L'envoutement 1

- Par l'auteur HDS Pegazzz -
Récit érotique écrit par Pegazzz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
  • • 1 récit publié.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 10.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Pegazzz ont reçu un total de 4 028 visites.
Récit libertin : L'envoutement 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 4 028 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(10.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
L'envoutement 1
Bonjour à tous,
Je suis Laetitia, métisse franco -camerounaise au yeux vert et à la peau caramel de 34 ans. Je mesure 1m72 avec des fesses africaines qui ne manquent jamais d’attirer les regards des hommes tant elles sont d’après ce qu’ils disent « parfaites », il faut dire que je m’entretiens à coup d’ abonnement à la gym. Ah mes seins ? un 90 D naturel que j’adore mettre en valeur avec des décolleté sexy.

Jules mon mari est un jeune et brillant homme politique de 40 ans. Ici au Cameroun, il représente la jeunesse. Nous sommes ensemble depuis 9 ans et mariés depuis 6, je ne l’avais jamais trompé car j’en étais éperdument amoureuse et qu’il m’avait toujours combler en tous points.

L ‘histoire que je viens vous raconter à commencer il y a 4 mois par un simple coup de fil de ma meilleure amie Sylvie qui m’invitait sur une ile du Gabon appelée la Pointe-Denis afin de célébrer son anniversaire le temps d’un week-end. Sylvie était depuis deux ans la maitresse d’un ministre du pouvoir en place. C’était d’ailleurs pour cette raison que mon mari et moi avions décidé que je devais la fréquenter le moins possible.
Cependant pour ses 35 ans d’anniversaire, elle insista fortement afin que je sois de la fête.
Je consultais mon époux à son arrivée du travail et lui expliquais que ce n’était que le temps d’un weekend et que je ne tenais pas à perdre ma meilleure ami à cause de sa carrière politique et que de toutes façons il ne pouvait rien m’arriver. Après une grosse dispute, mon mari accepta de me laisser partir.

Deux jours plus tard, nous étions dans l’avion pour Libreville, la capitale du Gabon . A bord, Sylvie, deux de ses copines dont je fis la connaissance dans l’avion et moi.

Arrivées à Libreville, nous nous sommes rendu dans une marina où un magnifique bateau nous attendait afin de nous emmener sur l’ile.

Après une traversée qui dura 20 minutes pendant lesquelles le champagnes coulait à flots, nous accostâmes sur cette magnifique ile. Un jeune homme nous attendait sur la plage et proposa de nous emmener jusqu’à la maison que nous devions occuper pour notre petit weekend entre copines.
Alors que nous rentrons dans la propriété, et marchions dans cette immense jardin, de la musique venant de la maison s’entendait de plus en plus clairement. Je demandais à mon amie si il y avait quelqu'un à l’intérieur et elle me répondis avec un grand sourire que s’était une surprise. Une fois la porte d’entrée passée, mon sang ne fit qu’un tour, en effet, assis là , je reconnu le petit ami de Sylvie ; il était affalé dans un fauteuil en train de boire et discuter avec un autre homme qui semblait il avait la cinquantaine, mince, noir et très laid et détonait avec le cadre tant il était habillé de manière bizarre et paraissait sal. Il était vêtu d’un bas de survêtement, un débardeur blanc vieux et sale et avait une plume rouge dans les cheveux.
Par politesse, je fis comme les autres la bise à ces deux hommes et m’aperçus que cette homme n’était pas répugnant qu’en apparence, il sentait aussi extrêmement mauvais à croire qu’il n’avait pas pris de douche depuis très longtemps.

J’entrainais Sylvie sur la terrasse et lui reprochait de m’avoir entrainer dans ce traquenard. Elle me fit comprendre que la villa appartenait à son amant et qu’elle n’avait pas eu le choix que d’accepter sa présence mais étant donné qu’elle tenait à ce que sois présente, elle avait dû me le cacher.
Après je quelques minutes, je me résignait et pris la coupe de champagne que Sylvie m’apporta en guise de pardon.

Les heures défilaient tout comme les coupes de champagnes, et je remarquais rapidement que le Maitre, c’est comme ça que tout le monde l’appelait me regardait de manière très insistante. J’appris de Sylvie qu’il était le féticheur de son amant. Cela expliquait son allure !
Autour de 22h je ne me sentais pas bien du tout, j’avais surement bu l’équivalent de trois bouteilles de champagne. Je demandais discrètement à Sylvie de m’emmener dans la chambre que j’allais occuper afin que je puisse dormir. Ce qu’elle fit. Aussi tôt seule, j’enlevais la robe de plage que je portais et sombrais dans un sommeil profond.

