L'histoire de Marie - première éjaculation féminine

- Par l'auteur HDS Testme-tasteme -
Auteur homme.
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Récit libertin : L'histoire de Marie - première éjaculation féminine Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'histoire de Marie - première éjaculation féminine
Cette histoire est vraie et s’est déroulé il y a quelques années. J’avais alors 20 ou 21 ans, ma copine de l’époque de 2 moins. Je la prénommerai ici Marie. Nous vivions alors une relation épanouie sexuellement, où chacune de nos envies était abordée plus ou moins sans tabou.


Nous étions en vacances sur Paris chez de la famille pour quelques jours autours du 14 juillet et ainsi profiter du grand feu d’artifice Parisien. Mais je ne m’attendais pas à en découvrir un autre durant ce séjour… Un soir nous étions seul dans l’appartement, les autres s’étant absentés pour un diner auquel nous avions préféré ne pas participer afin de nous faire une soirée en tête à tête. Je me préparais dans mon coin à sortir, en hochant la tête sur la musique de fond que j’avais mis. Une fois prêt je me dirige vers la salle de bain afin de voir où en est Marie. C’est alors que je la vois sortir, dans une robe noire simple mais efficace, bien cintrée qui mettait ses hanches en valeur ainsi que ses fesses toujours bien fermes et rebondies. Un décolleté assorti d’un collier me laissait rêveur entre les deux petites bosses qui profilaient ses seins malheureusement bien cachés sous la robe. Ses cheveux blonds tranchaient avec sa robe noire, et plutôt satisfaite d’elle-même elle me regardait avec un regard de braise. J’ai du me contenir pour ne pas la dévorer tout de suite.

Après l’avoir complimenté et embrassé nous sommes donc allés diner dans un restaurant réunionnais du coin, sans alcool à table mais l’ambiance était déjà complice. Nous échangions nos éclats de rire et sans nous en rendre compte, nous finîmes par être les derniers dans le restaurant. Je suis alors allé régler la note au comptoir puis nous sommes rentrés à l’appartement. La soirée avait bien commencé. Ce resto n’était pas grand-chose mais lorsqu’on est un jeune couple d’étudiant la moindre sortie se transforme en grande soirée. Sur le retour les rues sont presque désertes, la nuit commence à tomber. Je commence alors à avoir l’esprit plus coquin, la tenant de ma main droite par les reins je glisse finalement ma main sur sa robe au niveau de ses fesses et la caresse amoureusement. J’aime sentir ce tissu fin sur ses fesses, devinant le string en dessous et imaginant tout ce qui gravite autour. Elle me regarde en souriant et apprécie la courte caresse, étant dans la rue je ne veux pas non plus trop déraper – ce sera pour une autre fois.

Nous arrivâmes alors à l’appartement, je sortis 2 verres de vin blanc sucrés comme les apprécient les filles. Une fois bien installés dans le canapé nous commençons à nous embrasser langoureusement, chose qui nous était peu possible au restaurant, nous rattrapons alors le temps perdu. Ma main glisse à nouveau sur sa robe, elle frémit sous son passage à la fois doux et sensuel. J’adore procurer ces frissons qui en disent long ! Le PC n’étant pas loin, nous décidions de mettre un peu de musique et de trainer quelques minutes sur le net. Assise en tailleurs avec le PC elle vient se lover entre mes jambes, contre moi. Elle pianote tandis que je continue à l’effleurer, à l’embrasser dans le cou puis à lui mordre et lécher l’oreille. Je la sens par moment pencher la tête et fermer les yeux quelques secondes afin de profiter du moment.

Lors d’une précédente soirée chez des amis ils avaient évoqués le nom d’un site de partage de vidéo porno. Marie n’ayant pas froid aux yeux, c’est elle la première qui se dirige dessus après quelques minutes de surf. On commence alors à faire défiler les pages sans s’arrêter sur une vidéo en particulier, la température commence à monter et je sens qu’elle est de plus en plus réceptive à mes caresses que je n’avais toujours pas arrêté. Elle s’est alors souvenu d’une vidéo dont ils avaient parlés où la fille prise en levrette ondulait ses fesses d’une manière ahurissante, le nombre de vues le confirmait. La vidéo lancée, j’entreprends de la déshabiller. Sentant mon membre bien durcit dans son dos elle décida que je me libère également, chose qui n’était pas pour me déplaire car j’étais vraiment serré dans mon jean. Nous reprîmes la même place, passant une main dans son string et l’autre sur ses seins je continue de la caresser alors que nous regardons la fille s’empaler vigoureusement sur le chibre de son acolyte. Les fesses huilées à mort, elle glissait comme pas permis et gémissait de plus belles à chaque aller retour. Nous n’avions jamais regardé de vidéo porno avec elle avant ni même avec mes ex, mais là j’ai alors eu un tout autre regard sur cette industrie. Le partage des gémissements de l’actrice, de ses formes, conjuguées au sexe désormais trempé et ouvert de Marie qui elle aussi commençait à gémir et à ne plus pouvoir rester statique.

