L'exhibitionniste.
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'exhibitionniste.
J'étais dans le métro, assis sur un strapontin, quand j'ai entendu crier, une voix de femme en arabe. J'ai levé les yeux pour voir une femme habillée en arabe, vociférer à l'encontre d'un jeune mec de 25-30 ans, adossé aux strapontins juste en face de moi.
Comme je ne comprenais rien à ce qu'elle disait j'ai regardé aux alentours et, tout le monde, le peu de monde qu'il y avait semblait ne rien comprendre. Elle est descendue à l'arrêt suivant, menaçant le pauvre mec de son poing.
Le calme est revenu dans la rame, à Paris ce genre d'incident est si courant, mais j'ai regardé le mec du coin de l'œil.
Beau mec châtain clair, cheveux mi-longs, yeux clairs perçants qui regardaient dans tous les sens, et quand nos regards se sont croisés, il a détourné le sien rapidement. Je ne voyais pas ce qui avait pu choquer l'arabe.
C'est quand, debout, il a mis ses mains dans les poches de son imper qui lui tombait aux genoux, que je me suis fais la réflexion qu'avec le temps qu'il faisait dehors, je n'aurais jamais mis un imper!
Cela m'a fait sourire, mais le mec avait les yeux fixés sur une autre personne et je l'ai vu ouvrir son imperméable, lentement. Ses yeux fixés sur quelqu'un qui se trouvait pas loin de moi. Machinalement j'ai regardé dans l'ouverture et, moi, ben j'ai failli éclater de rire.
Le mec avait la queue de sortie. oh! une belle queue, longue et flasque qui pendouillait dans le vide entre les pans de son imper.
J'ai suivi son regard mais la femme lisait une revue et avait le regard de baissé.
Pourtant il l'ouvrait son imper et j'avais une magnifique vue sur le service trois pièces.
A l'arrêt suivant une nuée de touristes allemands sont montés, nous obligeant tous à nous relever. Je suis allé attraper la barre et me rapprocher du beau mec. J'ai eu envie de m'amuser.
La rame s'est retrouvée bondée, on était serré comme il arrive souvent, deux arrêts après j'étais collé à mon exhibitionniste qui s'est mis à rougir.
Autour de nous ça ne parlait qu'allemand. Je tenais la barre d'une main et j'ai plongé l'autre le long de mon corps et du sien par la même occasion.
J'avoue que je n'ai pas fait dans la dentelle.
J'ai frotté du dos de ma main son torse, descendant le long des boutons de l'imper cherchant une ouverture et, quand je l'ai eu trouvé j'ai fait entrer ma main à l'intérieur pour me saisir de l'objet du délit.
Si vous aviez vu sa tête, sa bouche formait un "O", il transpirait et moi je fixais ses beaux yeux bleus en tripotant le sexe mou.
J'aime tripoter les sexes mous pour qu'ils durcissent dans ma main, les sentir grossir, durcir, s'allonger, avoir le gland qui se décalotte et que le méat donne ses perles de mouille.
Là je ne voyais rien mais, ma main chaude a eu raison de la mollesse de la bête. Je l'ai senti s'animer, bouger en même temps que les secousses du métro.
Et j'ai eu un gros os dans la main. Le beau mec était rouge comme une pivoine en pleine floraison. J'ai essayé de bouger un peu plus pour vraiment le coller à moi, il n'a pas résisté et, quand j'ai commencé à le branler doucement, en le caressant, il a fermé les yeux et s'est abandonné.
Mes doigts ont caressé la belle paire de couilles qui pendaient au départ et qui maintenant étaient collées de chaque côté de la belle bite.
Il avait toujours les yeux fermés et respirait par saccades. Je n'avais pas envie qu'il jouisse dans ma main, j'avais envie de le ramener chez moi, d'autant que je n'allais pas tarder à descendre… plus que trois stations pour arriver à mes fins.
J'ai serré sa queue fortement dans ma main, en rapprochant ma tête de la sienne. Il a eu comme un mouvement de recul mais il ne pouvait pas aller bien loin. Nos joues se touchaient presque.
-t'as une belle bite mec, elle est chaude et douce comme je les aime.
Il est devenu encore plus rouge, m'a regardé et on aurait dit qu'il me voyait vraiment pour la première fois, un sourire a illuminé son visage.
-merci mec a t-il balbutié.
Je ne lâchais pas sa queue, agaçant le gland, passant mon pouce sur le gland décalotté, je voyais son visage avoir des tics.
-t'aimes ma main ?
-oui dit-il dans un souffle.
-ça te dirait ma bouche ?
