L'hétéro très curieux
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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L'hétéro très curieux
Cela m'a toujours fait marrer quand je lis sur les réseaux sociaux ou sur les applis de rencontres des mecs qui se présentent comme : hétéro curieux…
Curieux de quoi ? de voir des bites ? d'en prendre dans leur petit cul ?
Et, quand on discute avec eux, d'abord ils ne veulent pas se montrer, disant qu'ils sont hétéros, qu'ils cherchent à connaitre ce que font des homos et quand on discute longuement (car ils nous font perdre notre temps) on se rend compte qu'ils sont de bons petits pédés frustrés qui n'osent pas passer le pas ou de vrais salopes qui font la collection de photos et vidéos et rares sont ceux qui acceptent un rencart…
Mais j'ai eu la chance d'en rencontrer un… un vrai je dirais!
C'était en boite dans ma région, une boite que l'on peut considérer comme le super marché du sexe. C'est rare que l'on rentre bredouille.
Ce soir là, j'étais assis au bar et je regardais les danseurs. Des jeunes, des vieux, des mecs, des nanas, ça se draguait lourdement. Les nanas aguichaient largement la gente masculine et, comme il y avait plus de mâles que de gonzesses, elles en avaient deux ou trois autour d'elles.
Je souriais intérieurement de voir les manèges car je savais qu'il allait y avoir des déçus. Des déçus qui auraient bandé toute la soirée et qui ne vont même pas trouver une main amie pour les soulager à défaut des chattes des gonzesses.
Et, c'est là qu'il fallait bien observer, bien observer celui qui avait le moins de chance avec les nanas, qui se faisait griller par les potes et qui se retrouvait seul quand le pote sortait avec la nana et, quand cela se produisait plusieurs fois, on voyait bien qu'il était irritable, qu'il pestait en rejoignant le bar.
Où j'attendais!
Et, là, faut du tact! du baratin, de la compassion…
C'est ainsi que j'ai vu arriver près de moi, un tabouret venait juste de se libérer, un jeune minet qui avait eu plusieurs refus dans la soirée! Pourtant je le trouvais à mon goût moi! Tout à fait le genre à mettre dans mon lit. Il s'était fait griller par deux mecs plus imposants, plus carrés que lui.
Il est venu s'installer sur le tabouret près de moi. Je le voyais de profil, des cheveux mi longs châtains, un visage fin, un petit nez magnifique, et des lèvres bien dessinées. Il devait être juste un peu plus petit que moi, un corps mince, un petit cul enveloppé dans son jean serré et un tee-shirt plein de sueur qui lui moulait le torse.
Il regardait toujours la piste, suivant manifestement des yeux une autre gonzesse, mais là encore des mecs étaient déjà en chasse.
Il s'est retourné vers le bar et m'a vu. Il m'a regardé en souriant, soupirant et a commandé une bière.
Je me suis penché vers lui.
-tu t'es fais griller plusieurs fois ce soir dis je en souriant.
-m'en parle pas, j'ai rien pu faire face aux mecs baraqués qui étaient là ce soir.
-pourtant t'es pas mal comme mec!
-merci mais tu vois je ne suis pas le genre des nanas ce soir et toi, tu dragues pas ?
-moi j'attends la fin de la soirée dis je en riant, il reste toujours quelque chose qui traîne.
-ouais mais c'est pas les plus bandantes qui restent dit-il en riant.
-oh tu sais à des fois vaut mieux une moche qui sait s'occuper de toi qu'une autre qui ne veut même pas te toucher la queue!
-ah ah t'as raison mec! et tu te tapes souvent des moches alors ?
-oh moi je suis pas difficile j'ai le choix entre les meufs et les mecs, j'aime tout le monde.
-oh tu te tapes des mecs aussi ?
-oui ça m'arrive.
-et c'est bien ?
-bah c'est pas mal, en tout cas un mec ça sait mieux sucer qu'une gonzesse.
-ouais c'est ce que j'ai entendu dire… mais je sais pas.
-et puis un mec qui se donne! ça c'est du plaisir.
-donc tu l'encules ?
-ben ouais ou…
-ah tu te fais…
Là j'ai vu que je l'intéressais le mec! on parlait comme si on se connaissait depuis longtemps sans chichi. Là c'était de l'hétéro curieux, du vrai… du que j'adore!
Je lui ai payé une bière, on a continué à parler de cul.
-la semaine dernière j'ai rencontré ici une belle nana, que j'ai enculé dans le sous bois derrière la boite, figure toi qu'elle ne voulait pas que je lui touche la chatte ni que je la baise, elle voulait juste me sucer et se faire enculer. Comme ça m'arrive pas souvent tu penses que j'ai dit oui.
-tu y'as pas touché la chatte ?
-ben non!
-quand elle t'a sucé elle t'a doigté le cul…?
-oui... un peu… dit-il en baissant la tête.
-t'es sûr que c'est pas un trav ta copine ?
Si vous aviez vu sa tête. Il est resté me fixant, la bouche ouverte où j'aurais bien mis ma queue ou ma langue.
-tu crois ?
-ben une nana qui veux pas se faire caresser, c'est qu'elle a quelque chose à cacher tu crois pas?
-oui c'est vrai que je me suis posé des questions mais j'avoue que j'ai jamais pensé que c'était un trav… en fait un mec quoi !
-et ça t'a plu ?
On était face à face, sur un tabouret, j'ai posé mes deux mains sur ses genoux.
-ben j'peux pas dire non dit il en riant.
-et ça te plairait de recommencer ?
Il m'a regardé en rigolant.
-tu serais pas en train de me draguer là ?
-ben un beau mec comme toi… j'aime pas les laisser passer!
-je crois que t'es un baratineur oui et il rit encore.
Je bouge mes mains sur ses cuisses. Il me regarde un petit sourire en coin mais me laisse faire.
Ses cuisses sont dures au toucher. C'est bien ce que je pensais c'est un faux mince le mec. Je fais de doux allers retours sur ses cuisses sans aller jusqu'au sexe mais malgré lui il écarte les jambes.
-là mec! c'est une invit dis je en regardant ses cuisses qu'il referme vivement en riant.
-serais je que je te fais de l'effet et que ta queue voudrait prendre ses aises.
-ben tes mains sont chaudes mec et ça me fait de l'effet, mais je crois que les gonzesses m'ont tellement excité tout à l'heure.
