L'empire des femmes Chapitre 3 : Un plaisir sadique
Récit érotique écrit par Baptou-pâle [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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L'empire des femmes Chapitre 3 : Un plaisir sadique
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Chapitre 3 : Un plaisir sadique
Jonas, après son acte héroïque, avait tendrement fait l’amour à la demande de sa partenaire toujours attachée et après une bonne demi-heure de sexe, il détacha les liens de sa princesse qui se rhabillait en grommelant :
« C’était sympa mais n’espère pas que ça puisse se reproduire, ta place est à mes pieds.
- Bien sûr Princesse, je n’ai fait qu’exécuter tes désirs. »Sa réponse la ravie et elle l’embrassa vigoureusement. Elle ne comprenait toujours pas l’origine de cette sensation enivrante qui s’emparait d’elle lorsque ses lèvres rencontraient celles de Jonas, mais elle adorait ça.
Amina la guerrière était toujours dans la même posture, nue, les mains liées au pied du lit, elle tentait désespérément de briser les liens en usant de sa mâchoire ce qui ne semblait pas donner le résultat escompté.
Gladia vint se placer face à elle, les mains sur les hanches et ordonna d’un ton sec :« Dis-moi ce que la Reine t’a dit.
- Crève salope je ne te dirais rien. »Elle cracha aux pieds de Gladia et Jonas ne manqua pas de réagir. Il porta soutien à Gladia en venant se positionner derrière la guerrière et appliqua son pouce sur son anus encore endolori ce qui la fit frémir.
« Réponds à ma Princesse, et accordes lui le respect que tu lui dois. »
La guerrière baissa le regard en sentant les larmes lui monter, l’humiliation que Jonas lui avait fait subir une heure plus tôt l’avait profondément blessée, elle ne pourrait pas subir ce châtiment une deuxième fois. C’est Gladia qui prit la parole en premier :
« Bien Jonas, maintenant encule la.
- Non Jonas ne le fait pas ! »Mais Jonas n’avait d’oreille que pour sa princesse. Il s’exécuta et pénétra la guerrière de toutes ses forces qui se mis à pleurer.
Gladia observait la scène, prenant un plaisir malsain à voir souffrir ainsi cette femme qui avait osée la défier, au bout de quelques minutes, elle ordonna à Jonas de se retirer et se pencha aux côtés d’Amina, dans l’attente qu’elle parle.
« J’ai… ; la guerrière sanglotant ; J’ai raconté exactement ce que tu m’a dit à la Reine, elle m’a crue mais elle demande quand même à avoir la preuve que le violeur est bien mort. Laisse-moi partir maintenant je t’en prie.
- Bien, mais si jamais tu parles, tout l’empire saura que le petit saunier t’a sodomisé violemment et je dirais même que tu as aimé ça. Quand la rumeur remontera aux oreilles de la Reine, tu seras bannie pour ta faiblesse face à la gente masculine. Maintenant Vas.
Elle décrocha la guerrière qui parti sans demander son reste avant de donner ses instructions à Jonas.
« Je dois trouver une solution pour la Reine, toi tu retournes au piquet. Personne ne doit savoir que tu étais ici compris ?
- Oui Princesse. »Il la regarda s’éloigner et attendit quelques secondes avant de sortir à son tour. La main plaquée sur son sexe, il se faufila entre les ruelles en essayant de se rappeler du chemin à suivre.
Le jour se levait et la routine matinale de l’empire suivait son cours.
Des femmes balayaient leurs terrasses en chantonnant, d’autres étendaient leur linges, mais toutes arrêtèrent leur tâches pour regarder Jonas avec insistance qui commença à se sentir mal à l’aise et perdu dans ce labyrinthe que formait le quartier. Il se risqua à demander son chemin à une belle femme qui taillait avec soin un joli rosier mais elle lui répondit avec mépris :« Je ne parle pas avec les primates de ton genre, hors de ma vue saleté ! »Jonas se hâtai, il tournait en rond et ne parvenait pas à retrouver la place où Gladia était venu le chercher dans la nuit noire. Il se sentait observé, peut-être même qu’il était suivi. Sur son passage les femmes se retournaient, certaines le sifflaient et d’autres lui claquaient les fesses. Il gardait fermement ses mains sur son petit membre en érection et s’engouffra dans une petite rue étroite lorsque deux femmes surgirent face à lui, l’une d’elle était gigantesque, sans doute près de deux mètres de haut. Elle était extrêmement massive et féminine à la fois, ses seins étaient énormes et ses mains faisaient la taille de la tête de Jonas qui semblait ridicule à côté d’elle du haut de son mètre 70. La deuxième femme avait des proportions plus normales, mais son regard menaçant cerné de maquillage noir ne le rassurait vraiment pas. Il avança timidement vers elles et tenta de se faufiler entre les deux femmes mais la géante le stoppa net.
« Où tu vas comme ça jeune mâle ?
- Lâchez-moi ! »Jonas tentait de se débattre mais l’amazone le tenait fermement par la gorge, il usa de ses deux mains pour s’en libérer en vain, il se débattait comme un petit chien pris au piège, son petit pénis suintant frottant ridiculement sur la cuisse musclée de l’amazone qui riait fortement.
La deuxième le saisit avec force par le sexe, le tordant jusqu’à la limite de la fracture puis elle décida :« On l’emmène. »Jonas se débattait de toute ses forces mais l’amazone le souleva d’une main et le hissa sur son épaule. Le pauvre tentait tant bien que mal de se dégager mais la géante ne bronchait pas, il se fit transporter ainsi pendant une dizaine de minutes lorsqu’ils entrèrent dans une bâtisse et enfermèrent Jonas dans une grande pièce sombre. Il resta seul ainsi quelques minutes, il était terrifié par cette géante et celle qui l’accompagnait n’avait pas l’air plus commode. Il ne chercha pas à s’enfuir et préféra faire ce qu’il faisait si bien : se soumettre.
La femme pénétra dans la pièce, chandelier à la main et Jonas pu enfin voir le lieu où il était.
Une grande chambre tapissée de velours rouge, sur les murs étaient accrochés des lingeries féminines plus sexy les unes que les autres, au centre de la pièce reposait un grand lit de plus de trois mètres de large et sur une table marbrée étaient entreposés toutes sortes de sextoys, dont un qui attira particulièrement l’attention de Jonas. Voyant sa stupéfaction, la femme lui annonça fièrement :« Ah ça, c’est l’outil préféré de Gisya ma petite amie avec qui tu as pu faire connaissance, ne t’inquiètes pas on augmentera progressivement la taille du gode ceinture, si j’ai pu en arriver là alors toi aussi.
- Mais je… »
Il allait contester lorsque ses yeux se posèrent sur la créature qui le maintenait captif.
Sa peau était plus blanche que la neige contrastant avec ses longs cheveux bruns et bouclés, ses yeux bleus et d’amandes auparavant menaçants étaient devenus doux et emplis de charmes et sa bouche fine arborait un petit sourire coquin. Elle était presque nue, uniquement vêtue de bas résille en dentelle et d’une paire de talons hauts, Jonas était ébahi devant cette beauté et semblait hypnotisé par l’ombre des flammes dansantes sur ses deux énormes seins nus.
Elle s’approcha de Jonas et l’embrassa vigoureusement, serrant sa fesse d’une main et son pénis de l’autre en le masturbant doucement.
Elle l’entraina sur le lit et Jonas s’abandonna totalement à elle, à ses doux baisers et ses caresses enivrantes. Puis à son tour il commença à vouloir toucher cette femme qu’il pensait être une déesse mais elle arrêta son geste en plaçant sa main sur ses testicules.
« Si tu bouges ne serait-ce que d’un millimètre je te les arrache pour faire un collier à Gysia. »
Jonas senti un frisson de terreur parcourir tout son corps, suivi d’une excitation plus grande encore mais il n’avait pas l’intention de désobéir, il sentait qu’elle ne mentait pas. Il choisit de se taire et de la laisser jouer avec son sexe.
Elle était assise, lui allongé. Elle gardait une seule jambe pliée de façon à ce que Jonas ait une vue de choix sur son vagin parfaitement humide et elle se tenait penchée pour que ses seins ne soient plus qu’à quelques centimètres du visage de Jonas qui avait ordre de ne pas bouger.
