L'ETUI A CIGARE ME COULISSE DANS LE CUL
Récit érotique écrit par Cébon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2008 dans la catégorie En solitaire
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L'ETUI A CIGARE ME COULISSE DANS LE CUL
Cet après-midi, pour changer, j’avais une sacrée grande envie de me branler.
(Faut dire que je m’étais pas masturbé depuis au moins quatre heures…)
J’ai téléchargé des photos et des films pour ma séance de masturbation de ce soir, la séance principale de la journée…
Bien entendu, je me suis pas gêné pour me faire quelques vas et viens de temps à autre mais me gardant bien de découiller.
Évidement ce qui devait arriver arriva, ma culotte était toute maculée de mes sucs. Je matais encore quelques photos et clips vidéo de lesbiennes et décidait d’aller me finir et éjaculer dans mon lit, histoire d’amidonner les draps avec mon foutre.
Je me suis couché et ai fait quelques frottis frotta contre le matelas mais en gardant ma culotte, je me branle un peu pour ajouter encore des sucs dans mon slip et me frotte aussi le trou du cul à travers le tissu pour l’imprégner des senteurs suaves de mon anus.
Je n’y tiens plus, j’enlève ma culotte, enfin la bite à l’air.
Je me branle cuisses écartées, je me caresse les fesses et le trou du cul.
Je mets mon slip sur mon visage, je sens ma mouille sur ma peau l’odeur douce du trou du cul, je me branle, je mouille comme un cochon.
Je sens que je ne vais pas faire long. J’enduis le majeur de ma main gauche de ma mouille et me l’enfile dans mon petit trou du cul, je me branle et comme je l’avais prévu, balance la purée en quelques vas et viens cette fois ci. Le foutre gicle en lourdes gouttes sur mon ventre, dégouline sur mon poing branlant toujours ma queue, tandis que j’orgasme jambe en en l’air, pieds en pointe, cuisses écartées et bouche béante.
Que la branle est bonne.
Pareil hier soir.
J’avais grande envie de me fourrer quelque chose dans le cul. Quelque chose qui m’ouvrirait le sphincter avec cette sensation si agréable que procure le coulissage d’un objet de taille adéquate dans mon anus.
J’ai commencé par un doigt, puis le manche d’un tournevis que j’avais mouillé de mes sucs, puis d’un étui à cigare cylindrique.
Je l’ai enduit de mouille, j’étais en position de branle accroupi sur la pointe des pieds, j’ai mis l’étui contre mon anus, retroussé bien à fond la peau de ma bite et en poussant comme si je voulais expulser, j’ai introduit l’étui dans mon trou du cul.
Je l’ai senti glisser en moi, froid et dur, 15 centimètres dans le cul c’est trop bon.
Mes jambes tremblent de plaisir.
Je l’ai sorti complètement, réintroduit fais coulisser d’avant en arrière, jusqu'au moment où j’ai balancé la sauce sur le parquet et sur mes pieds, finissant par glisser sur mon foutre dans les derniers spasmes de mon orgasme.
Dans un moment, je vais me mater les films que j’ai téléchargés ce soir, je vais me remettre dans ma position de branle favorite accroupi sur la pointe des pieds et me branler, comme je le fait parfois au bout d’un moment je mettrais des pinces à linges sur les tétons, ça m’excite comme une grosse pute, je cambrerais bien mon cul en me branlant, c’est si bon.
Je crois bien que je vais aussi me renfiler l’étui à cigare dans le cul, rien que d’y penser je sens que je mouille. D’ailleurs c’est toujours la même culotte que cet après midi, celle pleine de mouille et frottée sur mon trou du cul, comme elle doit sentir bon la branle et le cul déchaîné.
Je vais me branler longuement, patiemment,…
Je fantasme à l’idée d’une bite branlée à la lecture de ce texte, de grosses saccades de foutre qui giclent à ma santé, ce serait le plus beau des hommages…
Vive le sperme partout !!!
(Faut dire que je m’étais pas masturbé depuis au moins quatre heures…)
J’ai téléchargé des photos et des films pour ma séance de masturbation de ce soir, la séance principale de la journée…
Bien entendu, je me suis pas gêné pour me faire quelques vas et viens de temps à autre mais me gardant bien de découiller.
Évidement ce qui devait arriver arriva, ma culotte était toute maculée de mes sucs. Je matais encore quelques photos et clips vidéo de lesbiennes et décidait d’aller me finir et éjaculer dans mon lit, histoire d’amidonner les draps avec mon foutre.
Je me suis couché et ai fait quelques frottis frotta contre le matelas mais en gardant ma culotte, je me branle un peu pour ajouter encore des sucs dans mon slip et me frotte aussi le trou du cul à travers le tissu pour l’imprégner des senteurs suaves de mon anus.
Je n’y tiens plus, j’enlève ma culotte, enfin la bite à l’air.
Je me branle cuisses écartées, je me caresse les fesses et le trou du cul.
Je mets mon slip sur mon visage, je sens ma mouille sur ma peau l’odeur douce du trou du cul, je me branle, je mouille comme un cochon.
Je sens que je ne vais pas faire long. J’enduis le majeur de ma main gauche de ma mouille et me l’enfile dans mon petit trou du cul, je me branle et comme je l’avais prévu, balance la purée en quelques vas et viens cette fois ci. Le foutre gicle en lourdes gouttes sur mon ventre, dégouline sur mon poing branlant toujours ma queue, tandis que j’orgasme jambe en en l’air, pieds en pointe, cuisses écartées et bouche béante.
Que la branle est bonne.
Pareil hier soir.
J’avais grande envie de me fourrer quelque chose dans le cul. Quelque chose qui m’ouvrirait le sphincter avec cette sensation si agréable que procure le coulissage d’un objet de taille adéquate dans mon anus.
J’ai commencé par un doigt, puis le manche d’un tournevis que j’avais mouillé de mes sucs, puis d’un étui à cigare cylindrique.
Je l’ai enduit de mouille, j’étais en position de branle accroupi sur la pointe des pieds, j’ai mis l’étui contre mon anus, retroussé bien à fond la peau de ma bite et en poussant comme si je voulais expulser, j’ai introduit l’étui dans mon trou du cul.
Je l’ai senti glisser en moi, froid et dur, 15 centimètres dans le cul c’est trop bon.
Mes jambes tremblent de plaisir.
Je l’ai sorti complètement, réintroduit fais coulisser d’avant en arrière, jusqu'au moment où j’ai balancé la sauce sur le parquet et sur mes pieds, finissant par glisser sur mon foutre dans les derniers spasmes de mon orgasme.
Dans un moment, je vais me mater les films que j’ai téléchargés ce soir, je vais me remettre dans ma position de branle favorite accroupi sur la pointe des pieds et me branler, comme je le fait parfois au bout d’un moment je mettrais des pinces à linges sur les tétons, ça m’excite comme une grosse pute, je cambrerais bien mon cul en me branlant, c’est si bon.
Je crois bien que je vais aussi me renfiler l’étui à cigare dans le cul, rien que d’y penser je sens que je mouille. D’ailleurs c’est toujours la même culotte que cet après midi, celle pleine de mouille et frottée sur mon trou du cul, comme elle doit sentir bon la branle et le cul déchaîné.
Je vais me branler longuement, patiemment,…
Je fantasme à l’idée d’une bite branlée à la lecture de ce texte, de grosses saccades de foutre qui giclent à ma santé, ce serait le plus beau des hommages…
Vive le sperme partout !!!
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