-ben tu vas pas rester comme ça alors! faut soulager mec!
Il rigole encore, et ses cuisses s'écartent de nouveau.
-et admettons que j'accepte, tu me ferais quoi ?
-ce que tu veux… uniquement ce que tu veux. J'aime le sexe! les bisous, les caresses, serrer dans mes bras un beau mec, lui caresser son corps, le branler, le sucer, le faire jouir… voir son jus gicler dans les airs et retomber sur nous, lécher tout…
-tu mets pas de capote ?
-pour se sucer et branler non, c'est mieux de sentir la peau dans sa main.
On avait rapproché nos têtes pour se parler à l'oreille si bien que nos joues étaient collées l'une à l'autre. Il n'a rien fait pour s'enlever. Je sentais que ça devenait bon. Je lui ai fait un petit bisou sous l'oreille. Je l'ai entendu rire et il m'en a fait autant.
Une main est partie à l'aventure entre ses cuisses, remontant sur son entre jambe, qu'il écartait au max pour que je puisse découvrir sa bite raide emprisonnée dans son jean. Il y avait l'air d'y avoir un bon morceau que j'ai touché du bout des doigts.
-tu peux pas rester comme ça il te faut un secouriste vite fait.
Il riait encore, sa joue toujours collée à la mienne, sa main serrait la mienne qui le tripotait. Il s'est mis à gémir à mon oreille.
-T'aimes ça hein te faire branler mon petit cochon ?
-oui dit-il dans un souffle.
-t'as l'air d'avoir une belle queue.
-j'ai pas eu de plainte dit-il toujours en riant.
-tu veux apprendre plein de choses entre mecs ?
La réponse a été un peu plus longue à venir.
-oui je veux bien mais faudra être doux avec moi si tu veux que je sois un bon élève.
-j'en doute pas que tu seras un bon élève dis je en lui refaisant un gros bisous dans le cou.
Il rit en penchant la tête.
-alors je t'enlève et on va boire une bière chez moi ?
Il a fait oui de la tête en frottant sa joue contre la mienne, nos têtes se sont retirées, il me fixait, un petit sourire figé sur ses belles lèvres. Je voyais qu'il se posait mille questions dans sa belle petite tête.
-je crois que j'ai peur dit il sérieusement.
-faut pas, tu t'appelles comment ? moi c'est Vincent.
-moi c'est Matthias.
-eh bien mon beau Matthias je t'enlève ? dis je en lui passant un doigt sur la joue et passant sur ses lèvres.
-oui Vincent dit il dans un souffle.
Je me suis levé, je l'ai pris par la main et nous sommes sortis de la boite, l'entraînant sur le parking. Il serrait ma main. Arrivés à la voiture, je l'ai pris dans mes bras, le tenant contre moi et je lui ai dit à l'oreille.
-t'en fais pas Matthias tout va bien se passer.
Un sourire a été sa réponse.
En arrivant à la maison, j'ai sorti deux bières et on s'est installé au salon, j'ai baissé la lumière pour que ce soit plus intime mais il ne venait pas s'asseoir à côté de moi, il parlait de mes bibelots, me posant mille questions comme s'il retardait ce qu'il appréhendait quand même un peu.
Quand il a vu que je ne répondais plus à ses questions et que je lui faisais signe de s'asseoir près de moi il est venu s'installer, nos genoux se touchaient. On a trinqué à notre rencontre, on a parlé de choses et d'autres… plus de cul!
Je l'ai laissé s'habituer à ma maison et presque une heure après notre arrivée, au bout de deux bières j'ai proposé qu'on aille se coucher qu'on sera mieux allongé.
Il avait un sourire figé sentant que cela approchait.
Je l'ai pris par la main, il l'a serré fort. Nous sommes allés dans ma chambre, on a quitté nos chaussures dans le salon.
Au pied du lit, je l'ai pris dans mes bras, frottant ma joue contre la sienne.
-ça va beau Matthias ?
-oui...
J'ai pris sa tête entre mes mains, le caressant, il me fixait. Je lui ai fait un bisou sur son beau nez et mes lèvres sont descendues sur les siennes juste pour les effleurer. Il a eu une geste de recul, j'ai fait comme si je n'avais rien vu, je suis resté à quelques centimètres de ses lèvres avant de revenir doucement en le fixant dans les yeux. Lorsque mes lèvres se sont posées délicatement sur les siennes, je l'ai senti se raidir dans mes bras.
Je devais être le premier mec qui l'embrassait et j'étais ravi.
J'ai appuyé doucement mes lèvres, écartant légèrement les siennes ma langue venant lécher, toucher rapidement ses lèvres. Un grand soupir, ses yeux se ferment et je sens sa langue venir à l'entrée de ma bouche, je recule ma langue, la sienne suit, que je prends entre mes lèvres et je l'aspire doucement. Ses yeux sont toujours fermés et il pousse de petits gémissements. Mes mains lui caressent le dos et les lèvres entrent en action, elles bougent bien sur les miennes, sa langue chaude et agile déverse grande quantité de salive. On soupire tous les deux en fermant les yeux.
Je sens enfin, ses mains bouger sur mon dos, il commence à me caresser le garçon!!
Je bouge un peu pour passer une jambe entre les siennes, pour lui faire sentir que je bande, et pour voir également que sa queue est en bonne forme.
J'ondule mon bassin contre le sien, accentuant ses jeux de langues et ses gémissements, ses mains parcourent mon dos en me caressant maintenant, nos lèvres ne se quittent plus enfin jusqu'au moment où je retire son tee-shirt découvrant enfin mon cadeau.
Un corps mince mais musclé, imberbe sauf une belle touffe de poils blonds aux aisselles. Il sent la sueur, le mâle, mon beau Matthias.
Il me retire mon tee-shirt et c'est lui qui reprend mes lèvres et ma langue, se collant torse contre torse.
J'apprécie la douceur de sa peau, la chaleur comme il doit apprécier la mienne vu les caresses appuyées que je reçois maintenant.
On se frotte l'un contre l'autre, ondulant, se frottant de plus en plus. Sa queue fait une belle bosse dans son jean. Je le serre bien fort contre moi, respirant à fond l'odeur de ce petit mâle qui s'offre car maintenant je ne doute plus qu'il s'offre.
Je le pousse sur le lit où il tombe à la renverse.
