L'intégration de Louise
Récit érotique écrit par JohnnyGuitar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'intégration de Louise
Henri regardait avec attention le combat qui se déroulait sous ses yeux. Sur un grand tatami recouvrant une estrade, deux combattantes très peu vêtues s’affrontaient à la lutte. L’une finit d’ailleurs complètement nue à l’issue de la manche, déshabillée sans merci par son adversaire. Cette version de la lutte, que les organisateurs avaient surnommée « sex-fighting », avait ceci de particulier qu’elle impliquait une très grande attention portée aux zones érogènes, l’interdiction de jouir sous peine de défaite immédiate, et la domination du vaincu par le vainqueur.
Ces combats se déroulaient dans une villa louée pour l’occasion par Henri et son meilleur ami Arthur, deux dominants qui entretenaient un vaste réseau de soumises et de concubines. Le combat opposait Sandra, une sex-fighteuse expérimentée, à Carla, une petite blonde menue qui débutait dans cette discipline et se trouvait présentement sans vêtements. En vérité, Sandra s’amusait avec elle, et gagna rapidement par orgasme quand elle réussit à immobiliser Carla par une bonne clé de bras et à la masturber jusqu’à ce qu’elle jouisse. Sandra ne perdit pas de temps pour profiter de sa proie et se mit à la baiser avec ardeur sur le ring, au grand plaisir de Carla qui avait une âme de soumise et qui adorait être humiliée. Le public applaudissait et encourageait la gagnante, dont la particularité était d’être une shemale, une femme à queue. Henri et Arthur en avaient quelques-unes dans leurs harems, cela ajoutait du piment aux activités nocturnes ! Le public était constitué des soumises et concubines des deux amis, ainsi que d’autres maîtres (et tout ou partie de leurs harems triés sur le volet) ; quelques dizaines de personnes au plus.
Se délectant du spectacle, Henri se prit à songer. Il repensa à la manière dont s’était construit son harem et celui d’Arthur, une fille après l’autre. Il était entouré par ses deux favorites, Marianne et Sélène, qui s’activaient sur sa queue, dressée devant le spectacle assuré par Sandra et Carla. Profitant de l’instant, il se plongea dans ses souvenirs.
Henri avait été surpris de recevoir un message de Louise un jour. Après tout, ils n'étaient pas en bons termes. Mais elle était finalement arrivée à bout et avait décidé d'accepter la main qui lui avait été tendue il y a longtemps. Elle avait vidé son sac longuement sur ses problèmes personnels et professionnels et cela les avait rapprochés. De fil en aiguille, elle avait compris, bien qu'indirectement seulement, que Henri était un dominant qui possédait un réseau de soumises. Et un jour, la voici qui sonna chez lui. Il était surpris de la trouver là, et dans cette tenue. Elle portait une robe moulante noire qui épousait de près ses formes, sous laquelle on devinait des dessous blancs qui cherchaient clairement à être vus, du moins, discernés subtilement, sous le tissu sombre. Il ne l'avait jamais vue dans une tenue aussi sexy. Et il était encore plus étonné de la trouver devant sa porte habillée ainsi.
Une fois entrée, elle lui expliqua, gênée, la tête baissée et cherchant à éviter son regard, qu'après une nouvelle déception amoureuse suivie d'une longue période de célibat, elle avait envie d'essayer autre chose. Et c'était la raison pour laquelle elle venait le trouver. N'ayant aucune connaissance ou expérience de la soumission, elle s'était tournée vers le point de référence qu'elle connaissait. Elle souhaitait rejoindre son harem. Une fois qu'elle eût fini de parler, un petit silence s'installa. Ils étaient assis sur le canapé, de côté pour se faire face. Louise continuait à regarder de biais pour ne pas croiser le regard de Henri. Ses joues avaient rosi, et il sentait qu'elle était particulièrement nerveuse. Henri de son côté la regardait avec gourmandise et une intense satisfaction, mais aussi un sentiment de puissance et de domination : un lion regardait un lapin.
