L’ascenseur
Récit érotique écrit par Sensuele [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L’ascenseur
Elle est cadre commerciale dans une petite entreprise, une fabrique de meubles artisanaux, dont le nombre d’employés se limitait à moins d’une centaine. Elle considérait que l’artisanat était l’avenir du renouveau [elle avait été licenciée d’une grande multinationale dont les produits n’étaient que produits fictifs et éphémères fabriqués par des machines]. L’artisanat c’est les hommes, les mains, les mains d’hommes, l’amour du travail bien fait, bien pensé. Un studio de cinéma avait passé commande de meubles vintages pour une série télévisée des années 60. Si le marché était gagné, le CA serait relancé et permettrait à la pme de repartir, les comptes étant en déficit. Il fallait travailler dur pour répondre à l’appel d’offre. Elle s’acharnait sur ce dossier depuis des semaines, travaillant sans compter les heures, l’avenir de l’entreprise, des artisans, de la région et le sien étaient en jeu. Ce soir là, elle avait décidé de rester tard pour finaliser son dossier et ainsi le présenter à son patron dès le lendemain. Elle restait souvent tard le soir, au moins jusqu’à 20h. Personne ne l’attendait dans son petit 3 pièces, elle était célibataire. Elle ne satisfaisait plus son mari qui préférait la télévision, les copains, et ne s’occupait plus d’elle comme d’une femme, mais plutôt comme la mère de leur enfant. Elle avait mis fin à leur relation ; leur fils étant parti avec son père, elle ne le voyait que pendant les périodes convenues, elle vivait donc seule. Elle était jolie, sensuelle malgré les 50 ans approchants, à grands pas à son gout. Jolie et sensuelle, ce n’est pas elle qui le disait, beaucoup d’hommes se retournaient sur son passage, certains disaient d’elle qu’elle avait du sex appeal, des hommes de tous les âges ; du coup quand le désir sensuel et sexuel se faisait sentir, quand l’appel des mains et des bras d’un homme devenaient pressants, elle avait le choix et flirtait avec des beaucoup plus jeune qu’elle. La beauté du corps, le fun, la joie de vivre et la performance sexuelle des jeunes étaient largement à son gout. Elle se délectait de voir les yeux de ses jeunes amants quand elle dévoilait son corps de 49 ans très bien conservé : fesses hautes, poitrine à peine tombante, fines jambes, ventre juste rond. La ménopause la guettait et pourtant son corps était encore celui d’une femme de 35 ans. Elle savait qu’elle plaisait aussi à certains hommes dans l’entreprise, [les bureaux étaient au 4eme étage d’un immeuble dans une zone industrielle, les ateliers de fabrication étant au rez-de-chaussée, les « bureaucrates » passaient par là pour accéder à l’ascenseur ; elle détestait les ascenseurs, sa claustrophobie aidant mais l’escalier peu pratique en métal se trouvait au milieu de l’atelier]. Elle savait qu’on la regardait mais n’y prêtait aucune attention, elle souriait, disait bonjour mais restait très humble. Ceux qui la regardaient le faisait discrètement, car bien qu’attirante, elle avait parfait une allure sévère montrant plutôt une femme sérieuse, rigoristee voire coincée. Jupe jusqu’au genou, pas de décolleté, cheveux toujours attachés en chignon, des lunettes, allure presque de vieille fille. Pourtant elle sentait les regards se poser sur elle, et ça lui plaisait, ça l’excitait parfois. Mais la rigueur dans son travail l’empêchait de s’y attarder.
