L'initiation - histoire érotique

C’était l’été, le mois de juin était magnifique, le soleil inondait le campus de la faculté de droit où nombre d’étudiants et d’étudiantes semblaient plus occupés à lézarder au soleil et à flirter qu’à étudier. D’autres étudiants, plus stressés, se pressaient à la bibliothèque universitaire pour d'ultimes révisions avant les derniers partiels. Mais la belle Julie, superbe étudiante de vingt ans, était plutôt d'une humeur penchant côté flirt, avec des projets allant d'ailleurs bien plus loin. Cela faisait quelques mois qu'elle était avec son nouveau copain Matthias et les choses se passaient on ne peut mieux. C'était très visible lorsqu'on les voyait ensemble à l'air heureux qu'ils affichaient. Par contre, ce que personne ne pouvait deviner en voyant ce couple bon chic bon genre voir, un peu bourgeois, c'est que leur bonheur était en bonne partie basé sur une excellente entente sexuelle. L'une des choses qui faisait craquer la jolie Julie était que Matthias qui la traitait comme une princesse en public savait se montrer très cochon en privé. Depuis à peine un mois qu'ils avaient des relations sexuelles, il l'avait habituée aux mots crus lors de leurs ébats et à se faire baiser avec vigueur. En cette fin de journée c'était d'ailleurs totalement ce qu'elle espérait en regagnant l'appartement de Matthias situé non loin de la "fac".
Arrivée à l'appartement, c'est avec un sourire coquin, qu'elle lança, à peine la porte franchie.

- Tu es là bébé?

Matthias qui venait juste de se doucher apparu en robe de chambre avec un sourire tout aussi coquin.

- Je suis tout propre et prêt à m'occuper de toi, petite coquine.

Il ouvrit sa robe de chambre pour révéler une queue bien bandée qui fit rougir Julie qui sentit une douce chaleur accompagnée d'une certaine humidité entre ses cuisses.

- Attends je me déshabille.

- Non, tu restes habillée.

Julie rougit encore plus en passant ses mains sous sa jupe pour enlever sa petite culotte qui commençait à devenir humide.

- Tu gardes ta culotte aussi.

- Mais...

- J'ai envie de me faire sucer ma puce.

Julie devint écarlate en entendant son copain.

- Euh, tu veux que je te suce?

Matthias eut un sourire narquois.

- Et comment que je le veux, j'adore ça et en plus tu as une vraie bouche à pipes bébé.

- Mais, c'est-à-dire...

- Attends, tu n'as jamais pompé ton ex ma puce?

Les termes "bouche à pipes" et "pompé" avaient encore plus fait rougir Julie qui ne savait pas trop quoi penser de la demande de Matthias. Elle n'ignorait pas ce qu'était une fellation, mais jusqu'ici l'idée ne lui était pas venue, pas plus que l'opportunité d'essayer. L'acte lui semblait assez cochon pour être excitant, mais elle n'était pas bien sure que prend un sexe en bouche lui plairait vraiment.

- Non. Enfin je ne sais pas ... Sucer, le goût tout ça. Non ça ne m'a jamais tenté.

Matthias prit son sexe en main avec un sourire coquin.

- Ma queue est toute propre, le goût ne devrait pas être mauvais. En plus il ne faut jamais dire je n'aime pas sans avoir goûté.

L'espace d'un court instant Julie eut en tête l'image d'elle-même, habillée, à genoux devant Matthias, prenant sa queue dans sa bouche. Elle se rendit compte que ses tétons étaient devenus durs et sensibles et qu'elle mouillait abondamment.

- Allez ma puce, je suis sûr que tu vas adorer ça.

C'est un peu tremblante sous le coup de l'excitation que Julie s'approcha de son copain, elle saisit la queue qu'elle branla doucement. Matthias glissa une main sous sa jupe et lui caressa la chatte à travers sa culotte.

- Hé, hé, tu es déjà toute mouillée coquine. Tu en meurs d'envie, hein?

Lentement Julie se mit à genoux, puis pendant de longues secondes, elle contempla la queue de son mec tout en la branlant. Elle décalotta la queue bien bandée et timidement, avec une certaine appréhension, elle lécha le bout du gland. À sa grande surprise la sensation ne fut pas déplaisante, la peau était douce et chaude et le goût pas aussi fort que ce à quoi elle s'attendait. Mais surtout cette sensation de transgresser une sorte de tabou, de faire quelque chose d'interdit, était délicieuse. Julie lécha à nouveau le sexe de son homme, cette fois sur une plus grande surface et avec plus d'insistance.