Sans rompre le silence, il posa sa main droite sur le côté de son visage, puis se mit à descendre lentement le long de son épaule puis de son bras, avant de glisser sur sa cuisse puis le long de sa jambe. Henri se leva et prit la main de Louise pour qu'elle l'imite. Elle se tenait face à lui, à la fois résolue et inquiète. « Déshabille-toi », ordonna-t-il d'une voix douce mais ferme. Elle fit glisser maladroitement sa robe sur le sol et attendit la suite. Henri attrapa son menton et lui inclina la tête pour qu'elle le regarde dans les yeux, son visage à quelques centimètres du sien. « Ne t'arrête pas en si bon chemin. Je veux te voir toute nue. Inspecter ce que je viens d'acquérir ». Elle commença par dégrafer son soutien-gorge, dévoilant deux seins ronds, petits mais fermes. Puis, abaissant ses barrières mentales, elle enleva sa culotte, qui rejoignit la robe. Henri se pencha et ramassa le dessous pour le respirer profondément. Il voulait sentir le doux parfum de la chatte de Louise. La situation l'excitait profondément et il se sentit submergé par un sentiment de puissance absolue.
Henri admira un moment le corps parfait de Louise : petite mais sportive ; des cheveux noirs arrangés en un chignon sage ; ses petits seins adorables, ses fesses fermes ; ses cuisses et ses mollets musclés mais ronds et galbés, et ses petits pieds mignons. Une peau blanche un peu pâle et un corps parfaitement épilé. Henri posa la main entre ses seins et la sentit frémir légèrement. Son cœur battait la chamade. Il descendit ensuite lentement sur son ventre plat puis s'arrêta sur son pubis lisse. Il sentait son excitation, son appréhension mais aussi son envie. Il semblait qu'elle n'avait pas été touchée depuis longtemps. Henri fit glisser sa main sur ses lèvres et fit quelques passages le long de sa chatte. Puis il écarta délicatement les lèvres de Louise et inséra un doigt puis deux en elle. Il fit quelques va-et-vient et sentit sa respiration s'accélérer. Il lui en faudrait très peu pour jouir. Il passa ses doigts trempés de mouille sur les lèvres de Louise et les lui fit lécher avant de l'embrasser passionnément. Ensuite, il se remit à la pénétrer avec les doigts, en alternant des passes sur son clito, jusqu'à ce qu'elle jouisse. Il la retint alors que ses jambes semblaient lui faire défaut et la serra contre lui. Elle était à lui à présent.
Il détacha son chignon pour laisser ses cheveux flotter librement sur ses épaules. Ils arrivaient juste au-dessus de ses seins. Henri enleva rapidement ses vêtements et s'assit sur le canapé, incliné contre deux coussins, sa queue dure et droite dressée entre ses jambes. Louise la regardait fixement. « Montre-moi ce que tu sais faire maintenant petite chérie ». Elle s'allongea sur le ventre en face de lui, à demi redressée sur un coude, et commença à jouer avec sa queue. Ses doigts fins parfaitement manucurés commencèrent à masser le membre de Henri tandis qu'elle le léchait timidement. Le tout était agréable mais encore bien peu assuré. Au bout de quelques minutes Henri se redressa. « Ma chère petite, entre nous, il ne peut pas y avoir de faux semblants. Si tu veux rejoindre mon harem, tu dois devenir une salope, une chienne, dont l'existence sera centrée sur le fait de me donner du plaisir. » Elle frémit sous les insultes. « Sache que dans ma bouche, ces mots seront toujours des compliments. Ici, nous ne sommes pas des prudes. J'aime que mes femmes soient sexuelles, désirables, animales. Qu'elles soient guidées par leurs instincts pour prendre du plaisir et en donner, sans s'inquiéter du regard des autres. Je veux que tu penses avec ta chatte, avec ton cul, que tu sois en chaleur et guidée par la seule volonté de te faire enfiler encore et encore pour remplir ton esprit d'une jouissance après l'autre. Je vais te montrer. »
