L'éducation du mari - Livre I

- Par l'auteur HDS Alnicos -
Récit érotique écrit par Alnicos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L'éducation du mari - Livre I Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'éducation du mari - Livre I
CHAPITRE I : Le docteur Johanson
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Ce 15 juin 2013, Mélinda et Nicolas poussèrent la porte du Docteur Johanson, "Psychologue - Spécialiste des thérapies de couple" ainsi que la décrivait la plaque à l'entrée de l'immeuble. C'est une amie de Mélinda qui lui avait conseillé d'aller la voir. Elle lui avait expliqué qu'elle avait fait des miracles dans son couple. Elle l'avait tout de même prévenu qu'elle devait s'attendre "à des pratiques peu orthodoxe", mais n'avait pas donné plus de détails. Le plus dur avait été de convaincre son mari mais, après plusieurs mois d'efforts, celui ci avait fini par accepter d'aller la consulter.

Le Docteur Johanson, une grande femme brune de 38 ans, les reçus dès leur entrée.

- Bonjour ! Vous êtes Madame et Monsieur DESJEAN ?
- Oui, c'est nous, répondirent presque en cœur Mélinda et Nicolas
- Asseyez vous je vous en prie ... Qu'est-ce qui vous amène ici ?
- Voilà, commença immédiatement Mélinda, nous connaissons quelques moments difficiles dans notre couple et nous voudrions avoir de l'aide.
- Je suis là pour ça ... D'abord dites moi quels ages vous avez et depuis combien de temps êtes vous ensemble ?
- J'ai 32 ans, poursuivi Mélinda, et mon mari 36. Nous nous connaissons depuis 7/8 ans mais nous ne sommes mariés que depuis bientôt 5 ans...
- Très bien ... Vous savez ce qu'on va faire pour que ce soit plus simple. Je vais déjà m'entretenir seule avec vous Mélinda et ensuite seule avec votre mari. Est-ce que cela vous va ?
- Oui oui bien sur
- Très bien ! Monsieur, je vais donc vous demander de sortir et attendre dans la pièce d'à coté.

Nicolas ressorti donc du cabinet et alla s'installer dans un des fauteuils de la pièce d'à coté. Le Docteur Johanson referma la porte insonorisée et revins s’asseoir à son bureau.

- On peut commencer Mélinda.
- Oui docteur.
- L'entretien que nous allons avoir est très important. Je vais tout de suite vous dire que la réussite du programme passe par le faite que vous ne me cachiez rien, même si la vérité peut être parfois difficile à dire. Est-ce que vous êtes bien d'accord pour tout me dire ?
- Oui, bien sur docteur.
- Très bien ! D'abord expliquez moi ce que vous appelez des "moments difficiles" et depuis à quant cela remonte ?
- Ca fait un peu plus d'un an, mais c'est de pire en pire ...
- ... n'allez pas trop vite ... expliquer moi ce qui s'est passé il y a un an et comment cela a évolué.
- Alors voila ... il y a a peu près un an je me suis mise à avoir des doutes sur la fidélité de mon mari. Je savais bien qu'il aime "beaucoup les femmes" - comme on dit - mais depuis qu'on était ensemble je pensais qu'il ne faisait que regarder et puis je l'ai surpris à faire des SMS puis à vite les effacer, à rentrer plus tard ... Ce genre de chose vous voyez ...
- Oh oui !... Très bien ! ... Continuez ...
- Du coup j'ai commencé à l'espionner un peu. Rien de méchant mais je vérifiait à qu'elle heure il sortait de bureau et à quelle heure il arrivait à la maison. J'ai activé plusieurs fois la localisation sur son téléphone mais il la désactivait à chaque fois ... Si bien que j'ai fini par le suivre et surveiller ces mails et ses appels téléphoniques.
- Ne vous sentez pas fautive ... C'est tout à fait normal. Et qu'avez-vous découvert ?
- J'ai fini par le surprendre avec une autre femme ...
- Un schéma malheureusement classique ... Je vois ça tous les jours dans mon cabinet vous savez ... Qu'avez vous fait ?
- J'ai commencé par me morfondre ... J'étais désespérée ... Je pleurait ... Je ne savait pas quoi faire ...
- Voila encore un schéma classique ... Les femmes se sentent fautives alors que ce sont elles les victimes ! C'est vous la victime Mélinda !
- Oui je sais bien ...
- Lui en avez vous parlé ?
- Oui !... Un jour j'ai pris mon courage à 2 mains et je lui ai dit que je savais... Il a commencé par nier mais je lui ai dit je t'ai vu là, tel jour à telle heure, avec une femme comme ça, tu l'as embrassé, etc, etc ...
- Vous avez bien fait ! Quel a été sa réaction ?
- Au début il m'a dit qu'il regrettait, qu'il était malheureux de m'avoir fait ça, qu'il ne recommencerait pas ... Il avait l'air sincère ...
- Et donc vous l'avez cru ?
- Oui ...
- Mais il n'a pas tenu ses promesses ...
- Non ...
- C'est classique ... Donc il est retourné voir cette femme ...
- Pas que elle... D'autres aussi je me suis rendue compte ... Du coup je lui en ai reparlé ...
- Et là, comment a t'il réagi ?
- Il m'a dit qu'il avait essayé, mais qu'il ne pouvait pas s'en empêcher... Qu'il avait besoin de ça et qu'il ne supportait pas la routine du couple... Mais que, bien sur, il m'aimait et que ça n'avait rien à voir avec moi.
- Ce qui est vrai en plus ! Vous savez Mélinda c'est malheureusement le cas de beaucoup d'hommes ... Ils ne pensent qu'à eux et à leurs plaisirs.
- Oui c'est tout à fait ça docteur ...
- Et depuis, comment cela a t'il évolué ?
- Depuis que je suis au courant c'est pire... Il s'est inscrit sur des sites de rencontres, il voit pleins d'autres femmes ... Et comme je suis au courant il ne s'en cache même plus vraiment.
- Et à la maison ?
- Il est très dur ... Il ne supporte plus la moindre critique. Il décide de tout et si je ne suis pas d'accord ...
- ... oui ?
- ...
- Dites moi tout Mélinda, c'est la règle ici ...
- Alors quand je m'oppose à lui, il m'insulte ou même il me gifle...
- Ca arrive souvent ?
- De plus en plus ... soit quand je lui fais une critique ... ou même c'est arrivé une fois après l'amour ...
- Pourquoi vous a t'il giflé après l'amour ???
- Il m'a dit que je n'avais pas été assez "satisfaisante" ... oui, "pas assez satisfaisante" c'est ce qu'il a dit ...
- Ah oui effectivement ... Il y a un gros problème.
- Oui ... C'est pour ça que j'ai pris rendez vous avec vous ...
- Vous avez bien fait Mélinda ... Je vais vous aider je vous promet !
- Merci docteur ...
- C'est très bien Mélinda ... On va arrêter là ... Vous pouvez aller dans la pièce d'à coté et je vais m'entretenir avec votre mari.