Donc ce soir là était le dernier soir de travail sur son dossier et elle décida de ne pas partir tant la boucle n’était pas bouclée. Vers 19h, tout le monde était parti, elle était seule dans l’espace ouvert. C’était fin juin et l’été s’annonçait chaud. Une coupure électrique dans l’après-midi avait eu raison de la climatisation. L’atmosphère étant étouffante, elle délia ses cheveux, déboutonna son chemisier et retira son soutien gorge pour se sentir bien à l’aise. Ce léger décolleté laissait dévoiler un peu sa poitrine, mais elle s’en fichait ; allez, finissons ce dossier ! Tandis qu’elle terminait son dossier, elle entendit des pas dans le grand bureau. Elle releva la tête de son ordinateur, un agent de surveillance s’avançait entre les allées du bureau. Il lui expliqua alors qu’elle ne pouvait pas rester après 22h sécurité oblige et qu’elle devait partir. Il était plutôt mignon, jeune, grand, bronzé, grands et larges bras, larges mains. Le col de sa chemise était ouvert, lui aussi s’était laissé aller. Elle sentit ses tétons pointer et soudain se rendant compte de sa tenue eut honte de s’afficher ainsi. Il ne sembla pas faire attention et lui signifia de ranger ses affaires et lui proposa de l’accompagner au parking souterrain. Il avait une voix douce et semblait courtois. Elle obtempéra, pris ses affaires et le suivit dans l’ascenseur. La chaleur était encore plus étouffante dans cette cage. Les portes se refermèrent sur eux et l’ascenseur s’ébranla. Toujours dans son mauvais trip de claustrophobe, elle se souvint de la climatisation qui n’était pas repartie après la coupure électrique ; elle était quand même rassurée de ne pas être seule. Il se tenait derrière elle. Pendant une seconde elle imagina ses mains sur son corps que personne n’avait touché depuis trop longtemps. C’est alors que l’ascenseur s’arrêta brusquement dans sa course, la lumière s’éteignit, seule subsistait la faible lueur de l’éclairage permanent. Non ! Elle commença à avoir peur, son cœur se mit à accélérer ses jambes tremblait. Lui était resté calme. Il tenta d’appeler du secours avec son téléphone mais au comble du comble, pas de réseau ; pas de réseau non plus avec son téléphone. Elle vacilla en arrière et il retint de justesse. Elle revint à elle quelques secondes plus tard et commença à suffoquer d’angoisse. Il la mit en position pls et s’agenouilla derrière elle. Elle se sentit bête et honteuse et se releva mais sa tête était lourde ; elle resta assise, lui toujours agenouillé derrière elle. Elle respirait vite et fort. Elle sentit alors ses mains sur sa nuque faisant un doux massage pour tenter de l’apaiser. Il lui chuchota doucement dans l’oreille de respirer doucement puis il se mit à respirer doucement dans son cou. Elle commençait à se détendre, sa tête bascula sur l’épaule de son secouriste. Sa respiration se fit plus lente et un bien-être envahit son corps. Il lui parlait doucement mais elle n’entendait pas. Il était si près d’elle qu’elle pouvait sentir le bord de ses lèvres dans son cou. Elle restait inerte, les yeux mi-clos. Elle ne se rendit pas compte qu’un bouton de son chemisier s’était défait et que ses seins étaient à la vue de son sauveur. Ses mains continuaient à masser sa nuque puis sa gorge avec tendresse. Puis ses mains se glissèrent sur sa poitrine. Son corps frémit. Elle ne rêvait pas ! Il lui caressait les seins ! Elle laissa faire son effronterie, c’était si doux, si sensuel, si apaisant, qu’elle en oublia la phobie de l’ascenseur. Elle respirait un peu plus fort, de bien-être cette fois ci. Les gestes de l’homme se firent précis, il masturbait doucement ses tétons et les pinçait délicatement. Elle sentit dans le bas de son dos le sexe dur de son bienfaiteur. Il embrassa son coup, mordilla le lobe de son oreille. Elle était enjouée de cette situation, son corps se cambra légèrement. Elle plia ses genoux, sa jupe se releva comme pour une invitation. La main de son protecteur ne se fit pas attendre et glissa dans sa culotte. Quand il sentit qu’elle était déjà mouillée, il émit un petit grognement. Il constata que son entre jambe était chaud. Ses caresses sur son clitoris faisaient bouillonner son corps. Un doigt la pénétra, puis deux. Elle tourna son visage vers le sien. Leurs lèvres se rejoignirent, leur langue se mêla. Un troisième doigt s’introduit et masturba son vagin intensivement. Quelle fougue ! Elle gémissait, haletait comme pour en demander encore plus. Elle passa sa main dans son dos, ouvrit son pantalon et se mit à étreindre le sexe gros et dur de son homme. Sa main était fière de rencontrer un tel phallus. Elle allait le mettre dans sa bouche quand les lumières se rallumèrent. Non ! Pas maintenant ! Ils se relevèrent confus l’un autant que l’autre par ce qu’il