Il la fit basculer sur le dos, un coussin sous le cou pour le confort. Puis il s'allongea sur elle, collant son corps contre le sien, sa queue dure frottant contre sa peau chaude et délicate. Il voulait lui faire sentir la force de son désir. Il commença par l'embrasser vigoureusement, fourrant sa langue dans sa bouche, attrapant sa lèvre supérieure entre les siennes. Les yeux noirs de Louise étaient emplis de désir, et elle commençait à s’affranchir de ses barrières pour n'être plus que dans cet instant. Henri se libéra de ce baiser puis il colla sa tête dans son cou, alternant entre baisers et coups de langue. Il passa sur ses seins qu'il agrippa, suçotant les tétons qui pointaient, puis descendit vers sa chatte en feu. Avec avidité il se mit à la lécher avec de grands coups de langue, couvrant tout son sexe. Il attrapa ses lèvres dans sa bouche. Puis il bascula sur son clitoris qu'il aspirait et suçait et titillait avec sa langue. C'était un cunnilingus passionné, animal, dont l'unique objet était de faire jouir Louise le plus vite et le plus intensément possible. Prise par surprise, elle commençait à soupirer et haleter, son bassin ondulant légèrement. Henri s'interrompit à son grand désarroi. « Tu vois ? Je n'ai pas honte. Je veux juste te donner du plaisir. Je veux que tu t'abandonnes complètement. Ne retiens pas tes soupirs, passe tes mains dans mes cheveux et colle-moi contre ta chatte, serre-moi entre tes cuisses pour que j'y reste. Suis ton instinct et deviens esclave de ton plaisir. Maintenant supplie-moi de te faire jouir, ma jolie chienne ». Louise devenait de plus en plus hypnotisée par le moment et s'exécuta malgré sa gêne car elle ne voulait qu'une chose, c'était sentir à nouveau la langue de Henri et jouir sans retenue. « Lèche-moi Henri s'il-te-plaît ! Remets ta langue sur ma chatte ! Regarde comme je suis humide pour toi ! Fais-moi jouir je t'en supplie. Je te jure qu'après tu pourras me faire ce que tu veux. Je m'occuperai bien de ta queue. Mais s'il-te-plaît lèche-moi encore ! » Henri se remit au travail avec passion. Louise cette fois-ci ne cherchait pas à être discrète et gémissait de manière beaucoup plus audible. Elle jouait avec ses seins et ses tétons pendant que Henri s'activait sur sa chatte et il n'en fallut pas beaucoup plus pour que Louise explose de bonheur, serrant fortement la tête de Henri entre ses cuisses avant que son corps ne se relâche et qu'elle ne s'affaisse sur le canapé. Henri revint s'allonger sur elle pour l'embrasser. « Goûte comme tu es bonne ma petite chérie. »
Il se mit à frotter sa queue contre le corps détendu de Louise, laissant une traînée de pré-sperme sur sa cuisse. « Laisse-moi te sucer Henri s'il-te-plaît. J'ai compris maintenant », lui dit-elle langoureusement. Il se remit en position. Cette-fois ci, elle avala sa queue goulûment, cherchant à la prendre complètement dans sa bouche. Elle allait et venait le long de son membre, avec détermination, tout en utilisant sa langue pour le titiller pendant qu'elle le suçait. Henri posa une main sur sa tête, pour accompagner ses mouvements, puis se mit à donner des coups de bassin. Louise fit de son mieux pour ne pas protester. Il voulait lui montrer qui commandait. Il aurait pu jouir au fond de sa gorge, d'ailleurs ce n'était pas l'envie qui lui manquait, mais il avait d'autres intentions. Il se retira de sa bouche et lança à Louise : "C'est bien, ma jeune salope. Tu progresses. Tu es très capable quand tu y mets du tien." Louise était gênée mais à la fois satisfaite du compliment. « Merci. La prochaine fois que je te sucerai, tu jouiras instantanément, je te le promets. Maintenant, fais de moi ce que tu veux. Je suis à toi. Utilise-moi. »