Il vivait un supplice mais comme sa maîtresse le masturbait il se laissait aller au plaisir, il se risqua à demander :
« Oh douce Maîtresse, laisse-moi venir en toi je t’en prie »Elle ne répondit pas mais se mis à le masturber plus vivement jusqu’à que Jonas gémisse de plaisir elle ralentit la cadence jusqu’à sentir Jonas prêt à lâcher en pleine extase… Puis elle lâcha son sexe et pressa ses testicules, Jonas s’indigna terriblement :
« Aaah pitié Maîtresse j’allais jouir, s’il te plaît continue ! »
Elle le fit taire en posant ses lèvres contre les siennes, attendit quelques secondes avant de recommencer à le masturber jusqu’au bord de l’éjaculation. Jonas se démenait pour ne pas se toucher, il se contractait de toutes ses forces en appelant l’orgasme, il donnait de grands coups de bassins pour espérer se libérer d’une éjaculation grandissante. Elle répéta la procédure bon nombre de fois l’amenant toujours plus près de l’orgasme, puis plaçant sa bouche à quelques millimètres de son pénis et l’effleurant de ses seins. Jonas devenait fou et la suppliais de plus en plus fort de le laisser éjaculer mais elle n’en faisait rien et continuait de l’exciter. Jonas était en sueur, il implorait de ses yeux et de sa bouche la pitié de cette femme sublime et au bout d’un moment, elle monta sur lui et fit rentrer son petit membre dans son vagin élargi par l’énorme gode ceinture de l’amazone.
Jonas totalement aveuglé par l’excitation tentait désespérément d’éjaculer dans le vagin trop large de sa maîtresse qui restait immobile en l’observant d’un air moqueur, puis elle le saisit par les parties en lui chuchotant à l’oreille :
« Maintenant laisse toi faire, petite bite »
Elle en saisit la base de deux doigts puis le fit frotter contre la paroi interne de son vagin, mais chaque fois qu’elle sentait Jonas monter en elle, elle se retirait pour lui présenter sa poitrine et lui faire lécher.
L’opération dura encore une bonne demi-heure lorsque Gysia fit irruption dans la pièce munie d’un gros sac.
« Alors est-ce que la petite salope est prête ?
- Je crois bien que oui mon amour. Est-ce que tu es prêt à éjaculer petite bite ?
- Oui maîtresse s’il te plaît je ferais tout ce que vous voudrez… »
Jonas était au bord des larmes et il aurait vraiment fait n’importe quoi pour pouvoir se vider.
« Bien, nous allons pouvoir t’expliquer la procédure. ; l’amazone parlait d’une voix forte en déballant une caméra et un trépied de son sac ; Tu vois, j’adore me taper des petites lopettes dans ton genre, le meilleur moyen de prouver à un homme qu’il n’est pas supérieur à la femme c’est de l’enculer tu comprends ?
- Pitié, je n’ai jamais prétendu être supérieur à la femme !
- Bien j’ai ton consentement alors. C’est la première fois que je baise une lopette consentante.
- Mais je ne suis pas… »La belle aux talons et bas résille le stoppa dans sa phrase d’un doux baiser, puis elle lui murmura à l’oreille de se taire et de se laisser aller et elle recommença à le masturber vivement. Gysia la géante repris.
« Bien, je disais donc que j’adorais casser des petits culs de mâles arrogants, mais malheureusement c’est assez rare, c’est pourquoi nous profiteront de l’occasion pour filmer la scène. J’espère que tu as un bon jeu d’acteur car tu vas devoir montrer à quel point tu aimes te faire prendre par une femme.
Gysia continuait d’installer son équipement, elle avait fixé une caméra à chaque angle du lit et disposé quatre autres sur chaque côté à l’aide de trépieds, elle se tenait maintenant face au mur décoré de petites lingeries pour femmes.
« Je me demande quelle tenue lui irait le mieux, tu en pense quoi Gladys ?
- Moi je dirais la petite robe rose à froufrou avec les oreilles de lapin. ; elle donna son avis tout en continuant à masturber Jonas et se remis à l’embrasser avec amour.
- Va pour la petite robe, très bon choix chérie ».
Jonas ne prit même pas la peine de regarder, il était totalement absorbé par la belle Gladys qui continuait à le faire monter, lorsqu’il sentait l’éjaculation il jouissait doucement à son oreille pour qu’elle s’arrête, puis elle le laissait embrasser ses seins quelques secondes avant de recommencer à le toucher.
La géante vint lui enfiler sa robe et il se laissa faire, rassuré par le contact de la main de Gladys sur son sexe. Une fois habillé il chercha encore la douceur de ses lèvres mais elles enveloppaient son sexe enfoui dans les froufrous de sa robe. Quand elle releva la tête elle lui murmura tendrement :« Sois fort mon amour »Puis elle se retira, lorsque Jonas tourna la tête il aperçut la géante habillée d’un corset de cuir, elle portait son gode ceinture et à son grand soulagement elle en avait changé le diamètre, mais l’engin lui paraissait au moins trois fois plus gros que le sien. Il sentit la panique s’emparer de lui bien vite suivi de la vague d’excitation devenue familière, la situation était particulièrement humiliante et en plus de ça, il était filmé sous tous les angles.
L’amazone approcha l’engin de sa tête et lui répéta :« Souviens toi que tu adores ça !
- Oui… Maitresse Gysia… »Il commença timidement à sucer le bout du gode mais l’amazone le saisit par les cheveux et y engouffra la totalité jusqu’à la gorge. Jonas déglutit et se força à la besogne, simulant des soupirs de satisfaction, priant pour la géante retire ce truc de sa bouche mais elle prit tout son temps, le visage marqué de satisfaction. Une fois bien excitée, elle retourna Jonas à quatre pattes tel une poupée de chiffon et lui claqua les deux fesses d’une seule main. Jonas s’efforçait de jouer le jeu, il était terrorisé mais son petit pénis était toujours droit comme un i. En arrière-plan se tenait Gladys qui lui faisait de petits signes d’encouragement en se touchant les parties intimes ce qui motiva Jonas à satisfaire ses maîtresses.
« Oooh maîtresse c’est bon, baise moi…- J’y comptais bien ma salope »Elle lui écarta les cuisses et l’enduis de vaseline avant de faire pénétrer difficilement son pénis de plastique dans l’orifice étroit.
Jonas ressentit une grande douleur et des larmes roulèrent sur ses joues. Gladys s’en aperçus et vint le consoler en essuyant ses larmes d’une mains et le masturbant de l’autre, Jonas réussit à se contenir et à gémir de plaisir malgré que l’amazone continue de le sodomiser toujours plus profondément.
Lorsque la géante parvint à le pénétrer totalement elle commença à adopter un rythme régulier et Gladys maintenait sa main immobile pour que Jonas doive donner des coups de bassins pour y frotter son sexe. Jonas se mis à jouir fortement et Gladys retira lentement sa main et s’allongea devant Jonas les jambes écartées pour qu’il lui donne du plaisir. Malgré que Gladys avait arrêté de le masturber, l’excitation de Jonas ne redescendait pas, au contraire elle continuait de s’amplifier comme si le gode de la géante le masturbait de l’intérieur. Il continua de lui-même à donner des coups de bassins malgré la douleur et s’appliqua à pratiquer un cunnilingus à cette femme qui l’avait délicieusement torturé pendant plus d’une heure.
Leur ébat continua ainsi, Gladys et Jonas jubilaient de plaisir tandis que l’Amazone poussait des grognements de satisfaction en enculant Jonas toujours plus violement. Sans prévenir elle le retourna sur le dos et déchira de moitié sa robe, elle saisit sa petite bourse entre ses gros doigts et recommença à sodomiser encore plus fortement Jonas qui se tordait de douleur et de plaisir en gémissant d’une petite voix aiguë. Gladys vint étouffer ses cris en s’asseyant sur son visage et hurlant à son tour de plaisir. L’amazone maintenait Jonas par les cuisses et le violais d’une brutalité extrême. Tous les trois jouissaient à présent fortement et s’apprêtaient à vivre un orgasme collectif, le temps s’était arrêté, chacun ressentant le plaisir à son comble. Le corps de Gladys se mit à trembler tout entier et son Vagin dégagea un jet de cyprine sur le visage de Jonas qui jouissait à son tour, dans le même temps l’orgasme parcourait Gysia et elle se laissa aveugler par ses pulsions assénant un violent coup de poing dans les testicules de Jonas qui se mirent à cracher une quantité incroyable de sperme.