Il m'a regardé effaré.
-pas ici! dit-il d'un air apeuré.
Bon point mec! t'as pas dit non.
-bah non mais je descends bientôt, je t'invite à boire un verre.
-où ça ?
-ben chez moi.
Sa queue palpite dans ma main, son corps se colle encore plus contre le mien. Il transpire de plus en plus, je sens son odeur malgré toutes celles du métro.
Il me fixe de ses yeux bleus.
-j'me suis jamais fait sucer par un mec !
Il baisse la tête, nos fronts se touchent, ballotés par les mouvements du métro. On est seuls au monde au milieu d'une armée de touristes allemands.
-t'as envie ?
Il redresse la tête, me regarde à nouveau, le rouge revient sur ses joues.
-oui.
-alors viens, on descend à la prochaine.
Je lâche sa queue et je sens qu'il me suit. Le métro s'arrête, les portes s'ouvrent, je descends, il me suit. Il vient se mettre à côté de moi. On sort sur le terre-plein. On marche au soleil, y'a des bancs.
-on s'assoit un peu ? me demande t-il.
On se met côte à côte, il se tourne vers moi.
-moi je m'appelle Jérôme dit il, tu sais je préfère les filles, mais je sais pas, tout à l'heure dans le métro ta main sur moi m'a fait des effets bizarres, c'était pas pareil qu'avec la main d'une fille… tu comprends ?
-ben pas tellement dis je en rigolant moi je préfère les beaux mecs comme toi tu vois et je sais quels effets me font les beaux mecs… toi, quand j'ai vu ce que tu faisais, en fait ce que tu faisais je m'en fou, mais c'est quand j'ai vu ce que tu montrais que j'ai eu envie de te toucher et j'ai bien senti que tu aimais ça. Tu bandes bien mec! tu jutes beaucoup ?
Et c'est reparti pour une tournée de rouge sur son visage.
-je crois oui dit-il tu t'appelles comment ?
-Fabrice, alors on va le boire ce verre ?
-tu vas pas me violer ?
-si! je vais t'attacher, te séquestrer, t'enfermer dans ma cave et te garder pour me servir de toi jusqu'à la fin des temps.
J'ai dit ça avec un grand sourire. Il rigole, mais je ne le sens pas tranquille le garçon. Je me lève, lui tend la main qu'il prend machinalement.
-viens Jérôme on va commencer par boire un verre et faire connaissance.
Il s'est laissé entraîner. Il avait le sourire quand on est arrivé chez moi. J'ai vu qu'il était soulagé de voir qu'il n'y avait pas de traquenard.
Je suis allé chercher deux bières, que j'ai ouvert devant lui en lui faisant remarquer que je n'allais pas le droguer, là il riait maintenant.
On a parlé un bon moment, il avait retiré son imper.
J'en ai eu un peu marre de papoter, fallait passer aux choses sérieuses quand même.
Je suis allé m'asseoir à côté de lui. J'ai bien vu qu'il y avait un peu d'appréhension, passant ma main sur sa cuisse ferme et chaude.
-si on reprenait ce que je faisais dans le métro dis je en souriant, ma main arrivait sur son sexe. Il bandait ce coquin et le rouge est revenu.
J'ai pétri son sexe bandé, il soupirait en fermant les yeux. J'ai posé sa tête sur mon épaule.
-tu me laisses faire Jérôme ? j'ai envie que tu aies beaucoup de plaisirs, uniquement que du plaisir.
Il a enfoui sa tête dans mon cou en disant oui fais comme tu veux.
Faut pas me dire ça! j'ai pensé en riant.
J'ai libéré le beau morceau pour enfin l'avoir sous les yeux. C'est beau de toucher mais la vue est importante quand même! libérer la paire de couilles, je n'ai pas voulu lui baisser le pantalon. Il fallait lui donner du plaisir avant d'aller plus loin car mon intention était belle et bien de l'amener à se coucher dans mon lit.
Je l'ai serré contre moi en le caressant, le branlant. Son gland laissait couler la mouille que j'enlevais avec mon pouce, le faisant gémir. J'ai accéléré ma branlette, il a commencé à soupirer plus fort, son corps se tendre, sa queue se redresser. J'ai arrêté pour le prendre par les couilles et je me suis penché sur l'objet du délit.
J'étais content de moi d'avoir sous les yeux une bite qui n'avait jamais vu une bouche de garçon, d'être le premier, alors faut qu'il s'en rappelle!