Le docteur Johanson raccompagna Mélinda à la porte de son bureau et fit entrer Nicolas.

- Très bien Nicolas ... Mélinda m'a raconté beaucoup de choses ...
- J'imagine oui ...
- A votre avis que m'a t'elle dit ?
- Que je la trompais ...
- Oui : Est-ce vrai ?
- Oui ... je l'avoue vous voyez
- Vous êtes ici pour ça ! Et depuis combien de temps ça dure ?
- Depuis toujours ...
- Je m'en doutais ... Vous ne croyez pas qu'il y a un problème ?
- Oui ... enfin non ... Je ne sais pas ...
- C'est oui ou c'est non ?
- C'est oui ...
- Je crois aussi oui ! Vous avez eu combien de maîtresse depuis que vous êtes avec votre femme ?
- Je ne sais pas
- Ne me mentez pas ! Je veux une réponse !
- Une vingtaine ...
- Vous vous rendez compte ?!!!
- Oui, oui je suis désolé
- Ce n'est pas vis à vis de moi qu'il faut être désolé
- Non je veux dire je suis désolé vis à vis de Mélinda...
- Vous est t'il arrivé de la gifler ?
- ...
- Allez un peu de courage !!! Répondez moi !
- Oui c'est arrivé ...
- Combien de fois
- 1 ou 2 fois ...
- 1 ou 2 fois ?
- Peut être plus ...
- Je n'apprécie pas qu'on me mente ! Combien de fois alors ?
- 5 ou 6 fois peut être ...
- Vous ressentez quoi là ?
- J'ai honte ...
- Très bien ! Cet entretien est terminé ... Vous pouvez sortir ...
- Mais ...
- Mais quoi ?
- Ben je ne sais pas ... On fait quoi là ?
- Comment ça ?
- Je ne sais pas ... Vous voulez revoir Mélinda ...
- Non ce n'est pas la peine j'ai tout ce qu'il me faut.
- Mais je lui dit quoi ?
- Pourquoi ? Vous voulez lui dire quoi ?
- Je ne sais pas ... C'est terminé ? On reprend rendez-vous ?...
- Pourquoi faire ?
- Ben je pensais que vous nous diriez quoi faire ...
- Quoi faire pour ?
- Ben ... Pour aider notre couple ...
- Pourquoi ? Vous voulez sauver votre couple ?
- Bien sur !
- Vous êtes sur ?
- Oui, oui ! Je suis sur !
- Il va falloir faire des efforts vous savez
- Oui je sais ...
- Très bien ! Allez chercher Mélinda et on va faire un point tous les 3 !

