L'esclave (II)
Récit érotique écrit par Kasparov [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'esclave (II)
Ce dépucelage inattendu m’avait fortement ébranlé, de même que les paroles de mon hôte, André, si bien que je suis resté une bonne demi-heure immobile, à baigner dans mon sperme et à me repasser le fil des évènements jusqu’ici. Et chaque fois que j’arrivais à la scène où je me fais enculer et dominer sous tous les angles, une forte érection me fait prendre conscience que j’en ai raffolé. Je commence à peser le pour et le contre et je me dis : « S’il ne me reste que vingt-quatre heures de libre-arbitre, aussi bien en profiter dès maintenant… »
Je me lève donc, essuie tant bien que mal le sperme qui colle toujours sur mon ventre et remet mes vêtements en ordre, puis je pars explorer plus en profondeur les recoins du manoir d’André. Je décide de retourner voir du côté de la chambre où j’ai vu André donner tout un traitement à Simon. Celui-ci est toujours attaché comme tout à l’heure et me regarde fixement, l’air de me supplier. Je m’approche, jauge les chaînes et entreprend de trouver un moyen de le détacher.
Mais Simon se met rapidement à émettre des plaintes et à gigoter du cul. Je comprend vite et en quelques gestes je retire mes vêtements, me place derrière Simon et commence à tâter ses fesses bien enveloppées de cuir, au milieu duquel on peut trouver un trou, au niveau de l’anus. Je masse ses fesses avec vigueur et Simon émet des plaintes de plus en plus longues et fortes. Puis je touche son anus et il se raidit et pousse un petit cri aigu. Son anus est encore humide, André a dû repasser après sa visite dans ma chambre. Je suis on ne peut plus excité et bien dur alors je décide d’y aller sans plus de manières et j’entre ma bitte d’un seul coup dans son rectum accueillant.
La sensation est magnifique, je n’avais jamais enculé ma femme alors je découvre les joies de la pénétration anale (du moins, dans le rôle du pénétrateur, cette fois). Je savoure longuement l’étroitesse de son trou qui me serre la queue et commence lentement un va et viens jouissif. Afin de donner plus de vigueur à mon élan, je m’agrippe aux chaînes qui m’entourent et commence à donner des coups de hanches de plus en plus fort dans le cul de Simon qui crie pour en avoir encore plus. Je m’évertue à lui donner tout ce que j’ai, lui agrippe les hanches et atteint une vitesse qui rend l’anus de Simon enflammé par la friction, avant d’exploser au fond de son cul en longs jets de sperme qui rendent Simon extatique et sans voix. Je prend quelques secondes pour me reprendre mes esprits, me retire lentement, remet mon pantalon et sors de la pièce sans même regarder mon deuxième amant en moins d’une heure une dernière fois.
Plus je déambule, plus je me rends compte que le manoir est d'une taille considérable, avec des couloirs qui s'enfoncent sous terre, avec d'innombrables portes qui mènent vers des pièces mystérieuses. Après quelques minutes à errer sans trop savoir quoi chercher, je décide d'ouvrir une porte au hasard. Celle-ci débouche sur une grande salle au milieu de laquelle se trouve une petite piscine. Au bord de la piscine est assise une femme blonde platine, superbe. Elle me regarde. Elle n'a qu'une serviette sur les cuisses, je peux parfaitement voir ses deux seins magnifiquement galbés. Je m'approche vers elle et je me rends compte que je recommence à bander sous mon pantalon, mais qu'on peut fort probablement déjà voir une bosse. Et c'est d'ailleurs ce qu'est en d'observer la femme qui est devant moi. Arrivé tout près d'elle, je m'arrête, elle lève des yeux sensuels vers moi et dis:
"Eh bien, qu'est-ce que tu attends pour enlever ton pantalon, que je te suce ?"
