Les caresses d'Annabelle 3... Tokyo
Récit érotique écrit par Diluc [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les caresses d'Annabelle 3... Tokyo
Ma secrétaire nous avais réservé deux chambres contiguë à l’Ascott Marunouchi de Tokyo et, épuisés nous nous sommes installés, Annabelle et moi dans nos chambres respectives.
Alors que je prenais ma douche, je sentis un souffle d’air dans la salle de bains. Annabelle venait d’ouvrir la porte: elle était nue et vint me rejoindre et se blottir contre moi. Elle avait relevé ses cheveux en un joli chignon et commença à me caresser de ses longs doigts fuselés.
J’étais nase mais mon engin se leva tout seul et elle se mit à me nettoyer avec douceur. Je lui rendis la pareille dans ce moment totalement sensuel .
Nous ne fîmes pas l’amour, ce fut seulement un moment de connivence extrême entre nous. On s’essuya mutuellement puis nous allâmes nous allonger dans le grand lit. La porte de communication entre nos chambres était grande ouverte... ma dernière pensée, Annabelle serrée contre moi, fut pour remercier ma secrétaire: elle avait sacrément bien organisé cette affaire!
Le lendemain matin, Annabelle à deux pas derrière moi comme le veux l’étiquette japonaise, nous sommes montés dans la limousine mise à notre disposition par la très grande société que je devais aller visiter. Annabelle ne pouvait quitter des yeux les rues embouteillées de Tokyo, les gens qui marchaient dans tous les sens sans jamais se percuter. Je sentais sa main dans la mienne et elle ne cessait de babiller sur ce qu’elle voyait, ce qu’elle découvrait tandis que j’étudiais sa tenue.
Elle portait une petite robe noire qui lui arrivait à mi cuisses, ses jambes recouvertes de soie noire, et une petite veste très étudiée donnant une impression professionnelle bien venue. Négligemment, je mis une main entre ses cuisses et découvris qu’elle ne portait pas de dessous... j’en profitais immédiatement pour la branler doucement et je sentis sa mouille se déclencher tandis qu’elle se rapprochait de moi. Elle m’embrassa longuement tandis que mes doigts entraient au fond d’elle. Excitée comme elle l’était, elle jouit très vite sur mes doigts...
Fort heureusement, ces limousines sont complètements équipées, y compris en kleenex...
Un quart d’heure plus tard, nous arrivions au siège de cette société.
Je sortis en premier de la limousine et j’aidai mon amie à en descendre. L’aréopage de nippons qui m’attendaient, 5 types et deux femmes, nous salua.
Ici le nombre d’accueillants est important: qu’ils soient 7 veut dire que je compte pour eux mais quand même pas tant que cela: autrement le grand patron serait là et ils seraient une vingtaine à attendre au total!
Donc nous sommes accueillis très gentiment et nous commençons la visite à laquelle j’ai le droit à chaque fois, deux heures dans divers ateliers et bureaux avec les deux jeunes femmes qui sont des traductrices. Annabelle fait mine d’être intéressée mais je vois à sa tête qu’elle en a un peu marre...
Je vois également et surtout le regard concupiscent des commerciaux qui nous accompagnent et qui passent leur temps, sans vergogne, à détailler les appas de ma compagne, officiellement ma secrétaire. Comme je comprend quelques mots de japonais, je sais qu’ils sont obnubilés par ses cheveux blonds et ses yeux verts. Ses seins me paraissent aussi être fort appréciés alors que justement ils ne sont pas bien gros...
Nous arrivons enfin à la partie restauration et avec Annabelle, nous faisons bombance de ces excellents mets. Je lui explique discrètement que les nippons sont en admiration devant elle et du coup, elle en fait des tonnes, leur montrant son décolleté à tout bout de champs, souriante à,tout ce qu’ils racontent... les traductrices ont fort à faire...
Enfin, après ce bon repas, nous parlons tout de même affaire et nous bouclons ce fameux traité commercial à l’avantage de ma boîte, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire! Je gage que la présence de ma jeune coquine a fort aidé à cette conclusion!
Avant de rentrer à l’hôtel, le chauffeur de la limousine nous propose de faire le grand tour de Tokyo. J’accepte volontiers: je sais qu’il y en a pour au bas mot deux à trois heures... une des traductrices monte à ses côtés et, avec Annabelle, nous nous retrouvons à l’arrière du véhicule.
