L'éducation : Chapitre 4
Récit érotique écrit par Aile du Sud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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L'éducation : Chapitre 4
L’Education d’une salope.
Chapitre 4
Durant les jours qui suivent, ce ne sont que jeux d’amour. Dans la journée, je vais à mes cours où je m’occupe de l’entretien de la maison. Je ne porte pratiquement plus jamais de sous vêtement, même à la fac. Mes camarades de promo me trouvent changée, plus épanouie. S’ils savaient que je suis l’esclave sexuelle et consentante d’un couple de pervers !
Avec Madame la Juge, celui que j’appelle maître et la cuisinière qui se joint souvent à notre trio, nous faisons des parties de jambes en l’air tous les soirs. Comme Marie est plutôt tentée par les filles, elle s’occupe, à tour de rôle, de Madame ou de moi, pendant que maître baise l’une ou l’autre. Je suce des minous, des seins, la bite que maître me fourre régulièrement dans la bouche pour un nettoyage après qu’il est baisé Madame ou moi : jusque dans cette situation je reste la «femme de ménage».
On me lèche aussi. Marie surtout, mais également Madame qui n’a rien, bien au contraire, pour des parties entre filles.
Un soir maître nous a convoqué Marie et moi dans la chambre conjugale pour un trio de nanas avec Madame. Il a branché le caméscope pour garder un souvenir de cette soirée, mais surtout pour montrer à ses amis combien mon éducation s’accélérait :
- Il faut que nos amis se rendent compte de l’évolution de cette petite salope. Elle va bientôt faire son entrée dans le monde du libertinage, elle doit être parfaite.
- Tu as raison, nos invités du vendredi sont de fins connaisseurs. Ils veulent une marchandise de premier choix et surtout expérimentée. Vicky doit connaître et admettre tous les vices et les délices des soirées libertines. Son éducation est presque terminée. La leçon de ce soir devrait accélérer les choses.
- Tu vas être docile et soumise et accepter tout ce qu’on te demandera. Tu as bien compris ?
- Oui maître. Je suis entièrement à votre service.
C’est je soir là que j’ai eu droit pour la première fois d’être pénétrée par un gode. C’est une idée de maître qui voulait passer à l’étape suivante : il fallait que je me soumette à tous ses fantasmes. Madame la Juge a enfilé un gode ceinture. Je me suis mise à genou devant Madame pour sucer le membre en latex. Quand il a été bien humide, elle m’a solidement attachée sur le lit, les jambes bien écartées, elle a envahi mon antre et fourragé jusqu’à me faire atteindre l’orgasme. Marie, encouragée par maître nous embrassait la bouche et nous suçait les seins. Ensuite Madame a pénétré Marie. J’étais toujours attachée au lit et Marie fouillait mon intimité avec un gode vibrant. Maître commentait :
- Vous êtes vraiment des salopes toutes les trois. Je pourrais m’absenter, vous vous débrouilleriez sans moi.
- En ce qui me concerne, je préfère une bonne bite, dit Madame. Tu devrais laisser le caméscope en automatique pour venir me baiser.
- J’attendais que tu me le demandes. J’avoue que j’ai la queue qui va exploser à force de vous regarder faire les cochonnes.
- Prends-moi le cul, je continue à farcir cette chienne de Marie. On va faire une file à la queue leu-leu, dit-elle en éclatant de rire.
Maître ne se l’est pas fait dire deux fois. Il a attrapé Madame par les hanches et planté son pieu dans sa caverne sombre. Nous avons atteint l’orgasme en cascade, je fus la première, suivit de peu par Marie. Madame et maître explosèrent en même temps.