J'allume la veilleuse de la table de nuit, nous mettant ainsi dans une lumière tamisée. Je lui enlève ses chaussettes, caressant ses beaux petits pieds. Il sera temps plus tard de lui montrer ce que l'on peut faire avec les pieds pour l'instant il faut qu'il prenne du plaisir vite pour après continuer.
Je me penche sur lui, défait son ceinturon, ouvre son jean, tire dessus, il soulève ses petites fesses, je retire le jean et je vois bien mon petit mâle.
Un beau mec châtain, mince, musclé, de belles cuisses recouvertes d'un petit duvet et son boxer bien rempli qui moule parfaitement une belles paires de couilles et une grosse barre humide à l'extrémité et la tache s'agrandit. Il me regarde en souriant.
Je me déshabille en boxer comme lui. Il n'a pas le temps de voir ce que je cache dans mon boxer. Je me mets entre ses jambes qu'il écarte. Je commence par des bisous dans l'intérieur des cuisses, sa peau est douce, il sent bon. Je remonte vers ses couilles enveloppées, je les hume, les respire, les mordille, cela le fait rire et je suis la tige avec mon nez reniflant la bonne odeur de bite de ce jeune mâle. Je passe la langue dessus, léchant le gland humide, la mouille coule. Il soupire, gémit. Je prends sa queue entre mes dents la mordille doucement, je saisi le boxer de chaque côté, soulève et le baisse, il soulève ses fesses et le boxer s'envole.
Les couilles sont remontées le long de la tige , je passe ma langue dessus, les lèche avec application et beaucoup de salive. Il gémit de plus en plus. Je vois qu'il serre de ses poings les draps du lit. J'avale les deux couilles et les fait bouger dans ma salive. Je l'entends respirer plus vite en soupirant. Je lâche les couilles et ma langue remonte sur la hampe collée sur son ventre. Ma langue titille cette belle bite, je finis de la décalotter, faisant bien sortir le gland rouge, brillant, coulant de mouille.
Je redresse la hampe et ma langue vient lécher le méat, lui arrachant un petit cri. Je lèche, entourant ce beau gland et mes lèvres viennent le prendre en bouche. Je sens sa bite durcir, son gland couler encore plus et mes lèvres descendent lentement sur la belle tige, glissant sur ma langue jusqu'à ce que mes lèvres et mon nez soient dans les beaux poils blonds de son pubis. Un vrai blond le beau Matthias.
Je fais de lents va-et-vient sur sa queue, la serrant bien entre mes lèvres, ma langue jouant avec, enlevant la mouille qui coule encore et encore.
Une main est venue se poser sur ma tête, il n'appuie pas, mais suit le mouvement de va-et-vient.
Sa queue durcie encore, semble s'allonger. Il grogne, gémit de plus en plus fort jusqu'à ce qu'il crie très fort.
-je jouis…
En remontant ses fesses, m'enfonçant encore plus sa bite dans la bouche, au même moment où la première giclée arrive. J'ai le fond de gorge de rincé. Son bon jus se mélange à ma salive et j'avale cette première salve avant que les suivantes n'arrivent et il n'est pas avare le beau Matthias. Pour une première, ce fut une première, j'ai cru qu'il n'allait plus s'arrêter. Son jus ressortait et coulait sur ses poils quand, enfin il a poussé un grand soupir s'amollissant sur le lit. J'ai léché sa belle queue qui n'avait pas perdu de sa superbe. J'ai enlevé tout le sperme dans ses poils. Il avait soulevé la tête et me regardait… curieux.
Je suis venu m'allonger près de lui, c'est lui qui m'a pris dans ses bras et on s'est embrassé longuement, il suçait ma langue longuement comme s'il appréciait le gout de son sperme qui s'en dégageait.
Il m'a juste dit.
-merci!
Les caresses avaient repris. J'avais mal à la queue tellement je bandais mais il ne semblait pas prêt encore pour s'en occuper.
Alors je me suis occupé de son corps mince, ses tétons qui pointaient à peine au milieu des aréoles clairs. Mais quand mes lèvres se sont posées dessus, ils se sont érigés. Je les ai martyrisé longuement. Il s'était remis à gémir alors j'ai continué à jouer avec ma main et ma bouche dessus lui arrachant de longs gémissements. Il a voulu se saisir de sa queue pour se caresser, mais je l'ai empêché.
Mes lèvres sont descendues sur son ventre, son gland inondait encore le nombril. Sans toucher à sa queue j'ai léché tout autour, embrassant sa peau, la caressant tendrement et je suis venu me mettre à genoux entre ses jambes.
Il a mis sa tête sur un coussin pour voir ce que j'allais faire.
J'ai embrassé tout le tour de son sexe, qu'elle était belle cette bite qui coulait.
J'ai relevé ses jambes pour les remonter sur son torse. J'ai vu son regard inquiet subitement. Je lui ai fais un grand sourire.
J'ai léché ses couilles, j'adore ses belles couilles chaudes et ma langue est descendue pour arriver en haut de la raie. J'avais devant les yeux la raie d'un jeune mâle avec son petit trou caché qui n'avait jamais vu de queue. Il s'était fait doigter le Matthias par le trav, j'allais lui bouffer sa petite chatte vierge. Il fallait s'appliquer, l'entendre gémir, râler et s'offrir…
Il a été au dessus de mes espérances. J'ai fait plein de bisous à ses belles fesses, les caressant, les écartant pour découvrir l'anus vierge. J'adore ce moment, savoir que je vais sûrement être le premier à y mettre ma queue. J'ai écarté un max ses belles fesses et ma langue est entrée en action. Dès le premier passage il a grogné. Plus je jouais de la langue sur son trou fermé, plus il grognait, râlait, gémissait alors je l'ai inondé, léché, troué du bout de ma langue et j'ai vu qu'il faisait des efforts, il poussait, et son petit trou commençait à s'ouvrir.
Avec mon index, j'ai caressé le petit trou plein de salive et je l'ai enfoncé délicatement. Son sphincter serré emprisonnait mon doigt et lui râlait de plus en plus fort. J'ai fait bouger mon doigt sur sa paroi chaude, c'était doux. Je l'ai doigté lentement pour l'entendre crier. J'ai continué enfonçant mon doigt de plus en plus. Quel plaisir d'entendre ce beau mec gémir sous son doigt et le petit trou s'ouvre. Je force avec deux doigts, il crie encore plus fort et là je fore, je tourne, je rentre et je sors mes deux doigts, laissant le trou ouvert quelques instants. J'enfonce mes doigts le plus loin possible et les tourne dans le boyau, lui arrachant de petits cris.