La queue bien droite pointait, le gland bien décalotté plus gros que la hampe, bien dessiné, rouge, au méat ouvert. La mouille faisait des perles qui coulaient en continue. Je me suis penché, j'ai reniflé, j'aime sentir une odeur de mec que je ne connais pas. Un hétéro, c'est rare! j'ai donné un coup de langue sur le bas de la hampe, remontant ma langue vers le gland m'arrêtant au frein que je titille du bout de la langue. Sa main se pose sur ma tête, il n'ose pas appuyer, je joue avec le frein, la mouille coule de plus en plus une vraie fontaine le garçon. Ma langue remonte du frein vers le méat et au moment où le contact se fait j'entends un long râle, il tremble de partout, il grogne, ma langue touche le gland, l'enveloppe. Il n'arrête pas de dire des "oh" et un gros "ah" quand j'avale le gland l'enserrant avec mes lèvres, ma langue s'escrimant dessus.
J'aspire et avale toute la mouille qui arrive sur ma langue. Sa main me tient toujours la tête et je vois l'autre posée sur le divan, le poing serré!
J'avale la queue lentement, ma langue joue la farandole autour, il gémit mais l'engin est long et quand le gland bouscule ma luette, je tousse, je pleure, je crache mais je ne lâche pas le morceau.
Quand ça s'est calmé je reprends à le piper en serrant bien mes lèvres sur cette bonne et belle queue. Sa toison est magnifique, bien coupée. C'est doux pour les lèvres. Je sens la queue se raidir, j'accélère, il grogne, j'aspire, il râle, je pipe plus vite et il crie.
-attention! je vais jouir.
Attention à quoi bonhomme! vas y envoie la sauce!
Et en râlant, grognant, son corps tendu au maximum il m'envoie une longue giclée au fond de la gorge qui coule directement en moi et après un long soupir, une multitude de petites giclées se succèdent me remplissant la bouche, sa main me caresse les cheveux.
Quand tout s'arrête je sens sa queue palpiter dans ma bouche. Je la libère, posant ma tête sur son ventre. Je la prend en main et la lèche avec application pour la rendre propre à son propriétaire.
Je fais de petits bisous au sexe qui ramollit, des bisous sur ses poils pubiens, sur son ventre, un coup de langue sur le nombril.
Et ma tête vient près de la sienne, yeux dans les yeux. Je sais que les miens sourient et les siens sont apaisés, doux, le bleu est clair, serein.
-ça va mieux beau gosse ? dis je en souriant.
-oui dit il en fermant les yeux.
J'en profite pour effleurer ses lèvres des miennes, sa tête collée au dossier ne peut aller plus loin, mais il ne fait rien pour partir. Je dirais au contraire, ses bras se referment sur moi, nos bouches se serrent. Il a fermé les yeux alors je referme les miens et je savoure le beau gosse. Je force sa bouche consentante, lui donne ma langue, qu'il goûte à son sperme. Il ne fait pas le difficile, ma langue est essorée, aspirée, la salive change de camp. Il ronronne en jouant avec ses lèvres et sa langue.
Je caresse son corps, touche sa queue qui bande encore, mais c'est qu'il y prend goût le petit hétéro!
Il arrête de m'embrasser, me regarde, sourit.
-je ne savais pas qu'on était si bien dans les bras d'un mec.
Je souris.
-et qu'un mec savait si bien sucer dit il en rougissant encore.
-si tu veux je donne des cours.
-tu veux que je te…
Je cligne des yeux… il est encore plus rouge.
-mais si tu veux on peut aller dans ma chambre, dans la pénombre mais c'est dommage je ne te verrais plus rougir, tu es si beau quand tu rougis.
Il m'embrasse pour me faire taire, ça il sait embrasser le garçon et il aime ça.
-allez! viens avec moi beau gosse la première leçon va commencer faut pas être en retard pour le début du cours.
Il rigole en se relevant, tenant ton pantalon d'une main, l'autre dans la mienne je l'entraîne dans ma chambre volets fermés. On est dans la pénombre, faut pas effaroucher l'hétéro.!!
Je commence à finir de le déshabiller, il m'arrête les mains, me fixant.
-je veux pas me faire enculer Fabrice dit il très sérieusement.
-oh la la mais ça c'est au moins la dixième leçon! attend ne soit pas pressé comme ça.
Il rigole en se jetant dans mes bras.
-alors apprend moi tout dans l'ordre dit il en souriant.
Quand il est nu complet, je m'offre à lui.
-déshabille moi, j'adore me faire déshabiller par un beau gosse.
Il riait en le faisant, m'observant à la dérobée. Quand j'ai été nu, je voyais bien qu'il n'osait pas regarder mon sexe. J'ai pris sa main et je l'ai guidé sur mon torse.