Gladys laissa l’orgasme la quitter complètement, faisant de longs va et viens de plus en plus lent sur le visage de Jonas qui finissait d’asperger sa robe en lambeaux tandis que Gysia se retirait de son anus meurtri.
« C’est bien ma salope tu m’a bien excitée, demain nous pourrons augmenter le diamètre et mettre en place un nouveau scénario. »Jonas lui se tordait de douleur, une main sur les parties et l’autre sur les fesses, de chaudes larmes coulaient abondements sur ses joues, Gladys tentait de le consoler en caressant son visage.
Gysia ouvrit une petite porte coulissante et ce que Jonas pensait être un simple placard laissa place à une véritable vision d’horreur à ses yeux :Derrière la porte se trouvait une petite niche pour chien, juste assez grande pour que Jonas y entre en position fœtale, sur le mur était fixé une lourde chaîne avec un collier ainsi que toutes sortes de posters représentatifs de la suprématie féminine. Gysia en décrocha un intitulé « les 10 commandements de l’homme obéissant » et commença à lire à haute voix :« Tu vénèrera la femme, toute ta vie sera consacrée à elle, tu assouviras ses désirs, tu reconnaîtras ton infériorité, tu la remerciera chaque jour de te laisser exister, tu la laisseras décider de ce qui est bon pour toi, tu feras serment d’obéissance envers la Femme, tu ne te masturberas pas sans la Femme, chacune de tes actions serviront la cause féminine, tu seras soumis à la Femme.
Tu entends ça ? C’est la base que chaque homme devrait connaître sur le bout des doigts mais vous vous en servez pour vous tripoter et user de violence envers vos déesses suprêmes. Tu réciteras ces dix commandements chaque matin au réveil ainsi que chaque soir avant d’aller te coucher, maintenant agenouille toi à mes pieds et viens réciter ta première leçon. »
Jonas obéis et se laissa glisser hors du lit, son anus et ses testicules lui faisant horriblement mal mais il rampa tout de même aux pieds de cette maîtresse géante qui le terrorisait. Il s’’agenouilla difficilement à ses pieds les mains dans le dos, il tremblait de peur et son pénis s’était totalement recroquevillé de façon à ce que seul son petit gland reste visible à travers les froufrous déchirés de sa robe souillée . Il commença à réciter :« Je vénèrerais la femme, ma vie sera à elle… ; Gysia l’interrompis en hurlant de rage ;- CE N’EST PAS CA ! »Elle lui asséna un violent coup de pied dans les testicules ce qui fit rouler Jonas sur le côté, il tenait sa bourse endolorie en gémissant de douleur. Gysia se rua sur lui en criant :« Lâche ça et remets toi à genoux ! »Elle lui arracha les mains de son sexe et se remit à frapper, Gladyss voyant l’amazone aveuglée par la fureur intervint avant que Jonas ne se fasse étriper :
« Gysia tu vois bien qu’il a mal ! Il faut le laisser se reposer maintenant, nous l’avons mis à rude épreuve pour un puceau ! ; Mais Gysia ne se calmait pas, elle saisit Jonas par la cheville et le souleva jusqu’à qu’il ne touche plus le sol ;- Regarde comment il se tortille dans tous les sens ! Il est très mal dressé et si les couilles des hommes ressortent c’est uniquement pour que nous les femmes puissions les rappeler à l’ordre, laisse moi faire son dressage dans les règles !
- Je suis d’accord mais tu ne maîtrises pas ta force chérie ! Vas-y moins fort ! ; Gysia lâcha Jonas qui s’écrasa au sol et planta sn regard plein de haine dans celui de Gladys qui avait osé la contredire ;- Tu défends les hommes maintenant ? Dis le si tu veux repartir dans leur monde, où la femme est méprisée, rabaissée, humiliée… J’ai vu à quel point sa langue t’a faite jouir tout à l’heure, tu ne prends pas autant de plaisir avec moi pas vrai ?
- Gysia non, je voulais simplement…- TAIS-TOI ! Après tout ce que j’ai fait pour toi c’est comme cela que tu me remercie ? Je devrais te tuer sur le champ, mais c’est la Reine qui décidera de ton châtiment après avoir défendu la race inférieure.
- Mon amour tu ne peux pas me faire ça… »Mais Gysia avait assez parlé. Elle gifla durement Gladys qui tomba au sol, puis la releva en la saisissant par la gorge et la suréleva pour que son visage soit au niveau du sien. Elle allait commencer à vociférer lorsque Gladys, dans un élan de survie se saisit du chandelier à sa portée pour lui jeter au visage.
Sous l’effet des flammes Gysia lâcha Gladys en reculant, avant de fondre sur elle en poussant un hurlement de fureur.
Jonas toujours au sol observait la scène, les yeux écarquillés à l’affut d’un échappatoire. Les bougies du chandelier avaient roulé au sol et leurs flammes entamaient le bord du lit, la géante à l’autre bout de la pièce battait Gladys à moins d’un mètre de la porte. Derrière les rideaux se trouvaient peut-être une fenêtre, par chance elle serait ouverte. Il se précipita donc dans sa direction mais en se levant la douleur dans son anus le remis au sol et il ne put retenir un petit couinement. La géante se retourna vers lui et terrifié il adopta instantanément sa posture de soumission : sur le dos, jambes pliées et écartés et les mains derrière la tête.
Gysia hésita une seconde à venir lui régler son compte lorsque Gladys en profita pour lui envoyer un coup de pied dans la mâchoire. L’Amazone ne semblait même pas avoir sentit le coup mais elle détourna tout de même son attention de Jonas pour frapper sa congénère malgré les flammes grandissantes qui se propageaient dans la pièce.
Jonas étouffait et il rampa aussi vite qu’il le pût en direction de la fenêtre. Il se glissa derrière le rideau et fut soulagé en voyant la lumière du jour. Il tenta d’ouvrir le battant mais il était verrouillé. Il risqua un coup d’œil en direction de la géante dominatrice qui semblait l’avoir oublié, et il boita péniblement vers la table de marbre où il saisit un énorme sextoy semblable à un gourdin et s’en servit pour casser le carreau. L’amazone réagit au bruit et se rua sur Jonas qui se glissait déjà vers la sortie, elle frappa avec force et colère sur la fenêtre, ne pouvant pas suivre son jouet par le même passage trop étroit pour elle. Gladys s’était enfuie laissant la brute pris au piège par les flammes.
Jonas avait sauté sans réfléchir pour sauver sa vie et après une chute de plus de six mètres de haut sa course fut amortie par une haie et il roula aux pieds d’une jardinière terriblement sexy qui le regardait stupéfaite, une cisaille à la main. Elle ne mit qu’une seconde avant de crier :« HOMME SUSPECT DANS L’EMPIRE ! »Jonas se leva péniblement et se mis à courir en boitant, il avançait à une vitesse tellement lente que la jardinière le suivait en marchant tranquillement, faisant tournoyer son taille haie, prête à frapper.
Jonas couru ainsi recourber sur lui-même moins d’une centaine de mètres quand deux femmes se postèrent face à lui, les mains sur les hanches. Elles se ressemblaient comme deux gouttes d’eau, probablement des jumelles. Cheveux châtains, longs et lisses venant caresser leurs grosses poitrines nues. Pour seul vêtements elles portaient la même jupe courte, surplombant leurs jambes qui à elles seules auraient pu exciter le plus impuissant des hommes. La seule différence entre les deux jumelles étaient leurs yeux : l’une avait des yeux verts au regard perçant et remplis de méchanceté, la deuxième avait un regard doux aux bleus qui vous donnait envie d’aimer cette femme pour l’éternité.