Interloqué, et un peu déstabilisé par cet échange, Nicolas sorti la tête par la porte, et demanda tout gentiment à Mélinda de les rejoindre.

- Très bien ! Je crois que j'ai une vision claire de la situation ! Enchaîna immédiatement le docteur Johanson.
- ...
- Je vous explique, poursuit t'elle, j'ai devant moi une femme adorable et aimante et un mari macho guidé par son pénis ! Est-ce bien cela ?
- ...
- Monsieur DESJEAN ! Est-ce bien cela ?
- Oui docteur ...

Mélinda n'en croyait pas ces yeux et ses oreilles. Son mari, habituellement si prompt à s'énerver à la moindre critique, était comme pétrifié devant le docteur et se contentait d’acquiescer à ses propos.

- Si vous voulez sauvez votre couple, je ne vois qu'une solution ... Il va falloir vous éduquer Monsieur DESJEAN !

Mélinda et Nicolas étaient abasourdis. Certes pour des raisons différentes, mais les 2 réalisaient que quelque chose était en train de se passer dans leur relation et ce, grâce au docteur Johanson. Celle ci continua en fixant l'homme du regard.

- Monsieur DESJEAN, je vais être clair avec vous : soit vous souhaitez être enfin un vrai mari et un vrai homme, soit vous continuez à vous laisser aller et finirez abandonné de tous et surtout de toutes ! Et à commencer de Mélinda !
- Je comprend oui, répondit Nicolas en baissant les yeux.
- J'espère que vous comprenez ! Parce qu’aujourd’hui vous avez du succès avec les femmes, mais dans quelques années ce sera fini et là vous serez détruit ! Ce que je vous propose c'est de vous sauvez Monsieur DESJEAN, en même temps que je sauve votre couple ! Mais le voulez vous vraiment ?
- Oui, docteur, je le veux.
- Vraiment ?
- Oui vraiment !
- Bien ! Alors nous allons commencé par un traitement léger. Mais je vous préviens tout de suite : si vous ne le respectez pas, je serai obligée de passer à quelque chose de plus fort. Est-ce bien compris ?
- Oui docteur.
- Alors voila vous ne devez plus avoir aucune relation sexuelle en dehors de votre couple.
- Oui docteur.
- Vous avez bien compris : ni autre femme, ni masturbation ... Nous sommes bien d'accord ?
- Oui docteur.
- Très bien ! Nous nous revoyons dans 1 mois pour faire le point.

Et c'est ainsi que se termina cette première visite. Rendez vous fut pris pour le mois suivant et Mélinda et Nicolas prirent congés du docteur Johanson. Sur le chemin du retour un silence de plomb régnait dans la voiture jusqu'à ce que Mélinda lance un :
- Alors tu en penses quoi ?
- Pffffffff ! Des conneries tout ça !




CHAPITRE II : Deuxième visite
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Un mois plus tard, le couple était de retour chez le docteur Johanson. Dès le début, celle ci remarqua que le mari était mal à l'aise et elle ne tarda pas à lui faire avouer la vérité.

- Nicolas ! Soyez franc avec moi maintenant !
- Docteur, je suis désolé ... Mais j'avais pris rendez vous avec une femme... J'avais pris le rendez vous avant qu'on vienne vous voir la dernière fois mais je n'ai pas osé l'annuler ...
- Vous avez couché avec elle ?
- Ça a été plus fort que moi ... Je savais qu'il ne fallait pas mais ...
- Effectivement il ne fallait pas ! J'avais été très claire.
- Oui, je sais ...
- Avez vous vu d'autres femmes ?
- ...
- Répondez !
- Oui ...
- Combien ?
- Une seule autre je vous promet
- Donc ça fait 2 ?
- Oui c'est ça ...
- Vous rendez compte ? 2 maîtresses en 1 mois !!!
- Je suis désolé
- On va devoir passer à un traitement plus dur !
- Je sais ...
- Il faut absolument que vous parveniez à ne plus coucher avec d'autres femmes ... Et pour ça je ne connais qu'un moyen absolument sur ...
- ???
- Vous allez devoir porter une cage de chasteté !
- Qu'est-ce que c'est ?
- C'est un appareil qu'on met sur le pénis et qui empêche l’érection et donc la pénétration.