-caresse moi d'abord, ta main est douce, chaude, je suis ton premier mec alors ?
-oui Fabrice et je peux t'avouer un truc, je n'avais jamais pensé faire ça un jour. Quand je me branle c'est toujours les nanas qui viennent dans mes pensées.
-et t'en a eu beaucoup de nanas ?
-même pas jamais une ne m'a pris par la bite comme tu l'as fait!
J'ai été estomaqué, car il parlait sérieusement!!
J'ai lâché sa main, et il a continué tout seul à me caresser, l'autre main a rejoint. Il me caressait la poitrine, regardant mes tétons qui pointaient, les touchant de la pointe d'un doigt, ça me faisait frissonner. J'ai avancé un peu et nos queues bandées se sont frôlées. La mienne s'était posée sur la sienne. Je sentais la chaleur qu'elle donnait, comme lui devait sentir la mienne. Ses mains se sont arrêtées sur mes tétons, ses yeux m'ont fixés. Il était tétanisé, j'ai bougé mon bassin pour que nos queues bougent l'une sur l'autre, il a gémi en me regardant, ses doigts ont repris sur mes tétons.
-tu peux les sucer si tu veux, j'aime ça qu'on me suce les tétons.
Un vrai vorace s'est jeté dessus! putain s'il me suce comme ça…!
Et c'est devenu une vraie tornade. Il m'a bouffé les tétons comme un chef les faisant rouler entre ses doigts, les léchant, les mordillant. Ses lèvres revenaient régulièrement prendre les miennes, les corps se sont rapprochés, se sont soudés, se sont frottés, les queues raides coincées entre nos corps.
-c'est beau un corps de mec dit il en me caressant la joue.
Et, avant que je puisse répondre il était à genoux devant moi, à genoux devant son premier service trois pièces et je peux vous dire qu'il a su quoi en faire. Moi ce que j'ai apprécié en premier, ce sont ses coups de langue, ses doigts me décalottant, touchant la mouille de la langue. J'aimais être sa première fois. Je voyais son petit cul qui n'avait pas vu de queue et je bandais rien qu'à l'idée! mais putain pourquoi j'avais dit qu'il fallait 10 leçons avant d'en arriver là!
Sucé, léché, aspiré, caresses sur la queue, les couilles. J'étais avec les anges et je sentais la sève monter plusieurs fois, je m'étais déjà retiré de sa bouche pour ne pas jouir trop vite. Il a cru à un jeu et essayait d'attraper ma queue avec sa bouche, je l'ai bifflé, il en fermait les yeux en tendant les joues avant de recommencer à me piper.
Je tenais sa tête quand le plaisir est arrivé… je l'ai prévenu et j'ai senti qu'il refermait sa bouche sur ma queue. Tu vas pas pouvoir tout avaler beau gosse! j'ai pensé et c'est ce qui s'est passé. Il a peut être goûté à la première giclée mais j'étais tellement excité avec ce puceau hétéro que les giclées se sont succédées. Ma queue sortie de sa bouche se répandait sur son visage, ses cheveux, son torse, il en avait partout, les yeux fermés, il riait.
D'un doigt j'ai enlevé le sperme qu'il avait sur les yeux, lui permettant de me regarder, de voir ma queue juste devant son nez. Il l'a saisi et s'est mis à la lécher comme pour me récompenser.
On avait du sperme partout, je l'ai emmené dans la douche, vite fait. Un coup d'eau partout pour rafraîchir, un coup de serviette et retour dans la chambre. Je l'ai poussé pour s'allonger sur le lit.
-tu veux faire quoi ? dit il quand même inquiet.
-reprendre des forces dans tes bras en te faisant des bisous, ça te va ?
Il rigole.
-toi t'as envie d'autre chose dit il avec son air malicieux.
-moi ?
-oui toi, en fait c'est mon cul qui t'intéresse dit il sérieusement.
-ben dis donc, tu viens de prendre ta première leçon et tu veux déjà sauter des classes ?
Il rigole franchement en se collant à moi.
-oui beau gosse j'ai envie de toi, j'ai envie de toi comme j'ai envie que toi aussi tu me fasses l'amour.
-c'est vrai ? dit il les yeux étonnés
-ben oui quand on donne faut savoir recevoir beau gosse.
-rho, ben j'en ai des leçons à prendre alors.
-c'est vrai ?
-oui mais uniquement si c'est toi le maître d'école.
Je rigole en le serrant contre moi, passant ma jambes entre les siennes.
Nos bouches se joignent, les langues s'activent et je sens ses mains me caresser. Je le fais rouler sur moi.