Henri hésita à la prendre au mot et à fourrer son petit cul qui, lorsqu'il l'avait inspecté lors du cunnilingus, lui avait semblé très étroit. Peut-être même vierge. Mais il se dit qu'il garderait ça pour plus tard, et Louise venait juste de commencer son initiation. Il fallait se ménager une marge de progression. Il se pencha à nouveau sur elle. Pour cette première fois il allait la prendre de la manière la plus classique. Il voulait voir son visage et ses seins quand il jouirait en elle. Il se pencha sur elle et la pénétra vivement, mais elle était plus que prête, trempée et dilatée, et elle l'accueillit sans peine. Il se mit à la baiser sauvagement, par va-et-vient rapides et profonds. Louise gémissait et l'encourageait : « Baise-moi Henri ! Fourre ta petite chienne ! Jouis-en moi et marque-moi. Je suis à toi maintenant. Oui, oui, ouiiii ». Ses mots salaces se perdaient parfois en gémissements. Henri vint en elle avec délectation, un plaisir intense l'envahissant. Il la remplit de foutre chaud en poussant un grognement sauvage, tel un loup hurlant sous la lune, puis s'affaissa légèrement sur elle. Il l'attrapa et la fit basculer au-dessus de lui. Elle se blottit contre sa poitrine tandis qu'un peu de sperme s'écoulait d'elle. Elle était épuisée mais satisfaite. Henri était comblé : il venait de marquer sa chienne. Les aventures de Louise ne faisaient que commencer.
Ces combats se déroulaient dans une villa louée pour l’occasion par Henri et son meilleur ami Arthur, deux dominants qui entretenaient un vaste réseau de soumises et de concubines. Le combat opposait Sandra, une sex-fighteuse expérimentée, à Carla, une petite blonde menue qui débutait dans cette discipline et se trouvait présentement sans vêtements. En vérité, Sandra s’amusait avec elle, et gagna rapidement par orgasme quand elle réussit à immobiliser Carla par une bonne clé de bras et à la masturber jusqu’à ce qu’elle jouisse. Sandra ne perdit pas de temps pour profiter de sa proie et se mit à la baiser avec ardeur sur le ring, au grand plaisir de Carla qui avait une âme de soumise et qui adorait être humiliée. Le public applaudissait et encourageait la gagnante, dont la particularité était d’être une shemale, une femme à queue. Henri et Arthur en avaient quelques-unes dans leurs harems, cela ajoutait du piment aux activités nocturnes ! Le public était constitué des soumises et concubines des deux amis, ainsi que d’autres maîtres (et tout ou partie de leurs harems triés sur le volet) ; quelques dizaines de personnes au plus.
Se délectant du spectacle, Henri se prit à songer. Il repensa à la manière dont s’était construit son harem et celui d’Arthur, une fille après l’autre. Il était entouré par ses deux favorites, Marianne et Sélène, qui s’activaient sur sa queue, dressée devant le spectacle assuré par Sandra et Carla. Profitant de l’instant, il se plongea dans ses souvenirs.
Henri avait été surpris de recevoir un message de Louise un jour. Après tout, ils n'étaient pas en bons termes. Mais elle était finalement arrivée à bout et avait décidé d'accepter la main qui lui avait été tendue il y a longtemps. Elle avait vidé son sac longuement sur ses problèmes personnels et professionnels et cela les avait rapprochés. De fil en aiguille, elle avait compris, bien qu'indirectement seulement, que Henri était un dominant qui possédait un réseau de soumises. Et un jour, la voici qui sonna chez lui. Il était surpris de la trouver là, et dans cette tenue. Elle portait une robe moulante noire qui épousait de près ses formes, sous laquelle on devinait des dessous blancs qui cherchaient clairement à être vus, du moins, discernés subtilement, sous le tissu sombre. Il ne l'avait jamais vue dans une tenue aussi sexy. Et il était encore plus étonné de la trouver devant sa porte habillée ainsi.