Jonas s’approcha mais il était trop faible pour tenter de forcer le passage. Il se laissa tomber au sol et se prosterna devant ces créatures divines, il dit d’une voix grelottante :« Je vénère la femme, toute ma vie est consacrée à elle, j’assouvis tous ses désirs, je reconnais mon infériorité, je remercie la Femme chaque jour de me laisser exister, je la laisse décider de ce qui est bon pour moi, je fais serment d’obéissance envers la femme, je ne me masturbe pas sans elle, toutes mes actions servent la cause de la Femme, je suis soumis à la Femme. »Il avait récité par cœur, chacun de ses mots étaient sincères et il attendait docilement la réaction des trois femmes. La jardinière postée derrière lui fit glisser sa cisaille le long de son dos, puis de ses fesses avant d’en appuyer la pointe sur ses testicules. Au contact du dangereux métal l’érection de Jonas ne se fit pas attendre, la jardinière sexy pris la parole :
« Tes paroles semblent sortir du cœur, homme. Mais je viens de mettre le doigt, ou plutôt le bout du mon taille haie, sur ce qui fait de toi un primate agité remplis de pulsions sexuelles. En te coupant les testicules je te libèrerais de tes pulsions et tu pourras servir notre cause sans être perturbé, c’est un véritable cadeau que je te ferais. ; la jumelle aux yeux de serpent parla à son tour ;- Flora a tout à fait raison. Lorsqu’un homme est bien dressé comme toi il n’a plus besoin de ses boules pour être recadré, alors nous n’avons plus qu’à lui retirer pour qu’il puisse enfin être en paix. Tu nous remercieras, maintenant écartes les cuisses. ; Jonas obéis timidement, pleurant et implorant ;- Pitié… Pitié maîtresses je sais que je dois vous laisser décider de ce qui est bon pour moi ais ne me faites pas ça je vous en supplie !
- Ecartes les cuisses ! ; Flora appuyait plus fort le bout de la cisaille sur les testicules de Jonas pour le forcer à coopérer, lorsque la femme aux yeux bleus suggéra ;- Ma sœur, il est vrai que nous devons castrer ce jeune mâle mais après ça il ne bandera plus.
- Oui et alors ?
- Eh bien je me disais, toi comme moi n’avons jamais eu de rapport avec un homme et même si son sexe est plus petit que tous nos sextoys, j’ai vraiment envie d’essayer pas toi ?
- Voyons Zina, si cet homme nous pénètre alors nous serons souillés, et tu sais ce que l’on fait aux femmes souillées de l’empire ? ; la jardinière relâcha la pression sur Jonas et pris part au débat ;- Il n’est pas interdit de baiser un homme soumis, et puis j’ai bien envie de me le faire moi aussi, il m’a terriblement excité dans sa petite robe. »La jumelle aux yeux verts hésita longuement, puis elle présenta son pied à Jonas qui releva la tête pour l’embrasser et il risqua un coup d’œil sous la jupe de la jeune femme. Il ne put décrocher son regard lorsqu’il s’aperçut qu’elle ne portait pas de sous-vêtements et que son petit vagin vierge laissait déjà s’écouler une goute de cyprine le long de sa cuisse. Elle s’écria alors :
« C’est bon, retournez-le ! »Flora et Ziya s’exécutèrent et mirent Jonas sur le dos, la troisième se précipita pour insérer le premier pénis de sa vie dans son orifice. Elle tournait le dos à Jonas et le faisait pénétrer en elle lentement en poussant un soupir de satisfaction. Flora tailla d’un coup sec le reste de la robe de Jonas pour le mettre à nu et pris place en positionnant son vagin sur sa bouche. Ziya tant qu’à elle observait jalousement la scène, n’ayant que ses doigts pour prendre part au plaisir.
Malgré le sort que ces femmes lui réservaient, Jonas profita de ce qui serait son dernier orgasme. Il lécha vigoureusement le vagin de la belle jardinière et ne put réprimer un cri lorsque la jumelle qui le chevauchait attrapa sa bourse en rebondissant furieusement sur son pénis à la manière d’un rodéo. Voyant que Ziya n’en pouvait plus, Flora lui fit signe d’approcher et elle ne se fit pas prier pour se positionner face à la jardinière, jambes écartées pour recevoir son cunillingus.
La scène dura quelques minutes, ces femmes n’étant pas habituées au plaisir charnel se laissaient rapidement envahir par des sensations intenses.
La jumelle sautait brutalement sur le pénis de Jonas manquant de le briser à chaque aller-retour, claquant par moment les couilles compressées de Jonas en criant :« Plus vite ! »Mais Jonas était déjà à son maximum, il avait du mal à suivre la cadence et à se concentrer sur la jardinière, mais cette dernière prenait déjà beaucoup de plaisir malgré les mouvements maladroits de la langue de Jonas sur son clitoris.
La femme aux yeux verts criait de joie grâce au petit pénis, néanmoins elle s’arrêta, essoufflée, et claqua à plusieurs reprises les testicules qu’elle tenait toujours d’une main, Jonas criait alors qu’elle riait aux éclats en frémissant de plaisir. Après l’avoir torturé ainsi un bon moment, elle dit à sa sœur :« A ton tour Ziya, viens faire joujou ! »La belle femme aux yeux bleu était déjà en extase, caressant les cheveux de la jardinière qui s’occupait d’elle à la perfection. Mais lorsqu’elle vit la verge tendue de Jonas des étoiles se mirent à briller dans ses yeux. Elle s’approcha de lui et gouta de sa bouche au sexe masculin.
« C’est bon » Dit-elle.
Elle le suça longuement, se fiant à son instinct pour la procédure. Malgré son manque d’expérience, elle pouvait sentir Jonas frémir et l’entendre pousser de petites plaintes de bonheur, ce qui excitait encore plus la douce jumelle. Elle aurait pu ne jamais s’arrêter, elle aimait trop la sensation que cela lui procurait. Elle finit tout de même par se retirer, et au lieu de s’assoir sur lui comme l’avait fait sa sœur, elle se leva en plaçant ses deux mains contre le mur, jambes écartées elle dit :« Je veux qu’il me prenne comme ça »Sa sœur vint poser son talon sur la bourse de Jonas et lui intima froidement :« T’a entendu ? Tu vas obéir à ma sœur et la prendre comme elle te l’ordonne. ; Jonas ne pouvant pas se défaire de la jardinière qui le tenait fermement par les cheveux articula difficilement ;- Oui… Maîtresse, j’arrive. »Flora finissait de prendre plaisir en s’appuyant de tout son poids sur la bouche de Jonas qui, à moitié étouffé donnait tout ce qu’il avait pour la satisfaire tandis que la jumelle le masturbait du haut de son pied, écrasant ses testicules de son talon à chaque descente. Flora finit d’utiliser Jonas en poussant un grand cri de soulagement, puis elle se releva pour enfiler sa petite jupe verte qui lui remontait jusqu’à la moitié des fesses, et son t-shirt au décolleté descendant plus bas que ses seins. Jonas l’admirait, il la trouvait plus belle que nue, lorsque le pied qui le masturbait écrasa durement ses parties il fut confronté au regard de vipère de la jumelle aux gros seins.
« Baise ma sœur, tu ne l’entends pas gémir ? Dépêche-toi allé ! »C’était vrai, Ziya se tenait toujours face au mur, elle tremblait en gémissant dans l’attente d’une pénétration intense. Jonas se le va et fit face au magnifique fessier qui s’offrait à lui. Il était tellement musclé et bombé qu’il eut du mal à glisser son pénis jusqu’au vagin de la jeune femme. Il y parvint tout de même et, la saisissant par les hanche il commença à la baiser le plus vivement possible. Ziya prenait son pied et répétait en boucle « Baise moi » ce qui excitait Jonas de plus en plus, il se laissa malgré lui aller à ses pulsion, il la baisa sauvagement et se rapprochant de l’éjaculation il eu le malheur de lui claquer une fesse. La jumelle postée derrière lui attrapa instantanément les boules et les tira en arrière.
« Tu vois ce que tes petites choses te font faire ? Continue à baiser ma sœur ; Flora s’approcha cisaille en main et plaça les deux lames autour de la base des testicules de Jonas qui terriblement excité jouissait en suppliant- Pitié maîtresse… Oh que c’est bon ! Pitié je ne recommencerais plus ! Oh ouii… ; Ziya elle aussi jouissait à son tour, excité plus encore sachant que Jonas allait se faire émasculer en venant en elle- Oh oui je sens que ça vient ! Coupe Flora, Coupe il éjacule en moi ! »Jonas était réellement en train d’éjaculer, il se concentrait fortement sur les sensations de l’orgasme, il était près à perdre son appareil génital et c’était la meilleure des manières, il avait décidé de l’accepter et de s’abandonner au plaisir. Il poussa un dernier cri orgasmique en sollicitant :- Coupe Flora, coupe ! ; La jardinière appuya sur les deux extrémités des manches de la cisaille, prête à émasculer à jamais le pauvre homme lorsqu’elle ressentit quelque chose de froid dans sa nuque. Derrière elle retentit une voix ferme et glaçante :« Poses ça tout de suite. »Gladia se tenait derrière la jardinière la pointant de son épée, une lueur de haine dans le regard envers celles qui avaient osées vouloir faire du mal à l’homme qu’elle aimait.