Je n'allais pas tarder à donner ma deuxième leçon!
Et il est revenu mon exhibitionniste et je peux vous dire que c'est un très bon élève.
Comme je ne comprenais rien à ce qu'elle disait j'ai regardé aux alentours et, tout le monde, le peu de monde qu'il y avait semblait ne rien comprendre. Elle est descendue à l'arrêt suivant, menaçant le pauvre mec de son poing.
Le calme est revenu dans la rame, à Paris ce genre d'incident est si courant, mais j'ai regardé le mec du coin de l'œil.
Beau mec châtain clair, cheveux mi-longs, yeux clairs perçants qui regardaient dans tous les sens, et quand nos regards se sont croisés, il a détourné le sien rapidement. Je ne voyais pas ce qui avait pu choquer l'arabe.
C'est quand, debout, il a mis ses mains dans les poches de son imper qui lui tombait aux genoux, que je me suis fais la réflexion qu'avec le temps qu'il faisait dehors, je n'aurais jamais mis un imper!
Cela m'a fait sourire, mais le mec avait les yeux fixés sur une autre personne et je l'ai vu ouvrir son imperméable, lentement. Ses yeux fixés sur quelqu'un qui se trouvait pas loin de moi. Machinalement j'ai regardé dans l'ouverture et, moi, ben j'ai failli éclater de rire.
Le mec avait la queue de sortie. oh! une belle queue, longue et flasque qui pendouillait dans le vide entre les pans de son imper.
J'ai suivi son regard mais la femme lisait une revue et avait le regard de baissé.
Pourtant il l'ouvrait son imper et j'avais une magnifique vue sur le service trois pièces.
A l'arrêt suivant une nuée de touristes allemands sont montés, nous obligeant tous à nous relever. Je suis allé attraper la barre et me rapprocher du beau mec. J'ai eu envie de m'amuser.
La rame s'est retrouvée bondée, on était serré comme il arrive souvent, deux arrêts après j'étais collé à mon exhibitionniste qui s'est mis à rougir.
Autour de nous ça ne parlait qu'allemand. Je tenais la barre d'une main et j'ai plongé l'autre le long de mon corps et du sien par la même occasion.
J'avoue que je n'ai pas fait dans la dentelle.
J'ai frotté du dos de ma main son torse, descendant le long des boutons de l'imper cherchant une ouverture et, quand je l'ai eu trouvé j'ai fait entrer ma main à l'intérieur pour me saisir de l'objet du délit.
Si vous aviez vu sa tête, sa bouche formait un "O", il transpirait et moi je fixais ses beaux yeux bleus en tripotant le sexe mou.
J'aime tripoter les sexes mous pour qu'ils durcissent dans ma main, les sentir grossir, durcir, s'allonger, avoir le gland qui se décalotte et que le méat donne ses perles de mouille.
Là je ne voyais rien mais, ma main chaude a eu raison de la mollesse de la bête. Je l'ai senti s'animer, bouger en même temps que les secousses du métro.
Et j'ai eu un gros os dans la main. Le beau mec était rouge comme une pivoine en pleine floraison. J'ai essayé de bouger un peu plus pour vraiment le coller à moi, il n'a pas résisté et, quand j'ai commencé à le branler doucement, en le caressant, il a fermé les yeux et s'est abandonné.
Mes doigts ont caressé la belle paire de couilles qui pendaient au départ et qui maintenant étaient collées de chaque côté de la belle bite.
Il avait toujours les yeux fermés et respirait par saccades. Je n'avais pas envie qu'il jouisse dans ma main, j'avais envie de le ramener chez moi, d'autant que je n'allais pas tarder à descendre… plus que trois stations pour arriver à mes fins.
J'ai serré sa queue fortement dans ma main, en rapprochant ma tête de la sienne. Il a eu comme un mouvement de recul mais il ne pouvait pas aller bien loin. Nos joues se touchaient presque.
-t'as une belle bite mec, elle est chaude et douce comme je les aime.
Il est devenu encore plus rouge, m'a regardé et on aurait dit qu'il me voyait vraiment pour la première fois, un sourire a illuminé son visage.
-merci mec a t-il balbutié.
Je ne lâchais pas sa queue, agaçant le gland, passant mon pouce sur le gland décalotté, je voyais son visage avoir des tics.
-t'aimes ma main ?
-oui dit-il dans un souffle.
-ça te dirait ma bouche ?
Il m'a regardé effaré.
-pas ici! dit-il d'un air apeuré.
Bon point mec! t'as pas dit non.
-bah non mais je descends bientôt, je t'invite à boire un verre.