Je reste un peu surpris par sa franchise, mais je me rappelle l'endroit où je me trouve et commence dès lors à m'exécuter. Mon pantalon sur le sol, je rapproche ma queue maintenant bien dure de sa bouche. La femme sourit, empoigne ma bite avec sa main et avale mon gland avec avidité. Elle suce comme une reine, personne ne m'avait sucé ainsi auparavant. J'admire ses seins pendant un instant et l'envie me prend de les toucher, de les caresser, de les sucer. Je me penche légèrement pour les atteindre et je me mets à les caresser puis à les masser avec vigueur. Elle émet des gémissements encourageants tout en redoublant de vigueur dans la pipe qu'elle me procure.
Puis, alors que mes yeux traînent sur son entrejambe dont je commence à avoir le goût, j'aperçois une bosse qui se forme au milieu de la serviette. Je comprends d'un coup la véritable nature de cette femme, et ça m'excite de manière terrible. Ma bite enfle plus que jamais, tellement qu'elle me fait mal. Je me dégage de sa tête, la prends par la tête et l'embrasse fougueusement. Nos langues s'entremêlent violemment tandis que je la pousse pour qu'elle s'étende sur le sol. Je me couche sur elle en prenant soin de retirer la serviette. Nos deux pénis se touchent, se frottent l'un contre l'autre. La sensation est merveilleuse. Je l'embrasse toujours plus passionnément, lui caressant les cuisses, les hanches, les fesses, le flancs, puis les seins, que je me remets à sucer par la même occasion.
Soudain elle me repousse, se retourne sur le ventre et relève son joli cul. Sans hésiter, j'appuie mon gland sur sa rondelle et je pousse doucement pour la pénétrer. Une fois bien au fond, je l'agrippe par les seins et me mets à coulisser lentement mais fermement. À chaque coup, elle émet un petit cri qui me rend vite complètement fou. Bientôt, je me retrouve à la pistonner à plein régime, encouragé par des cris de plus en plus sincères et tonitruants.
Après quelques instants seulement, je suis tellement excité que me vide dans ses entrailles un peu plus tôt que prévu. 5 secondes passent et elle me repousse et se met à genoux en me faisant face.
"Couche-toi sur le dos, je vais te baiser"
Je m'exécute, elle se place devant moi, sa superbe bite triomphant devant mes yeux, puis se dirigeant vers mon cul offert. Elle place mes pieds sur ses épaules et me pénètre d'un coup. Je plaque mes mains sur sa poitrine pendant qu'elle se met à me baiser avec violence, le visage rapidement déformé par l'effort À mesure qu'elle redouble d'ardeur, je lui empoigne plus fermement les seins. Je crie de plaisir à force de me faire enculer sauvagement par une superbe transsexuelle et je lui empoigne les fesses et l'incite à me baiser plus fort.
À ce moment elle se retire et me retourne violemment sur le ventre, se couche sur moi et enfonce sa bite dans mon anus distendu encore une fois. Moi je viens sur le coup, mes couilles se vident une fois de plus alors que la queue de ma baiseuse se remet à s'activer. Cette fois je crois que je vais m'évanouir de plaisir, je ne suis plus là, je ne sais plus ce qui se passe, et voilà qu'un énorme pénis se trouve devant moi, à quelques centimètres de mes yeux, je le vois s'approcher, le gland touche mes lèvres amorphes d'extase et glisse dans ma bouche accueillante. J'ai maintenant une queue dans le cul et une dans la bouche qui me baisent en simultané, et j'adore ça.
Au bout de quelques minutes, je sens ma belle bien membrée se tendre, se figer, puis dans un cri tout ce qu'il y a de plus féminin, elle jouit dans mes entrailles, m'inondant de foutre chaud. Au même instant, celui que je suçais gicle sa purée dans le fond de ma gorge. J'avale tout sans même y réfléchir, je viens de vivre 5 orgasmes successif, je ne sais plus où je suis, je ne sais plus qui je suis, je ne suis que le réceptacle de deux magnifiques membres chauds et durs comme l'acier. Les deux bites se retirent, je m'effondre d'épuisement sur le sol, repus, pleinement satisfait, et même au-delà.