Je reprends avec ma langue, mes lèvres, j'inonde encore et encore l'objet de mon désir.
Je me redresse, le regarde.
-j'ai envie de ton beau petit cul il est prêt à recevoir ma queue dis je doucement.
-mais tu vas me faire mal!
Je me relève du lit, enlève mon boxer. Il voit ma queue pour la première fois, qu'il n'a pas encore touché, je prends une capote, l'enfile, sors de la crème, tartine ma queue, je me remets entre ses jambes qu'il tient toujours, le petit cul s'est refermé.
Je reprends avec ma langue, mes doigts, tartine son anus de crème.
-c'est froid dit il en riant, mais t'y vas doucement hein Vincent?
Là il était inquiet.
-t'en fais pas Matthias!
J'ai posé mon gland devant l'ouverture qui se refermait, et en me penchant en avant et grâce à la crème lubrifiante j'ai senti mon gland ouvrir le sphincter et entrer doucement. Je le fixais, ses yeux s'agrandissaient au fur et à mesure que ma queue entrait en lui. Il grimaçait, se mordant la lèvre. Il respirait vite. J'ai arrêté pour que son sphincter s'habitue. Quand il a arrêté de se mordre la langue, j'ai donné un petit coup de reins, le gland a glissé d'un coup se faisant emprisonner par le sphincter et là le Matthias a crié. Je pensais qu'il allait crier plus fort, mais ses yeux souriaient comme s'il acceptait tout à fait ce que je lui faisais subir.
Je l'ai laissé respirer un moment et j'ai continué ma progression. Son boyau vierge épousait bien mon gland et ma queue et lui râlait en fermant les yeux. Quand mes couilles ont touché ses fesses, on a respiré tous les deux.
Comme il avait déjà enculé son trav, il savait que c'était maintenant que cela risquait d'être plus dur.
Mais je suis pas un sauvage avec un cul vierge. Il ne faut pas que pour la première fois, il soit déçu…
Alors j'ai fait ça doucement, tendrement. J'ai fait coulisser mon gros mandrin graissé dans ce conduit si chaud et accueillant, si bien que son cul était bien ouvert et que mon minet ronronnait en criant de temps en temps.
Je sentais le plaisir arriver, ma queue a durci encore, je me suis bloqué au fond de son cul et, dans un rugissement de plaisir, je me suis vidé dans la capote. Matthias gémissait en me tenant la tête. J'ai bien rempli la capote. On a rigolé quand je suis sorti de son cul et que le réservoir pendait, plein de sperme. Je l'ai vu se toucher le cul, peut être pour vérifier que tout était là.
Puis on s'est allongé, s'emmêlant les jambes, il bandait encore.
-c'était bien mon cul que tu voulais hein Vincent ?
-ben oui! dis je en lui faisant des bisous et ta belle queue aussi Matthias.
-et moi ? j'aurais droit à ton cul ?
-bien sûr! quand tu veux, maintenant ou au réveil car il est prêt de 4 heures. On pourrait dormir un peu.
Il prend ma main pour la poser sur sa queue.
-et tu crois que je vais dormir comme ça ? dit il d'un air malheureux.
Je rigole.
-mais t'es un vrai voyou Matthias.
-pas plus que toi! allez donne moi ton cul maintenant, je vais te montrer que j'ai bien retenu ma leçon. Je voudrais que tu te mettes à quatre pattes.
En souriant j'ai pris la position, il avait bien retenu la leçon. Sa langue et ses doigts m'ont bien préparé mon petit trou qui en avait vu d'autres. Il m'a baisé en mettant une capote et il m'a limé mais pas qu'avec de la douceur. J'ai aimé sa queue me forer mais ça n'a pas duré très longtemps, mon cul chaud a dû l'exciter énormément et j'ai senti la capote se remplir et elle était remplie!!
Il est revenu dans mes bras, m'embrassant tendrement. J'ai senti sa main descendre vers ma queue, la saisir, la tâter, la branler, la caresser, venir prendre mes couilles en mains mais revenir sur la hampe rapidement.
Etais je sa première bite ? (plus tard il m'a dit que oui).
-je voudrais essayer de te sucer, je peux ? me demande t il.
-c'est toi qui décide mon bébé.
Tel un vorace il m'a bouffé la queue. Jouant avec sa langue, ses lèvres, me branlant en même temps puis l'avalant complètement se faisant tousser mais revenir à l'assaut et le plaisir est arrivé. Je l'ai prévenu en disant que j'allais jouir. Il a continué et je me suis vidé pour la première fois dans sa bouche. Il n'a pas tout avalé, les giclées étaient abondantes pour un novice mais après il a léché partout où il y en avait pour revenir me donner sa langue que j'ai léché.
-Maintenant Vincent on peut dormir! dit il en se serrant contre moi.
On ne s'est pas réveillé de bonne heure. Il était toujours dans mes bras, nu, il respirait doucement faisant bouger légèrement ses belles lèvres. Qu'il était beau ce Matthias! j'étais fier de moi d'avoir converti ce beau mec!
Je lui ai fait des bisous pour le réveiller, sourire immédiat aux lèvres.
On bandait tous les deux.
Il a passé sa main sur mon visage.
-tu crois que je vais être pédé maintenant ?
-je crois que maintenant tu sauras faire ce que tu as envie au moment où tu en as envie. Tu sais maintenant que tu aimes les deux, tu te rends compte, en boite t'as maintenant deux fois plus de chance de tirer un coup que tous ces hétéros qui courent après des meufs inaccessibles.
Il a rigolé un bon moment, et les caresses ont repris, les bisous, les bites qui se touchaient. Alors ben on a révisé pour voir s'il avait bien assimilé sa leçon de la nuit.
Curieux de quoi ? de voir des bites ? d'en prendre dans leur petit cul ?
Et, quand on discute avec eux, d'abord ils ne veulent pas se montrer, disant qu'ils sont hétéros, qu'ils cherchent à connaitre ce que font des homos et quand on discute longuement (car ils nous font perdre notre temps) on se rend compte qu'ils sont de bons petits pédés frustrés qui n'osent pas passer le pas ou de vrais salopes qui font la collection de photos et vidéos et rares sont ceux qui acceptent un rencart…
Mais j'ai eu la chance d'en rencontrer un… un vrai je dirais!