-où ça ?
-ben chez moi.
Sa queue palpite dans ma main, son corps se colle encore plus contre le mien. Il transpire de plus en plus, je sens son odeur malgré toutes celles du métro.
Il me fixe de ses yeux bleus.
-j'me suis jamais fait sucer par un mec !
Il baisse la tête, nos fronts se touchent, ballotés par les mouvements du métro. On est seuls au monde au milieu d'une armée de touristes allemands.
-t'as envie ?
Il redresse la tête, me regarde à nouveau, le rouge revient sur ses joues.
-oui.
-alors viens, on descend à la prochaine.
Je lâche sa queue et je sens qu'il me suit. Le métro s'arrête, les portes s'ouvrent, je descends, il me suit. Il vient se mettre à côté de moi. On sort sur le terre-plein. On marche au soleil, y'a des bancs.
-on s'assoit un peu ? me demande t-il.
On se met côte à côte, il se tourne vers moi.
-moi je m'appelle Jérôme dit il, tu sais je préfère les filles, mais je sais pas, tout à l'heure dans le métro ta main sur moi m'a fait des effets bizarres, c'était pas pareil qu'avec la main d'une fille… tu comprends ?
-ben pas tellement dis je en rigolant moi je préfère les beaux mecs comme toi tu vois et je sais quels effets me font les beaux mecs… toi, quand j'ai vu ce que tu faisais, en fait ce que tu faisais je m'en fou, mais c'est quand j'ai vu ce que tu montrais que j'ai eu envie de te toucher et j'ai bien senti que tu aimais ça. Tu bandes bien mec! tu jutes beaucoup ?
Et c'est reparti pour une tournée de rouge sur son visage.
-je crois oui dit-il tu t'appelles comment ?
-Fabrice, alors on va le boire ce verre ?
-tu vas pas me violer ?
-si! je vais t'attacher, te séquestrer, t'enfermer dans ma cave et te garder pour me servir de toi jusqu'à la fin des temps.
J'ai dit ça avec un grand sourire. Il rigole, mais je ne le sens pas tranquille le garçon. Je me lève, lui tend la main qu'il prend machinalement.
-viens Jérôme on va commencer par boire un verre et faire connaissance.
Il s'est laissé entraîner. Il avait le sourire quand on est arrivé chez moi. J'ai vu qu'il était soulagé de voir qu'il n'y avait pas de traquenard.
Je suis allé chercher deux bières, que j'ai ouvert devant lui en lui faisant remarquer que je n'allais pas le droguer, là il riait maintenant.
On a parlé un bon moment, il avait retiré son imper.
J'en ai eu un peu marre de papoter, fallait passer aux choses sérieuses quand même.
Je suis allé m'asseoir à côté de lui. J'ai bien vu qu'il y avait un peu d'appréhension, passant ma main sur sa cuisse ferme et chaude.
-si on reprenait ce que je faisais dans le métro dis je en souriant, ma main arrivait sur son sexe. Il bandait ce coquin et le rouge est revenu.
J'ai pétri son sexe bandé, il soupirait en fermant les yeux. J'ai posé sa tête sur mon épaule.
-tu me laisses faire Jérôme ? j'ai envie que tu aies beaucoup de plaisirs, uniquement que du plaisir.
Il a enfoui sa tête dans mon cou en disant oui fais comme tu veux.
Faut pas me dire ça! j'ai pensé en riant.
J'ai libéré le beau morceau pour enfin l'avoir sous les yeux. C'est beau de toucher mais la vue est importante quand même! libérer la paire de couilles, je n'ai pas voulu lui baisser le pantalon. Il fallait lui donner du plaisir avant d'aller plus loin car mon intention était belle et bien de l'amener à se coucher dans mon lit.
Je l'ai serré contre moi en le caressant, le branlant. Son gland laissait couler la mouille que j'enlevais avec mon pouce, le faisant gémir. J'ai accéléré ma branlette, il a commencé à soupirer plus fort, son corps se tendre, sa queue se redresser. J'ai arrêté pour le prendre par les couilles et je me suis penché sur l'objet du délit.
J'étais content de moi d'avoir sous les yeux une bite qui n'avait jamais vu une bouche de garçon, d'être le premier, alors faut qu'il s'en rappelle!