Que c’est bon d’avoir à faire à des experts de la baise. Ce n’est pas avec mon jeune puceau de premier amant que j’aurais connu de telles jouissances. Madame avait raison, je suis faite pour l’amour, j’adore ça. Il ne me reste plus grand-chose à découvrir…
C’est du moins ce que je crois… car un autre soir après avoir copulé joyeusement :
- Cela fait trop longtemps que tu te conduis comme une vilaine fille, dit Maitre. Tu penses que c’est bien de te balader quasiment à poil dans la maison ou dans le jardin, d’émoustiller cette pauvre Marie. Tu profites que Rose vienne t’épiler pour te faire sucer comme une chienne, sous prétexte de calmer la douleur. Tu acceptes de soulever tes jupes pour te faire baiser n’importe où et n’importe quand ! On te demande de sucer et toi sans réagir et même en y prenant du plaisir tu suces. Et en plus, je sais que tu continues à te toucher tous les week-ends, pendant que Madame et moi sommes à la campagne. Tu n’as aucune retenue, aucune pudeur, aucune morale. !! Tu es une salope !!
Je ne comprenais rien à ce qu’il me disait. J’avais tout accepté, car c’est ce qu’il attendait de moi. J’étais devenue la salope dont il rêvait, et voilà qu’il me le reprochait. Vraiment j’étais abasourdie par tant d’injustice. Les larmes me montaient aux yeux.
- Tu peux avoir honte, renchérit Madame. Tu n’es qu’une chienne en chaleur. Tu mérites une punition. Marie va chercher ce que tu sais et rejoins-nous dans l’annexe. Quant à toi, approche. Baisse la tête et arrête de pleurer. Il est bien temps.
J’étais là au milieu du salon, complètement nue, avec seulement des escarpins, nous venions de baiser comme des bêtes. Pendant que Madame poursuivait ses reproches, Monsieur me glissait un bandeau sur les yeux et menottait mes poignets dans le dos. Ensuite je sentis qu’il me passait un collier autour du cou. Il devait y avoir une laisse, car une chaîne glacée se plaça entre mes seins et le long de mon ventre. Quelqu’un attrapa le lien :
- Avance, chienne, gronda Maitre. Droit devant toi. Tu ne risques pas de tomber, je te guide.
J’ai bientôt éprouvé une petite fraîcheur, qui m’a fait comprendre que nous étions dans le jardin. Nous avions déjà batifolé dehors et je savais que personne du voisinage ne pouvait me voir, pourtant j’étais gênée. J’avais honte d’être la proie consentante de Sophie et Bertrand. Encore là, alors qu’ils m’humiliaient, j’éprouvais une certaine jouissance. J’étais vraiment une salope. Sophie, comme toujours avait du lire dans mes pensées, car elle glissa sa main entre mes cuisses :
- Elle trouve encore le moyen de mouiller cette traînée. Elle va être punie, elle est humiliée comme une pute et elle mouille. Quelle chienne ! Elle tremble de tous ses membres, tellement elle a peur, et elle mouille !
- Elle mouillera peut-être moins tout à l’heure ! On arrive au chalet, je vois que Marie a déjà tout préparé.
Maitre passa derrière moi et enlève les menottes. Puis il prend mes poignets, les soulève un après l’autre et je me retrouve attachée les bras en croix au dessus de la tête. Il se saisit de mes chevilles, m’ordonne d’écarter les cuisses et les attache également avec des sangles.
- Elle est bandante comme ça, offerte, nue. J’ai bien envie d’en profité, dit Maitre, et toi ?
- Tu as raison, avant la punition, on va s’amuser un peu. Joignez-vous à nous Marie.
Des mains caressent alors de mes fesses, des doigts existent mes seins en les pinçant, d’autres fouillent ma coquille, pénètrent ma caverne. Des lèvres forcent ma bouche et une langue s’empare de ma langue. Un gode remplace des doigts dans mon antre douillet. Je mouille de plus en plus, je suis au bord de l’extase… et puis plus rien… je reste sur ma faim… Une violente douleur explose sur mes fesses… je crie sous ce premier coup, bientôt suivi d’un deuxième, puis d’un troisième… je continue de crier et les coups de fouets tombent. Mon cul me brûle.
- Six ! Vas-y maintenant, ma Vicky, compte les coups, tu verras ça aide à penser à autre chose. C’est assez excitant. Surtout quand on ne sait pas quand cela va s’arrêter ! dit Madame en riant.
