L'autre visage de Florence – Chapitre 1 : La découverte

- Par l'auteur HDS lekostag -
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Récit libertin : L'autre visage de Florence – Chapitre 1 : La découverte Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'autre visage de Florence – Chapitre 1 : La découverte
Pour cet été, les parents de Chloé les avaient invités, elle et son fiancé Alexandre, à passer une semaine dans leur petite villa sur la côte d’Azur. Âgés de vingt-sept ans, les deux jeunes gens formaient un couple solide depuis plus de quatre ans et projetaient de se marier l’année suivante. Alexandre s'entendait bien avec ses beaux-parents ; sa bienveillance naturelle, sa courtoisie et l’amour sincère qu’il vouait à Chloé avaient fait de lui le gendre idéal.

Mais derrière cette façade irréprochable, Alexandre dissimulait un désir inavouable. Il avait beau aimer profondément Chloé, il ne pouvait s’empêcher de fantasmer sur sa belle-mère Florence. Depuis leur première rencontre, une image s’était imprimée dans son esprit : celle d’une femme mature, rayonnante, au charme déroutant.

Florence venait de fêter ses cinquante-cinq ans. D’origine espagnole, elle arborait un teint doré et une chaleur naturelle qui semblait émaner de sa peau. Sa silhouette généreuse affichait des courbes pleines, assumées : une poitrine opulente, un ventre souple, des hanches amples, et un fessier plantureux, presque excessif… mais terriblement fascinant. Ses longs cheveux noirs bouclés, souvent remontés en chignon négligé, encadraient un regard vert, doux et complice. Une version plus mûre de sa fille, mais dotée d’une assurance affirmée, d’un corps habité.

Et c’est peut-être cette expérience, cette sensualité vécue, qui excitait autant qu’elle troublait Alexandre.

Il croyait parfois percevoir une lueur équivoque chez Florence, une tension muette, un éclat dans ses yeux. Mais rien n’avait jamais été explicite. Il se persuadait que c’était mieux ainsi, qu’il ne compromettrait jamais son avenir avec Chloé pour une pulsion irréalisable. Il tentait de refréner ses pensées, d’éteindre ses pulsions.
Mais cette fois-ci, il échoua.

C’était le lendemain de leur arrivée. Florence était partie tôt au marché, vers dix heures. Une demi-heure plus tard, Christian et Chloé avaient quitté la maison pour une promenade le long de la côte. Alexandre, de son côté, n’avait pas bougé : une migraine persistante l’avait retenu au lit.

Lorsqu’il entendit une voix lointaine en bas, il entrouvrit les yeux.

— Coucou, vous êtes là ? lança Florence, d’un ton léger.

Alexandre consulta sa montre. Il était presque onze heures. La douleur s’était dissipée. Il se redressa, enfila un short, mais fut interrompu par une voix masculine. Grave, légèrement hésitante. Inconnue.

Intrigué, il s’approcha de la porte de la chambre restée entrebâillée.

— Allez-y, entrez, je vous en prie !
— Vous êtes sûre ? Je ne voudrais pas m’imposer…
— Pas du tout, voyons. Avec la chaleur et les sacs que vous m’avez aidée à porter, je vous dois bien un petit rafraîchissement.
— C’est très gentil à vous, Madame…
— Allons, appelez-moi Florence, à force de se croiser…
Le ton était détendu, complice. Alexandre comprit vite de qui il s’agissait : Hugo, le jardinier. Un trentenaire athlétique et hâlé, qui venait chaque été entretenir le jardin. Alexandre ne lui avait jamais parlé, mais il l’avait déjà remarqué : une allure virile, directe.
— Cela fait sept ans que vous venez ici, non ? demanda-t-elle.
— Oui, vous avez bonne mémoire… Votre mari est toujours très agréable. Et ce jardin, j’y tiens beaucoup.
— Tenez, goûtez cette limonade maison, vous m’en direz des nouvelles.

La conversation continua sur un ton anodin. Rassuré, Alexandre se dirigea vers la douche, au bout du couloir. Mais à son retour, il perçut un bruit étrange. Un râle. Feutré. Presque animal. Puis un long soupir, traînant.

Il s’immobilisa.

Un autre gémissement. Plus profond. Féminin.

Il ouvrit prudemment la porte, et glissa jusqu’à la mezzanine qui dominait le salon.

Et là, il la vit.

Sa belle-mère. À quatre pattes sur le canapé, robe relevée jusqu’aux reins, culotte en bas des jambes. Son large postérieur nu offert, bien en vue depuis l’étage. Hugo, assis à côté d’elle, caressait ses cheveux tout en explorant avidement son anus de ses doigts. Florence gémissait, docile, concentrée sur sa tâche avec une gourmandise désarmante.
Alexandre resta figé.

Son sexe durcit immédiatement. Voir ainsi sa belle-mère — celle qui préparait la salade le midi, qui lui recommandait de mettre de la crème solaire — à genoux, offerte, obscène… c’était surréaliste. Et pourtant bien réel.
Sous la courbe de ses reins, il aperçut la plante de ses pieds nus posée à plat sur le sofa, ses orteils crispés de plaisir. Combien de fois avait-il fantasmé sur ce genre de détail ?