La queue bien droite pointait, le gland bien décalotté plus gros que la hampe, bien dessiné, rouge, au méat ouvert. La mouille faisait des perles qui coulaient en continue. Je me suis penché, j'ai reniflé, j'aime sentir une odeur de mec que je ne connais pas. Un hétéro, c'est rare! j'ai donné un coup de langue sur le bas de la hampe, remontant ma langue vers le gland m'arrêtant au frein que je titille du bout de la langue. Sa main se pose sur ma tête, il n'ose pas appuyer, je joue avec le frein, la mouille coule de plus en plus une vraie fontaine le garçon. Ma langue remonte du frein vers le méat et au moment où le contact se fait j'entends un long râle, il tremble de partout, il grogne, ma langue touche le gland, l'enveloppe. Il n'arrête pas de dire des "oh" et un gros "ah" quand j'avale le gland l'enserrant avec mes lèvres, ma langue s'escrimant dessus.
J'aspire et avale toute la mouille qui arrive sur ma langue. Sa main me tient toujours la tête et je vois l'autre posée sur le divan, le poing serré!
J'avale la queue lentement, ma langue joue la farandole autour, il gémit mais l'engin est long et quand le gland bouscule ma luette, je tousse, je pleure, je crache mais je ne lâche pas le morceau.
Quand ça s'est calmé je reprends à le piper en serrant bien mes lèvres sur cette bonne et belle queue. Sa toison est magnifique, bien coupée. C'est doux pour les lèvres. Je sens la queue se raidir, j'accélère, il grogne, j'aspire, il râle, je pipe plus vite et il crie.
-attention! je vais jouir.
Attention à quoi bonhomme! vas y envoie la sauce!
Et en râlant, grognant, son corps tendu au maximum il m'envoie une longue giclée au fond de la gorge qui coule directement en moi et après un long soupir, une multitude de petites giclées se succèdent me remplissant la bouche, sa main me caresse les cheveux.
Quand tout s'arrête je sens sa queue palpiter dans ma bouche. Je la libère, posant ma tête sur son ventre. Je la prend en main et la lèche avec application pour la rendre propre à son propriétaire.
Je fais de petits bisous au sexe qui ramollit, des bisous sur ses poils pubiens, sur son ventre, un coup de langue sur le nombril.
Et ma tête vient près de la sienne, yeux dans les yeux. Je sais que les miens sourient et les siens sont apaisés, doux, le bleu est clair, serein.
-ça va mieux beau gosse ? dis je en souriant.
-oui dit il en fermant les yeux.
J'en profite pour effleurer ses lèvres des miennes, sa tête collée au dossier ne peut aller plus loin, mais il ne fait rien pour partir. Je dirais au contraire, ses bras se referment sur moi, nos bouches se serrent. Il a fermé les yeux alors je referme les miens et je savoure le beau gosse. Je force sa bouche consentante, lui donne ma langue, qu'il goûte à son sperme. Il ne fait pas le difficile, ma langue est essorée, aspirée, la salive change de camp. Il ronronne en jouant avec ses lèvres et sa langue.
Je caresse son corps, touche sa queue qui bande encore, mais c'est qu'il y prend goût le petit hétéro!
Il arrête de m'embrasser, me regarde, sourit.
-je ne savais pas qu'on était si bien dans les bras d'un mec.
Je souris.
-et qu'un mec savait si bien sucer dit il en rougissant encore.
-si tu veux je donne des cours.
-tu veux que je te…
Je cligne des yeux… il est encore plus rouge.
-mais si tu veux on peut aller dans ma chambre, dans la pénombre mais c'est dommage je ne te verrais plus rougir, tu es si beau quand tu rougis.
Il m'embrasse pour me faire taire, ça il sait embrasser le garçon et il aime ça.
-allez! viens avec moi beau gosse la première leçon va commencer faut pas être en retard pour le début du cours.
Il rigole en se relevant, tenant ton pantalon d'une main, l'autre dans la mienne je l'entraîne dans ma chambre volets fermés. On est dans la pénombre, faut pas effaroucher l'hétéro.!!
Je commence à finir de le déshabiller, il m'arrête les mains, me fixant.
-je veux pas me faire enculer Fabrice dit il très sérieusement.
-oh la la mais ça c'est au moins la dixième leçon! attend ne soit pas pressé comme ça.
Il rigole en se jetant dans mes bras.
-alors apprend moi tout dans l'ordre dit il en souriant.
Quand il est nu complet, je m'offre à lui.
-déshabille moi, j'adore me faire déshabiller par un beau gosse.
Il riait en le faisant, m'observant à la dérobée. Quand j'ai été nu, je voyais bien qu'il n'osait pas regarder mon sexe. J'ai pris sa main et je l'ai guidé sur mon torse.
-caresse moi d'abord, ta main est douce, chaude, je suis ton premier mec alors ?