A ces mots, Nicolas blêmi. Il n'avait jamais entendu parler de ça mais l'idée lui glaça le sang. Pourtant, il savait qu'il s'était maintenant trop impliqué et qu'il ne pouvait pas faire machine arrière. Et il se dit, qu'après tout, ça serait peut être un bien. Le docteur Johanson poursuivit.

- Comme son nom l'indique, c'est une sorte de cage qui a la forme du pénis au repos et se ferme à clé. Seule Mélinda aura la clé et ainsi, même si vous rencontrez d'autres femmes, vous n'aurez aucun moyen de leur faire l'amour.
- Mais ça se porte toute la journée ?
- Oui !
- Mais ... et pour allez aux toilettes ?
- C'est fait pour ! Vous pouvez uriner en la portant... La seule chose est que vous devez uriner assis... D'autres questions ?
- Heu ... non je ne crois pas ...
- Vous ne croyez pas ou vous êtes sur ?
- Je suis sur.
- Bien ! Nous allons commander ça ... Quelles tailles faites vous ?
- Comment ça quelles tailles ?
- La cage doit être ajustée à la taille du pénis !
- Ah oui ... Heu ben ... 16 ... 17 cm ...
- Au repos ???
- Non, non ... Bien sur que non ... en érection ...
- ... peut importe en érection ! Le but est de vous maintenir au repos !!! C'est la taille au repos qui compte !
- Je ne sais pas vraiment ...
- Décidément !... Vous ne savez pas grand chose ... Enfin bon ça ne m'étonne pas : beaucoup d'hommes ne connaissent pas leur taille au repos. Je vais prendre les mesures déshabillez vous !
- ...
- Allez !!! Vous vous êtes déshabillez devant vos maîtresses depuis des années alors ne faites pas tout à coup le prude !

Mélinda assistait sidérée à tout cela !!! Elle aussi avait l'impression d'être comment emportée par ce docteur Johanson dont l'autorité était stupéfiante. En même temps, elle appréciait cette femme qui savait où elle allait et elle se disait qu'elle avait raison de lui faire confiance.

Pendant ce temps là, Nicolas avait baissé son pantalon et son boxer. Le docteur Johanson s'approcha avec un mètre à ruban et pris la mesure avant qu'il n'ait eu le temps d'avoir un début d'érection...

- Longueur 10 cm, circonférence 9 cm ... très bien ... restez comme ça je vais voir si j'en ai une qui conviendrait.

Quelques instants plus tard, le docteur Johanson revient en tenant dans sa main cette fameuse cage ! Mélinda se dit qu'elle méritait effectivement bien son nom puisque l'objet ressemblait vraiment à un pénis mais fait en barreau d'acier.

- Voila ! Je n'ai pas en 10 mais j'ai pris une en 9 ! De toute façon il vaut mieux un peu plus courte que trop longue.

Disant cela, le docteur Johanson s'approcha du pénis de Nicolas, qui était toujours accessible et au repos. De toute façon, l'angoisse qui envahissait le mari, l'aurait empêché à ce moment là de la moindre érection.

Visiblement habituée, le docteur johanson plaça un anneau derrière les testicules, puis - forçant un peu - introduisit le pénis du mari dans la cage. Un système de fixation rigide lui permis d'accrocher la cage à l'anneau placé derrière les testicules. Pour terminer elle plaça un petit cadenas dans un trou prévu à cet effet et vérifia que le tout était bien fixé en le secouant vigoureusement.

- Parfait ! Vous pouvez vous rhabiller !

Pour Nicolas, tout n'était pas si parfait car la cage était placée en pointant vers le bas. En remettant le boxer, il se rendit compte que c'était très inconfortable.

- Je sais, vous allez vous y habituer, lui répliqua le docteur Johanson. N'oubliez pas que si vous aviez pu vous contrôler nous n'en serions pas là !

Disant cela elle tendit la clé à Mélinda en lui rappelant la nécessité que son mari porte la cage et qu'elle ne se laisse pas attendrir par ses plaintes...

Un Rendez vous "de contrôle" fut pris pour 2 semaines plus tard.




CHAPITRE III : Troisième visite
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- Bien ! Comment ça se passe ? demanda immédiatement le docteur Johanson
- Moyennement, lui répondit Mélinda. Nicolas trouve que c'est vraiment très difficile de la porter longtemps et ça lui fait très mal ...
- Vous l'avez libéré souvent ?
- Du coup ... oui ...
- Vous n'auriez pas du !!! Et là il la porte ?
- Oui, oui ...
- On va voir ça.

Sur ce, le docteur Johanson demanda au mari de baisser son pantalon et son boxer. Effectivement, il portait bien sa cage. Elle demanda la clé à Mélinda et libéra le pénis.