- … Douze…
Chapitre 4
Durant les jours qui suivent, ce ne sont que jeux d’amour. Dans la journée, je vais à mes cours où je m’occupe de l’entretien de la maison. Je ne porte pratiquement plus jamais de sous vêtement, même à la fac. Mes camarades de promo me trouvent changée, plus épanouie. S’ils savaient que je suis l’esclave sexuelle et consentante d’un couple de pervers !
Avec Madame la Juge, celui que j’appelle maître et la cuisinière qui se joint souvent à notre trio, nous faisons des parties de jambes en l’air tous les soirs. Comme Marie est plutôt tentée par les filles, elle s’occupe, à tour de rôle, de Madame ou de moi, pendant que maître baise l’une ou l’autre. Je suce des minous, des seins, la bite que maître me fourre régulièrement dans la bouche pour un nettoyage après qu’il est baisé Madame ou moi : jusque dans cette situation je reste la «femme de ménage».
On me lèche aussi. Marie surtout, mais également Madame qui n’a rien, bien au contraire, pour des parties entre filles.
Un soir maître nous a convoqué Marie et moi dans la chambre conjugale pour un trio de nanas avec Madame. Il a branché le caméscope pour garder un souvenir de cette soirée, mais surtout pour montrer à ses amis combien mon éducation s’accélérait :
- Il faut que nos amis se rendent compte de l’évolution de cette petite salope. Elle va bientôt faire son entrée dans le monde du libertinage, elle doit être parfaite.
- Tu as raison, nos invités du vendredi sont de fins connaisseurs. Ils veulent une marchandise de premier choix et surtout expérimentée. Vicky doit connaître et admettre tous les vices et les délices des soirées libertines. Son éducation est presque terminée. La leçon de ce soir devrait accélérer les choses.
- Tu vas être docile et soumise et accepter tout ce qu’on te demandera. Tu as bien compris ?
- Oui maître. Je suis entièrement à votre service.
C’est je soir là que j’ai eu droit pour la première fois d’être pénétrée par un gode. C’est une idée de maître qui voulait passer à l’étape suivante : il fallait que je me soumette à tous ses fantasmes. Madame la Juge a enfilé un gode ceinture. Je me suis mise à genou devant Madame pour sucer le membre en latex. Quand il a été bien humide, elle m’a solidement attachée sur le lit, les jambes bien écartées, elle a envahi mon antre et fourragé jusqu’à me faire atteindre l’orgasme. Marie, encouragée par maître nous embrassait la bouche et nous suçait les seins. Ensuite Madame a pénétré Marie. J’étais toujours attachée au lit et Marie fouillait mon intimité avec un gode vibrant. Maître commentait :
- Vous êtes vraiment des salopes toutes les trois. Je pourrais m’absenter, vous vous débrouilleriez sans moi.
- En ce qui me concerne, je préfère une bonne bite, dit Madame. Tu devrais laisser le caméscope en automatique pour venir me baiser.
- J’attendais que tu me le demandes. J’avoue que j’ai la queue qui va exploser à force de vous regarder faire les cochonnes.
- Prends-moi le cul, je continue à farcir cette chienne de Marie. On va faire une file à la queue leu-leu, dit-elle en éclatant de rire.
Maître ne se l’est pas fait dire deux fois. Il a attrapé Madame par les hanches et planté son pieu dans sa caverne sombre. Nous avons atteint l’orgasme en cascade, je fus la première, suivit de peu par Marie. Madame et maître explosèrent en même temps.