C'était en boite dans ma région, une boite que l'on peut considérer comme le super marché du sexe. C'est rare que l'on rentre bredouille.
Ce soir là, j'étais assis au bar et je regardais les danseurs. Des jeunes, des vieux, des mecs, des nanas, ça se draguait lourdement. Les nanas aguichaient largement la gente masculine et, comme il y avait plus de mâles que de gonzesses, elles en avaient deux ou trois autour d'elles.
Je souriais intérieurement de voir les manèges car je savais qu'il allait y avoir des déçus. Des déçus qui auraient bandé toute la soirée et qui ne vont même pas trouver une main amie pour les soulager à défaut des chattes des gonzesses.
Et, c'est là qu'il fallait bien observer, bien observer celui qui avait le moins de chance avec les nanas, qui se faisait griller par les potes et qui se retrouvait seul quand le pote sortait avec la nana et, quand cela se produisait plusieurs fois, on voyait bien qu'il était irritable, qu'il pestait en rejoignant le bar.
Où j'attendais!
Et, là, faut du tact! du baratin, de la compassion…
C'est ainsi que j'ai vu arriver près de moi, un tabouret venait juste de se libérer, un jeune minet qui avait eu plusieurs refus dans la soirée! Pourtant je le trouvais à mon goût moi! Tout à fait le genre à mettre dans mon lit. Il s'était fait griller par deux mecs plus imposants, plus carrés que lui.
Il est venu s'installer sur le tabouret près de moi. Je le voyais de profil, des cheveux mi longs châtains, un visage fin, un petit nez magnifique, et des lèvres bien dessinées. Il devait être juste un peu plus petit que moi, un corps mince, un petit cul enveloppé dans son jean serré et un tee-shirt plein de sueur qui lui moulait le torse.
Il regardait toujours la piste, suivant manifestement des yeux une autre gonzesse, mais là encore des mecs étaient déjà en chasse.
Il s'est retourné vers le bar et m'a vu. Il m'a regardé en souriant, soupirant et a commandé une bière.
Je me suis penché vers lui.
-tu t'es fais griller plusieurs fois ce soir dis je en souriant.
-m'en parle pas, j'ai rien pu faire face aux mecs baraqués qui étaient là ce soir.
-pourtant t'es pas mal comme mec!
-merci mais tu vois je ne suis pas le genre des nanas ce soir et toi, tu dragues pas ?
-moi j'attends la fin de la soirée dis je en riant, il reste toujours quelque chose qui traîne.
-ouais mais c'est pas les plus bandantes qui restent dit-il en riant.
-oh tu sais à des fois vaut mieux une moche qui sait s'occuper de toi qu'une autre qui ne veut même pas te toucher la queue!
-ah ah t'as raison mec! et tu te tapes souvent des moches alors ?
-oh moi je suis pas difficile j'ai le choix entre les meufs et les mecs, j'aime tout le monde.
-oh tu te tapes des mecs aussi ?
-oui ça m'arrive.
-et c'est bien ?
-bah c'est pas mal, en tout cas un mec ça sait mieux sucer qu'une gonzesse.
-ouais c'est ce que j'ai entendu dire… mais je sais pas.
-et puis un mec qui se donne! ça c'est du plaisir.
-donc tu l'encules ?
-ben ouais ou…
-ah tu te fais…
Là j'ai vu que je l'intéressais le mec! on parlait comme si on se connaissait depuis longtemps sans chichi. Là c'était de l'hétéro curieux, du vrai… du que j'adore!
Je lui ai payé une bière, on a continué à parler de cul.
-la semaine dernière j'ai rencontré ici une belle nana, que j'ai enculé dans le sous bois derrière la boite, figure toi qu'elle ne voulait pas que je lui touche la chatte ni que je la baise, elle voulait juste me sucer et se faire enculer. Comme ça m'arrive pas souvent tu penses que j'ai dit oui.
-tu y'as pas touché la chatte ?
-ben non!
-quand elle t'a sucé elle t'a doigté le cul…?
-oui... un peu… dit-il en baissant la tête.
-t'es sûr que c'est pas un trav ta copine ?
Si vous aviez vu sa tête. Il est resté me fixant, la bouche ouverte où j'aurais bien mis ma queue ou ma langue.
-tu crois ?
-ben une nana qui veux pas se faire caresser, c'est qu'elle a quelque chose à cacher tu crois pas?
-oui c'est vrai que je me suis posé des questions mais j'avoue que j'ai jamais pensé que c'était un trav… en fait un mec quoi !
-et ça t'a plu ?
On était face à face, sur un tabouret, j'ai posé mes deux mains sur ses genoux.
-ben j'peux pas dire non dit il en riant.
-et ça te plairait de recommencer ?
Il m'a regardé en rigolant.
-tu serais pas en train de me draguer là ?
-ben un beau mec comme toi… j'aime pas les laisser passer!
-je crois que t'es un baratineur oui et il rit encore.
Je bouge mes mains sur ses cuisses. Il me regarde un petit sourire en coin mais me laisse faire.
Ses cuisses sont dures au toucher. C'est bien ce que je pensais c'est un faux mince le mec. Je fais de doux allers retours sur ses cuisses sans aller jusqu'au sexe mais malgré lui il écarte les jambes.
-là mec! c'est une invit dis je en regardant ses cuisses qu'il referme vivement en riant.
-serais je que je te fais de l'effet et que ta queue voudrait prendre ses aises.
-ben tes mains sont chaudes mec et ça me fait de l'effet, mais je crois que les gonzesses m'ont tellement excité tout à l'heure.
-ben tu vas pas rester comme ça alors! faut soulager mec!
Il rigole encore, et ses cuisses s'écartent de nouveau.
-et admettons que j'accepte, tu me ferais quoi ?
-ce que tu veux… uniquement ce que tu veux. J'aime le sexe! les bisous, les caresses, serrer dans mes bras un beau mec, lui caresser son corps, le branler, le sucer, le faire jouir… voir son jus gicler dans les airs et retomber sur nous, lécher tout…
-tu mets pas de capote ?
-pour se sucer et branler non, c'est mieux de sentir la peau dans sa main.