- Ce n'est pas normal ! Lança le docteur Johanson en fixant Nicolas
- ???
- Votre pénis n'est pas marqué par les barreaux de la cage. Et de plus, habituellement, lorsqu'on les libère, ils n'entrent pas immédiatement en érection.

Nicolas blêmi ...

- Vous ne l'avez pas porté ! s'écria le docteur.
- Si si je vous assure, essaya de se justifier Nicolas en regardant sa femme pour qu'elle vienne à son secours
- C'est à vous que je pose la question !
- Si je l'ai porté je vous assure ...
- Mélinda, est-ce que vous l'avez souvent libéré ?
- Il avait mal ... et aussi il avait du mal a la porter ... alors forcément ... Essaya d'expliquer Mélinda.
- Très bien ! Donc déjà, Nicolas je vois que vous me mentez lorsque vous me dites l'avoir porté ...
- ... si si je l'ai porté ...
- Ne m'interrompez pas !!! Je vous dit que vous me mentez !
- C'est comme vous a expliqué Mélinda ... C'est difficile à porter ... C'est encombrant ... Tenta de se justifier l'homme.
- Ah ? C'est trop encombrant ?
- Heu ... oui ...

En prononçant ces mots, Nicolas eu la sensation qu'il était en train de faire une énorme bêtise. Mais il ne savait pas encore laquelle.

- Pas de problème, répliqua immédiatement le docteur Johanson. Nous allons trouvé une solution !

Puis elle s'éclipsa et revient quelques instant après avec une autre cage de chasteté ... et un tube de lubrifiant. Au premier regard, Mélinda et Nicolas comprirent qu'elle était la solution : une cage plus petite !!!

- Je vous met du 7 cm ! Vous verrez c'est beaucoup moins encombrant !

Nicolas resta pétrifié, mais ne pu rien y faire.

Le docteur Johanson lui enleva sans ménagement l'anneau qu'il portait derrière les testicules et mis celui correspondant à la nouvelle cage. Nicolas senti tout de suite qu'il était plus étroit. Puis elle aspergeant son pénis de lubrifiant et d'un coup sec lui enfila la nouvelle cage. Nicolas ressenti une douleur atroce qui lui arracha un cri. Des larmes lui coulèrent sur les joues pendant que le docteur referma le cadenas ...

- Voila ! C'est moins encombrant là ?
- Oui docteur.
- Vous voyez ! On trouve toujours des solutions !
- Oui docteur.
- On dit merci qui ?
- Merci docteur.

Ces derniers mots déclenchèrent un grand sourire du docteur johanson qui se tourna vers Mélinda.

- Cette fois Mélinda, je ne vais pas pouvoir te laisser la clé tu comprend ? Lui expliqua t'elle, en étant passé tout à coup au tutoiement !
- Oui je comprend docteur ...
- ... Allons ! Appelle moi Julie !
- Oui ... Julie ...
- Tu es super tu sais ! Tu as beaucoup de courage !
- Merci doc... heu merci Julie... Merci pour tout vous ... heu tu sais.
- Oui je sais !

Et les 2 femmes s'échangèrent un sourire complice pendant que Nicolas se rhabillait et essuyait ses larmes.

- Bon allez ! On refait un point dans 1 mois !
- Mais ... et la clé ... Demanda Nicolas.
- La clé je la garde je vous ai dit ! Comme vous n'êtes pas raisonnable je dois être plus strict ! Vous étiez prévenu !

Le docteur Johanson (Julie ...) pris congé du couple qui rentra chez lui. Dans la voiture, l'ambiance était tout autre qu'après le premier rendez vous.

- Je suis désolé ma chérie tu sais, lança de suite Nicolas.
- Je sais ... je t'aime tu sais.
- Moi aussi je t'aime énormément ...




CHAPITRE IV : Quatrième visite
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Le docteur Johanson vit arriver un couple qui avait déjà changé. Elle constata par exemple avec plaisir que si Nicolas passait toujours devant, c'était désormais pour tenir la porte à Mélinda.

- Alors ? demanda t'elle d'entrée ... Comment ça va depuis le mois dernier ?
- Ca va. Répondirent ensemble Mélinda et Nicolas.
- Et cette cage ?
- Au début ça a été très dur, répondit Mélinda. Il avait souvent très mal, surtout la nuit. Mais depuis 1 semaines ça va mieux on dirait... N'est-ce pas mon chéri ?
- Oui ma chérie, répondit Nicolas.
- Super ! Je suis contente pour vous ! Se réjouie le docteur Johanson. On va regarder tout ça.

Elle demanda à Nicolas de se déshabiller. Celui-ci baissa son pantalon et son boxer, comme les fois précédentes.