Je remonte la vitre de séparation et commence à entreprendre ma jolie copine tandis que la voix sucrée de la japonaise nous spécifie l’itinéraire que nous allons suivre. Très vite je ne l’écoute plus et j’embrasse Annabelle qui, chaude comme la braise, défait mon pantalon. Elle sort ma queue et se met à me sucer, entourant mon gland de sa jolie langue rose et m’excitant comme elle sait si bien le faire.
Pendant ce temps, je lui retire sa veste et sa robe et caresse ses seins qui pointent, les tétons bien durs. Je mouille mes doigts en les mettant dans son vagin et glisse mon pouce dans son petit trou du cul qui ne demande que cela.
La japonaise commente le torrent de gens qui traversent le célèbre carrefour de Shibuya au moment même où enfin ma queue pénètre le vagin d’Annabelle qui ne peut retenir un cri de joie: elle est assise sur moi et se ramone seule sur mon chibre qui entre en elle jusqu’à la garde...
Je vois alors la vitre de séparation commencer à s’abaisser: c’est la traductrice qui, alertée par le petit cri de bonheur d’Annabelle veut voir ce qu’il se passe.
Elle a à peine vu ce que nous faisions qu’elle a remonté la vitre sans doute rougissante. Je ne dit rien à ma copine qui ne s’est rendue compte de rien et continue à prendre son pied.
Je la retire de moi et l’oblige à s’agenouiller sur la banquette face à moi, me présentant son cul pointu. J’entre alors dans son anus d’abord avec ma langue pour bien mouiller le terrain, puis j’y met ma queue, doucement entrant à fond en elle tandis qu’elle gémit de plaisir.
Lorsqu’enfin je suis prés de jouir, je me retire de son cul et entre dans son vagin où je me vide à son grand plaisir: nous jouissons ensembles...
Peu après nous nous rajustons et, satisfaits, nous continuons à profiter de la visite, dont nous n’avons pas vu grand chose en fait!
J’ouvre la vitre de séparation et la jeune japonaise, rouge de confusion, me salue de la tête en nous décrivant les abords du palais de l’empereur, insistant sur ce petit pont qu’Hiro Hito a franchi sur son cheval blanc à chacune des grandes occasions de son règne ...
Enfin, une demie heure plus tard, nous arrivons à notre hôtel. Annabelle discute à bâtons rompus avec la traductrice dont elle semble s’être fait une amie.
Celle-ci nous confirme qu’elle nous accompagnera pendant les cinq jours qu’il nous reste à faire ici...
Elle est bien mignonne cette petite japonaise, et je vois dans les yeux d’Annabelle qu’elle a la même idée que moi...
Mmmhhh, cinq jours...
Alors que je prenais ma douche, je sentis un souffle d’air dans la salle de bains. Annabelle venait d’ouvrir la porte: elle était nue et vint me rejoindre et se blottir contre moi. Elle avait relevé ses cheveux en un joli chignon et commença à me caresser de ses longs doigts fuselés.
J’étais nase mais mon engin se leva tout seul et elle se mit à me nettoyer avec douceur. Je lui rendis la pareille dans ce moment totalement sensuel .
Nous ne fîmes pas l’amour, ce fut seulement un moment de connivence extrême entre nous. On s’essuya mutuellement puis nous allâmes nous allonger dans le grand lit. La porte de communication entre nos chambres était grande ouverte... ma dernière pensée, Annabelle serrée contre moi, fut pour remercier ma secrétaire: elle avait sacrément bien organisé cette affaire!
Le lendemain matin, Annabelle à deux pas derrière moi comme le veux l’étiquette japonaise, nous sommes montés dans la limousine mise à notre disposition par la très grande société que je devais aller visiter. Annabelle ne pouvait quitter des yeux les rues embouteillées de Tokyo, les gens qui marchaient dans tous les sens sans jamais se percuter. Je sentais sa main dans la mienne et elle ne cessait de babiller sur ce qu’elle voyait, ce qu’elle découvrait tandis que j’étudiais sa tenue.
Elle portait une petite robe noire qui lui arrivait à mi cuisses, ses jambes recouvertes de soie noire, et une petite veste très étudiée donnant une impression professionnelle bien venue. Négligemment, je mis une main entre ses cuisses et découvris qu’elle ne portait pas de dessous... j’en profitais immédiatement pour la branler doucement et je sentis sa mouille se déclencher tandis qu’elle se rapprochait de moi. Elle m’embrassa longuement tandis que mes doigts entraient au fond d’elle. Excitée comme elle l’était, elle jouit très vite sur mes doigts...
Fort heureusement, ces limousines sont complètements équipées, y compris en kleenex...
Un quart d’heure plus tard, nous arrivions au siège de cette société.