Tout à coup, j’ouvris les yeux car j’ai senti que l’on me touchait. Quelle horreur ! C’était Maitre, il était là tout nu et était en train de me passer une sorte d’huile sur le corps. Je voulu crier mais je n’y arrivais pas. Il me regardait fixement avec un sourire diabolique et me dit « tu es à moi maintenant » !
Aussitôt dit, je sentais une onde puissante me parcourir le corps tout entier et un sentiment étrange s’empara de moi. J’ouvris les yeux et découvris Maitre qui se tenais à présent debout au pied du lit, le sexe fièrement dressé. Il avait le sexe le plus long et le plus gros que je n’avais jamais vu au moins 27 cm et je le voulais, lui et son sexe, je voulais être sienne. Je ressentais pour cet être abominable un désir tel que je n’en avais jamais connu.

« Alors », me dit-il en venant sur moi, tu ne fais plus la farouche ? Tu vas devenir ma femme ! j’eu à cet instant la force de lui dire que je suis déjà mariée et que j’allais porter plainte si jamais il me touchait. Mais lorsque il posa sa main sur mon sein en me disant qu’il m’avait désirer au premier regard, je senti que je me mis à mouiller comme jamais auparavant et que mon cœur se mit à battre la chamade. Il s’allongeait de tout son corps nu et musclé sur moi sans que je n’oppose aucune résistance. Son odeur était horrible cependant j’avais l’impression à chaque inspiration qu’elle m’excitait de plus en plus. Je sentais son sexe à l’entrée de mon vagin, j’écartais mes jambes afin de lui en faciliter l’accès Pourtant il restait là à me faire languir « tu dois me le dire » me dit-il.. dire quoi ? lui dis-je d’une voix tremblotante et implorante. Que tu m’appartient.. Je ne sais pas comment mais ces mots sortirent tout seul de ma bouche. Je suis à toi lui dis-je d’une voix sensuelle tout en prenant son sexe dans ma main et en le mettant dans ma chatte. Il me mis un coup de reins qui fit tomber les dernières barrières de mon esprits si il en restait et me donna un énorme orgasme qui manqua de me faire tomber dans les pommes. Il se pencha alors vers moi et m’ordonna de l’embrasser ce que je fis et en même temps que je découvrais cette haleine immonde, je découvrais aussi l’amour. Je me sentais femme dans les bras de cet homme il me regarda et me dit qu’il n’avait jamais eu l’occasion de posséder une femme aussi belle que moi et que serais à lui pour toujours. Je me sentais femme avec sa bite en moi, elle me remplissait tellement bien que je lui dis « je t’aime, fais-moi l’amour chéri… je suis à toi » puis je me mis à l ‘embrasser de nouveau.
Je n’arrivais pas à me détacher de lui, je ne voulais pas qu’il se détache de moi. Il m’infligeait de longs vas et viens ce qui me fit jouir à nouveau tout mettant mes jambes autour de ses reins car je voulais le sentir au plus profond de moi pendant que je perdais le contrôle. Il me retourna et me mis à quatre patte, il joua avec mes fesses en leur mettant quelque claque et en me disant que j’avais le plus beau cul du monde. Puis il me pénétra cette fois ci avec violence et il se mis à me baiser comme une chienne. Il me rendait folle, je me sentais devenir son objet sexuel et cela m’excitait au plus haut point. Après 5 bonnes minutes de ce traitement je sentit qu’il allait jouir et je ne sais pas pourquoi mais je l’ai fixer avec tendresse et lui ai dit jouis en moi stp, je suis en période d’ovulation, je veux porter ton enfant !! Il me déchargea en moi de long jets de sperme chaud et cette sensation m’a totalement rendu folle car une fois qu’il avait jouis je me suis retirée et jetée sur sa bite comme une affamée, je voulais le remercier. Il n’avait pas débander, il était dur comme une barre de fer. Il a commencé à me titiller le petit trou avant de tout de suite y faire rentrer un doigt et constatant que j’étais toute serrée, il me dit « ton mari ne t’a jamais enculée ma petite femme. Je vais y remédier » je n’avais jamais été sodomisée mais le désir de lui prouver mon amour était plus fort alors je lui dis, « je suis à toi mon amour, je veux que tu sois le premier ». Sans attendre il m’allongea sur le ventre avant de cracher dans sa main et d’étaler sa salive le long de ma raie et sur mon œillet. Puis s’allongeant sur moi il me dit dans l’oreille « dis-moi que tu m’aime et que tu veux que je t’encules » et moi de lui dire tout de suite, « je t’aime mon amour, encule moi stp ». il commença sa poussée lentement avant de mettre un coup sec dès qu’il eut senti un peu de résistance. J’eus très mal sur le coup mais l’extase remplaça vite la douleur « tu mouilles du cul chérie me dit-il ! Tu aimes ? » Oui mon amour je te sens bien tu es l’homme de ma vie, je veux être à toi pour toujours. Je l’encourageai afin qu’il n’arrête pas de me donner du plaisir. Puis que j’ai dû jouir 3 ou 4 fois, il vint dans mon cul et s’effondra sur le lit. Je vins me blottir dans ses bras et l’embrasser à pleine bouche. Je venais de tomber amoureuse d’un autre homme.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : L'envoutement 1
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Pegazzz

L'envoutement 1 - Récit érotique publié le 03-11-2020