A suivre…
Chapitre 3 : Un plaisir sadique
Jonas, après son acte héroïque, avait tendrement fait l’amour à la demande de sa partenaire toujours attachée et après une bonne demi-heure de sexe, il détacha les liens de sa princesse qui se rhabillait en grommelant :
« C’était sympa mais n’espère pas que ça puisse se reproduire, ta place est à mes pieds.
- Bien sûr Princesse, je n’ai fait qu’exécuter tes désirs. »Sa réponse la ravie et elle l’embrassa vigoureusement. Elle ne comprenait toujours pas l’origine de cette sensation enivrante qui s’emparait d’elle lorsque ses lèvres rencontraient celles de Jonas, mais elle adorait ça.
Amina la guerrière était toujours dans la même posture, nue, les mains liées au pied du lit, elle tentait désespérément de briser les liens en usant de sa mâchoire ce qui ne semblait pas donner le résultat escompté.
Gladia vint se placer face à elle, les mains sur les hanches et ordonna d’un ton sec :« Dis-moi ce que la Reine t’a dit.
- Crève salope je ne te dirais rien. »Elle cracha aux pieds de Gladia et Jonas ne manqua pas de réagir. Il porta soutien à Gladia en venant se positionner derrière la guerrière et appliqua son pouce sur son anus encore endolori ce qui la fit frémir.
« Réponds à ma Princesse, et accordes lui le respect que tu lui dois. »
La guerrière baissa le regard en sentant les larmes lui monter, l’humiliation que Jonas lui avait fait subir une heure plus tôt l’avait profondément blessée, elle ne pourrait pas subir ce châtiment une deuxième fois. C’est Gladia qui prit la parole en premier :
« Bien Jonas, maintenant encule la.
- Non Jonas ne le fait pas ! »Mais Jonas n’avait d’oreille que pour sa princesse. Il s’exécuta et pénétra la guerrière de toutes ses forces qui se mis à pleurer.
Gladia observait la scène, prenant un plaisir malsain à voir souffrir ainsi cette femme qui avait osée la défier, au bout de quelques minutes, elle ordonna à Jonas de se retirer et se pencha aux côtés d’Amina, dans l’attente qu’elle parle.
« J’ai… ; la guerrière sanglotant ; J’ai raconté exactement ce que tu m’a dit à la Reine, elle m’a crue mais elle demande quand même à avoir la preuve que le violeur est bien mort. Laisse-moi partir maintenant je t’en prie.
- Bien, mais si jamais tu parles, tout l’empire saura que le petit saunier t’a sodomisé violemment et je dirais même que tu as aimé ça. Quand la rumeur remontera aux oreilles de la Reine, tu seras bannie pour ta faiblesse face à la gente masculine. Maintenant Vas.
Elle décrocha la guerrière qui parti sans demander son reste avant de donner ses instructions à Jonas.
« Je dois trouver une solution pour la Reine, toi tu retournes au piquet. Personne ne doit savoir que tu étais ici compris ?
- Oui Princesse. »Il la regarda s’éloigner et attendit quelques secondes avant de sortir à son tour. La main plaquée sur son sexe, il se faufila entre les ruelles en essayant de se rappeler du chemin à suivre.
Le jour se levait et la routine matinale de l’empire suivait son cours.
Des femmes balayaient leurs terrasses en chantonnant, d’autres étendaient leur linges, mais toutes arrêtèrent leur tâches pour regarder Jonas avec insistance qui commença à se sentir mal à l’aise et perdu dans ce labyrinthe que formait le quartier. Il se risqua à demander son chemin à une belle femme qui taillait avec soin un joli rosier mais elle lui répondit avec mépris :« Je ne parle pas avec les primates de ton genre, hors de ma vue saleté ! »Jonas se hâtai, il tournait en rond et ne parvenait pas à retrouver la place où Gladia était venu le chercher dans la nuit noire. Il se sentait observé, peut-être même qu’il était suivi. Sur son passage les femmes se retournaient, certaines le sifflaient et d’autres lui claquaient les fesses. Il gardait fermement ses mains sur son petit membre en érection et s’engouffra dans une petite rue étroite lorsque deux femmes surgirent face à lui, l’une d’elle était gigantesque, sans doute près de deux mètres de haut. Elle était extrêmement massive et féminine à la fois, ses seins étaient énormes et ses mains faisaient la taille de la tête de Jonas qui semblait ridicule à côté d’elle du haut de son mètre 70. La deuxième femme avait des proportions plus normales, mais son regard menaçant cerné de maquillage noir ne le rassurait vraiment pas. Il avança timidement vers elles et tenta de se faufiler entre les deux femmes mais la géante le stoppa net.
« Où tu vas comme ça jeune mâle ?
- Lâchez-moi ! »Jonas tentait de se débattre mais l’amazone le tenait fermement par la gorge, il usa de ses deux mains pour s’en libérer en vain, il se débattait comme un petit chien pris au piège, son petit pénis suintant frottant ridiculement sur la cuisse musclée de l’amazone qui riait fortement.
La deuxième le saisit avec force par le sexe, le tordant jusqu’à la limite de la fracture puis elle décida :« On l’emmène. »Jonas se débattait de toute ses forces mais l’amazone le souleva d’une main et le hissa sur son épaule. Le pauvre tentait tant bien que mal de se dégager mais la géante ne bronchait pas, il se fit transporter ainsi pendant une dizaine de minutes lorsqu’ils entrèrent dans une bâtisse et enfermèrent Jonas dans une grande pièce sombre. Il resta seul ainsi quelques minutes, il était terrifié par cette géante et celle qui l’accompagnait n’avait pas l’air plus commode. Il ne chercha pas à s’enfuir et préféra faire ce qu’il faisait si bien : se soumettre.
La femme pénétra dans la pièce, chandelier à la main et Jonas pu enfin voir le lieu où il était.
Une grande chambre tapissée de velours rouge, sur les murs étaient accrochés des lingeries féminines plus sexy les unes que les autres, au centre de la pièce reposait un grand lit de plus de trois mètres de large et sur une table marbrée étaient entreposés toutes sortes de sextoys, dont un qui attira particulièrement l’attention de Jonas. Voyant sa stupéfaction, la femme lui annonça fièrement :« Ah ça, c’est l’outil préféré de Gisya ma petite amie avec qui tu as pu faire connaissance, ne t’inquiètes pas on augmentera progressivement la taille du gode ceinture, si j’ai pu en arriver là alors toi aussi.
- Mais je… »
Il allait contester lorsque ses yeux se posèrent sur la créature qui le maintenait captif.
Sa peau était plus blanche que la neige contrastant avec ses longs cheveux bruns et bouclés, ses yeux bleus et d’amandes auparavant menaçants étaient devenus doux et emplis de charmes et sa bouche fine arborait un petit sourire coquin. Elle était presque nue, uniquement vêtue de bas résille en dentelle et d’une paire de talons hauts, Jonas était ébahi devant cette beauté et semblait hypnotisé par l’ombre des flammes dansantes sur ses deux énormes seins nus.
Elle s’approcha de Jonas et l’embrassa vigoureusement, serrant sa fesse d’une main et son pénis de l’autre en le masturbant doucement.
Elle l’entraina sur le lit et Jonas s’abandonna totalement à elle, à ses doux baisers et ses caresses enivrantes. Puis à son tour il commença à vouloir toucher cette femme qu’il pensait être une déesse mais elle arrêta son geste en plaçant sa main sur ses testicules.
« Si tu bouges ne serait-ce que d’un millimètre je te les arrache pour faire un collier à Gysia. »
Jonas senti un frisson de terreur parcourir tout son corps, suivi d’une excitation plus grande encore mais il n’avait pas l’intention de désobéir, il sentait qu’elle ne mentait pas. Il choisit de se taire et de la laisser jouer avec son sexe.
Elle était assise, lui allongé. Elle gardait une seule jambe pliée de façon à ce que Jonas ait une vue de choix sur son vagin parfaitement humide et elle se tenait penchée pour que ses seins ne soient plus qu’à quelques centimètres du visage de Jonas qui avait ordre de ne pas bouger.