J'entends à peine leurs pas qui quittent la pièce alors que je m'endors sans pouvoir résister...
-----------------------------(à suivre)------------------------------
Vos commentaires sont toujours appréciés : d.l.storch@hotmail.com
Je me lève donc, essuie tant bien que mal le sperme qui colle toujours sur mon ventre et remet mes vêtements en ordre, puis je pars explorer plus en profondeur les recoins du manoir d’André. Je décide de retourner voir du côté de la chambre où j’ai vu André donner tout un traitement à Simon. Celui-ci est toujours attaché comme tout à l’heure et me regarde fixement, l’air de me supplier. Je m’approche, jauge les chaînes et entreprend de trouver un moyen de le détacher.
Mais Simon se met rapidement à émettre des plaintes et à gigoter du cul. Je comprend vite et en quelques gestes je retire mes vêtements, me place derrière Simon et commence à tâter ses fesses bien enveloppées de cuir, au milieu duquel on peut trouver un trou, au niveau de l’anus. Je masse ses fesses avec vigueur et Simon émet des plaintes de plus en plus longues et fortes. Puis je touche son anus et il se raidit et pousse un petit cri aigu. Son anus est encore humide, André a dû repasser après sa visite dans ma chambre. Je suis on ne peut plus excité et bien dur alors je décide d’y aller sans plus de manières et j’entre ma bitte d’un seul coup dans son rectum accueillant.
La sensation est magnifique, je n’avais jamais enculé ma femme alors je découvre les joies de la pénétration anale (du moins, dans le rôle du pénétrateur, cette fois). Je savoure longuement l’étroitesse de son trou qui me serre la queue et commence lentement un va et viens jouissif. Afin de donner plus de vigueur à mon élan, je m’agrippe aux chaînes qui m’entourent et commence à donner des coups de hanches de plus en plus fort dans le cul de Simon qui crie pour en avoir encore plus. Je m’évertue à lui donner tout ce que j’ai, lui agrippe les hanches et atteint une vitesse qui rend l’anus de Simon enflammé par la friction, avant d’exploser au fond de son cul en longs jets de sperme qui rendent Simon extatique et sans voix. Je prend quelques secondes pour me reprendre mes esprits, me retire lentement, remet mon pantalon et sors de la pièce sans même regarder mon deuxième amant en moins d’une heure une dernière fois.
Plus je déambule, plus je me rends compte que le manoir est d'une taille considérable, avec des couloirs qui s'enfoncent sous terre, avec d'innombrables portes qui mènent vers des pièces mystérieuses. Après quelques minutes à errer sans trop savoir quoi chercher, je décide d'ouvrir une porte au hasard. Celle-ci débouche sur une grande salle au milieu de laquelle se trouve une petite piscine. Au bord de la piscine est assise une femme blonde platine, superbe. Elle me regarde. Elle n'a qu'une serviette sur les cuisses, je peux parfaitement voir ses deux seins magnifiquement galbés. Je m'approche vers elle et je me rends compte que je recommence à bander sous mon pantalon, mais qu'on peut fort probablement déjà voir une bosse. Et c'est d'ailleurs ce qu'est en d'observer la femme qui est devant moi. Arrivé tout près d'elle, je m'arrête, elle lève des yeux sensuels vers moi et dis:
"Eh bien, qu'est-ce que tu attends pour enlever ton pantalon, que je te suce ?"
Je reste un peu surpris par sa franchise, mais je me rappelle l'endroit où je me trouve et commence dès lors à m'exécuter. Mon pantalon sur le sol, je rapproche ma queue maintenant bien dure de sa bouche. La femme sourit, empoigne ma bite avec sa main et avale mon gland avec avidité. Elle suce comme une reine, personne ne m'avait sucé ainsi auparavant. J'admire ses seins pendant un instant et l'envie me prend de les toucher, de les caresser, de les sucer. Je me penche légèrement pour les atteindre et je me mets à les caresser puis à les masser avec vigueur. Elle émet des gémissements encourageants tout en redoublant de vigueur dans la pipe qu'elle me procure.
