L'épicière - histoire érotique

J’habite dans un petit village de moins de 500 habitants. Il n’y a plus de commerce, juste une vague
épicerie. Je suis copine avec l’épicière depuis notre enfance. Elle est mariée avec un gars de la
ville d’à coté qui ne se plait pas dans mon village. Depuis plusieurs mois, il a du rencontrer une
autre femme: il rentre de plus en plus tard, ne baise pratiquement plus sa femme. Elle m’a souvent
dit qu’elle était obligée de se satisfaire seule. Comme je ne cherche pas d’homme il y a longtemps
que je fait comme elle. Je lui propose de venir avec moi, après la fermeture du magasin, acheter des
bricoles en ville.
Une fois changée elle est méconnaissable: elle ressemble plus à une actrice qu’à une villageoise. En
coures de route, elle me demande exactement quel genre d’achat nous devons faire. Je fait celle qui
ne l’entend pas. Je me gare dans une petite rue et l’entraine dans un sex-shop. Elle a un mouvement
de recul.
- Je n’entre pas dans ce genre de magasin.
- Si, tu y trouvera tout pour te contenter quand ton mati n’est pas là.
- Je ne veux rien.
- Si je te propose une belle bite.
- Je ne dois pas non, je me branle souvent seule, mais je refuse de me mettre ce genre d’engin toute
seule.
Je fais la grande dame, alors qu’elle me satisfait déjà.
Je ne tiens pas compte de son refus. Je choisis un beau godemichet que je lui montre: elle me dit
- Ca ressemble à une vrai bite.
- C’est bien pour ça que beaucoup de femmes en ont. Mêmes des femmes mariées qui s’en servent pour
se branler ou jouer avec leurs maris. Je vais en acheter un aussi, le mien commence à être vieillot.
Je n’arrête pas là, je prend deux paires de boules de geisha, un pour moi el l’autre pour elle.
Encore des explications
- Ca sert à quoi ?
- A te les mettre au con des que tu te lève et tu les gardes en toi le plus longtemps possible. Au
début tu sera obligé de les enlever à cause de l’excitation que tu sentira monter en toi, jusqu’à te
branler; après tu pourra même jouir sans les enlever: te verra quand tu jouira devant les autres
sans rien faire paraître.
Elle ne parait pas très convaincue. Nous rentrons directement chez elle. Bien entendu son mari n’est
pas là. Nous déballons nos achats, je met les miens de coté. Elle ouvre son paquet et prend la bite
en rougissant:
- Je ne pourrai jamais m’en servir toute seule.
- Tu pourrai le faire, essayes, non ?
- Je ne pourrai jamais me baiser ainsi.
- Qui te parle de baiser; tu te donne su plaisir avec tes mains, avec ça se serait pareil.
- Je n’ose pas. Tu pourrai me montrer ?
- Te montrer quoi, comment de la mettre, ou d’aider à jouir.
- Aides moi à jouir, je préfère.
- Tu sais que je ne suis avec aucun homme.
- Oui, et alors ,
- Ca veux dire que je préfère les femmes aux hommes, que je suis une lesbienne. Et si je te fais
jouir, ce sera avec plaisir, mais à ma façon. Tu jouira, pas comme avec un homme.
- Tant pis, j’ai envie de jouir avec ce godemichet.
Tout à l’heure elle ne le voulait pas et maintenant elle me demande de la baiser avec. Je la
déshabille, men fais autant. Nous nous regardons nues: elle est sacrément bien fichue ma copine: des
seins biens formés en poire, des aréoles bruines surmontées par des mamelons assez gros, un ventre
plat de jeune fille un pubis ornés de quelques poils et des jambes longues. Je me demande pourquoi
son mari n’en profite pas plus: elle est très sexy, elle me donne envie d’elle.
Je la préviens qu’elle devra supporter tout ce que je vais lui faire et me le rendre aussi. Je la
prends dans mes bras, l’embrasse sur la bouche. Ma langue trouve ses lèvres fermées. Un baiser avec
ne autre fille n’a pas l’air de l’attirer. Je maintiens ma langue contre ses lèvres et enfin elle
accepte que j’aille dans sa bouche. Notre baiser est très long. Quand nos lèvres se séparent elle
avoue qu’elle a aimé. Je suis sur la bonne voie pour moi. Je ne pense pas la convertir, mais si
j’arrive à baiser quelques fois avec elle, j’en serai satisfaite.
Ses seins me narguent. Je ne peux plus retenir ma mains qui vont caresser cette poitrine. Je
m’attarde particulièrement sur les aréoles: je ne les caresse pas à vrai dire, je passe juste un
doigt dessus pour rebondir avec la pointe sur l’autre.
- C’est bon ce que tu me fais: mon mari ne m’a jamais caresser ainsi.
- Parce que c’est un homme macho.
- Maintenant je vais te caresser la chatte avant de te mettre le gode dans ton con. Je n’attend pas
son accord. Ma main est rapidement sur son sexe. Je passe derrière elle pour pouvoir écarter le haut
des lèvres pour faire ressortir le clitoris certainement en érection. Ma main gauche trouve ses
lèvres: je les écarte avec deux doigts et enfin je peut pose deux doigts sur le bouton. Je la
caresse comme si c’était pour moi. Je m’applique à ne pas allez en appuyant: je n’aime pas me faire
ça. Je vais doucement d’abord avec la vitesse de masturbation et ensuite quand je la sens se
détendre complètement, je vais à toute vitesse, toujours comme je me le fais.
Elle ne tient pas longtemps à ce rythme. Je sens son orgasme.
- C’est bon, recommences, branles encore.
- Ton mari te branle, non ?
- Jamais, il trouve que c’est du temps perdu.
- Tant pis pour lui, je vais te faire jouir comme jamais.
Je cherche l’entrée de son vagin, j’y insère trois doigts et les fait aller et venir: elle m’étonne
en jouissant vite, sans doute le changement de partenaire. Je laisse ma main dans son con et passe
l’autre entre ses fesses. Je passe un doigt vers son anus que je caresse. Elle tend ses fesses vers
moi.
- C’est agréable, personne ne m’a touché à cet endroit.
- Il n’a jamais voulu t’enculer ,
- Si, mais j’ai refuser de me faire mettre son engin dans le cul.
- Tu n’a jamais jouis par là ?
- Non jamais.
J’ai connu beaucoup de femmes, elle est la première vierge de ce coté. Même moi j’aime me faire
mettre par la quelque fois, surtout avec mon gode.
Je rentre mon doigt très doucement: elle frémit au début et me demande de le rentrer d’avantage.
Enfin je crois l’voir asses faite jouir.
- A toi, maintenant de me branler comme je t’ai fait.
- Allons sur le grand fauteuil de mon mari. Je m’y assoie avec un plaisir trouble; je suis sa
rivale, maintenant. Elle est assise sur un accoudoir, poses ses lèvres sue les miennes: nous
commençons par une baiser. Elle me caresse le seins comme je lui ai fait et enfin viens sur ma
chatte. Mes jambes bien ouvertes elle peut me masturber comme je le lui ai fait, sauf qu’elle n’ose
pas me mettre son doigts dans le cul. Ce n’est pas grave, elle m’ a faite jouir normalement.
Je vise son divan pour aller plus loin. J’arrive à la faire coucher sur le dos: j’écarte ses jambes,
passe ma langue sur son clitoris:
- C’est bon ce que tu me fait. Mon mari…
- Ne te la jamais fait, c’est ça ?
- Oui.
Je ne l’ai léché que pour l’exciter au maximum, j’ai son gode tout neuf en main. Je le pose à
l’entrée de sa fente et lentement je le lui met. Elle réagit comme si c’était une vrai bite. Mes
mouvements doivent ressembler à ceux d’une baise « normale ». Je vois son bas ventre suivre mes
mouvements je la vois fermer les yeux. Elle se caresse un sein, pose une main sur son pubis en d’un
seul coup part dans un immense orgasme. Je sors le gode d’elle. Je regarde son vagin en remarquant
avec un peu d’étonnement la fréquence de ses spasmes. Je suis excitée, bien sur, mais pas au point
de me masturber immédiatement, Je la laisse se remettre et quand elle est enfin remise:

