une semaine de plus !
Tu es bien songeuse ? C'est le coup de fil de ton mari qui t'a mis dans cet état ? Allons viens, je vais te représenter nue, telle que tu l'es réellement et non plus en fantasmant ton corps.
Je ne sais pas si c'est la chaleur ambiante, l'excès de boisson ou la fatigue qui commence à se faire sentir mais j'ai du mal à tenir la pose que me fait prendre mon beau-frère.
Je vais te prendre en photo, ainsi tu n'auras pas à rester immobile et je pourrai te représenter avec la même lumière ce soir ou bien demain...
Il va chercher son appareil et commence par tourner autour de moi, il me donne différentes consignes pour bien mettre mon corps en valeur me demandant d'étendre une jambe, de faire sortir ma poitrine, d'adopter un certain port de tête... Tout en prenant ces clichés il essaye de capter des sources lumineuses différentes et originales. Il prend ainsi une vingtaine de clichés ou peut-être davantage, puis me rend ma liberté.
Quand je le disais que mon beauf est un artiste.
Là il s'est surpassé, les instantanés sont merveilleux, les lumières en sont variées passant de la clarté la plus extrême aux différents effets d'ombre allant jusqu'à l'obscurcissement presque parfait. La clarté va de celle du jour à une source lumineuse qu'on dirait obtenue par un éclairage artificiel
Je reste bouche bée devant ces clichés pendant que Roland vient m'agacer la nuque en me faisant des petits bisous tout doux.
Après le départ de mon mari et de ma sœur pour un congrès de comptabilité à l'étranger, Roland, mon beau-frère me propose de faire un dessin de moi, mais suite à un repas (très) arrosé les choses ne tardent pas à déraper.....
Je me sens excitée comme une puce et il faut le dire terriblement fautive vis à vis de mon homme. Comment ai-je bien pu le tromper comme cela, car il y a tromperie de ma part, c'est certain, même si je suis plus ou moins ivre.
Et puis je ne sais pas ce qui m'a poussé à lui dire que mes seins étaient plus lourds et avaient une aréole plus large et plus sombre. C'est comme si je l'invitais moi-même à vérifier de visu.
Je m'en veux oui, mais en même temps c'est si bon de me retrouver dans des bras câlins, dans les bras câlins d'un homme qui me fait fantasmer, et à la réflexion, qui m'a fait rêver depuis bien longtemps (en fait, ça coïncide avec le début des aveux de ma propre sœur sur son mari!).
Je me dis que ma conscience est tout aussi malléable et extensible que l' élastique du slip de bain de Roland qui peine à contenir son phallus tumescent.
Toujours aussi grisée par l'alcool que j'ai ingurgité, je ris à gorge déployée à cette pensée.
Et bien voilà, tu doit être mieux maintenant. Tu devais avoir beaucoup trop chaud, ainsi vêtue!...
Je reste un peu dubitative, comment une jupette de tennis, un chemisier plus que léger et un bikini minimaliste (selon moi) peuvent-ils donner trop chaud ? Non en fait, ce qui en est réellement, c'est que ces vêtements constituaient une barrière que je me suis plu à franchir (je le reconnais au fond de moi).
Deviendrais-je une trainée, une putain, une salope ? J'ai mauvaise conscience vis à vis de mon époux.
Roland en profite pour servir à chacun d'entre nous, une eau de vie bien parfumée selon lui (je suis tout à fait d'accord avec), mais convenez-en : ce n'est pas ce qui ne va pas arranger mon état.
Je bois mon verre cul sec et m'aperçois avec un certain trouble qu'il m'en sert un autre dans la foulée.
Il veut donc me faire boire ?
Eh bien soit, je vais boire et m'enfoncer dans l'ivresse et le stupre.
De cette manière, j'aurai au moins l'excuse d'avoir agi sous l'emprise de la boisson, moi qui ne boit quasiment pas, je suis effrayée de comptabiliser ce que j'ai bu : un apéro, du vin, un digestif, de l'eau de vie.
Comme je titube, Roland me rattrape et m'allonge sur une chaise longue.
Tu ne tiens pas l'alcool ? s'inquiète-t-il
Il est vrai qu'avec tout ce qu'on a éclusé j'ai consommé autant d'alcool que depuis ma première communion! plaisanté-je.
De plus tu as de l'humour, je ne t'en apprécie que davantage.
Et de nouveau, il cherche à me rouler une pelle.
Seulement cette fois je renonce à lutter contre le plaisir, j'entr'ouvre ma bouche et il en profite : nos dents s'entrechoquent, nos langues s'enroulent en jouant un ballet délicieusement érotique. Mes tétons sont durcis à un point innommable et je sens même que mon abricot s'humidifie sérieusement.