On avait rapproché nos têtes pour se parler à l'oreille si bien que nos joues étaient collées l'une à l'autre. Il n'a rien fait pour s'enlever. Je sentais que ça devenait bon. Je lui ai fait un petit bisou sous l'oreille. Je l'ai entendu rire et il m'en a fait autant.
Une main est partie à l'aventure entre ses cuisses, remontant sur son entre jambe, qu'il écartait au max pour que je puisse découvrir sa bite raide emprisonnée dans son jean. Il y avait l'air d'y avoir un bon morceau que j'ai touché du bout des doigts.
-tu peux pas rester comme ça il te faut un secouriste vite fait.
Il riait encore, sa joue toujours collée à la mienne, sa main serrait la mienne qui le tripotait. Il s'est mis à gémir à mon oreille.
-T'aimes ça hein te faire branler mon petit cochon ?
-oui dit-il dans un souffle.
-t'as l'air d'avoir une belle queue.
-j'ai pas eu de plainte dit-il toujours en riant.
-tu veux apprendre plein de choses entre mecs ?
La réponse a été un peu plus longue à venir.
-oui je veux bien mais faudra être doux avec moi si tu veux que je sois un bon élève.
-j'en doute pas que tu seras un bon élève dis je en lui refaisant un gros bisous dans le cou.
Il rit en penchant la tête.
-alors je t'enlève et on va boire une bière chez moi ?
Il a fait oui de la tête en frottant sa joue contre la mienne, nos têtes se sont retirées, il me fixait, un petit sourire figé sur ses belles lèvres. Je voyais qu'il se posait mille questions dans sa belle petite tête.
-je crois que j'ai peur dit il sérieusement.
-faut pas, tu t'appelles comment ? moi c'est Vincent.
-moi c'est Matthias.
-eh bien mon beau Matthias je t'enlève ? dis je en lui passant un doigt sur la joue et passant sur ses lèvres.
-oui Vincent dit il dans un souffle.
Je me suis levé, je l'ai pris par la main et nous sommes sortis de la boite, l'entraînant sur le parking. Il serrait ma main. Arrivés à la voiture, je l'ai pris dans mes bras, le tenant contre moi et je lui ai dit à l'oreille.
-t'en fais pas Matthias tout va bien se passer.
Un sourire a été sa réponse.
En arrivant à la maison, j'ai sorti deux bières et on s'est installé au salon, j'ai baissé la lumière pour que ce soit plus intime mais il ne venait pas s'asseoir à côté de moi, il parlait de mes bibelots, me posant mille questions comme s'il retardait ce qu'il appréhendait quand même un peu.
Quand il a vu que je ne répondais plus à ses questions et que je lui faisais signe de s'asseoir près de moi il est venu s'installer, nos genoux se touchaient. On a trinqué à notre rencontre, on a parlé de choses et d'autres… plus de cul!
Je l'ai laissé s'habituer à ma maison et presque une heure après notre arrivée, au bout de deux bières j'ai proposé qu'on aille se coucher qu'on sera mieux allongé.
Il avait un sourire figé sentant que cela approchait.
Je l'ai pris par la main, il l'a serré fort. Nous sommes allés dans ma chambre, on a quitté nos chaussures dans le salon.
Au pied du lit, je l'ai pris dans mes bras, frottant ma joue contre la sienne.
-ça va beau Matthias ?
-oui...
J'ai pris sa tête entre mes mains, le caressant, il me fixait. Je lui ai fait un bisou sur son beau nez et mes lèvres sont descendues sur les siennes juste pour les effleurer. Il a eu une geste de recul, j'ai fait comme si je n'avais rien vu, je suis resté à quelques centimètres de ses lèvres avant de revenir doucement en le fixant dans les yeux. Lorsque mes lèvres se sont posées délicatement sur les siennes, je l'ai senti se raidir dans mes bras.
Je devais être le premier mec qui l'embrassait et j'étais ravi.
J'ai appuyé doucement mes lèvres, écartant légèrement les siennes ma langue venant lécher, toucher rapidement ses lèvres. Un grand soupir, ses yeux se ferment et je sens sa langue venir à l'entrée de ma bouche, je recule ma langue, la sienne suit, que je prends entre mes lèvres et je l'aspire doucement. Ses yeux sont toujours fermés et il pousse de petits gémissements. Mes mains lui caressent le dos et les lèvres entrent en action, elles bougent bien sur les miennes, sa langue chaude et agile déverse grande quantité de salive. On soupire tous les deux en fermant les yeux.
Je sens enfin, ses mains bouger sur mon dos, il commence à me caresser le garçon!!
Je bouge un peu pour passer une jambe entre les siennes, pour lui faire sentir que je bande, et pour voir également que sa queue est en bonne forme.
J'ondule mon bassin contre le sien, accentuant ses jeux de langues et ses gémissements, ses mains parcourent mon dos en me caressant maintenant, nos lèvres ne se quittent plus enfin jusqu'au moment où je retire son tee-shirt découvrant enfin mon cadeau.
Un corps mince mais musclé, imberbe sauf une belle touffe de poils blonds aux aisselles. Il sent la sueur, le mâle, mon beau Matthias.
Il me retire mon tee-shirt et c'est lui qui reprend mes lèvres et ma langue, se collant torse contre torse.
J'apprécie la douceur de sa peau, la chaleur comme il doit apprécier la mienne vu les caresses appuyées que je reçois maintenant.
On se frotte l'un contre l'autre, ondulant, se frottant de plus en plus. Sa queue fait une belle bosse dans son jean. Je le serre bien fort contre moi, respirant à fond l'odeur de ce petit mâle qui s'offre car maintenant je ne doute plus qu'il s'offre.
Je le pousse sur le lit où il tombe à la renverse.
J'allume la veilleuse de la table de nuit, nous mettant ainsi dans une lumière tamisée. Je lui enlève ses chaussettes, caressant ses beaux petits pieds. Il sera temps plus tard de lui montrer ce que l'on peut faire avec les pieds pour l'instant il faut qu'il prenne du plaisir vite pour après continuer.
Je me penche sur lui, défait son ceinturon, ouvre son jean, tire dessus, il soulève ses petites fesses, je retire le jean et je vois bien mon petit mâle.
Un beau mec châtain, mince, musclé, de belles cuisses recouvertes d'un petit duvet et son boxer bien rempli qui moule parfaitement une belles paires de couilles et une grosse barre humide à l'extrémité et la tache s'agrandit. Il me regarde en souriant.
