L'avocate
Récit érotique écrit par Diluc [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'avocate
C’était à une soirée assez huppée. J’y étais par obligation pour mon boulot et je m’emmerdais vraiment.
Soudain je vis mon patron se pointer avec une magnifique jeune femme brune à son bras. Lorsqu’il me vit, il se détacha vite de la jeune fille qui l’accompagnait et me rejoignit.
-Et bien Jacques, que faites vous là?
Je me mis en devoir de lui rappeler qu’il m’avait demandé de venir à cette soirée il y avait déjà trois mois pour représenter la boîte. Il avait fortement pâli...
Forcément, je connaissais sa femme et définitivement, elle ne ressemblait pas à cette jeunette...
C’était une brune superbe aux cheveux longs: ses traits fins respiraient la joie de vivre tandis que sa poitrine généreuse était un appel au viol. Elle portait une petite robe bleue, vaporeuse qui laissait facilement voir ses courbes avantageuses. Tous les mecs de la soirée se retournaient sur elle au grand dam des autres femmes, totalement éclipsées. Elle s’approche, me sourit et se présente.
-je suis Oriane de Laumes, la nièce de Mr G...
Je faillis éclater de rire mais me retins avec difficultés.
-Bonsoir. Mademoiselle. Et donc la famille De Guermantes va bien?
Je vis ses yeux verts s’illuminer tandis que mon patron prenait un air consterné.
La demoiselle me répondit en souriant de plus belle.
-oui, notre famille dont l’aïeul s’appelait Marcel...
Plus ça allait, plus je voyais que le patron n’y comprenait goutte...
Nous continuâmes ainsi, installant entre nous deux une véritable complicité intellectuelle. Elle se révéla une fille vraiment très intelligente et j’appris au fil de la soirée qu’elle était en train de faire ses études d’avocate, en quatrième année. Discrètement nous nous quittâmes après avoir échangés nos numéros.
Le lendemain, au boulot, je fus appelé chez mon patron qui me fit lui promettre le silence sur ce qui s’était passé la veille: en échange j’obtins une promotion que je n’avais pas demandé. Tant mieux...
Trois jours plus tard, j’eu un appel d’Oriane: elle me donnait rendez-vous dans un café de Boulogne Billancourt pour le soir même. Évidemment je m’y rendais.
Nous nous sommes installés à une table isolée et nous avons continué notre conversation. Cette fille était vraiment très intelligente mais je notais une fêlure dans son comportement.
Nous sommes allés nous promener dans un parc alors que la nuit tombait et là elle me fit ses révélations, auxquelles je m’attendais en fait.
Elle était la maîtresse de mon patron depuis six mois en échange du montant de son loyer et d’une rente confortable pour vivre. Elle acceptait ainsi toutes les déviances de Paul G sans pour autant les apprécier, me dit-elle.
Nous étions assis sur un banc, j’avais un bras autour de son cou que je caressais doucement.
-Et ces déviations, c’est quoi?
Elle hésita avant de répondre. Je compris que j’allai apprendre des choses croustillantes.
-Ton patron est un mec dégueulasse: il aime me pénétrer pendant mes régles, il veut que j’avale son urine et surtout il me fouette.
Je sursautais.
-Putain mais dis donc, quel crado!
-Il adore me faire mal. Il m’attache et me viole avec des gros godes: des fois je ne peux plus m’asseoir pendant trois jours tellement j’ai mal. En plus, il lui arrive de m’obliger à faire la pute devant lui.
-Hein?
-Oui, il m’amène jusqu’au bois de Boulogne et il m’offre au premier mec qui veut: il nous regarde baiser en se branlant et se finis dans ma bouche.
Je sentais mon sexe grossir dans mon caleçon. Elle remarqua la bosse et mis la main dessus. Elle me sourit.
-Ça te fait bander? Elle entre sa petite main dans mon pantalon et commence à me caresser.
-Une fois, l’un des clients qu’il avait choisi, il en avait une tellement grosse que ma chatte n’était même pas assez large: du coup MR G m’a obligée à me retourner et le mec m’a mis sa queue dans le cul en forçant comme un taré. J’ai crié comme une dingue et j’ai saigné pendant une semaine. Après il m’a fouetté pour bien me finir.
Elle me branle de plus en plus vite.
Des gens passent mais ils ne voient rien car tout cela se passe sous le journal posé sur moi. Nous semblons être un couple en pleine discussion.
-Tu aimes ça hein mon chéri?
-Putain oui, je lui réponds. Elle continue et m’embrasse en même temps: au moment où nos langues se mêlent je jouis dans sa main.
