L’Expérience Candauliste - histoire érotique

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Bonjour, je m'appelle Alicia. J'ai la petite quarantaine, je suis brune, je mesure 1m70 pour 75 kg. J'ai ce qu'il faut là où il faut, comme on dit. Comprenez, j'ai une poitrine généreuse, un fessier assez rebondi et quelques petites rondeurs. Je suis réceptionniste dans un immeuble d'affaires. Je suis mariée avec Romain depuis bientôt 15 ans, avec qui j'ai eu un enfant. Nous nous aimons énormément. Romain est un mari en or, gentil, présent, respectueux et très attentionné. Bien sûr, tout n'a pas été rose entre nous, mais nous sommes un couple solide.

Romain a mon âge. Il est employé de bureau dans un immeuble pas loin du mien. Il mesure 1m80 pour 100 kg, a un petit ventre à bière et une calvitie classique pour les personnes de son âge. Son sexe est épilé en ticket de métro, que je qualifierais de très modeste.

Avant Romain, j'ai connu quelques hommes, dont un qui s'appelait Étienne, un Antillais qui était un très bon coup au lit, mais un connard dans la vie de tous les jours. Dans notre vie sexuelle, c'est assez calme, la routine et le petit sexe de mon mari n'aident en rien. En effet, je le sens rarement quand il me pénètre, mais nous compensons grâce aux préliminaires et aux sextoys. Pour tromper la routine, nous nous offrons de temps à autre un week-end rien qu'à deux dans un hôtel spa à quelques dizaines de kilomètres de chez nous, jusqu'à ce fameux week-end pluvieux d'octobre.

Nous arrivons en milieu d'après-midi dans notre hôtel quatre étoiles. Romain voulant faire une sieste, j'en profite pour aller me délasser dans le jacuzzi du spa de l'hôtel. Je suis seule quand arrive un homme métis dans la trentaine, qui semble être seul lui aussi. Il est grand, bien bâti, avec des abdos bien dessinés, une barbe de trois jours taillée et des cheveux très courts. Il porte un slip de bain qu'il remplit bien...

Au bout de quelques minutes, il engage la conversation. Après avoir échangé les banalités, nous nous racontons nos vies respectives. Il s'appelle Baptiste, vendeur dans une grosse concession de voitures allemandes de la région. Il a 33 ans et est en séminaire dans la ville. Il a décidé de s'octroyer un week-end détente avant de repartir, et de fil en aiguille, nous nous sommes rapprochés pour être côte à côte. Sa main effleure ma cuisse et remonte jusqu'à ma taille. Normalement, je l'aurais rembarré, mais pas cette fois-ci. Certainement à cause de son bagout et de son charisme, je me suis laissée séduire...

Nous allons boire un café au bar, et sur le chemin, je remarque que je ne laisse pas indifférent au vu de la déformation de son slip. En effet, il me répond qu'il n'est pas insensible à mes charmes et qu'il aimerait bien m'inviter au restaurant. Je décline, mais je lui donne rendez-vous ici vers 23h...

Je remonte dans ma chambre toute mouillée et excitée de ma rencontre avec Baptiste. Bien sûr, pas un mot à Romain, du moins pour le moment. Nous nous préparons pour sortir en ville. Mon mari enfile un polo, un sweat, un jean et des baskets classiques mais chics. Quant à moi, j'enfile un ensemble de lingerie rouge, dont un tanga ouvert sur mon vagin, une paire de bas noirs, une jupe courte, un haut noir moulant, un chemisier et une paire d'escarpins.

Notre virée en ville se passe bien, apéro, resto... Nous rentrons à l'hôtel vers 23h. Arrivant dans le hall, je propose à Romain d'aller boire un dernier verre au bar afin de finir sur une bonne note notre soirée. Baptiste était déjà là, il m'a vue, je l'ai vu. Une fois installés, nous commandons deux cocktails fortement alcoolisés. Puis, au fur et à mesure, la discussion dérive sur le sexe, où Romain me raconte qu'il est très excité de me voir dans cette tenue et que beaucoup d'hommes se sont retournés sur mon passage et m'ont maté. Cela m'excite beaucoup aussi. Puis, surprenant mes regards répétés envers Baptiste, Romain me demande d'un ton mi-vexé mi-provocateur : "Tu veux l'inviter à se joindre à nous ?"

"Oui", lui répondis-je.