Que c’est bon d’avoir à faire à des experts de la baise. Ce n’est pas avec mon jeune puceau de premier amant que j’aurais connu de telles jouissances. Madame avait raison, je suis faite pour l’amour, j’adore ça. Il ne me reste plus grand-chose à découvrir…
C’est du moins ce que je crois… car un autre soir après avoir copulé joyeusement :
- Cela fait trop longtemps que tu te conduis comme une vilaine fille, dit Maitre. Tu penses que c’est bien de te balader quasiment à poil dans la maison ou dans le jardin, d’émoustiller cette pauvre Marie. Tu profites que Rose vienne t’épiler pour te faire sucer comme une chienne, sous prétexte de calmer la douleur. Tu acceptes de soulever tes jupes pour te faire baiser n’importe où et n’importe quand ! On te demande de sucer et toi sans réagir et même en y prenant du plaisir tu suces. Et en plus, je sais que tu continues à te toucher tous les week-ends, pendant que Madame et moi sommes à la campagne. Tu n’as aucune retenue, aucune pudeur, aucune morale. !! Tu es une salope !!
Je ne comprenais rien à ce qu’il me disait. J’avais tout accepté, car c’est ce qu’il attendait de moi. J’étais devenue la salope dont il rêvait, et voilà qu’il me le reprochait. Vraiment j’étais abasourdie par tant d’injustice. Les larmes me montaient aux yeux.
- Tu peux avoir honte, renchérit Madame. Tu n’es qu’une chienne en chaleur. Tu mérites une punition. Marie va chercher ce que tu sais et rejoins-nous dans l’annexe. Quant à toi, approche. Baisse la tête et arrête de pleurer. Il est bien temps.
J’étais là au milieu du salon, complètement nue, avec seulement des escarpins, nous venions de baiser comme des bêtes. Pendant que Madame poursuivait ses reproches, Monsieur me glissait un bandeau sur les yeux et menottait mes poignets dans le dos. Ensuite je sentis qu’il me passait un collier autour du cou. Il devait y avoir une laisse, car une chaîne glacée se plaça entre mes seins et le long de mon ventre. Quelqu’un attrapa le lien :
- Avance, chienne, gronda Maitre. Droit devant toi. Tu ne risques pas de tomber, je te guide.
J’ai bientôt éprouvé une petite fraîcheur, qui m’a fait comprendre que nous étions dans le jardin. Nous avions déjà batifolé dehors et je savais que personne du voisinage ne pouvait me voir, pourtant j’étais gênée. J’avais honte d’être la proie consentante de Sophie et Bertrand. Encore là, alors qu’ils m’humiliaient, j’éprouvais une certaine jouissance. J’étais vraiment une salope. Sophie, comme toujours avait du lire dans mes pensées, car elle glissa sa main entre mes cuisses :
- Elle trouve encore le moyen de mouiller cette traînée. Elle va être punie, elle est humiliée comme une pute et elle mouille. Quelle chienne ! Elle tremble de tous ses membres, tellement elle a peur, et elle mouille !
- Elle mouillera peut-être moins tout à l’heure ! On arrive au chalet, je vois que Marie a déjà tout préparé.
Maitre passa derrière moi et enlève les menottes. Puis il prend mes poignets, les soulève un après l’autre et je me retrouve attachée les bras en croix au dessus de la tête. Il se saisit de mes chevilles, m’ordonne d’écarter les cuisses et les attache également avec des sangles.
- Elle est bandante comme ça, offerte, nue. J’ai bien envie d’en profité, dit Maitre, et toi ?
- Tu as raison, avant la punition, on va s’amuser un peu. Joignez-vous à nous Marie.
Des mains caressent alors de mes fesses, des doigts existent mes seins en les pinçant, d’autres fouillent ma coquille, pénètrent ma caverne. Des lèvres forcent ma bouche et une langue s’empare de ma langue. Un gode remplace des doigts dans mon antre douillet. Je mouille de plus en plus, je suis au bord de l’extase… et puis plus rien… je reste sur ma faim… Une violente douleur explose sur mes fesses… je crie sous ce premier coup, bientôt suivi d’un deuxième, puis d’un troisième… je continue de crier et les coups de fouets tombent. Mon cul me brûle.
- Six ! Vas-y maintenant, ma Vicky, compte les coups, tu verras ça aide à penser à autre chose. C’est assez excitant. Surtout quand on ne sait pas quand cela va s’arrêter ! dit Madame en riant.
- … Douze…
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