L'éducation d'Angelina, une chienne obéissante en devenir
Récit érotique écrit par Slava [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'éducation d'Angelina, une chienne obéissante en devenir
Je cours, mon cœur battant à tout rompt. Mes cheveux, que j’ai d’habitude toujours parfaitement attachés en un chignon raide et serré, volent au gré du vent. Mon petit chemisier fermé jusqu’au col s’est ouvert, révélant quelques précieux centimètres carrés de ma peau pâle, au teint presque maladif, qui me complexe depuis ma tendre enfance. Mes escarpins résonnent sur les pavés de cette rue vide et sombre. Je manque de tomber. Mais ce soir, cela m'est complètement égal. Une seule chose importe vraiment aujourd'hui. Je regarde ma montre. Vingt heures deux. Une goutte de sueur perle de mes tempes. Que va-t-il penser de moi, qui me suis toujours vantée d'être très ponctuelle ? Mes pieds souffrent de cette course indécente et de ces chaussures trop serrées. Je n'ose même pas penser à mon apparence, probablement ruinée par mon effort sportif.
Je parviens enfin à mon but. Le palier tant recherché, que j'ai franchis seulement une fois auparavant. Je jette un dernier coup d'œil à ma montre. Vingt heures six. Si j’osais, je lâcherais un juron de désespoir. Je sonne, ma main tremble. On m'ouvre.
"Je ne vous attendais plus, Angelina."
Je baisse les yeux.
"Entrez donc, vous allez prendre froid. Vous avez couru."
Non, tu crois ? rouspétais-je en mon for intérieur. Je m'engouffre à l'intérieur de l’édifice, où une douce chaleur règne, protectrice. Mais je sais déjà que ce n'est qu'un leurre. Je passe devant un miroir à pied sculpté. Une femme débraillée et tout en sueur me regarde.
"Tu n'as pas honte de venir ainsi accoutrée chez moi, esclave ? Enlève moi ces chiffons immédiatement et mets-toi à genoux. Je reviens dans un instant."
Je déboutonne mon chemisier lentement, les joues en feu d’être ainsi remise à ma place. Puis mes chaussures, mon pantalon de travail. Je me laisse tomber sur mes genoux. Je n'ose pas regarder quoi que ce soit d'autre que le sol.
Soudain, des chaussures tout en cuir masculines apparaissent dans mon champ de vision. L'homme qui les porte éclate de rire.
"Bien ! Très bien, petite chipie. On va faire un petit jeu. Je te pose une question, et si tu as la bonne réponse, ta punition restera la même. Si tu en donnes une mauvaise, en revanche… Elle sera doublée."
Mon corps tout entier tremble. Qu'est-ce qu'il va encore inventer ?
"Quelles erreurs as-tu fait ce soir, Angelina ?
- J'ai été en retard de six minutes au rendez-vous que vous m'aviez donné, Maître.
Oh non, ma voix est tremblotante et suraigüe !
- Pas seulement…
Je réfléchis intensément, mais n'en vois aucune autre.
"Est-ce que je t'ai autorisée à garder ces guenilles qui te servent de sous-vêtements, sale chienne ?"
L'insulte me fouette le visage. J'en oublie de répondre.
"J'ai besoin de me répéter, peut-être ?"
J'enlève furtivement mon soutien-gorge, puis ma culotte, dévoilant ma poitrine imposante et mon pubis imberbe. Je tâche de rester impassible, malgré ma nudité.
"Tu as perdu. Tu m'as fait attendre six minutes, donc six coups. Tu n'as pas obéi correctement à mes ordres, donc cinq coups. Je ne veux pas être trop sévère, après tout ça ne fait qu'une semaine que j'ai commencé à t'éduquer. Bref, vingt-deux coups te seront destinés ce soir. »
Il marque une pause. Qu’est-ce qu’il peut penser de moi, de cette pauvre fille à sa merci, nue et tremblante sur le sol ? Je me redresse, et le regarde droit dans les yeux. Fautive s’il le dit, mais pas moins fière !