"Bien, je vais aller le voir et on verra bien !" Et c'est ainsi que Baptiste se retrouve avec nous. Après avoir bu une coupe de champagne et devant l'insistance de Baptiste, Romain accepte que nous montions tous les trois boire un dernier verre dans notre chambre.

Dans l'ascenseur, je sens la main de Baptiste passer sous ma jupe et me caresser les fesses, ce qui a pour effet de me faire mouiller instantanément. Une fois arrivés dans la chambre, je commence à me dévêtir légèrement et je m'assois à côté de Baptiste en remontant ostensiblement ma jupe, dévoilant le haut de mes cuisses gainées de bas. Puis Baptiste pose sa main sur ma cuisse. Je les écarte afin de lui faciliter le passage jusqu'à ma minette détrempée. Devant la passivité de Romain, Baptiste pose la paume de sa main sur mon pubis intégralement épilé et commence à me titiller les lèvres et à m'introduire un doigt. Puis, il dit à Romain :

"Dis donc, ta femme mouille énormément, ça serait dommage de gâcher."

"Je ne sais pas ce qu'en pense Alicia", répond Romain.

"J'en pense que j'aimerais voir ce qu'il y a dans ce pantalon."

Baptiste se lève alors face à moi, déboutonne son pantalon et le laisse tomber, ainsi que son caleçon, libérant son gros sexe en érection. Il fait au moins le double de celui de mon mari, aussi bien en longueur qu'en largeur !

J'ordonne à Romain de se déshabiller et de venir me retirer ma jupe et mon haut, me retrouvant devant Baptiste, portant uniquement mes bas et ma lingerie. Je demande à Romain de s'approcher afin que je puisse comparer les engins de ces deux messieurs, et la comparaison est vite faite. Le sexe de mon mari tient au creux de ma main, tandis que celui de mon amant d'un soir est plus grand que mes deux mains !

"Branle ton clito, mon chéri", lui dis-je à Romain.

Il s'exécute et commence à masturber sa petite crevette avec trois doigts, ce qui fait sourire Baptiste, qui lui branle son manche à pleine main. "Ce soir, tu ne pourras pas rivaliser, mon chéri", lui dis-je, "mais ce n'est pas grave, ton petit sexe va me servir de porte-manteau." Et joignant le geste à la parole, je dégrafe mon soutien-gorge et l'accroche sur le bout de son gland.

Je me mets à quatre pattes sur le lit et ordonne à Romain de me lécher ma minette détrempée ainsi que ma rondelle, pendant que je prends à pleine bouche la verge vaillante de mon amant. Romain réussit à me faire jouir avec sa langue pendant que je suce Baptiste. Il est doué !

Puis, repoussant mon mari avec le pied, je me mets sur le dos pour enfin pouvoir me faire prendre. Baptiste pose sa queue sur mon bas-ventre, elle atteint jusqu'à mon nombril ! Puis doucement, il présente son gland à l'entrée de ma minette déjà bien dilatée, et d'un petit coup de rein, il l'enfonce intégralement. Mon vagin s'écarte davantage pour laisser passer cet imposant membre.

Romain n'en perd pas une miette, il est à côté, debout, mon soutien-gorge sur sa queue en érection, et voit les allers-retours de plus en plus rapides. Les lèvres de ma chatte moulent parfaitement le pénis de mon amant.

J'avais oublié le plaisir que c'était de se faire remplir et taper dans le fond par un si gros sexe, et je jouis très vite ! Je demande à Romain de m'enlever mes bas pendant que Baptiste me lime l'intimité, pour qu'il me lèche les orteils (Romain étant fétichiste, il est aux anges). Puis, Baptiste me redresse, enlève mon tanga, le renifle et le balance à mon cocu pour qu'il l'accroche à côté de mon soutien-gorge sur son petit sexe, puis me prend virilement et avec ardeur en levrette. Mon visage se déforme de plaisir sous les coups de butoir, ses testicules tapent à chaque va-et-vient, et après un gros orgasme commun, Baptiste s'écroule sur le côté, vidé.

J'ordonne à Romain de venir sous moi afin qu'il recueille la semence de mon amant, pendant que je lèche goulûment la verge qui vient de me pilonner la chatte. Étant fatiguée de nos ébats, je propose à Baptiste de venir demain matin seul dans sa chambre pour le réveil. Il ne se fait pas prier !

Une fois mon étalon d'ébène parti, Romain me demande de me pénétrer en levrette. Il est excité et je lui dois bien ça ! Mais forcément, après le passage d'un tel engin, je ne le sens pas et son sexe nage littéralement dans mon vagin. Il se finit donc à la main sur mes pieds et s'empresse de nettoyer sa jute.