Nous nous reposons tous les deux un moment sur le banc.
-Bon maintenant mon chou, on va chez moi, d’accord?
Évidemment que j’acquiesce...
Une fois chez elle, je découvre qu’elle a tout l’équipement de la parfaite soumise: je l’attache aux Anneaux du plafond de sa chambre de torture et je commence à la fouetter violemment.
Elle gémit de plaisir alors que je ne lui ai même pas retiré ses vêtements.
Je lui met ses vêtements en lambeaux puis je récupère un gode de bonne dimensions que je lui fais sucer avant de le lui mette dans le cul. Malgré le diamètre de l’engin, celui-ci rentre sans aucun problème...
Une fois le gode bien en place, je sors ma queue et attachée au plafond comme elle est, elle me suce en direct. Je pensai déjà qu’elle était la reine de la branlette mais c’est aussi une championne de la pipe!
Une fois que j’ai jouis dans sa bouche, je desserre ses liens, la fais redescendre et la force à s’allonger au sol et ramper à mes pieds.
-Tu n’est en fait qu’une grosse pute cochonne ma chère Oriane: tu vas avoir ce que tu mérite, je te le garanti...
Elle gémit tandis que je l’insulte de tous les noms: le gode est toujours serré dans son cul et je voit qu’elle adore cela.
Je la retourne et lui pisse dans la bouche: elle avale mon urine à grande goulée et semble même en vouloir plus.
Une fois que j’ai pissé, j’attrape deux pinces et lui torture les seins jusqu’à ce qu’elle en pleure: j’accroche alors les pinces aux anneaux du plafond et tire sur les câbles pour que le corps d’Oriane se soulève. Elle pleure à présent à grosses larmes.
En même temps je vois sa jouissance sortir de son vagin...
Je la force à me sucer de nouveaux et je sens ses larmes se méler à sa salive autour de ma queue.
Je finis enfin par la pénétrer dans son vagin gonflé de désir et je jouis encore...
Elle aussi...
A présent je suis devenu l’adjoint de ma boîte. Nous nous partageons Oriane régulièrement mais MR G n’est pas au courant... il croit qu’elle n’est qu’à lui...
Oriane passera son barreau cette année...
Ça tombe bien, nous avons besoin d’une avocate à la boîte...
Elle sera sur place, ça sera... pratique!!!
Soudain je vis mon patron se pointer avec une magnifique jeune femme brune à son bras. Lorsqu’il me vit, il se détacha vite de la jeune fille qui l’accompagnait et me rejoignit.
-Et bien Jacques, que faites vous là?
Je me mis en devoir de lui rappeler qu’il m’avait demandé de venir à cette soirée il y avait déjà trois mois pour représenter la boîte. Il avait fortement pâli...
Forcément, je connaissais sa femme et définitivement, elle ne ressemblait pas à cette jeunette...
C’était une brune superbe aux cheveux longs: ses traits fins respiraient la joie de vivre tandis que sa poitrine généreuse était un appel au viol. Elle portait une petite robe bleue, vaporeuse qui laissait facilement voir ses courbes avantageuses. Tous les mecs de la soirée se retournaient sur elle au grand dam des autres femmes, totalement éclipsées. Elle s’approche, me sourit et se présente.
-je suis Oriane de Laumes, la nièce de Mr G...
Je faillis éclater de rire mais me retins avec difficultés.
-Bonsoir. Mademoiselle. Et donc la famille De Guermantes va bien?
Je vis ses yeux verts s’illuminer tandis que mon patron prenait un air consterné.
La demoiselle me répondit en souriant de plus belle.
-oui, notre famille dont l’aïeul s’appelait Marcel...
Plus ça allait, plus je voyais que le patron n’y comprenait goutte...
Nous continuâmes ainsi, installant entre nous deux une véritable complicité intellectuelle. Elle se révéla une fille vraiment très intelligente et j’appris au fil de la soirée qu’elle était en train de faire ses études d’avocate, en quatrième année. Discrètement nous nous quittâmes après avoir échangés nos numéros.
Le lendemain, au boulot, je fus appelé chez mon patron qui me fit lui promettre le silence sur ce qui s’était passé la veille: en échange j’obtins une promotion que je n’avais pas demandé. Tant mieux...
Trois jours plus tard, j’eu un appel d’Oriane: elle me donnait rendez-vous dans un café de Boulogne Billancourt pour le soir même. Évidemment je m’y rendais.