- Allons ! On n'en n'est plus aux débuts la ! Je vous demande de vous déshabiller, c'est pas uniquement le bas !

Sans discuter, Nicolas s'exécuta et enleva aussitôt son pull et sa chemise.

- chaussettes !!

... il enleva aussi les chaussettes; si bien qu'il se retrouvait maintenant intégralement nu.

Le docteur Johanson pris la clé qui était dans son tiroir et sur laquelle était attachée l'étiquette "Mélinda DESJEAN" puis libéra le pénis de Nicolas. Immédiatement, il ressenti le plaisir de la libération. Malgré cela, après un mois d'inactivité forcé, son pénis resta au repos.

- C'est normal ! prévient le docteur Johanson comme si elle lisait dans les pensées du mari. Il a besoin de temps pour reprendre vie.

Pendant ce temps, elle l'examina et constata que les barreaux de la cage n'avait pas trop marqué la peau.

- Alors, Nicolas, le bilan du mois écoulé ? demanda le docteur
- C'est très dur vous savez... C'est vrai que j'ai très très mal dormi. Il n'y a que la dernière semaine ou ça a été un peu mieux mais c'est encore très difficile. Je me réveille la nuit et j'ai horriblement mal au pénis... Les testicules aussi me font souffrir ...
- Je ne vous parle pas de ça !!!
- ???
- Vous êtes venus me voir pour des infidélités répétées ! Je vous demande où vous en êtes !
- Ah ... Ben vous savez ... Là j'aurais du mal d'être infidèle ...
- D'accord ... Je vais m'entretenir un instant avec Mélinda ... Attendez nous dans la pièce là ...

Et le docteur Johanson lui désigna une porte qui donnait dans une petite salle, qui ressemblait plutôt à un vestiaire. La pièce, presque entièrement carrelée, ne disposait que d'une chaise en bois, d'une petite table et d'un miroir. Dans un angle était placée une douche à l'italienne, mais sans parois. Aussitôt Nicolas entré, le docteur Johanson referma la porte.

- Alors Mélinda ? Comment ça se passe ?
- Alors comment vous dire docteur ...
- Mélinda !!! "comment TE dire", "Julie" !
- Ah oui pardon ... Julie ... Donc oui comment te dire ... C'est difficile pour lui tu sais
- Mélinda ! N'oublie pas le mal qu'il t'a fait !
- Oui tu as raison ... je n'oublie pas mais c'est difficile pour lui là
- Je sais et c'est normal... On est en train d'éduquer ton mari tu sais ! Et ce n'est jamais simple... Mais je veux que tu me dise comment sa se passe pour toi. Est-ce qu'il est toujours aussi agressif et macho ?
- Il n'a jamais été agressif ...
- ... il t'a giflé plusieurs fois ...
- Ah oui ... C'est sur qu'il est plus doux je trouve.
- C'est normal... En le forçant à l'abstinence, la production de testostérone diminue... Et est-ce qu'il est plus serviable ?
- Ça non je ne trouve pas spécialement.
- Et tu sais pourquoi ?
- Non ...
- Parce que ce n'est pas toi qui avait le pouvoir de le libérer. Tu vois ce que je veux faire là, c'est te laisser la clé. Mais je veux que tu me promette de ne pas le libérer pour un oui ou pour un non. Tu ne le libéreras que lorsque TOI tu auras besoin. C'est très important pour qu'il apprenne à te respecter et à t'obéir.
- Oui je comprend.
- Déjà c'est hors de question la journée et la nuit ! Et c'est hors de question lorsque tu n'es pas là.
- Oui c'est clair. Je ne referai pas les mêmes erreurs qu'au début.
- Je sais bien. Tu es une femme formidable tu sais.
- Merci...
- Je vais te laisser mon numéro de portable. Dès que tu as une question, un doute, ou même si tu veux le libérer mais que tu ne sais pas si c'est une bonne idée, je veux que tu m'appelle ou que tu m'envoie un SMS.
- Oui d'accord.
- Promis ?
- Oui promis !
- C'est parfait.

Sur ce, le docteur Johanson, suivie de Mélinda, se levèrent pour aller retrouver Nicolas. En les voyant entrer, celui-ci blêmi.

- Non !!! Je vous assure ! Je n'ai rien fait de mal !!! C'est venu tout seul ! Dit t'il, l'air paniqué.
- Vous parlez de ça ? lui demanda calmement le docteur Johanson en pointant du doigt le pénis en érection.
- Oui, mais je vous assure je n'ai rien fait.
- Je sais, dit le docteur Johanson, c'est un réaction normale...
- Oui, oui ...
- Je pense qu'après un mois d'abstinence, vous pourriez avoir le droit de vous masturber... Qu'en penses tu Mélinda ?
- Heu ... oui je pense aussi, lui répondit Mélinda.
- Puisque ta femme est d'accord, vous pouvez vous masturber... Mais aller au dessus du siphon de la douche.