— Putain, tu suces trop bien… gémit Hugo.
Florence releva brièvement la tête, un sourire brillant aux lèvres.
— Tu peux m’appeler Florence, à ce stade, murmura-t-elle avant de l’embrasser à pleine bouche, puis de replonger entre ses jambes.
— Alors lèche-moi les couilles, Florence…

Et elle obéit, la langue experte, affamée de gober ses attributs masculins. Alexandre sentit monter une chaleur brûlante, entre honte et excitation. Il détailla le sexe de l’homme, massif, veiné, presque bestial. Comment faisait-elle pour l’engloutir avec autant d’aisance ? Elle y mettait toute sa bouche, toute son âme.

— Il a de la chance, ton mari…
— Il ne sait pas ce qu’il a… Il me trouve trop grosse…
— T’inquiète, ton cul, je vais m’en occuper, ricana-t-il en lui claquant une fessée qui fit tressauter le galbe généreux de son postérieur. La peau frémissait, la chair, moelleuse, palpitait à chaque impact, comme vivante sous ses doigts.

— Mais d’abord, tu vas t’occuper du mien.
Hugo retira son short et se plaça à quatre pattes sur le canapé, exposant son intimité sans la moindre pudeur.
— Bouffe-moi le cul !

Un silence. Puis Florence écarta les fesses viriles de son partenaire, cracha, et enfouit son visage. Alexandre crut éjaculer sur le champ : elle faisait ce geste avec une aisance naturelle, comme une pute d'autoroute rompue à l’exercice.
— Oui, comme ça… continue salope…

Florence gémit à son tour, ses hanches ondulant avec sa langue. Puis elle se redressa, lécha son index, et l’introduisit lentement dans l’anus de son amant.
— C’est ça que ton mari aime ?
— Non, lui, il est coincé… Mais toi, t’es chaud comme la braise, gloussa-t-elle en branlant son sexe de l’autre main.
— J’adore… Ne t’arrête pas !

Alexandre n’en revenait pas. Sa belle-mère était là, en train de doigter sans vergogne le jardinier. Elle ajouta un second doigt, puis un troisième, ses mouvements devenant plus vifs, plus profonds.
— Oh oui, c’est trop bon…

Redescendu de son choc, Alexandre retourna dans la chambre chercher son portable afin de filmer la scène. Lorsqu’il revint pour filmer, ils avaient changé de position.

Hugo, désormais allongé sur le dos, exhibait son sexe tendu. Il déclara, fier :
— Viens me chevaucher, je vais te montrer ce que c’est qu’un vrai homme.
Florence se redressa. D’un geste souple, elle laissa glisser sa robe, dévoilant une poitrine lourde, libre. Alexandre retint son souffle : elle ne portait même pas de soutien-gorge.

Elle grimpa à califourchon sur Hugo, planta ses genoux de chaque côté de son bassin, et guida sa verge en elle. D’un seul mouvement, elle s’empala lentement. Et, comme une prêtresse, elle se mit à onduler avec une grâce souveraine.

Alexandre, figé à l’étage, observait, fasciné. Elle montait, descendait, le dominant de tout son être. Le jardinier, lui, répondait avec force, agrippant ses fesses charnues, les écartant à pleine main, offrant au voyeur une vue béante sur l’intimité de Florence.
De là-haut, Alexandre entendait les couilles d’Hugo heurter le cul de sa belle-mère avec une régularité bestiale. Ce fantasme devenu réel le submergea. Il commença à se masturber, dans une frénésie honteuse. Et s’ils le voyaient ? Peut-être l’inviteraient-ils à les rejoindre…

Puis Hugo glissa un doigt dans l’anus de Florence. Celle-ci ralentit son mouvement, se pencha sur son torse.

— Tu veux me la mettre dans le cul ? Jouir dedans ? murmura-t-elle d’une voix rauque.
Un murmure de confirmation. Elle se redressa, saisit son sexe, et l’amena doucement à l’entrée de son œillet détendu. Lentement, elle l’engloutit.

Alexandre n’en croyait pas ses yeux. Il avait déjà joui dans son caleçon, mais continuait à se branler, hébété.

— Putain, ton anus est vachement souple ! souffla Hugo, médusé.
— Et alors ? Tu crois que t’es le premier à y entrer ? répondit-elle fièrement en attachant ses cheveux.
— Quelle salope… rit-il, admiratif.

Épuisée par l’ébat, Florence se recoucha sur lui, lui glissa quelques mots à l’oreille. Alexandre n’en entendit pas le contenu, mais à la violence avec laquelle Hugo la pilonna ensuite, il en devina le sens.

Il la ceintura de ses bras puissants, et l’encula sans retenue. Elle criait, il grognait, mais ils ne s’arrêtaient pas. Corps contre corps, sexe contre sexe, unis dans une transe animale.

Tout vacilla pour Alexandre. Sa belle-mère. Sa fiancée. Son futur mariage. Tout s’effaçait dans le feu brut de cette scène inouïe.

Et c’était délicieux.

Enfin, dans un ultime coup de reins, Hugo s’enfonça jusqu’à la garde. Florence hurla. Il jouit, longuement.

Ils restèrent allongés un instant. Puis Florence se rhabilla en hâte, le pressant de partir avant le retour de Christian.

Alexandre eut un sursaut : au moment où elle remettait sa robe, il crut qu’elle le regardait. Il fila en courant dans sa chambre, se déshabilla, se glissa sous les draps, feignant de dormir.

Il entendit des mots échangés, un baiser peut-être. La porte d’entrée s’ouvrit, se referma. Puis le silence.

Des pas au bas des escaliers.

L’avait-elle remarqué à l’étage ?

Allait-elle monter ?

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Comme j'aimerais être à la place d'Alexandre...

Cyrille



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