-oui Fabrice et je peux t'avouer un truc, je n'avais jamais pensé faire ça un jour. Quand je me branle c'est toujours les nanas qui viennent dans mes pensées.
-et t'en a eu beaucoup de nanas ?
-même pas jamais une ne m'a pris par la bite comme tu l'as fait!
J'ai été estomaqué, car il parlait sérieusement!!
J'ai lâché sa main, et il a continué tout seul à me caresser, l'autre main a rejoint. Il me caressait la poitrine, regardant mes tétons qui pointaient, les touchant de la pointe d'un doigt, ça me faisait frissonner. J'ai avancé un peu et nos queues bandées se sont frôlées. La mienne s'était posée sur la sienne. Je sentais la chaleur qu'elle donnait, comme lui devait sentir la mienne. Ses mains se sont arrêtées sur mes tétons, ses yeux m'ont fixés. Il était tétanisé, j'ai bougé mon bassin pour que nos queues bougent l'une sur l'autre, il a gémi en me regardant, ses doigts ont repris sur mes tétons.
-tu peux les sucer si tu veux, j'aime ça qu'on me suce les tétons.
Un vrai vorace s'est jeté dessus! putain s'il me suce comme ça…!
Et c'est devenu une vraie tornade. Il m'a bouffé les tétons comme un chef les faisant rouler entre ses doigts, les léchant, les mordillant. Ses lèvres revenaient régulièrement prendre les miennes, les corps se sont rapprochés, se sont soudés, se sont frottés, les queues raides coincées entre nos corps.
-c'est beau un corps de mec dit il en me caressant la joue.
Et, avant que je puisse répondre il était à genoux devant moi, à genoux devant son premier service trois pièces et je peux vous dire qu'il a su quoi en faire. Moi ce que j'ai apprécié en premier, ce sont ses coups de langue, ses doigts me décalottant, touchant la mouille de la langue. J'aimais être sa première fois. Je voyais son petit cul qui n'avait pas vu de queue et je bandais rien qu'à l'idée! mais putain pourquoi j'avais dit qu'il fallait 10 leçons avant d'en arriver là!
Sucé, léché, aspiré, caresses sur la queue, les couilles. J'étais avec les anges et je sentais la sève monter plusieurs fois, je m'étais déjà retiré de sa bouche pour ne pas jouir trop vite. Il a cru à un jeu et essayait d'attraper ma queue avec sa bouche, je l'ai bifflé, il en fermait les yeux en tendant les joues avant de recommencer à me piper.
Je tenais sa tête quand le plaisir est arrivé… je l'ai prévenu et j'ai senti qu'il refermait sa bouche sur ma queue. Tu vas pas pouvoir tout avaler beau gosse! j'ai pensé et c'est ce qui s'est passé. Il a peut être goûté à la première giclée mais j'étais tellement excité avec ce puceau hétéro que les giclées se sont succédées. Ma queue sortie de sa bouche se répandait sur son visage, ses cheveux, son torse, il en avait partout, les yeux fermés, il riait.
D'un doigt j'ai enlevé le sperme qu'il avait sur les yeux, lui permettant de me regarder, de voir ma queue juste devant son nez. Il l'a saisi et s'est mis à la lécher comme pour me récompenser.
On avait du sperme partout, je l'ai emmené dans la douche, vite fait. Un coup d'eau partout pour rafraîchir, un coup de serviette et retour dans la chambre. Je l'ai poussé pour s'allonger sur le lit.
-tu veux faire quoi ? dit il quand même inquiet.
-reprendre des forces dans tes bras en te faisant des bisous, ça te va ?
Il rigole.
-toi t'as envie d'autre chose dit il avec son air malicieux.
-moi ?
-oui toi, en fait c'est mon cul qui t'intéresse dit il sérieusement.
-ben dis donc, tu viens de prendre ta première leçon et tu veux déjà sauter des classes ?
Il rigole franchement en se collant à moi.
-oui beau gosse j'ai envie de toi, j'ai envie de toi comme j'ai envie que toi aussi tu me fasses l'amour.
-c'est vrai ? dit il les yeux étonnés
-ben oui quand on donne faut savoir recevoir beau gosse.
-rho, ben j'en ai des leçons à prendre alors.
-c'est vrai ?
-oui mais uniquement si c'est toi le maître d'école.
Je rigole en le serrant contre moi, passant ma jambes entre les siennes.
Nos bouches se joignent, les langues s'activent et je sens ses mains me caresser. Je le fais rouler sur moi.
Je n'allais pas tarder à donner ma deuxième leçon!
Et il est revenu mon exhibitionniste et je peux vous dire que c'est un très bon élève.
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