Il vivait un supplice mais comme sa maîtresse le masturbait il se laissait aller au plaisir, il se risqua à demander :
« Oh douce Maîtresse, laisse-moi venir en toi je t’en prie »Elle ne répondit pas mais se mis à le masturber plus vivement jusqu’à que Jonas gémisse de plaisir elle ralentit la cadence jusqu’à sentir Jonas prêt à lâcher en pleine extase… Puis elle lâcha son sexe et pressa ses testicules, Jonas s’indigna terriblement :
« Aaah pitié Maîtresse j’allais jouir, s’il te plaît continue ! »
Elle le fit taire en posant ses lèvres contre les siennes, attendit quelques secondes avant de recommencer à le masturber jusqu’au bord de l’éjaculation. Jonas se démenait pour ne pas se toucher, il se contractait de toutes ses forces en appelant l’orgasme, il donnait de grands coups de bassins pour espérer se libérer d’une éjaculation grandissante. Elle répéta la procédure bon nombre de fois l’amenant toujours plus près de l’orgasme, puis plaçant sa bouche à quelques millimètres de son pénis et l’effleurant de ses seins. Jonas devenait fou et la suppliais de plus en plus fort de le laisser éjaculer mais elle n’en faisait rien et continuait de l’exciter. Jonas était en sueur, il implorait de ses yeux et de sa bouche la pitié de cette femme sublime et au bout d’un moment, elle monta sur lui et fit rentrer son petit membre dans son vagin élargi par l’énorme gode ceinture de l’amazone.
Jonas totalement aveuglé par l’excitation tentait désespérément d’éjaculer dans le vagin trop large de sa maîtresse qui restait immobile en l’observant d’un air moqueur, puis elle le saisit par les parties en lui chuchotant à l’oreille :
« Maintenant laisse toi faire, petite bite »
Elle en saisit la base de deux doigts puis le fit frotter contre la paroi interne de son vagin, mais chaque fois qu’elle sentait Jonas monter en elle, elle se retirait pour lui présenter sa poitrine et lui faire lécher.
L’opération dura encore une bonne demi-heure lorsque Gysia fit irruption dans la pièce munie d’un gros sac.
« Alors est-ce que la petite salope est prête ?
- Je crois bien que oui mon amour. Est-ce que tu es prêt à éjaculer petite bite ?
- Oui maîtresse s’il te plaît je ferais tout ce que vous voudrez… »
Jonas était au bord des larmes et il aurait vraiment fait n’importe quoi pour pouvoir se vider.
« Bien, nous allons pouvoir t’expliquer la procédure. ; l’amazone parlait d’une voix forte en déballant une caméra et un trépied de son sac ; Tu vois, j’adore me taper des petites lopettes dans ton genre, le meilleur moyen de prouver à un homme qu’il n’est pas supérieur à la femme c’est de l’enculer tu comprends ?
- Pitié, je n’ai jamais prétendu être supérieur à la femme !
- Bien j’ai ton consentement alors. C’est la première fois que je baise une lopette consentante.
- Mais je ne suis pas… »La belle aux talons et bas résille le stoppa dans sa phrase d’un doux baiser, puis elle lui murmura à l’oreille de se taire et de se laisser aller et elle recommença à le masturber vivement. Gysia la géante repris.
« Bien, je disais donc que j’adorais casser des petits culs de mâles arrogants, mais malheureusement c’est assez rare, c’est pourquoi nous profiteront de l’occasion pour filmer la scène. J’espère que tu as un bon jeu d’acteur car tu vas devoir montrer à quel point tu aimes te faire prendre par une femme.
Gysia continuait d’installer son équipement, elle avait fixé une caméra à chaque angle du lit et disposé quatre autres sur chaque côté à l’aide de trépieds, elle se tenait maintenant face au mur décoré de petites lingeries pour femmes.
« Je me demande quelle tenue lui irait le mieux, tu en pense quoi Gladys ?
- Moi je dirais la petite robe rose à froufrou avec les oreilles de lapin. ; elle donna son avis tout en continuant à masturber Jonas et se remis à l’embrasser avec amour.
- Va pour la petite robe, très bon choix chérie ».
Jonas ne prit même pas la peine de regarder, il était totalement absorbé par la belle Gladys qui continuait à le faire monter, lorsqu’il sentait l’éjaculation il jouissait doucement à son oreille pour qu’elle s’arrête, puis elle le laissait embrasser ses seins quelques secondes avant de recommencer à le toucher.
La géante vint lui enfiler sa robe et il se laissa faire, rassuré par le contact de la main de Gladys sur son sexe. Une fois habillé il chercha encore la douceur de ses lèvres mais elles enveloppaient son sexe enfoui dans les froufrous de sa robe. Quand elle releva la tête elle lui murmura tendrement :« Sois fort mon amour »Puis elle se retira, lorsque Jonas tourna la tête il aperçut la géante habillée d’un corset de cuir, elle portait son gode ceinture et à son grand soulagement elle en avait changé le diamètre, mais l’engin lui paraissait au moins trois fois plus gros que le sien. Il sentit la panique s’emparer de lui bien vite suivi de la vague d’excitation devenue familière, la situation était particulièrement humiliante et en plus de ça, il était filmé sous tous les angles.
L’amazone approcha l’engin de sa tête et lui répéta :« Souviens toi que tu adores ça !
- Oui… Maitresse Gysia… »Il commença timidement à sucer le bout du gode mais l’amazone le saisit par les cheveux et y engouffra la totalité jusqu’à la gorge. Jonas déglutit et se força à la besogne, simulant des soupirs de satisfaction, priant pour la géante retire ce truc de sa bouche mais elle prit tout son temps, le visage marqué de satisfaction. Une fois bien excitée, elle retourna Jonas à quatre pattes tel une poupée de chiffon et lui claqua les deux fesses d’une seule main. Jonas s’efforçait de jouer le jeu, il était terrorisé mais son petit pénis était toujours droit comme un i. En arrière-plan se tenait Gladys qui lui faisait de petits signes d’encouragement en se touchant les parties intimes ce qui motiva Jonas à satisfaire ses maîtresses.
« Oooh maîtresse c’est bon, baise moi…- J’y comptais bien ma salope »Elle lui écarta les cuisses et l’enduis de vaseline avant de faire pénétrer difficilement son pénis de plastique dans l’orifice étroit.
Jonas ressentit une grande douleur et des larmes roulèrent sur ses joues. Gladys s’en aperçus et vint le consoler en essuyant ses larmes d’une mains et le masturbant de l’autre, Jonas réussit à se contenir et à gémir de plaisir malgré que l’amazone continue de le sodomiser toujours plus profondément.
Lorsque la géante parvint à le pénétrer totalement elle commença à adopter un rythme régulier et Gladys maintenait sa main immobile pour que Jonas doive donner des coups de bassins pour y frotter son sexe. Jonas se mis à jouir fortement et Gladys retira lentement sa main et s’allongea devant Jonas les jambes écartées pour qu’il lui donne du plaisir. Malgré que Gladys avait arrêté de le masturber, l’excitation de Jonas ne redescendait pas, au contraire elle continuait de s’amplifier comme si le gode de la géante le masturbait de l’intérieur. Il continua de lui-même à donner des coups de bassins malgré la douleur et s’appliqua à pratiquer un cunnilingus à cette femme qui l’avait délicieusement torturé pendant plus d’une heure.
Leur ébat continua ainsi, Gladys et Jonas jubilaient de plaisir tandis que l’Amazone poussait des grognements de satisfaction en enculant Jonas toujours plus violement. Sans prévenir elle le retourna sur le dos et déchira de moitié sa robe, elle saisit sa petite bourse entre ses gros doigts et recommença à sodomiser encore plus fortement Jonas qui se tordait de douleur et de plaisir en gémissant d’une petite voix aiguë. Gladys vint étouffer ses cris en s’asseyant sur son visage et hurlant à son tour de plaisir. L’amazone maintenait Jonas par les cuisses et le violais d’une brutalité extrême. Tous les trois jouissaient à présent fortement et s’apprêtaient à vivre un orgasme collectif, le temps s’était arrêté, chacun ressentant le plaisir à son comble. Le corps de Gladys se mit à trembler tout entier et son Vagin dégagea un jet de cyprine sur le visage de Jonas qui jouissait à son tour, dans le même temps l’orgasme parcourait Gysia et elle se laissa aveugler par ses pulsions assénant un violent coup de poing dans les testicules de Jonas qui se mirent à cracher une quantité incroyable de sperme.
Gladys laissa l’orgasme la quitter complètement, faisant de longs va et viens de plus en plus lent sur le visage de Jonas qui finissait d’asperger sa robe en lambeaux tandis que Gysia se retirait de son anus meurtri.