Aussitôt dit, Nicolas se précipita à l'endroit de la douche et commença à se masturber en tournant le dos aux 2 femmes. Quelques secondes plus tard, elles le virent trembler de tous ses membres et la masturbation s'arreta. Il venait d'éjaculer.

- Nettoyez ça et on remettra la cage ! Lui ordonna le docteur Johanson.

Avec la pomme de douche, Nicolas nettoya consciencieusement la douche ; tandis que les 2 femmes s'amusaient du spectacle. Lorsque ce fu fini, le docteur Johanson tendit la cage et du lubrifiant à Mélinda et lui dit que, cette fois, c'était à elle de lui mettre.

Mélinda s'approcha de son mari. Celui ci lui sourit. Elle lui renvoya son sourire et l'embrassa. Puis, comme elle avait vu faire le docteur Johanson, elle lui aspergea le pénis de lubrifiant et tenta de lui mettre la cage. Les premières tentatives n'aboutir pas : la cage semblait être devenue trop petite. Le docteur Johanson lui donna alors quelques conseils et d'abord de ne pas hésiter à forcer. Elle lui expliqua que, surtout après une érection, le pénis prenait du volume et qu'il était normal qu'elle peine à le faire rentrer. Mélinda voulait montrer à Julie qu'elle y arriverait. Elle aspergea une fois de plus le pénis de lubrifiant, pris la cage et tout en tenant l'anneau que Nicolas avait à la base des testicules, alla d'un coup sec. Le pénis rentra, accompagné d'un hurlement de douleur.

- Salope !!! Hurla Nicolas

Mélinda le regarda furieuse. Elle mis le cadenas et montra la clé à son mari. Le docteur Johanson regardait la scène avec le plus grand intérêt.

- Tu vois la clé là ? Demanda Mélinda à son mari
- Excuse moi ma chérie ! Je ne voulais pas dire ça ... C'est a cause de la douleur ...
- Tu vois la clé là ?
- Oui ...
- Alors pour le "salope" tu as déjà droit à 1 mois !
- Excuse moi ma chérie !!!! ... Je t'en supplie excuse moi ...
- 1 mois !

Le docteur Johanson applaudi littéralement !

- Bravo Mélinda ! Tu as complètement raison ! Et vous Nicolas je trouve qu'elle est déjà bien gentille ! Si ça avait été moi vous auriez pris 6 mois pour ça ! Vous pouvez lui dire merci croyez moi !

Nicolas était complètement abasourdi et se rendait compte qu'il avait fait une terrible bêtise. Il regrettait tellement d'avoir dit ça, mais il ne pouvait pas effacer ses propos. Les derniers mots du docteur Johanson lui firent comprendre l'ampleur de son erreur... et la gentillesse de sa femme.

- Merci ma chérie ! Lui dit t'il en baissant les yeux.




CHAPITRE V : Un couple heureux
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Les mois qui suivirent, virent naître un nouveau couple entre Mélinda et Nicolas.

Passé le mois de punition, Mélinda libérait son mari en général une fois par semaine : soit parce qu’elle avait envie de lui, soit tout simplement pour le féliciter de ses bonnes actions. Elle était ravie d'avoir enfin le mariage dont elle rêvait et le mari qui la traitait en princesse. Dans le même temps, elle échangeait de plus en plus avec Julie et elles étaient devenues des amies et se rencontraient juste pour aller faire du shopping ou aller se faire bronzer à la piscine.

De son coté, Nicolas devenait de plus en plus serviable et attentionné. Il s'était mis au ménage, au repassage et à la cuisine et comblait sa femme de petites attentions.

Malheureusement, ses démons n'étaient pas complètement partis. Il continuait à regarder et parfois même à désirer d'autres femmes, et ce même si c'était beaucoup plus rare qu'avant et que, lorsque ça lui arrivait, sa cage le rappelait à l'ordre. Toutefois, un jour, il rencontra par son travail une femme qui l'attirait beaucoup, et qui, de son coté, n'était pas insensible non plus. Conscient que, encagé, il ne pourrait pas aller plus loin avec elle, il eu l'idée d'un stratagème pour s'échapper quelques jours de sa contrainte et vivre "une dernière fois" une expérience avec une autre femme.