La vidéo finie par arriver à terme, nous revenons à la page d’accueil et reprenons en même temps nos esprits. Ca ne fera que rallonger le plaisir de toute façon ! Le sexe trempé de marie me fait penser à quelque chose que je n’avais jamais vécu et dont je ne comprenais pas trop le fonctionnement à l’époque : l’éjaculation féminine. Elle me dit alors ne pas avoir vu grand-chose là-dessus et nous lançons alors la vidéo d’une blonde lui ressemblant qui dans un film amateur se godait le sexe face à celui de son partenaire, puis finissait par lui éjaculer dessus. La vue identique à celle de son partenaire était dingue, la fille parcourue de spasme pris le sexe de son partenaire pour se frotter le sien avec, les corps complètement trempés. Pendant ce temps nous n’en pouvions plus, le string de Marie n’en était plus un et j’étais à deux doigts d’avoir des crampes dans les reins tellement l’envie m’oppressait. Nous avons alors laissés le PC tourner à côté de nous à volume raisonnable, puis nous nous sommes laissés aller à nos envies jusqu’ici plus ou moins maintenues.

Marie m’enleva mon boxer qui ne servait de toute façon plus à grand-chose puisqu’une bonne partie de mon sexe en dépassait. Elle se mit devant moi, dégagea ses cheveux d’un côté d’un coup de tête et tout en me regardant commença d’un geste lent à me lécher du bas de mon sexe jusqu’en haut aspirant et avalant au passage la goutte de sperme qui s’était formée au sommet. Une scène magique ! Elle entreprit une fellation lente puis rapide, souple et appuyée, comme elle savait y faire. M’aspirant le gland tout en me masturbant de sa main droite, elle me fixait de ses yeux en voulant me faire craquer mais je résistai tant bien que mal. D’une main je la fit alors pivoter légèrement de façon à ce que je puisse la caresser tout en ayant la vidéo dans notre champ de vison tous les deux. Elle continuait sa fellation en fixant cette blonde qui chevauchait à présent son partenaire, ondulant de plus belle dans un flip-flop du à ses quelques éjaculations précédentes, de l’autre côté Marie, le cul tendu, se faisait triturer par ma main droite. Je sentais sa mouille couler le long des cuisses et mon bras. Elle n’était jamais comme ça auparavant, du moins pas au stade des préliminaires.

Cette vidéo finissant sur une éjaculation du gars sur les seins de sa compagne, je dit à Marie que je gardais ça pour plus tard et changeait rapidement de vidéo, toujours du même couple. Marie entreprit alors les choses sérieuses et s’empala sur moi d’une traite. Le sexe on ne peut plus ouvert et mouillé comme jamais, l’insertion de mon membre pourtant déjà de bonne taille n’a pas été un gros problème. Dans un premier soupir nous nous regardions, délivré de la bonne heure et demie qui venait déjà de s’écouler à se caresser. Marie commença alors à onduler, toujours enfoncée au plus profond je sentais son sexe écarté frotter contre mon bas ventre. Dans mon champ de vison j’avais donc Marie, ses cheveux blonds d’un côté, le regard lubrique et grimaçant du plaisir qui commençait à grimper en elle. Les seins pointant et ballotant au rythme de ses vas et viens, mes mains agrippées à ses hanches et enfin, son sexe ouvert, complètement lisse comme je les aime il brillait de mouille à la lumière. Sur la vidéo la fille était empalée de la même manière et commençait à s’agiter sérieusement sur le manche coincée entre ses cuisses. Les gémissements de Marie se mêlait à celle de l’actrice, le salon sentait le sexe à plein nez, l’ambiance était chaude à crever, et les vas et vient de Marie s’intensifiaient de plus en plus. La blonde explosa une première fois d’un jet hallucinant recouvrant encore le corps de son gars, son orgasme était fou et je voyait Marie se pincer les lèvres en matant cette scène. Elle accélérait à présent son rythme elle aussi, le flip-flop n’était plus dans l’écran mais bien devant moi. Ca glissait à mort au point qu’elle manque de sortir à chaque aller-retour, alors qu’elle était toujours aussi profondément empalée sur moi. Elle joui alors en se crispant mais continuait d’onduler, je senti alors une vague chaude couler le long de mon sexe et de mes cuisses. Elle venait d’éjaculer à son tour un flot non négligeable de cyprine. J’hallucinais de cette sensation nouvelle tout en la voyant les yeux fermée, hébétée de ce qu’elle venait de vivre elle serrait pourtant son sexe sur le mien comme si elle ne voulait pas laisser cette sensation la quitter. Après un regard elle se pencha sur moi pour m’embrasser, j’en profitais alors pour lui écarter les fesses et la pilonner à toute blinde. Ca glissait à mort, on transpirait à mort et à force de vas et vient sa cyprine recouvrait à présent nos deux corps sur la quasi-totalité de nos torses. Sur la vidéo l’autre blonde continuait ses gémissements, je profitais de la proximité avec Marie pour lui glisser quelques mots à l’oreille :

