l'employée du mois
Récit érotique écrit par Emma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2005 dans la catégorie Dans la zone rouge
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l'employée du mois
L’employée du mois
Ce jour là le second directeur de l’entreprise dans laquelle je travaille m’attendait dans le bureau du grand chef pour me donner la direction du secteur financier. Cela faisait des semaines que je patientais pour cette promotion.
Je savais comment les femmes de cette entreprise accédaient à des postes importants, je n’eut aucune hésitation.
Willy m’invita à entrer, et s’assit dans le fauteuil derrière le bureau qui pour une fois était impeccablement rangé. Je m’assis sur ses genoux, jambes écartées, il remarqua immédiatement que je ne portais aucun sou vêtements. Je desserrais sa cravate du bout des doigts, il ne quittait pas mon décolleté des yeux. Apparemment mon bustier en satin noir et ma jupe blanche très courte lui plaisait. Je l’embrassais en lui caressant le torse. Il se laissa faire quand je commençais à lui enlever sa chemise. Passant ma main entre ses cuisses je sentis une énorme raideur, son visage jouissais déjà. Je prit ses mains et les posa sur mes sains, pour qu’il sente mes tétons bien durs. Willy dégrafa mon bustier et commença a me caressait les seins. Soudain le grand chef entra dans son bureau et referma la porte à clef. Il s’assit dans le fauteuil en face de son second et m’ordonna :
« Suce le jusqu’à ce que ça lui fasse mal de t’éjaculer dans la bouche. »
En docile employé, je m’exécutais. Partant des pectoraux, je déposais de petits bisous sur tout son torse. Une fois arrivé a sa ceinture j’appuyé machinalement sur un des boutons sur le côté du fauteuil que je connaissais par cœur. Le dossier s’inclina vers l’arrière, me laissant libre accès à la braguette de Willy. Je pouvais voir et sentir sa bite énorme et dure comme de la pierre au travers de son pantalon. Sa ceinture l’abandonna vite. Je descendis lentement sa braguette du bout des doigts. Puis je m’agenouillais brusquement et lui arracher son pantalon. Mon action s’accompagna d’un puissant râle. Son boxer était totalement distendu, je le lui enlevais.
A la vue de son gland rose et appétissant je ne pus m’empêcher de le lui embrasser. Puis je le suçotais du bout des lèvres le décalottant de tant à autres avec la langue. D’une main forte et déterminer, Willy me força à engloutir sa bite en entier. Je le sentis se trémousser de plaisir, il maintint la pression sur ta tête. Je le suçais comme je l’aurais fait avec un esquimau. Il m’imposa de mouvements de va et viens, ne se cachant pas du bien que je lui faisait. Le grand patron continuait de nous observait. Après environ cinq minutes d’aller- retour puissant et délicieux dans ma gorge je sentis son pieu se raidir de plus belle. Puis un liquide chaud envahit ma bouche par saccade, j’avalais la liqueur tout en le décalottant parfois avec la langue, j’entendais les gémissements de mon supérieur alors qui me tira la tête en arrière et me balança deux grandes giclées de sperme dans la figure. Je terminais par lui titiller l’extrémité du gland avec le bout de ma langue. Willy ne m’avait jamais reconnu autant de qualité que ce jour là.
Comme le mouillais déjà depuis un petit moment, les choses ne devaient pas s’arrêter là.
Je remonter ma petite jupe sur mes hanches. Sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, l’empoignait la bite de Willy d’une main et invitais mon chef a se joindre a nous de l’autre.
Je m’assis sur Willy de manière à ce qu’il n’est rien à faire pendant la sodomie qui m’attendait.
Mr Durant bandé déjà autant que Willy. Il se déshabilla lui-même, rapidement. Brusquement, Willy posa ses mains sur mes hanches, m’enfonça encore plus profondément sa verge dans le cul et me jeta à plat ventre sur le bureau. I adorait les enculer les femmes dans cette position. Mr Durant était toujours de l’autre côté du bureau. Il mis sa bite devant mon visage, il n’avait pas besoin de la tenir tellement elle était raide et droite. Je commençais à le sucer, ma langue parcourait son gland, et mes lèvres pinçaient son imposant membre. Puis il le retira de ma bouche et le fourra entre mes seins. Il eut droit à une redoutable branlette espagnole, pendant que Willy me sodomisait avec une énergie presque fiévreuse. Les grands coups de butoir que je recevais dans l’anus me faisaient presque hurler de plaisir. J’adore sentir une grosse bite bien dur me racler le cul jusqu’au fond. Ces va et viens me faisait halluciner de bonheur.
Après avoir éjaculer au plus loin de mon anus, il se retira, se rhabilla et sortis de la pièce en coup de vent. Pendant ce temps Mr Durant avait continué de se branler dans mes seins. Il m’envoya toute la sauce sur le visage avec de petits cris grave et délicieux de plaisir.
Désireux de finir le travail entreprit, il me lâcha la poitrine, puis il fit le tour du bureau, me retourna et enfourna son énorme bite dans ma chatte ruisselante tellement je mouillais. Je le sentais frotter son gland au plus profond de moi. Les aller et retour entre mes jambes écartées me firent grimper au 7e siècle. Il y allé à grand coup de bite, me laminant la chatte sans la moindre hésitation. Je criais plusieurs fois sous l’effet de puissants orgasmes. Quel bonheur de sentir un homme si loin dans sa chatte !!!