Tu es bien ? Me demande Roland.
Ouiii fais-je en sentant sa queue qui grossit et vient se nicher tout contre ma vulve. Je ne pensais pas que ça pouvait être aussi bon...
Qu'est-ce qui est aussi bon ?
Ma tête sur ta poitrine velue et ton sexe sur le mien.
Non. Dis "ta queue sur ma chatte".
Comme tu veux...
Alors ?
Ta queue sur ma chatte, ta bite sur mon con.
Voilà qui est mieux
Pendant ces échanges verbaux, sa queue a pris des proportions énormes et il conduit ma petite main vers son sexe, il commence à lui imprimer un mouvement de haut en bas et satisfait de voir ce va-et-vient se pérennise il m'introduit un doigt puis deux dans mon sexe, d'abord en lissant mes grandes lèvres puis débusquant mon petit clito.
Quand je disais que sa queue était un peu moins longue que celle de Charles, je me trompais. Je ne l'avais pas vu en érection totale, non seulement son sexe est très long mais de plus il a une de ces circonférences! Comment vous dire mesdames ? C'est un peu comme si vous essayiez d'encercler un de ces aérosols pour travaux ménagers, avec vos doigts fins et délicats.
De mon côté, je le branle tant et si bien que je le sens tout proche de l'explosion finale, j'accélère le mouvement pendant qu'il me masturbe et voilà qu'il finit par jouir sur ma toison et mes doigts.
Ouiii c'est bon je viens Antigone.
Il possède vraiment un phallus hors norme. Son sexe vient de cracher sa semence et il reste encore plus gros que celui de Charles.
Je suis en train de me sucer délicatement les doigts pour me nettoyer et tenter de le remettre en forme quand le téléphone sonne.
Encore à moitié dans les vaps, je décroche :
Oui ?
Antigone chérie, c'est moi.
Charles, que se passe-t-il ? J'attendais ton coup de téléphone de toi ce soir avant ton départ, mais pas aussi tôt!
Je te demande de m'excuser, je ne pouvais savoir que tu étais en train de faire du sport. Je te sens tout essoufflée Je voulais te prévenir que Brigitte et moi ne rentrerons pas demain dans la nuit comme prévu, mais dans une longue semaine, les diverses nouveautés que nous avons à étudier font l'objet de cours de perfectionnement se déroulant sur une semaine et j'ai pu nous inscrire à cette session de rattrapage au tout dernier moment. Tu me manques terriblement.
Reviens vite chéri tu commences aussi à me manquer sérieusement. Je t'aime.
Ainsi, je lui ai parue essoufflée ? C'est vrai que j'étais en train de faire du sport et tout ce que je vous demande mes ami(e)s lectrices et lecteurs c'est de ne surtout pas lui dire qu'il s'agissait de sport en chambre.
Je suis donc condamnée à rester seule avec mon beau-frère préféré pendant une semaine de plus !
Tu es bien songeuse ? C'est le coup de fil de ton mari qui t'a mis dans cet état ? Allons viens, je vais te représenter nue, telle que tu l'es réellement et non plus en fantasmant ton corps.
Je ne sais pas si c'est la chaleur ambiante, l'excès de boisson ou la fatigue qui commence à se faire sentir mais j'ai du mal à tenir la pose que me fait prendre mon beau-frère.
Je vais te prendre en photo, ainsi tu n'auras pas à rester immobile et je pourrai te représenter avec la même lumière ce soir ou bien demain...
Il va chercher son appareil et commence par tourner autour de moi, il me donne différentes consignes pour bien mettre mon corps en valeur me demandant d'étendre une jambe, de faire sortir ma poitrine, d'adopter un certain port de tête... Tout en prenant ces clichés il essaye de capter des sources lumineuses différentes et originales. Il prend ainsi une vingtaine de clichés ou peut-être davantage, puis me rend ma liberté.
Quand je le disais que mon beauf est un artiste.
Là il s'est surpassé, les instantanés sont merveilleux, les lumières en sont variées passant de la clarté la plus extrême aux différents effets d'ombre allant jusqu'à l'obscurcissement presque parfait. La clarté va de celle du jour à une source lumineuse qu'on dirait obtenue par un éclairage artificiel
Je reste bouche bée devant ces clichés pendant que Roland vient m'agacer la nuque en me faisant des petits bisous tout doux.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Waouhh, vu l'effet que ca nous fait, ce serait domage de s'arreter la
Très bon.
super il faut absolument qu'il y ait une suite