Je me déshabille en boxer comme lui. Il n'a pas le temps de voir ce que je cache dans mon boxer. Je me mets entre ses jambes qu'il écarte. Je commence par des bisous dans l'intérieur des cuisses, sa peau est douce, il sent bon. Je remonte vers ses couilles enveloppées, je les hume, les respire, les mordille, cela le fait rire et je suis la tige avec mon nez reniflant la bonne odeur de bite de ce jeune mâle. Je passe la langue dessus, léchant le gland humide, la mouille coule. Il soupire, gémit. Je prends sa queue entre mes dents la mordille doucement, je saisi le boxer de chaque côté, soulève et le baisse, il soulève ses fesses et le boxer s'envole.
Les couilles sont remontées le long de la tige , je passe ma langue dessus, les lèche avec application et beaucoup de salive. Il gémit de plus en plus. Je vois qu'il serre de ses poings les draps du lit. J'avale les deux couilles et les fait bouger dans ma salive. Je l'entends respirer plus vite en soupirant. Je lâche les couilles et ma langue remonte sur la hampe collée sur son ventre. Ma langue titille cette belle bite, je finis de la décalotter, faisant bien sortir le gland rouge, brillant, coulant de mouille.
Je redresse la hampe et ma langue vient lécher le méat, lui arrachant un petit cri. Je lèche, entourant ce beau gland et mes lèvres viennent le prendre en bouche. Je sens sa bite durcir, son gland couler encore plus et mes lèvres descendent lentement sur la belle tige, glissant sur ma langue jusqu'à ce que mes lèvres et mon nez soient dans les beaux poils blonds de son pubis. Un vrai blond le beau Matthias.
Je fais de lents va-et-vient sur sa queue, la serrant bien entre mes lèvres, ma langue jouant avec, enlevant la mouille qui coule encore et encore.
Une main est venue se poser sur ma tête, il n'appuie pas, mais suit le mouvement de va-et-vient.
Sa queue durcie encore, semble s'allonger. Il grogne, gémit de plus en plus fort jusqu'à ce qu'il crie très fort.
-je jouis…
En remontant ses fesses, m'enfonçant encore plus sa bite dans la bouche, au même moment où la première giclée arrive. J'ai le fond de gorge de rincé. Son bon jus se mélange à ma salive et j'avale cette première salve avant que les suivantes n'arrivent et il n'est pas avare le beau Matthias. Pour une première, ce fut une première, j'ai cru qu'il n'allait plus s'arrêter. Son jus ressortait et coulait sur ses poils quand, enfin il a poussé un grand soupir s'amollissant sur le lit. J'ai léché sa belle queue qui n'avait pas perdu de sa superbe. J'ai enlevé tout le sperme dans ses poils. Il avait soulevé la tête et me regardait… curieux.
Je suis venu m'allonger près de lui, c'est lui qui m'a pris dans ses bras et on s'est embrassé longuement, il suçait ma langue longuement comme s'il appréciait le gout de son sperme qui s'en dégageait.
Il m'a juste dit.
-merci!
Les caresses avaient repris. J'avais mal à la queue tellement je bandais mais il ne semblait pas prêt encore pour s'en occuper.
Alors je me suis occupé de son corps mince, ses tétons qui pointaient à peine au milieu des aréoles clairs. Mais quand mes lèvres se sont posées dessus, ils se sont érigés. Je les ai martyrisé longuement. Il s'était remis à gémir alors j'ai continué à jouer avec ma main et ma bouche dessus lui arrachant de longs gémissements. Il a voulu se saisir de sa queue pour se caresser, mais je l'ai empêché.
Mes lèvres sont descendues sur son ventre, son gland inondait encore le nombril. Sans toucher à sa queue j'ai léché tout autour, embrassant sa peau, la caressant tendrement et je suis venu me mettre à genoux entre ses jambes.
Il a mis sa tête sur un coussin pour voir ce que j'allais faire.
J'ai embrassé tout le tour de son sexe, qu'elle était belle cette bite qui coulait.
J'ai relevé ses jambes pour les remonter sur son torse. J'ai vu son regard inquiet subitement. Je lui ai fais un grand sourire.
J'ai léché ses couilles, j'adore ses belles couilles chaudes et ma langue est descendue pour arriver en haut de la raie. J'avais devant les yeux la raie d'un jeune mâle avec son petit trou caché qui n'avait jamais vu de queue. Il s'était fait doigter le Matthias par le trav, j'allais lui bouffer sa petite chatte vierge. Il fallait s'appliquer, l'entendre gémir, râler et s'offrir…
Il a été au dessus de mes espérances. J'ai fait plein de bisous à ses belles fesses, les caressant, les écartant pour découvrir l'anus vierge. J'adore ce moment, savoir que je vais sûrement être le premier à y mettre ma queue. J'ai écarté un max ses belles fesses et ma langue est entrée en action. Dès le premier passage il a grogné. Plus je jouais de la langue sur son trou fermé, plus il grognait, râlait, gémissait alors je l'ai inondé, léché, troué du bout de ma langue et j'ai vu qu'il faisait des efforts, il poussait, et son petit trou commençait à s'ouvrir.
Avec mon index, j'ai caressé le petit trou plein de salive et je l'ai enfoncé délicatement. Son sphincter serré emprisonnait mon doigt et lui râlait de plus en plus fort. J'ai fait bouger mon doigt sur sa paroi chaude, c'était doux. Je l'ai doigté lentement pour l'entendre crier. J'ai continué enfonçant mon doigt de plus en plus. Quel plaisir d'entendre ce beau mec gémir sous son doigt et le petit trou s'ouvre. Je force avec deux doigts, il crie encore plus fort et là je fore, je tourne, je rentre et je sors mes deux doigts, laissant le trou ouvert quelques instants. J'enfonce mes doigts le plus loin possible et les tourne dans le boyau, lui arrachant de petits cris.
Je reprends avec ma langue, mes lèvres, j'inonde encore et encore l'objet de mon désir.
Je me redresse, le regarde.
-j'ai envie de ton beau petit cul il est prêt à recevoir ma queue dis je doucement.
-mais tu vas me faire mal!
Je me relève du lit, enlève mon boxer. Il voit ma queue pour la première fois, qu'il n'a pas encore touché, je prends une capote, l'enfile, sors de la crème, tartine ma queue, je me remets entre ses jambes qu'il tient toujours, le petit cul s'est refermé.