Ce jour là le second directeur de l’entreprise dans laquelle je travaille m’attendait dans le bureau du grand chef pour me donner la direction du secteur financier. Cela faisait des semaines que je patientais pour cette promotion.
Je savais comment les femmes de cette entreprise accédaient à des postes importants, je n’eut aucune hésitation.
Willy m’invita à entrer, et s’assit dans le fauteuil derrière le bureau qui pour une fois était impeccablement rangé. Je m’assis sur ses genoux, jambes écartées, il remarqua immédiatement que je ne portais aucun sou vêtements. Je desserrais sa cravate du bout des doigts, il ne quittait pas mon décolleté des yeux. Apparemment mon bustier en satin noir et ma jupe blanche très courte lui plaisait. Je l’embrassais en lui caressant le torse. Il se laissa faire quand je commençais à lui enlever sa chemise. Passant ma main entre ses cuisses je sentis une énorme raideur, son visage jouissais déjà. Je prit ses mains et les posa sur mes sains, pour qu’il sente mes tétons bien durs. Willy dégrafa mon bustier et commença a me caressait les seins. Soudain le grand chef entra dans son bureau et referma la porte à clef. Il s’assit dans le fauteuil en face de son second et m’ordonna :
« Suce le jusqu’à ce que ça lui fasse mal de t’éjaculer dans la bouche. »
En docile employé, je m’exécutais. Partant des pectoraux, je déposais de petits bisous sur tout son torse. Une fois arrivé a sa ceinture j’appuyé machinalement sur un des boutons sur le côté du fauteuil que je connaissais par cœur. Le dossier s’inclina vers l’arrière, me laissant libre accès à la braguette de Willy. Je pouvais voir et sentir sa bite énorme et dure comme de la pierre au travers de son pantalon. Sa ceinture l’abandonna vite. Je descendis lentement sa braguette du bout des doigts. Puis je m’agenouillais brusquement et lui arracher son pantalon. Mon action s’accompagna d’un puissant râle. Son boxer était totalement distendu, je le lui enlevais.
A la vue de son gland rose et appétissant je ne pus m’empêcher de le lui embrasser. Puis je le suçotais du bout des lèvres le décalottant de tant à autres avec la langue. D’une main forte et déterminer, Willy me força à engloutir sa bite en entier. Je le sentis se trémousser de plaisir, il maintint la pression sur ta tête. Je le suçais comme je l’aurais fait avec un esquimau. Il m’imposa de mouvements de va et viens, ne se cachant pas du bien que je lui faisait. Le grand patron continuait de nous observait. Après environ cinq minutes d’aller- retour puissant et délicieux dans ma gorge je sentis son pieu se raidir de plus belle. Puis un liquide chaud envahit ma bouche par saccade, j’avalais la liqueur tout en le décalottant parfois avec la langue, j’entendais les gémissements de mon supérieur alors qui me tira la tête en arrière et me balança deux grandes giclées de sperme dans la figure. Je terminais par lui titiller l’extrémité du gland avec le bout de ma langue. Willy ne m’avait jamais reconnu autant de qualité que ce jour là.
Comme le mouillais déjà depuis un petit moment, les choses ne devaient pas s’arrêter là.
Je remonter ma petite jupe sur mes hanches. Sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, l’empoignait la bite de Willy d’une main et invitais mon chef a se joindre a nous de l’autre.
Je m’assis sur Willy de manière à ce qu’il n’est rien à faire pendant la sodomie qui m’attendait.
Mr Durant bandé déjà autant que Willy. Il se déshabilla lui-même, rapidement. Brusquement, Willy posa ses mains sur mes hanches, m’enfonça encore plus profondément sa verge dans le cul et me jeta à plat ventre sur le bureau. I adorait les enculer les femmes dans cette position. Mr Durant était toujours de l’autre côté du bureau. Il mis sa bite devant mon visage, il n’avait pas besoin de la tenir tellement elle était raide et droite. Je commençais à le sucer, ma langue parcourait son gland, et mes lèvres pinçaient son imposant membre. Puis il le retira de ma bouche et le fourra entre mes seins. Il eut droit à une redoutable branlette espagnole, pendant que Willy me sodomisait avec une énergie presque fiévreuse. Les grands coups de butoir que je recevais dans l’anus me faisaient presque hurler de plaisir. J’adore sentir une grosse bite bien dur me racler le cul jusqu’au fond. Ces va et viens me faisait halluciner de bonheur.
Après avoir éjaculer au plus loin de mon anus, il se retira, se rhabilla et sortis de la pièce en coup de vent. Pendant ce temps Mr Durant avait continué de se branler dans mes seins. Il m’envoya toute la sauce sur le visage avec de petits cris grave et délicieux de plaisir.
Désireux de finir le travail entreprit, il me lâcha la poitrine, puis il fit le tour du bureau, me retourna et enfourna son énorme bite dans ma chatte ruisselante tellement je mouillais. Je le sentais frotter son gland au plus profond de moi. Les aller et retour entre mes jambes écartées me firent grimper au 7e siècle. Il y allé à grand coup de bite, me laminant la chatte sans la moindre hésitation. Je criais plusieurs fois sous l’effet de puissants orgasmes. Quel bonheur de sentir un homme si loin dans sa chatte !!!
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bonjour , bien ton histoire mais tu ne te décris pas assez