Nous nous sommes installés à une table isolée et nous avons continué notre conversation. Cette fille était vraiment très intelligente mais je notais une fêlure dans son comportement.
Nous sommes allés nous promener dans un parc alors que la nuit tombait et là elle me fit ses révélations, auxquelles je m’attendais en fait.
Elle était la maîtresse de mon patron depuis six mois en échange du montant de son loyer et d’une rente confortable pour vivre. Elle acceptait ainsi toutes les déviances de Paul G sans pour autant les apprécier, me dit-elle.
Nous étions assis sur un banc, j’avais un bras autour de son cou que je caressais doucement.
-Et ces déviations, c’est quoi?
Elle hésita avant de répondre. Je compris que j’allai apprendre des choses croustillantes.
-Ton patron est un mec dégueulasse: il aime me pénétrer pendant mes régles, il veut que j’avale son urine et surtout il me fouette.
Je sursautais.
-Putain mais dis donc, quel crado!
-Il adore me faire mal. Il m’attache et me viole avec des gros godes: des fois je ne peux plus m’asseoir pendant trois jours tellement j’ai mal. En plus, il lui arrive de m’obliger à faire la pute devant lui.
-Hein?
-Oui, il m’amène jusqu’au bois de Boulogne et il m’offre au premier mec qui veut: il nous regarde baiser en se branlant et se finis dans ma bouche.
Je sentais mon sexe grossir dans mon caleçon. Elle remarqua la bosse et mis la main dessus. Elle me sourit.
-Ça te fait bander? Elle entre sa petite main dans mon pantalon et commence à me caresser.
-Une fois, l’un des clients qu’il avait choisi, il en avait une tellement grosse que ma chatte n’était même pas assez large: du coup MR G m’a obligée à me retourner et le mec m’a mis sa queue dans le cul en forçant comme un taré. J’ai crié comme une dingue et j’ai saigné pendant une semaine. Après il m’a fouetté pour bien me finir.
Elle me branle de plus en plus vite.
Des gens passent mais ils ne voient rien car tout cela se passe sous le journal posé sur moi. Nous semblons être un couple en pleine discussion.
-Tu aimes ça hein mon chéri?
-Putain oui, je lui réponds. Elle continue et m’embrasse en même temps: au moment où nos langues se mêlent je jouis dans sa main.
Nous nous reposons tous les deux un moment sur le banc.
-Bon maintenant mon chou, on va chez moi, d’accord?
Évidemment que j’acquiesce...
Une fois chez elle, je découvre qu’elle a tout l’équipement de la parfaite soumise: je l’attache aux Anneaux du plafond de sa chambre de torture et je commence à la fouetter violemment.
Elle gémit de plaisir alors que je ne lui ai même pas retiré ses vêtements.
Je lui met ses vêtements en lambeaux puis je récupère un gode de bonne dimensions que je lui fais sucer avant de le lui mette dans le cul. Malgré le diamètre de l’engin, celui-ci rentre sans aucun problème...
Une fois le gode bien en place, je sors ma queue et attachée au plafond comme elle est, elle me suce en direct. Je pensai déjà qu’elle était la reine de la branlette mais c’est aussi une championne de la pipe!
Une fois que j’ai jouis dans sa bouche, je desserre ses liens, la fais redescendre et la force à s’allonger au sol et ramper à mes pieds.
-Tu n’est en fait qu’une grosse pute cochonne ma chère Oriane: tu vas avoir ce que tu mérite, je te le garanti...
Elle gémit tandis que je l’insulte de tous les noms: le gode est toujours serré dans son cul et je voit qu’elle adore cela.
Je la retourne et lui pisse dans la bouche: elle avale mon urine à grande goulée et semble même en vouloir plus.
Une fois que j’ai pissé, j’attrape deux pinces et lui torture les seins jusqu’à ce qu’elle en pleure: j’accroche alors les pinces aux anneaux du plafond et tire sur les câbles pour que le corps d’Oriane se soulève. Elle pleure à présent à grosses larmes.
En même temps je vois sa jouissance sortir de son vagin...
Je la force à me sucer de nouveaux et je sens ses larmes se méler à sa salive autour de ma queue.
Je finis enfin par la pénétrer dans son vagin gonflé de désir et je jouis encore...
Elle aussi...
A présent je suis devenu l’adjoint de ma boîte. Nous nous partageons Oriane régulièrement mais MR G n’est pas au courant... il croit qu’elle n’est qu’à lui...
Oriane passera son barreau cette année...
Ça tombe bien, nous avons besoin d’une avocate à la boîte...
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