- « Continue, j’aime quand tu glisses comme ça »
- « Alors baise moi ! »
-
Je ne me fis pas prier et agrippait ses fesses pour la prendre vraiment sur toute ma longueur. Je sentais ses seins enduits de mouille se frotter sur mon torse, et mes mains manquant de glisser sur ses fesses enduites. D’un seul coup Marie se redressa, mis ses mains sur les miennes toujours sur ses fesses et s’agrippa avec force, je devinais ses fesses rougir de ce supplice. Elle ondula de plus belle, embrochée jusqu’à la garde elle pouvait de ce fait frotter son clito sur son bas ventre. Ca ne traina pas longtemps avant qu’elle expose à nouveau, cette fois ci en étant cambrée légèrement en arrière ce qui eu pour résultat de m’en projeter un petit peu sur le torse. Cette soirée était complètement dingue.

Cette fois ci je ne la laissais plus reprendre ses esprits, j’avais de toute façon également perdu le mien il y a bien longtemps. Je m’extirpais de là pour la prendre en levrette. A bout de force elle ne se fit de toute façon pas prier et s’affala sur le canapé, la tête dans les coussins mais les fesses tendues vers le ciel. M’offrant alors sa croupe luisante de cyprine et son sexe à présent béant ! Je rentrais sans problème et commença des mouvements lents mais très profonds. Je m’enfilais au maximum puis une fois au bout, je sentais ses parois tendues sur mon gland, et tirait encore ses hanches vers moi pour être sur de ne pas lui en faire perdre un millimètre. A chaque aller retour je la sentais monter, elle ne contrôlait plus rien depuis quelques minutes. Je repensais alors à sa phrase précédente et décida d’accélérer la cadence. Elle décida de me rejoindre et se mit à nouveau à onduler et à se projeter sur mon sexe. Ca claquait dans tous les sens, si bien qu’au bout de quelques secondes je finis par me retirer pour éclater sur ses fesses tendues et luisantes. Je lui en projetais jusque dans le bas du dos, la pression étant trop forte depuis le début de la soirée. Elle gémissait de sentir ma semence chaude la recouvrir, le sexe toujours grand ouvert.

Je frottais une dernière fois mon sexe sur le sien, toujours aussi trempé et ouvert je ne résistais pas à y faire quelques derniers aller-retour puisque de toute manière je n’étais apparemment pas décidé à débander. Je finissais tout de même par m’affaler à côté d’elle, sans paroles si ce n’est que quelques « oh putain » entre deux souffles. Après avoir repris nos esprits nous avons remis de la musique sur le PC et avons tant bien que mal changé le drap housse du clic-clac qui était complètement trempé sur une belle auréole. Puis direction une douche bien chaude ou quelques caresses s’immisçaient encore afin de prolonger nos sensations d’avant et se remercier mutuellement.


Voilà pour notre première expérience d’éjaculation féminine avec Marie, chose qu’elle apprit à maitriser par la suite.
Mais ça, ce sera pour plus tard. Dites moi d’abord si cette histoire vous a plu et si vous en voulez encore !

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