« C’est bien ma salope tu m’a bien excitée, demain nous pourrons augmenter le diamètre et mettre en place un nouveau scénario. »Jonas lui se tordait de douleur, une main sur les parties et l’autre sur les fesses, de chaudes larmes coulaient abondements sur ses joues, Gladys tentait de le consoler en caressant son visage.
Gysia ouvrit une petite porte coulissante et ce que Jonas pensait être un simple placard laissa place à une véritable vision d’horreur à ses yeux :Derrière la porte se trouvait une petite niche pour chien, juste assez grande pour que Jonas y entre en position fœtale, sur le mur était fixé une lourde chaîne avec un collier ainsi que toutes sortes de posters représentatifs de la suprématie féminine. Gysia en décrocha un intitulé « les 10 commandements de l’homme obéissant » et commença à lire à haute voix :« Tu vénèrera la femme, toute ta vie sera consacrée à elle, tu assouviras ses désirs, tu reconnaîtras ton infériorité, tu la remerciera chaque jour de te laisser exister, tu la laisseras décider de ce qui est bon pour toi, tu feras serment d’obéissance envers la Femme, tu ne te masturberas pas sans la Femme, chacune de tes actions serviront la cause féminine, tu seras soumis à la Femme.
Tu entends ça ? C’est la base que chaque homme devrait connaître sur le bout des doigts mais vous vous en servez pour vous tripoter et user de violence envers vos déesses suprêmes. Tu réciteras ces dix commandements chaque matin au réveil ainsi que chaque soir avant d’aller te coucher, maintenant agenouille toi à mes pieds et viens réciter ta première leçon. »
Jonas obéis et se laissa glisser hors du lit, son anus et ses testicules lui faisant horriblement mal mais il rampa tout de même aux pieds de cette maîtresse géante qui le terrorisait. Il s’’agenouilla difficilement à ses pieds les mains dans le dos, il tremblait de peur et son pénis s’était totalement recroquevillé de façon à ce que seul son petit gland reste visible à travers les froufrous déchirés de sa robe souillée . Il commença à réciter :« Je vénèrerais la femme, ma vie sera à elle… ; Gysia l’interrompis en hurlant de rage ;- CE N’EST PAS CA ! »Elle lui asséna un violent coup de pied dans les testicules ce qui fit rouler Jonas sur le côté, il tenait sa bourse endolorie en gémissant de douleur. Gysia se rua sur lui en criant :« Lâche ça et remets toi à genoux ! »Elle lui arracha les mains de son sexe et se remit à frapper, Gladyss voyant l’amazone aveuglée par la fureur intervint avant que Jonas ne se fasse étriper :
« Gysia tu vois bien qu’il a mal ! Il faut le laisser se reposer maintenant, nous l’avons mis à rude épreuve pour un puceau ! ; Mais Gysia ne se calmait pas, elle saisit Jonas par la cheville et le souleva jusqu’à qu’il ne touche plus le sol ;- Regarde comment il se tortille dans tous les sens ! Il est très mal dressé et si les couilles des hommes ressortent c’est uniquement pour que nous les femmes puissions les rappeler à l’ordre, laisse moi faire son dressage dans les règles !
- Je suis d’accord mais tu ne maîtrises pas ta force chérie ! Vas-y moins fort ! ; Gysia lâcha Jonas qui s’écrasa au sol et planta sn regard plein de haine dans celui de Gladys qui avait osé la contredire ;- Tu défends les hommes maintenant ? Dis le si tu veux repartir dans leur monde, où la femme est méprisée, rabaissée, humiliée… J’ai vu à quel point sa langue t’a faite jouir tout à l’heure, tu ne prends pas autant de plaisir avec moi pas vrai ?
- Gysia non, je voulais simplement…- TAIS-TOI ! Après tout ce que j’ai fait pour toi c’est comme cela que tu me remercie ? Je devrais te tuer sur le champ, mais c’est la Reine qui décidera de ton châtiment après avoir défendu la race inférieure.
- Mon amour tu ne peux pas me faire ça… »Mais Gysia avait assez parlé. Elle gifla durement Gladys qui tomba au sol, puis la releva en la saisissant par la gorge et la suréleva pour que son visage soit au niveau du sien. Elle allait commencer à vociférer lorsque Gladys, dans un élan de survie se saisit du chandelier à sa portée pour lui jeter au visage.
Sous l’effet des flammes Gysia lâcha Gladys en reculant, avant de fondre sur elle en poussant un hurlement de fureur.
Jonas toujours au sol observait la scène, les yeux écarquillés à l’affut d’un échappatoire. Les bougies du chandelier avaient roulé au sol et leurs flammes entamaient le bord du lit, la géante à l’autre bout de la pièce battait Gladys à moins d’un mètre de la porte. Derrière les rideaux se trouvaient peut-être une fenêtre, par chance elle serait ouverte. Il se précipita donc dans sa direction mais en se levant la douleur dans son anus le remis au sol et il ne put retenir un petit couinement. La géante se retourna vers lui et terrifié il adopta instantanément sa posture de soumission : sur le dos, jambes pliées et écartés et les mains derrière la tête.
Gysia hésita une seconde à venir lui régler son compte lorsque Gladys en profita pour lui envoyer un coup de pied dans la mâchoire. L’Amazone ne semblait même pas avoir sentit le coup mais elle détourna tout de même son attention de Jonas pour frapper sa congénère malgré les flammes grandissantes qui se propageaient dans la pièce.
Jonas étouffait et il rampa aussi vite qu’il le pût en direction de la fenêtre. Il se glissa derrière le rideau et fut soulagé en voyant la lumière du jour. Il tenta d’ouvrir le battant mais il était verrouillé. Il risqua un coup d’œil en direction de la géante dominatrice qui semblait l’avoir oublié, et il boita péniblement vers la table de marbre où il saisit un énorme sextoy semblable à un gourdin et s’en servit pour casser le carreau. L’amazone réagit au bruit et se rua sur Jonas qui se glissait déjà vers la sortie, elle frappa avec force et colère sur la fenêtre, ne pouvant pas suivre son jouet par le même passage trop étroit pour elle. Gladys s’était enfuie laissant la brute pris au piège par les flammes.
Jonas avait sauté sans réfléchir pour sauver sa vie et après une chute de plus de six mètres de haut sa course fut amortie par une haie et il roula aux pieds d’une jardinière terriblement sexy qui le regardait stupéfaite, une cisaille à la main. Elle ne mit qu’une seconde avant de crier :« HOMME SUSPECT DANS L’EMPIRE ! »Jonas se leva péniblement et se mis à courir en boitant, il avançait à une vitesse tellement lente que la jardinière le suivait en marchant tranquillement, faisant tournoyer son taille haie, prête à frapper.
Jonas couru ainsi recourber sur lui-même moins d’une centaine de mètres quand deux femmes se postèrent face à lui, les mains sur les hanches. Elles se ressemblaient comme deux gouttes d’eau, probablement des jumelles. Cheveux châtains, longs et lisses venant caresser leurs grosses poitrines nues. Pour seul vêtements elles portaient la même jupe courte, surplombant leurs jambes qui à elles seules auraient pu exciter le plus impuissant des hommes. La seule différence entre les deux jumelles étaient leurs yeux : l’une avait des yeux verts au regard perçant et remplis de méchanceté, la deuxième avait un regard doux aux bleus qui vous donnait envie d’aimer cette femme pour l’éternité.
Jonas s’approcha mais il était trop faible pour tenter de forcer le passage. Il se laissa tomber au sol et se prosterna devant ces créatures divines, il dit d’une voix grelottante :« Je vénère la femme, toute ma vie est consacrée à elle, j’assouvis tous ses désirs, je reconnais mon infériorité, je remercie la Femme chaque jour de me laisser exister, je la laisse décider de ce qui est bon pour moi, je fais serment d’obéissance envers la femme, je ne me masturbe pas sans elle, toutes mes actions servent la cause de la Femme, je suis soumis à la Femme. »Il avait récité par cœur, chacun de ses mots étaient sincères et il attendait docilement la réaction des trois femmes. La jardinière postée derrière lui fit glisser sa cisaille le long de son dos, puis de ses fesses avant d’en appuyer la pointe sur ses testicules. Au contact du dangereux métal l’érection de Jonas ne se fit pas attendre, la jardinière sexy pris la parole :
« Tes paroles semblent sortir du cœur, homme. Mais je viens de mettre le doigt, ou plutôt le bout du mon taille haie, sur ce qui fait de toi un primate agité remplis de pulsions sexuelles. En te coupant les testicules je te libèrerais de tes pulsions et tu pourras servir notre cause sans être perturbé, c’est un véritable cadeau que je te ferais. ; la jumelle aux yeux de serpent parla à son tour ;- Flora a tout à fait raison. Lorsqu’un homme est bien dressé comme toi il n’a plus besoin de ses boules pour être recadré, alors nous n’avons plus qu’à lui retirer pour qu’il puisse enfin être en paix. Tu nous remercieras, maintenant écartes les cuisses. ; Jonas obéis timidement, pleurant et implorant ;- Pitié… Pitié maîtresses je sais que je dois vous laisser décider de ce qui est bon pour moi ais ne me faites pas ça je vous en supplie !