Je remercie Romain de m'avoir laissé coucher avec un autre homme, et il me répond qu'il a pris énormément de plaisir de me voir m'envoyer en l'air avec lui, et nous nous endormons enlacés amoureusement dans les bras l'un de l'autre.

Le lendemain, je m'éclipse pendant que Romain dort encore, pour rejoindre mon nouvel amant dans sa chambre. J'enfile un string, m'insère un plug dans les fesses, revêts mon peignoir et traverse l'étage pour rejoindre mon étalon. Ayant laissé une clé la veille, je me glisse sous ses draps et colle mes fesses sur sa queue. Je sens ses bras m'enlacer et sa main venir me caresser le clito. Il me susurre à l'oreille qu'il est content que je sois là, et je m'endors ainsi.

Deux heures plus tard, je suis réveillée par les coups de langue sur ma chatte, c'est bon ! Puis il titille mon clito avec sa langue, pendant qu'il me masse le point G avec ses doigts, ce qui a pour effet de me déclencher un mini orgasme. Puis il s'allonge derrière moi, me pénètre en cuillère. Le plug augmente la pression, ce qui décuple le plaisir. Puis, sans ménagement, il enlève le jouet pour me sodomiser d'un coup sec. Ses allers et retours sont rapides et efficaces, ma rondelle se dilate, et pendant qu'il me sodomise, il me doigte. J'ai un très gros orgasme, il décharge tout son foutre dans mon cul et remet le plug. "Comme ça, ton mari n'en perdra pas une goutte", me dit-il. Nous rigolons, puis je me lève et l'invite à venir prendre le petit-déjeuner dans une heure avec nous, afin que l'on discute de la suite. Il accepte !

De retour dans la chambre, Romain est là, assis sur le bord du lit, nu, le sexe en érection, et me demande de lui raconter dans les moindres détails. Je le fais, allongée sur le dos, positionnant mes fesses sur sa bouche, et je lui dis : "Je vais tout te dire, mais d'abord, tu vas déguster le cadeau que t'a fait Baptiste. Enlève-moi le plug et lèche-moi."

Puis je lui raconte toutes mes parties de jambes en l'air et l'invitation au petit-déjeuner. "Pourquoi l'as-tu invité ?", me demande Romain, surpris. "Tu verras", lui répondis-je, en attendant qu'il me lèche bien tout, ne laissant pas une goutte, nettoyant mon plug et le rangeant avec les autres.

Nous nous habillons et je décide de ne pas porter de culotte sous mon collant. Romain me le fait remarquer, et je lui dis que Baptiste aimerait certainement me doigter sous la table avant de nous quitter. Romain acquiesce, frustré. Nous rejoignons Baptiste à table, puis je prends la parole : "Baptiste, je voulais tout d'abord te remercier de m'avoir donné autant de plaisir. Cela faisait longtemps que je n'avais plus connu ça."

"Merci, Alicia."

"Merci, Romain, de m'avoir laissée profiter de ce moment si exceptionnel. Je t'aime."

"Moi aussi, je t'aime. Je ne pensais pas dire ça un jour, j'ai été très excité de te voir coucher avec un autre homme."

"Justement, c'est là que je voulais en venir. Hier, j'ai enfin pu être comblée par une vraie bite, et j'ai remarqué que tu prenais beaucoup de plaisir et d'excitation quand nous nous moquions de ton ridicule petit attribut. Me trompe-je ?"

"Non, tu as raison, Al."

"Bien, comme tu as pu le constater, ton mini-clito ne me suffit plus. C'est pour ça que je te propose que Baptiste devienne mon amant régulier. Il viendra chez nous de temps en temps, ou moi j'irai chez lui, de temps en temps, ou ailleurs. Qu'en penses-tu ? Bien évidemment, tu es et resteras mon mari, car je t'aime. C'est juste que j'ai besoin de mieux doté que toi pour me faire jouir."

"Bien d'accord, je veux ton bonheur."

"Et toi, Baptiste, qu'en penses-tu ?"

"Avec joie ! Je serais ravi d'être ton régulier. Romain, mon vieux, tu n'es pas prêt de ressentir le vagin de ta femme !"

Puis, Baptiste introduit deux doigts dans mon minou encore dilaté de nos ébats matinaux. Romain rougit en voyant et entendant ça, pendant que Baptiste et moi rions en prévoyant un avenir très prometteur.

À suivre...