Puis, alors que mes yeux traînent sur son entrejambe dont je commence à avoir le goût, j'aperçois une bosse qui se forme au milieu de la serviette. Je comprends d'un coup la véritable nature de cette femme, et ça m'excite de manière terrible. Ma bite enfle plus que jamais, tellement qu'elle me fait mal. Je me dégage de sa tête, la prends par la tête et l'embrasse fougueusement. Nos langues s'entremêlent violemment tandis que je la pousse pour qu'elle s'étende sur le sol. Je me couche sur elle en prenant soin de retirer la serviette. Nos deux pénis se touchent, se frottent l'un contre l'autre. La sensation est merveilleuse. Je l'embrasse toujours plus passionnément, lui caressant les cuisses, les hanches, les fesses, le flancs, puis les seins, que je me remets à sucer par la même occasion.
Soudain elle me repousse, se retourne sur le ventre et relève son joli cul. Sans hésiter, j'appuie mon gland sur sa rondelle et je pousse doucement pour la pénétrer. Une fois bien au fond, je l'agrippe par les seins et me mets à coulisser lentement mais fermement. À chaque coup, elle émet un petit cri qui me rend vite complètement fou. Bientôt, je me retrouve à la pistonner à plein régime, encouragé par des cris de plus en plus sincères et tonitruants.
Après quelques instants seulement, je suis tellement excité que me vide dans ses entrailles un peu plus tôt que prévu. 5 secondes passent et elle me repousse et se met à genoux en me faisant face.
"Couche-toi sur le dos, je vais te baiser"
Je m'exécute, elle se place devant moi, sa superbe bite triomphant devant mes yeux, puis se dirigeant vers mon cul offert. Elle place mes pieds sur ses épaules et me pénètre d'un coup. Je plaque mes mains sur sa poitrine pendant qu'elle se met à me baiser avec violence, le visage rapidement déformé par l'effort À mesure qu'elle redouble d'ardeur, je lui empoigne plus fermement les seins. Je crie de plaisir à force de me faire enculer sauvagement par une superbe transsexuelle et je lui empoigne les fesses et l'incite à me baiser plus fort.
À ce moment elle se retire et me retourne violemment sur le ventre, se couche sur moi et enfonce sa bite dans mon anus distendu encore une fois. Moi je viens sur le coup, mes couilles se vident une fois de plus alors que la queue de ma baiseuse se remet à s'activer. Cette fois je crois que je vais m'évanouir de plaisir, je ne suis plus là, je ne sais plus ce qui se passe, et voilà qu'un énorme pénis se trouve devant moi, à quelques centimètres de mes yeux, je le vois s'approcher, le gland touche mes lèvres amorphes d'extase et glisse dans ma bouche accueillante. J'ai maintenant une queue dans le cul et une dans la bouche qui me baisent en simultané, et j'adore ça.
Au bout de quelques minutes, je sens ma belle bien membrée se tendre, se figer, puis dans un cri tout ce qu'il y a de plus féminin, elle jouit dans mes entrailles, m'inondant de foutre chaud. Au même instant, celui que je suçais gicle sa purée dans le fond de ma gorge. J'avale tout sans même y réfléchir, je viens de vivre 5 orgasmes successif, je ne sais plus où je suis, je ne sais plus qui je suis, je ne suis que le réceptacle de deux magnifiques membres chauds et durs comme l'acier. Les deux bites se retirent, je m'effondre d'épuisement sur le sol, repus, pleinement satisfait, et même au-delà.
J'entends à peine leurs pas qui quittent la pièce alors que je m'endors sans pouvoir résister...
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