- Ecartes les cuisses ! ; Flora appuyait plus fort le bout de la cisaille sur les testicules de Jonas pour le forcer à coopérer, lorsque la femme aux yeux bleus suggéra ;- Ma sœur, il est vrai que nous devons castrer ce jeune mâle mais après ça il ne bandera plus.
- Oui et alors ?
- Eh bien je me disais, toi comme moi n’avons jamais eu de rapport avec un homme et même si son sexe est plus petit que tous nos sextoys, j’ai vraiment envie d’essayer pas toi ?
- Voyons Zina, si cet homme nous pénètre alors nous serons souillés, et tu sais ce que l’on fait aux femmes souillées de l’empire ? ; la jardinière relâcha la pression sur Jonas et pris part au débat ;- Il n’est pas interdit de baiser un homme soumis, et puis j’ai bien envie de me le faire moi aussi, il m’a terriblement excité dans sa petite robe. »La jumelle aux yeux verts hésita longuement, puis elle présenta son pied à Jonas qui releva la tête pour l’embrasser et il risqua un coup d’œil sous la jupe de la jeune femme. Il ne put décrocher son regard lorsqu’il s’aperçut qu’elle ne portait pas de sous-vêtements et que son petit vagin vierge laissait déjà s’écouler une goute de cyprine le long de sa cuisse. Elle s’écria alors :
« C’est bon, retournez-le ! »Flora et Ziya s’exécutèrent et mirent Jonas sur le dos, la troisième se précipita pour insérer le premier pénis de sa vie dans son orifice. Elle tournait le dos à Jonas et le faisait pénétrer en elle lentement en poussant un soupir de satisfaction. Flora tailla d’un coup sec le reste de la robe de Jonas pour le mettre à nu et pris place en positionnant son vagin sur sa bouche. Ziya tant qu’à elle observait jalousement la scène, n’ayant que ses doigts pour prendre part au plaisir.
Malgré le sort que ces femmes lui réservaient, Jonas profita de ce qui serait son dernier orgasme. Il lécha vigoureusement le vagin de la belle jardinière et ne put réprimer un cri lorsque la jumelle qui le chevauchait attrapa sa bourse en rebondissant furieusement sur son pénis à la manière d’un rodéo. Voyant que Ziya n’en pouvait plus, Flora lui fit signe d’approcher et elle ne se fit pas prier pour se positionner face à la jardinière, jambes écartées pour recevoir son cunillingus.
La scène dura quelques minutes, ces femmes n’étant pas habituées au plaisir charnel se laissaient rapidement envahir par des sensations intenses.
La jumelle sautait brutalement sur le pénis de Jonas manquant de le briser à chaque aller-retour, claquant par moment les couilles compressées de Jonas en criant :« Plus vite ! »Mais Jonas était déjà à son maximum, il avait du mal à suivre la cadence et à se concentrer sur la jardinière, mais cette dernière prenait déjà beaucoup de plaisir malgré les mouvements maladroits de la langue de Jonas sur son clitoris.
La femme aux yeux verts criait de joie grâce au petit pénis, néanmoins elle s’arrêta, essoufflée, et claqua à plusieurs reprises les testicules qu’elle tenait toujours d’une main, Jonas criait alors qu’elle riait aux éclats en frémissant de plaisir. Après l’avoir torturé ainsi un bon moment, elle dit à sa sœur :« A ton tour Ziya, viens faire joujou ! »La belle femme aux yeux bleu était déjà en extase, caressant les cheveux de la jardinière qui s’occupait d’elle à la perfection. Mais lorsqu’elle vit la verge tendue de Jonas des étoiles se mirent à briller dans ses yeux. Elle s’approcha de lui et gouta de sa bouche au sexe masculin.
« C’est bon » Dit-elle.
Elle le suça longuement, se fiant à son instinct pour la procédure. Malgré son manque d’expérience, elle pouvait sentir Jonas frémir et l’entendre pousser de petites plaintes de bonheur, ce qui excitait encore plus la douce jumelle. Elle aurait pu ne jamais s’arrêter, elle aimait trop la sensation que cela lui procurait. Elle finit tout de même par se retirer, et au lieu de s’assoir sur lui comme l’avait fait sa sœur, elle se leva en plaçant ses deux mains contre le mur, jambes écartées elle dit :« Je veux qu’il me prenne comme ça »Sa sœur vint poser son talon sur la bourse de Jonas et lui intima froidement :« T’a entendu ? Tu vas obéir à ma sœur et la prendre comme elle te l’ordonne. ; Jonas ne pouvant pas se défaire de la jardinière qui le tenait fermement par les cheveux articula difficilement ;- Oui… Maîtresse, j’arrive. »Flora finissait de prendre plaisir en s’appuyant de tout son poids sur la bouche de Jonas qui, à moitié étouffé donnait tout ce qu’il avait pour la satisfaire tandis que la jumelle le masturbait du haut de son pied, écrasant ses testicules de son talon à chaque descente. Flora finit d’utiliser Jonas en poussant un grand cri de soulagement, puis elle se releva pour enfiler sa petite jupe verte qui lui remontait jusqu’à la moitié des fesses, et son t-shirt au décolleté descendant plus bas que ses seins. Jonas l’admirait, il la trouvait plus belle que nue, lorsque le pied qui le masturbait écrasa durement ses parties il fut confronté au regard de vipère de la jumelle aux gros seins.
« Baise ma sœur, tu ne l’entends pas gémir ? Dépêche-toi allé ! »C’était vrai, Ziya se tenait toujours face au mur, elle tremblait en gémissant dans l’attente d’une pénétration intense. Jonas se le va et fit face au magnifique fessier qui s’offrait à lui. Il était tellement musclé et bombé qu’il eut du mal à glisser son pénis jusqu’au vagin de la jeune femme. Il y parvint tout de même et, la saisissant par les hanche il commença à la baiser le plus vivement possible. Ziya prenait son pied et répétait en boucle « Baise moi » ce qui excitait Jonas de plus en plus, il se laissa malgré lui aller à ses pulsion, il la baisa sauvagement et se rapprochant de l’éjaculation il eu le malheur de lui claquer une fesse. La jumelle postée derrière lui attrapa instantanément les boules et les tira en arrière.
« Tu vois ce que tes petites choses te font faire ? Continue à baiser ma sœur ; Flora s’approcha cisaille en main et plaça les deux lames autour de la base des testicules de Jonas qui terriblement excité jouissait en suppliant- Pitié maîtresse… Oh que c’est bon ! Pitié je ne recommencerais plus ! Oh ouii… ; Ziya elle aussi jouissait à son tour, excité plus encore sachant que Jonas allait se faire émasculer en venant en elle- Oh oui je sens que ça vient ! Coupe Flora, Coupe il éjacule en moi ! »Jonas était réellement en train d’éjaculer, il se concentrait fortement sur les sensations de l’orgasme, il était près à perdre son appareil génital et c’était la meilleure des manières, il avait décidé de l’accepter et de s’abandonner au plaisir. Il poussa un dernier cri orgasmique en sollicitant :- Coupe Flora, coupe ! ; La jardinière appuya sur les deux extrémités des manches de la cisaille, prête à émasculer à jamais le pauvre homme lorsqu’elle ressentit quelque chose de froid dans sa nuque. Derrière elle retentit une voix ferme et glaçante :« Poses ça tout de suite. »Gladia se tenait derrière la jardinière la pointant de son épée, une lueur de haine dans le regard envers celles qui avaient osées vouloir faire du mal à l’homme qu’elle aimait.
A suivre…
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