venait de se passer. L’ascenseur redémarra, juste le temps de se réajuster, il atterrit au rez de chaussée. Quand les portes s’ouvrirent, un de ses collègues l’attendait lui expliquant que l’alarme avait été déclenchée et qu’il avait rétablit l’électricité. Ouf ! Son amant avait fini sa journée, son collègue était là pour la relève. Son prince du soir lui proposa de l’accompagner jusqu’à sa voiture. Leur corps étaient encore excités et émus de leur premiers ébats. Elle posa ses affaires dans sa voiture, il se tenait debout devant et la regardait avec gourmandise. Elle s’approcha de lui pour le saluer. Elle aussi avait envie de prolonger. Elle s’agenouilla, pris son sexe entre ses mains et fut surprise qu’il était encore chaud et tendu. Elle l’engouffra dans sa bouche et le suça goulument longuement. Il haletait, se laissait aller, va et venait dans sa bouche. Au fur et à mesure son sexe se gonflait. Il la dressa, la coucha sur le ventre sur le capot, releva sa jupe, enleva sa culotte, écarta ses cuisses déjà très ouvertes et entra en elle avec élan. Il allait et venait avec vigueur, énergie, d’une force incroyable. Elle criait mais aucun son ne sortait de sa bouche. Le feu était en eux. Torride, intense, ardent. Au bout d’un certain temps qui leur parurent long et trop court à la fois, l’orgasme s’empara de leur corps et ils explosèrent ensembles. Il s’écroula sur elle, émit un râle de jouissance. Ils se rhabillèrent, se dirent au revoir. Elle s’assit au volant de sa voiture, mit la tête en arrière et ferma les yeux. Son corps était encore en ébullition, heureux et détendu. Tandis qu’elle savourait ce moment de pur plaisir, elle entendit des pas. Elle releva la tête, un agent de surveillance s’avançait entre les allées du bureau. Quoi ! Il lui expliqua alors qu’elle ne pouvait pas rester après 22h sécurité oblige et qu’elle devait partir. Il était âgé, environ 50 ans, bedonnant. Elle prit ses affaires et prit l’ascenseur. Dans le miroir de l’ascenseur, elle fut surprise de voir qu’elle avait toujours son chignon et son soutien gorge. Elle fut aussi surprise de ne pas avoir peur de l’ascenseur.
Donc ce soir là était le dernier soir de travail sur son dossier et elle décida de ne pas partir tant la boucle n’était pas bouclée. Vers 19h, tout le monde était parti, elle était seule dans l’espace ouvert. C’était fin juin et l’été s’annonçait chaud. Une coupure électrique dans l’après-midi avait eu raison de la climatisation. L’atmosphère étant étouffante, elle délia ses cheveux, déboutonna son chemisier et retira son soutien gorge pour se sentir bien à l’aise. Ce léger décolleté laissait dévoiler un peu sa poitrine, mais elle s’en fichait ; allez, finissons ce dossier ! Tandis qu’elle terminait son dossier, elle entendit des pas dans le grand bureau. Elle releva la tête de son ordinateur, un agent de surveillance s’avançait entre les allées du bureau. Il lui expliqua alors qu’elle ne pouvait pas rester après 22h sécurité oblige et qu’elle devait partir. Il était plutôt mignon, jeune, grand, bronzé, grands et larges bras, larges mains. Le col de sa chemise était ouvert, lui aussi s’était laissé aller. Elle sentit ses tétons pointer et soudain se rendant compte de sa tenue eut honte de s’afficher ainsi. Il ne sembla pas faire attention et lui signifia de ranger ses affaires et lui proposa de l’accompagner au parking souterrain. Il avait une voix douce et semblait courtois. Elle obtempéra, pris ses affaires et le suivit dans l’ascenseur. La chaleur était encore plus étouffante dans cette cage. Les portes se refermèrent sur eux et l’ascenseur s’ébranla. Toujours dans son mauvais trip de claustrophobe, elle se souvint de la climatisation qui n’était pas repartie après la coupure électrique ; elle était quand même rassurée de ne pas être seule. Il se tenait derrière elle. Pendant une seconde elle imagina ses mains sur son corps que personne n’avait touché depuis trop longtemps. C’est alors que l’ascenseur s’arrêta brusquement dans sa course, la lumière s’éteignit, seule subsistait la faible lueur de l’éclairage permanent. Non ! Elle commença à avoir peur, son cœur se mit à accélérer ses jambes tremblait. Lui était resté calme. Il tenta d’appeler du secours avec son téléphone mais au comble du comble, pas de réseau ; pas de réseau non plus avec son téléphone. Elle vacilla en arrière et il retint de justesse. Elle revint à elle quelques secondes plus tard et commença à suffoquer d’angoisse. Il la mit en position pls et s’agenouilla derrière elle. Elle se sentit bête et honteuse et se releva mais sa tête était lourde ; elle resta assise, lui toujours agenouillé derrière elle. Elle respirait vite et fort. Elle sentit alors ses mains sur sa nuque faisant un doux massage pour tenter de l’apaiser. Il