Je reprends avec ma langue, mes doigts, tartine son anus de crème.
-c'est froid dit il en riant, mais t'y vas doucement hein Vincent?
Là il était inquiet.
-t'en fais pas Matthias!
J'ai posé mon gland devant l'ouverture qui se refermait, et en me penchant en avant et grâce à la crème lubrifiante j'ai senti mon gland ouvrir le sphincter et entrer doucement. Je le fixais, ses yeux s'agrandissaient au fur et à mesure que ma queue entrait en lui. Il grimaçait, se mordant la lèvre. Il respirait vite. J'ai arrêté pour que son sphincter s'habitue. Quand il a arrêté de se mordre la langue, j'ai donné un petit coup de reins, le gland a glissé d'un coup se faisant emprisonner par le sphincter et là le Matthias a crié. Je pensais qu'il allait crier plus fort, mais ses yeux souriaient comme s'il acceptait tout à fait ce que je lui faisais subir.
Je l'ai laissé respirer un moment et j'ai continué ma progression. Son boyau vierge épousait bien mon gland et ma queue et lui râlait en fermant les yeux. Quand mes couilles ont touché ses fesses, on a respiré tous les deux.
Comme il avait déjà enculé son trav, il savait que c'était maintenant que cela risquait d'être plus dur.
Mais je suis pas un sauvage avec un cul vierge. Il ne faut pas que pour la première fois, il soit déçu…
Alors j'ai fait ça doucement, tendrement. J'ai fait coulisser mon gros mandrin graissé dans ce conduit si chaud et accueillant, si bien que son cul était bien ouvert et que mon minet ronronnait en criant de temps en temps.
Je sentais le plaisir arriver, ma queue a durci encore, je me suis bloqué au fond de son cul et, dans un rugissement de plaisir, je me suis vidé dans la capote. Matthias gémissait en me tenant la tête. J'ai bien rempli la capote. On a rigolé quand je suis sorti de son cul et que le réservoir pendait, plein de sperme. Je l'ai vu se toucher le cul, peut être pour vérifier que tout était là.
Puis on s'est allongé, s'emmêlant les jambes, il bandait encore.
-c'était bien mon cul que tu voulais hein Vincent ?
-ben oui! dis je en lui faisant des bisous et ta belle queue aussi Matthias.
-et moi ? j'aurais droit à ton cul ?
-bien sûr! quand tu veux, maintenant ou au réveil car il est prêt de 4 heures. On pourrait dormir un peu.
Il prend ma main pour la poser sur sa queue.
-et tu crois que je vais dormir comme ça ? dit il d'un air malheureux.
Je rigole.
-mais t'es un vrai voyou Matthias.
-pas plus que toi! allez donne moi ton cul maintenant, je vais te montrer que j'ai bien retenu ma leçon. Je voudrais que tu te mettes à quatre pattes.
En souriant j'ai pris la position, il avait bien retenu la leçon. Sa langue et ses doigts m'ont bien préparé mon petit trou qui en avait vu d'autres. Il m'a baisé en mettant une capote et il m'a limé mais pas qu'avec de la douceur. J'ai aimé sa queue me forer mais ça n'a pas duré très longtemps, mon cul chaud a dû l'exciter énormément et j'ai senti la capote se remplir et elle était remplie!!
Il est revenu dans mes bras, m'embrassant tendrement. J'ai senti sa main descendre vers ma queue, la saisir, la tâter, la branler, la caresser, venir prendre mes couilles en mains mais revenir sur la hampe rapidement.
Etais je sa première bite ? (plus tard il m'a dit que oui).
-je voudrais essayer de te sucer, je peux ? me demande t il.
-c'est toi qui décide mon bébé.
Tel un vorace il m'a bouffé la queue. Jouant avec sa langue, ses lèvres, me branlant en même temps puis l'avalant complètement se faisant tousser mais revenir à l'assaut et le plaisir est arrivé. Je l'ai prévenu en disant que j'allais jouir. Il a continué et je me suis vidé pour la première fois dans sa bouche. Il n'a pas tout avalé, les giclées étaient abondantes pour un novice mais après il a léché partout où il y en avait pour revenir me donner sa langue que j'ai léché.
-Maintenant Vincent on peut dormir! dit il en se serrant contre moi.
On ne s'est pas réveillé de bonne heure. Il était toujours dans mes bras, nu, il respirait doucement faisant bouger légèrement ses belles lèvres. Qu'il était beau ce Matthias! j'étais fier de moi d'avoir converti ce beau mec!
Je lui ai fait des bisous pour le réveiller, sourire immédiat aux lèvres.
On bandait tous les deux.
Il a passé sa main sur mon visage.
-tu crois que je vais être pédé maintenant ?
-je crois que maintenant tu sauras faire ce que tu as envie au moment où tu en as envie. Tu sais maintenant que tu aimes les deux, tu te rends compte, en boite t'as maintenant deux fois plus de chance de tirer un coup que tous ces hétéros qui courent après des meufs inaccessibles.
Il a rigolé un bon moment, et les caresses ont repris, les bisous, les bites qui se touchaient. Alors ben on a révisé pour voir s'il avait bien assimilé sa leçon de la nuit.
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13 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour
Envi d'échanger tu as Une adresse mail
Envi d'échanger tu as Une adresse mail
Merci cher lecteur
Très belle histoire, bien rédigée, très agréable à lire
Merci Nico
Merci Nico
c'est tout un sport cher lecteur
hum excitante cette histoire, une première fois réussie ma foi.
merci cher lecteur
Vraiment bien et original
C'est très bien Passions_secrètes, c'est la bonne voie pour devenir… hétéro curieux!
Belle histoire que j’ai lu qu à une main, et pourtant je suis hetero.
oh mais c'est un coquin ce lecteur!
C'est chaud très intense on adorait participer !!
merci lelivredejeremie, le tout c'est d'être… très très patient! lol
Tendre, respectueux, du plaisir partagé, tout ce que j'aime :) Je ne peux pas trop juger du réalisme, je n'ai jamais connu d'hétéro même un peu curieux, mais ils ne peuvent pas être qu'une légende, et les hésitations de Mathias, la douleur inévitable lors de la première pénétration (et pas que la première, hein), sa relative maladresse lorsqu'il possède Vincent... Oui, c'est plutôt vraisemblable. Et tout ça est assez rare ici pour que je valide, belle lecture, merci.