- Tu m’a baisé mieux que mon mari. Tu recommencera ?
- Quand tu voudra, chérie. Maintenant je vais t’enculer.
- Non, s’il te plais, tu vas me faire mal.
- Est-ce au je t’ai fait mal en te baisant avec le gode ?
- Non.
- Alors je vais te sodomiser. Mets toi à quatre pattes et mouille bien ton anus avec ton jus.
Elle est comme une petite fille, très obéissante.
La voilà en position. J’ai envie de passer ma langue sur son anus, avant qu’elle le mouille?
J’arrive juste à le faire. J’écarte ses deux globes je commence à passer du haut des fesses jusqu’à
son cul, le bout du gode. Je lui caresse le tour du cul et enfin je lui met le gode sur son petit
trou.
Très lentement, en surveillant de près ce que je fais j’arrive à entrée ce qui tient lieu de gland
dans son anus. Elle gémit à peine de douleur. J’entre enfin la totalité du gode dans son cul.
Elle commence à gémir de plaisir quand je commence les vas et viens. J’admire quand la peau de son
anus accompagne l’entrée et la sortie de ce sexe. Elle jouit assez lentement mais c’est encore un
orgasme très violent.
Je commence à avoir la chatte trempée. Il me faut autre chose qu’une série de touche pipi. Elle est
à nouveau sur,le dos:
- C’était bon de l’avoir dans le cul. J’ai aimé. Que veux tu que je te fasse ?
- Me sucer.
- Te sucer quoi ?
- Devine un peu: mon sexe, à commencer par la clitoris. Ou si tu veux j’aime aussi quand nous sommes
deux à nous sucer en même temps; tu as entendu parler de 69? C’est-ce que je veux que nous fassions:
nous baiserons comme deux lesbiennes.
Sans réfléchir elle se met en position sous moi. Avant de continuer nous nous embrassons longuement
et je vais sur elle. J’ai mes jambes écartées elle me voit toute ma moule. Je sens un doigt entrer
dans mon anus. Elle a compris comment je fonctionne. Je penche la tête pour prendre son clitoris et
l’avale en partie; je l’aspire dans la bouche avant de le relâcher et de recommencer. Cette façon de
faire plait beaucoup aux autres filles que j’ai eu, alors je le lui fait aussi: je l’entend geindre
de plus en plus fort. Je ne me retiens pas non plus, je gémis comme elle sous sa langue encore
novice. Je sens son flot de cyprine venir dans ma bouche: elle a un goût excellant. Je jouis à mon
tour sur sa bouche. Je sens sa langue me lécher la cyprine. Nous restons ainsi à baiser de cette
façon très longtemps.
Un jour elle m’annonce que son mari veut le divorce: elle accepte puisqu’il prend tout les tords à
sa charge.
- Maintenant ce n’est plus la peine de nous cacher, on pourra nous aimer quand nous voudrons.

Et les boules de geisha, me direz vous: elle les a mise dès le lendemain. Comme prévu il a fallu
qu’elle se masturbe. Maintenant elle les porte constamment et arrive à jouir devant sa clientèle
sans se faire remarquer, elle adore jouir devant les autres.
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