Je sortis en premier de la limousine et j’aidai mon amie à en descendre. L’aréopage de nippons qui m’attendaient, 5 types et deux femmes, nous salua.
Ici le nombre d’accueillants est important: qu’ils soient 7 veut dire que je compte pour eux mais quand même pas tant que cela: autrement le grand patron serait là et ils seraient une vingtaine à attendre au total!
Donc nous sommes accueillis très gentiment et nous commençons la visite à laquelle j’ai le droit à chaque fois, deux heures dans divers ateliers et bureaux avec les deux jeunes femmes qui sont des traductrices. Annabelle fait mine d’être intéressée mais je vois à sa tête qu’elle en a un peu marre...
Je vois également et surtout le regard concupiscent des commerciaux qui nous accompagnent et qui passent leur temps, sans vergogne, à détailler les appas de ma compagne, officiellement ma secrétaire. Comme je comprend quelques mots de japonais, je sais qu’ils sont obnubilés par ses cheveux blonds et ses yeux verts. Ses seins me paraissent aussi être fort appréciés alors que justement ils ne sont pas bien gros...
Nous arrivons enfin à la partie restauration et avec Annabelle, nous faisons bombance de ces excellents mets. Je lui explique discrètement que les nippons sont en admiration devant elle et du coup, elle en fait des tonnes, leur montrant son décolleté à tout bout de champs, souriante à,tout ce qu’ils racontent... les traductrices ont fort à faire...
Enfin, après ce bon repas, nous parlons tout de même affaire et nous bouclons ce fameux traité commercial à l’avantage de ma boîte, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire! Je gage que la présence de ma jeune coquine a fort aidé à cette conclusion!
Avant de rentrer à l’hôtel, le chauffeur de la limousine nous propose de faire le grand tour de Tokyo. J’accepte volontiers: je sais qu’il y en a pour au bas mot deux à trois heures... une des traductrices monte à ses côtés et, avec Annabelle, nous nous retrouvons à l’arrière du véhicule.
Je remonte la vitre de séparation et commence à entreprendre ma jolie copine tandis que la voix sucrée de la japonaise nous spécifie l’itinéraire que nous allons suivre. Très vite je ne l’écoute plus et j’embrasse Annabelle qui, chaude comme la braise, défait mon pantalon. Elle sort ma queue et se met à me sucer, entourant mon gland de sa jolie langue rose et m’excitant comme elle sait si bien le faire.
Pendant ce temps, je lui retire sa veste et sa robe et caresse ses seins qui pointent, les tétons bien durs. Je mouille mes doigts en les mettant dans son vagin et glisse mon pouce dans son petit trou du cul qui ne demande que cela.
La japonaise commente le torrent de gens qui traversent le célèbre carrefour de Shibuya au moment même où enfin ma queue pénètre le vagin d’Annabelle qui ne peut retenir un cri de joie: elle est assise sur moi et se ramone seule sur mon chibre qui entre en elle jusqu’à la garde...
Je vois alors la vitre de séparation commencer à s’abaisser: c’est la traductrice qui, alertée par le petit cri de bonheur d’Annabelle veut voir ce qu’il se passe.
Elle a à peine vu ce que nous faisions qu’elle a remonté la vitre sans doute rougissante. Je ne dit rien à ma copine qui ne s’est rendue compte de rien et continue à prendre son pied.
Je la retire de moi et l’oblige à s’agenouiller sur la banquette face à moi, me présentant son cul pointu. J’entre alors dans son anus d’abord avec ma langue pour bien mouiller le terrain, puis j’y met ma queue, doucement entrant à fond en elle tandis qu’elle gémit de plaisir.
Lorsqu’enfin je suis prés de jouir, je me retire de son cul et entre dans son vagin où je me vide à son grand plaisir: nous jouissons ensembles...
Peu après nous nous rajustons et, satisfaits, nous continuons à profiter de la visite, dont nous n’avons pas vu grand chose en fait!
J’ouvre la vitre de séparation et la jeune japonaise, rouge de confusion, me salue de la tête en nous décrivant les abords du palais de l’empereur, insistant sur ce petit pont qu’Hiro Hito a franchi sur son cheval blanc à chacune des grandes occasions de son règne ...
Enfin, une demie heure plus tard, nous arrivons à notre hôtel. Annabelle discute à bâtons rompus avec la traductrice dont elle semble s’être fait une amie.
Celle-ci nous confirme qu’elle nous accompagnera pendant les cinq jours qu’il nous reste à faire ici...
Elle est bien mignonne cette petite japonaise, et je vois dans les yeux d’Annabelle qu’elle a la même idée que moi...
Mmmhhh, cinq jours...
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