Mais il ne se rendait pas compte que Mélinda n'était plus du tout aussi naïve qu'avant. Elle compris à d'infimes détails qu'il se passait quelque chose. Un soir, il lui expliqua que, pour le travail, il devait se rendre quelques jours à Paris en avion et que, pour éviter de faire sonner les portiques de sécurité, elle devait lui enlever sa cage. Mélinda en parla immédiatement à Julie qui partagea ses doutes. Elle lui annonça qu'elle s'y attendait et que ce genre de chose arrive à beaucoup de couples après quelques mois de traitement.

Aidées par un ami de Julie informaticien, elles installèrent un mouchard sur le téléphone de Nicolas. Rapidement, elles eurent ainsi la preuve de ce qu'elles supposaient.

Julie expliqua alors à Mélinda ce qu'elles allaient faire ...




CHAPITRE VI : La dernière vengeance
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Quelques jours avant le "départ pour Paris", Mélinda amena Nicolas chez Julie. Avec naturel, elle commença à évoquer le fameux voyage et la nécessité d'enlever la cage de son mari pour ces quelques jours. "Oui, ça arrive" répondit simplement le docteur Johanson.

Nicolas était ravi de son stratagème qui semblait fonctionner à merveille. Il commençait déjà à s'imaginer à l’hôtel avec la jeune femme qui l'attirait tant. Détendu, il ne refusa pas un petit verre.

Quelques minutes après, il commença à se sentir fatigué. Il allait proposer de rentrer lorsque Mélinda remis l'histoire du voyage sur le tapis. Elle semblait tout à coup s'inquiéter de laisser son mari sans cage pendant plusieurs jours.

- Mais il n'y a pas de soucis à te faire ma chérie, la rassura Nicolas.
- C'est pas sur que tu sois complètement guéri tu sais... insista Mélinda.
- Mais je t'assure ! Tu sais bien qu'il n'y a plus que toi qui compte à mes yeux. C'est derrière nous toutes ces infidélités tu le sais bien.
- Toutes VOS infidélités ! le corrigea le docteur Johanson.
- Oui, oui ... mes infidélités c'est ce que je voulais dire.
- De toute façon il y a un moyen de prévenir une rechute ! Lança alors le docteur Johanson.
- Ah bon ? demanda, faussement naïvement, Mélinda.

Nicolas se demanda aussi ce qu'elle voulait dire. Mais il avait l'esprit de plus en plus embrumé et la tête lui tournait. Il avait une envie irrésisitible de s'endormir.

- Comment ça ? réussi t'il toutefois à articuler

Il vit alors le docteur Johanson s'approcher de lui et répondre à Julie.

- Oui ... Il suffit de le t...

Il n'eu pas le temps d'entendre le dernier mot. Il venait de s'endormir profondément.


Il se réveilla quelques heures plus tard, dans une chambre qu'il ne connaissait pas. A coté du lit, se tenait Mélinda et le docteur Johanson.

- Où suis-je ? Demanda t'il.
- Vous n'avez pas bougé ... vous êtes toujours chez moi, lui répondit le docteur Johanson.
- Mais qu'est-ce qui s'est passé ?
- Vous vous êtes endormis ... vous deviez être épuisé ...

Nicolas ne fu pas tout à fait rassuré par la réponse, mais rien ne semblait clocher.

- On va rentrer, proposa t'il en se levant.
- Oui bonne idée, lui répondu Julie.

Tandis qu'il partait, le docteur Johanson le pris à part.

- C'était une très mauvaise idée de vouloir tromper Mélinda. A votre place, j'oublierais l'idée et je reprendrais le droit chemin.

Ces propos laissèrent Nicolas abasourdi et sans voix. Il y pensais encore lorsqu'il rentrèrent à la maison et qu'il alla se changer à la salle de bain. Là, en posant le pantalon et la chemise il vit qu'il avait un gros pansement qui lui recouvrait le pubis. Voyant cela, il cru défaillir et son cœur se mis à battre la chamade. "Que m'ont t'elles faits" se demanda t'il...

Lentement, il enleva le pansement ... Et la il compris ce qui s'était passé ! Sous le pansement, le pubis avait été rasé et, à la place, il avait maintenant un magnifique tatouage qui indiquait "propriété de Mélinda".

Il mis quelques temps à reprendre ses esprit. Puis il se changea et retourna au salon où Mélinda lisait un magazine.

- Tu sais ma chérie ... commença t'il.
- Quoi ?
- Je ne vais pas aller à Paris finalement
- Je sais ...
- Je suis désolé ma chérie ...
- Je sais ...

Puis Mélinda repris sa lecture.

Nicolas, de son coté, alla dans la chambre... Il se mis la tête entre les mains et il pleura. Mais à sa grande surprise, il ne pleurait pas de son escapade manquée. Non ! Il pleurait d'avoir déçu une femme aussi merveilleuse que celle qu'il avait.

[A Suivre ...]

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