C’est le moment qu’il choisit pour fixer sur ma bouche boudeuse un épais papier adhésif, avant de m'enfiler un masque me plongeant dans le noir complet. Puis, je sens qu’il glisse autour de mon cou un collier, auquel il accroche une laisse.
Sans un mot, il m’entraîne vers l’inconnu.
J’entends un bruit de porte qu’on ouvre. Un courant d’air glacé enveloppe instantanément mon corps engourdi et de soudaines marches en pierre m’éraflent les genoux.
Dans quoi me suis-je donc embarquée ?
Je parviens enfin à mon but. Le palier tant recherché, que j'ai franchis seulement une fois auparavant. Je jette un dernier coup d'œil à ma montre. Vingt heures six. Si j’osais, je lâcherais un juron de désespoir. Je sonne, ma main tremble. On m'ouvre.
"Je ne vous attendais plus, Angelina."
Je baisse les yeux.
"Entrez donc, vous allez prendre froid. Vous avez couru."
Non, tu crois ? rouspétais-je en mon for intérieur. Je m'engouffre à l'intérieur de l’édifice, où une douce chaleur règne, protectrice. Mais je sais déjà que ce n'est qu'un leurre. Je passe devant un miroir à pied sculpté. Une femme débraillée et tout en sueur me regarde.
"Tu n'as pas honte de venir ainsi accoutrée chez moi, esclave ? Enlève moi ces chiffons immédiatement et mets-toi à genoux. Je reviens dans un instant."
Je déboutonne mon chemisier lentement, les joues en feu d’être ainsi remise à ma place. Puis mes chaussures, mon pantalon de travail. Je me laisse tomber sur mes genoux. Je n'ose pas regarder quoi que ce soit d'autre que le sol.
Soudain, des chaussures tout en cuir masculines apparaissent dans mon champ de vision. L'homme qui les porte éclate de rire.
"Bien ! Très bien, petite chipie. On va faire un petit jeu. Je te pose une question, et si tu as la bonne réponse, ta punition restera la même. Si tu en donnes une mauvaise, en revanche… Elle sera doublée."
Mon corps tout entier tremble. Qu'est-ce qu'il va encore inventer ?
"Quelles erreurs as-tu fait ce soir, Angelina ?
- J'ai été en retard de six minutes au rendez-vous que vous m'aviez donné, Maître.
Oh non, ma voix est tremblotante et suraigüe !
- Pas seulement…
Je réfléchis intensément, mais n'en vois aucune autre.
"Est-ce que je t'ai autorisée à garder ces guenilles qui te servent de sous-vêtements, sale chienne ?"
L'insulte me fouette le visage. J'en oublie de répondre.
"J'ai besoin de me répéter, peut-être ?"
J'enlève furtivement mon soutien-gorge, puis ma culotte, dévoilant ma poitrine imposante et mon pubis imberbe. Je tâche de rester impassible, malgré ma nudité.
"Tu as perdu. Tu m'as fait attendre six minutes, donc six coups. Tu n'as pas obéi correctement à mes ordres, donc cinq coups. Je ne veux pas être trop sévère, après tout ça ne fait qu'une semaine que j'ai commencé à t'éduquer. Bref, vingt-deux coups te seront destinés ce soir. »
Il marque une pause. Qu’est-ce qu’il peut penser de moi, de cette pauvre fille à sa merci, nue et tremblante sur le sol ? Je me redresse, et le regarde droit dans les yeux. Fautive s’il le dit, mais pas moins fière !
C’est le moment qu’il choisit pour fixer sur ma bouche boudeuse un épais papier adhésif, avant de m'enfiler un masque me plongeant dans le noir complet. Puis, je sens qu’il glisse autour de mon cou un collier, auquel il accroche une laisse.
Sans un mot, il m’entraîne vers l’inconnu.
J’entends un bruit de porte qu’on ouvre. Un courant d’air glacé enveloppe instantanément mon corps engourdi et de soudaines marches en pierre m’éraflent les genoux.
Dans quoi me suis-je donc embarquée ?
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