- Oui c'est bien bébé comme ça, avale la maintenant.

Julie s'enhardit et prit le gland dans sa bouche, elle le sentit glisser entre ses lèvres et sur sa langue. Elle garda un instant le gland en bouche sans rien faire, attentive aux sensations que lui procurait ce morceau de chair chaud dans sa bouche. Puis tout doucement elle se mit à sucer cette queue qui l'avait si souvent baisée. Au fur et à mesure elle prit de plus en plus de chair dans sa bouche. Elle finit par sucer sur toute la longueur qu'elle était capable de prendre dans sa bouche. Ce membre chaud et vivant coulissant dans sa bouche, c'était trop bon! Elle sentait Matthias trembler de plaisir, elle le tenait littéralement par sa bite, cette bite qui remplissait sa bouche. Elle s'imaginait la vue que son mec avait alors qu'elle le pompait. Elle la belle et sage, du moins en apparence, étudiante bon chic bon genre était à genoux et pompait comme la dernière des salopes. Sa bouche était littéralement remplie par cette bite sur laquelle elle pompait maintenant avec gourmandise. Elle salivait sur cette bite qu'elle faisait aller et venir entre ses lèvres avec délice. Matthias gémissait sous les tendres assauts de la belle Julie sur sa queue.

- Oh bordel tu suces comme une pro'.

Julie eut presque un orgasme en entendant ces mots, elle suçait comme une pute et cela l'excitait. Elle se mit à pomper avec encore plus de gourmandise. Elle sentait la queue vibrer dans sa bouche et Matthias frémir de plaisir.

- Putain, putain je vais jouir.

Julie sortit précipitamment la queue de sa bouche et la dirigea vers sa poitrine. Juste à temps! De la queue de Matthias se mit à gicler en belle quantité du foutre épais et odorant qui tapissa le chemisier de la belle. Matthias se mit assis par terre presque tremblant sous la puissance de l'orgasme qu'il venait de ressentir. Julie lui lança avec un sourire mi-nerveux, mi-coquin.

- Alors ? Tu as aimé?

- Oh oui ! Tu m'as sucé comme une pro. Et toi tu as aimé?

Julie répondit avec un sourire malicieux.

- Je ne sais pas.

Matthias eut l'air consterné puis son visage s'éclaira quand Julie ajouta avec un sourire en coin.

- Il faudra que j'y goûte à nouveau pour voir. Bon là je vais changer de chemisier.

Julie se leva pour se diriger vers la salle de bain, là elle se regarda dans le miroir situé au-dessus du lavabo. Ses cheveux étaient en désordre et surtout son chemisier qui lui donnait, avec le reste de sa tenue, des airs de jeune femme bien sage était couvert de foutre. Elle sentit Matthias arriver derrière elle, elle sourit lorsqu'elle sentit sa main sur ses fesses. La main de Matthias glissa entre les jambes de Julie.

- La pipe tu as adoré ça. Hein ? Tu n'as jamais été aussi mouillée petite cochonne.

Il glissa deux doigts dans la chatte bien humide de ladite petite cochonne qui se mit immédiatement à gémir. Sucer avait tellement excité Julie que sa chatte en était devenue hyper sensible. Matthias se mit à pistonner Julie avec ses deux doigts, la faisant gémir de plus en plus fort. Si les voisins étaient là, ils n'allaient pas tarder à profiter du spectacle sonore. Alors qu'il poussait un doigt de plus dans le vagin de sa belle, Matthias caressa son visage de son autre main avant d'enfoncer un doigt dans sa bouche. Julie se mit immédiatement à sucer le doigt en question tout en bougeant son bassin pour prendre les doigts de son homme plus loin et plus vite. Matthias sortit le doigt de la bouche de sa belle et avec celui-ci prit un peu de sperme sur le chemisier maculé de foutre. Il présenta le doigt couvert de sperme devant le visage de Julie. Elle regarda le doigt couvert de sperme puis le miroir où elle vit son reflet: celui d'une petite salope en train se faire doigter et prête pour sa première dégustation de sperme. Elle prit le doigt dans la bouche et sentit le goût du sperme sur sa langue, acre et quelque peu salé. Elle fut immédiatement emportée par un orgasme si fort qu'elle dut s'accrocher au lavabo pour ne pas tomber. Matthias lui murmura à l'oreille.

- C'est bien ma petite cochonne et ce n'est que le début.