lui chuchota doucement dans l’oreille de respirer doucement puis il se mit à respirer doucement dans son cou. Elle commençait à se détendre, sa tête bascula sur l’épaule de son secouriste. Sa respiration se fit plus lente et un bien-être envahit son corps. Il lui parlait doucement mais elle n’entendait pas. Il était si près d’elle qu’elle pouvait sentir le bord de ses lèvres dans son cou. Elle restait inerte, les yeux mi-clos. Elle ne se rendit pas compte qu’un bouton de son chemisier s’était défait et que ses seins étaient à la vue de son sauveur. Ses mains continuaient à masser sa nuque puis sa gorge avec tendresse. Puis ses mains se glissèrent sur sa poitrine. Son corps frémit. Elle ne rêvait pas ! Il lui caressait les seins ! Elle laissa faire son effronterie, c’était si doux, si sensuel, si apaisant, qu’elle en oublia la phobie de l’ascenseur. Elle respirait un peu plus fort, de bien-être cette fois ci. Les gestes de l’homme se firent précis, il masturbait doucement ses tétons et les pinçait délicatement. Elle sentit dans le bas de son dos le sexe dur de son bienfaiteur. Il embrassa son coup, mordilla le lobe de son oreille. Elle était enjouée de cette situation, son corps se cambra légèrement. Elle plia ses genoux, sa jupe se releva comme pour une invitation. La main de son protecteur ne se fit pas attendre et glissa dans sa culotte. Quand il sentit qu’elle était déjà mouillée, il émit un petit grognement. Il constata que son entre jambe était chaud. Ses caresses sur son clitoris faisaient bouillonner son corps. Un doigt la pénétra, puis deux. Elle tourna son visage vers le sien. Leurs lèvres se rejoignirent, leur langue se mêla. Un troisième doigt s’introduit et masturba son vagin intensivement. Quelle fougue ! Elle gémissait, haletait comme pour en demander encore plus. Elle passa sa main dans son dos, ouvrit son pantalon et se mit à étreindre le sexe gros et dur de son homme. Sa main était fière de rencontrer un tel phallus. Elle allait le mettre dans sa bouche quand les lumières se rallumèrent. Non ! Pas maintenant ! Ils se relevèrent confus l’un autant que l’autre par ce qu’il venait de se passer. L’ascenseur redémarra, juste le temps de se réajuster, il atterrit au rez de chaussée. Quand les portes s’ouvrirent, un de ses collègues l’attendait lui expliquant que l’alarme avait été déclenchée et qu’il avait rétablit l’électricité. Ouf ! Son amant avait fini sa journée, son collègue était là pour la relève. Son prince du soir lui proposa de l’accompagner jusqu’à sa voiture. Leur corps étaient encore excités et émus de leur premiers ébats. Elle posa ses affaires dans sa voiture, il se tenait debout devant et la regardait avec gourmandise. Elle s’approcha de lui pour le saluer. Elle aussi avait envie de prolonger. Elle s’agenouilla, pris son sexe entre ses mains et fut surprise qu’il était encore chaud et tendu. Elle l’engouffra dans sa bouche et le suça goulument longuement. Il haletait, se laissait aller, va et venait dans sa bouche. Au fur et à mesure son sexe se gonflait. Il la dressa, la coucha sur le ventre sur le capot, releva sa jupe, enleva sa culotte, écarta ses cuisses déjà très ouvertes et entra en elle avec élan. Il allait et venait avec vigueur, énergie, d’une force incroyable. Elle criait mais aucun son ne sortait de sa bouche. Le feu était en eux. Torride, intense, ardent. Au bout d’un certain temps qui leur parurent long et trop court à la fois, l’orgasme s’empara de leur corps et ils explosèrent ensembles. Il s’écroula sur elle, émit un râle de jouissance. Ils se rhabillèrent, se dirent au revoir. Elle s’assit au volant de sa voiture, mit la tête en arrière et ferma les yeux. Son corps était encore en ébullition, heureux et détendu. Tandis qu’elle savourait ce moment de pur plaisir, elle entendit des pas. Elle releva la tête, un agent de surveillance s’avançait entre les allées du bureau. Quoi ! Il lui expliqua alors qu’elle ne pouvait pas rester après 22h sécurité oblige et qu’elle devait partir. Il était âgé, environ 50 ans, bedonnant. Elle prit ses affaires et prit l’ascenseur. Dans le miroir de l’ascenseur, elle fut surprise de voir qu’elle avait toujours son chignon et son soutien gorge. Elle fut aussi surprise de ne pas avoir peur de l’ascenseur.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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Merci "Lecteur" ! Souhaitez-vous en discuter en message privé?
Ce qui est peu commun dans vos écrits, au milieu d'autres choses plus croustillantes, bien évidemment, c'est la mise en avant des sentiments, impressions, de la psychologie de vos personnages féminins. Détail(s) qui, pour moi revêtent une place importante et présentent un intérêt particulier pour des raisons que je n'exposerai pas ici.