L'école, un vrai bonheur [1]
Récit érotique écrit par Kev_Du_32 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2008 dans la catégorie Pour la première fois
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L'école, un vrai bonheur [1]
<p>Bonjour, cette histoire étant vraie, j’ai changé le nom des personnes. Aujourd’hui, j’ai 23 ans et cette histoire s’est déroulée il y a 5 ans, j’avais alors 18 ans.
Je m’appelle Kevin, je suis handicapé depuis ma naissance. Cependant, à cette époque, j’allais à l’école comme tout le monde. J’étais d’ailleurs en terminale S. Une seule chose me différenciait des autres c’était mon AVS. L’AVS était une personne qui m’aidait à accomplir les gestes de la vie quotidienne au lycée. Cette année là, cette personne s’appelait Karen. Dès que je l’ai vu au début de l’année, j’en suis tombé raide dingue amoureux. C’était la femme parfaite. Elle était plutôt mature (29 ans), intelligente (elle est devenue prof de mathématique), belle (environ 1m66 pour 50 kg brune) et surtout excitante avec son regard de… chienne. Tous les soirs, j’étais en érection dans mon lit en pensant à elle. Un jour, alors que j’étais dans un cours de philosophie, je lui dis que j’avais envie d’aller aux toilettes. Nous sortîmes de cours pour aller aux toilettes handicapés -propre- . Elle s’agenouilla devant moi, me sortis la queue pour me faire pisser.
Instantanément, j’eu une énorme gaulle. De la voir elle devant moi tenant ma bite dans ses mains, c’en était trop. Je réussis quand même à pisser puis elle me demanda :
-c’est à cause de moi que tu bandes?
-non c’est parce que j’avais très envie de pisser, ça va mieux!
-Bien sûr, je te crois.
-Mais oui, qu’est-ce que tu va t’imaginer t’as onze ans de plus que moi !
-Bref, je peux te poser une question ?
-quoi ?
-Comment tu fais pour ta vie sexuelle, pour te masturber, avec les filles ?
-Ben c’est simple, je n’ai pas de vie sexuelle! Impossible.
Je sentis son visage s’émouvoir, elle reposa mon pénis dans mon pantalon, se releva. J’étais surpris car elle m’avait laissé allongé. Elle alla devant la glace, s’attacha les cheveux, enleva sa veste -elle était alors en tee shirt - puis vint se ragenouiller devant moi, je lui dit “qu’est-ce que tu fais” elle me répondit: “laisse moi faire”. Elle ressorti mon gland - toujours très gros - pour le glisser directement dans sa bouche. Je ne savais plus quoi dire alors je me taisais mais c’était tellement bon, je m’en souviendrais toute ma vie. Elle me branlait efficacement. De temps en temps, elle relevait la tête pour me regarder en me disant: “Tu aimes ?”, je balbutiais un léger “oui” et elle replongeait immédiatement sur ma queue.
Elle déversait toute sa salive, me masturbait, léchait mes couilles. De là voir elle, là devant moi se trémousser autour de ma bite dans le seul but de me donner du plaisir, c’en était trop. Je sentis venir la jouissance suprême et tenta de la prévenir avec des “Ah! Oh ! Oui c’est bon, c’est ça!”. Elle me regarda dans les yeux, lâcha un “jouis en moi” puis, elle replongea sur ma bite. Je déversais mon foutre dans sa bouche, j’envoyais plusieurs décharges, j’étais au paradis. Elle m’astiqua la queue avec sa langue puis se releva, se rhabilla et m’embrassa. En sortant, elle me glissa dans l’oreille un “la prochaine fois que tu veux que je te suce, évite de pisser avant parce que c’est pas top pour moi…”. De savoir qu’elle s’était soumise juste pour mon plaisir et malgré les odeurs de pisse cela m’excitait encore plus. Cette prochaine fois je
vous la raconterai plus tard…
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Je m’appelle Kevin, je suis handicapé depuis ma naissance. Cependant, à cette époque, j’allais à l’école comme tout le monde. J’étais d’ailleurs en terminale S. Une seule chose me différenciait des autres c’était mon AVS. L’AVS était une personne qui m’aidait à accomplir les gestes de la vie quotidienne au lycée. Cette année là, cette personne s’appelait Karen. Dès que je l’ai vu au début de l’année, j’en suis tombé raide dingue amoureux. C’était la femme parfaite. Elle était plutôt mature (29 ans), intelligente (elle est devenue prof de mathématique), belle (environ 1m66 pour 50 kg brune) et surtout excitante avec son regard de… chienne. Tous les soirs, j’étais en érection dans mon lit en pensant à elle. Un jour, alors que j’étais dans un cours de philosophie, je lui dis que j’avais envie d’aller aux toilettes. Nous sortîmes de cours pour aller aux toilettes handicapés -propre- . Elle s’agenouilla devant moi, me sortis la queue pour me faire pisser.
Instantanément, j’eu une énorme gaulle. De la voir elle devant moi tenant ma bite dans ses mains, c’en était trop. Je réussis quand même à pisser puis elle me demanda :
-c’est à cause de moi que tu bandes?
-non c’est parce que j’avais très envie de pisser, ça va mieux!
-Bien sûr, je te crois.
-Mais oui, qu’est-ce que tu va t’imaginer t’as onze ans de plus que moi !
-Bref, je peux te poser une question ?
-quoi ?
-Comment tu fais pour ta vie sexuelle, pour te masturber, avec les filles ?
-Ben c’est simple, je n’ai pas de vie sexuelle! Impossible.
Je sentis son visage s’émouvoir, elle reposa mon pénis dans mon pantalon, se releva. J’étais surpris car elle m’avait laissé allongé. Elle alla devant la glace, s’attacha les cheveux, enleva sa veste -elle était alors en tee shirt - puis vint se ragenouiller devant moi, je lui dit “qu’est-ce que tu fais” elle me répondit: “laisse moi faire”. Elle ressorti mon gland - toujours très gros - pour le glisser directement dans sa bouche. Je ne savais plus quoi dire alors je me taisais mais c’était tellement bon, je m’en souviendrais toute ma vie. Elle me branlait efficacement. De temps en temps, elle relevait la tête pour me regarder en me disant: “Tu aimes ?”, je balbutiais un léger “oui” et elle replongeait immédiatement sur ma queue.
Elle déversait toute sa salive, me masturbait, léchait mes couilles. De là voir elle, là devant moi se trémousser autour de ma bite dans le seul but de me donner du plaisir, c’en était trop. Je sentis venir la jouissance suprême et tenta de la prévenir avec des “Ah! Oh ! Oui c’est bon, c’est ça!”. Elle me regarda dans les yeux, lâcha un “jouis en moi” puis, elle replongea sur ma bite. Je déversais mon foutre dans sa bouche, j’envoyais plusieurs décharges, j’étais au paradis. Elle m’astiqua la queue avec sa langue puis se releva, se rhabilla et m’embrassa. En sortant, elle me glissa dans l’oreille un “la prochaine fois que tu veux que je te suce, évite de pisser avant parce que c’est pas top pour moi…”. De savoir qu’elle s’était soumise juste pour mon plaisir et malgré les odeurs de pisse cela m’excitait encore plus. Cette prochaine fois je
vous la raconterai plus tard…
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