Une fois entrée, elle lui expliqua, gênée, la tête baissée et cherchant à éviter son regard, qu'après une nouvelle déception amoureuse suivie d'une longue période de célibat, elle avait envie d'essayer autre chose. Et c'était la raison pour laquelle elle venait le trouver. N'ayant aucune connaissance ou expérience de la soumission, elle s'était tournée vers le point de référence qu'elle connaissait. Elle souhaitait rejoindre son harem. Une fois qu'elle eût fini de parler, un petit silence s'installa. Ils étaient assis sur le canapé, de côté pour se faire face. Louise continuait à regarder de biais pour ne pas croiser le regard de Henri. Ses joues avaient rosi, et il sentait qu'elle était particulièrement nerveuse. Henri de son côté la regardait avec gourmandise et une intense satisfaction, mais aussi un sentiment de puissance et de domination : un lion regardait un lapin.
Sans rompre le silence, il posa sa main droite sur le côté de son visage, puis se mit à descendre lentement le long de son épaule puis de son bras, avant de glisser sur sa cuisse puis le long de sa jambe. Henri se leva et prit la main de Louise pour qu'elle l'imite. Elle se tenait face à lui, à la fois résolue et inquiète. « Déshabille-toi », ordonna-t-il d'une voix douce mais ferme. Elle fit glisser maladroitement sa robe sur le sol et attendit la suite. Henri attrapa son menton et lui inclina la tête pour qu'elle le regarde dans les yeux, son visage à quelques centimètres du sien. « Ne t'arrête pas en si bon chemin. Je veux te voir toute nue. Inspecter ce que je viens d'acquérir ». Elle commença par dégrafer son soutien-gorge, dévoilant deux seins ronds, petits mais fermes. Puis, abaissant ses barrières mentales, elle enleva sa culotte, qui rejoignit la robe. Henri se pencha et ramassa le dessous pour le respirer profondément. Il voulait sentir le doux parfum de la chatte de Louise. La situation l'excitait profondément et il se sentit submergé par un sentiment de puissance absolue.
Henri admira un moment le corps parfait de Louise : petite mais sportive ; des cheveux noirs arrangés en un chignon sage ; ses petits seins adorables, ses fesses fermes ; ses cuisses et ses mollets musclés mais ronds et galbés, et ses petits pieds mignons. Une peau blanche un peu pâle et un corps parfaitement épilé. Henri posa la main entre ses seins et la sentit frémir légèrement. Son cœur battait la chamade. Il descendit ensuite lentement sur son ventre plat puis s'arrêta sur son pubis lisse. Il sentait son excitation, son appréhension mais aussi son envie. Il semblait qu'elle n'avait pas été touchée depuis longtemps. Henri fit glisser sa main sur ses lèvres et fit quelques passages le long de sa chatte. Puis il écarta délicatement les lèvres de Louise et inséra un doigt puis deux en elle. Il fit quelques va-et-vient et sentit sa respiration s'accélérer. Il lui en faudrait très peu pour jouir. Il passa ses doigts trempés de mouille sur les lèvres de Louise et les lui fit lécher avant de l'embrasser passionnément. Ensuite, il se remit à la pénétrer avec les doigts, en alternant des passes sur son clito, jusqu'à ce qu'elle jouisse. Il la retint alors que ses jambes semblaient lui faire défaut et la serra contre lui. Elle était à lui à présent.
Il détacha son chignon pour laisser ses cheveux flotter librement sur ses épaules. Ils arrivaient juste au-dessus de ses seins. Henri enleva rapidement ses vêtements et s'assit sur le canapé, incliné contre deux coussins, sa queue dure et droite dressée entre ses jambes. Louise la regardait fixement. « Montre-moi ce que tu sais faire maintenant petite chérie ». Elle s'allongea sur le ventre en face de lui, à demi redressée sur un coude, et commença à jouer avec sa queue. Ses doigts fins parfaitement manucurés commencèrent à masser le membre de Henri tandis qu'elle le léchait timidement. Le tout était agréable mais encore bien peu assuré. Au bout de quelques minutes Henri se redressa. « Ma chère petite, entre nous, il ne peut pas y avoir de faux semblants. Si tu veux rejoindre mon harem, tu dois devenir une salope, une chienne, dont l'existence sera centrée sur le fait de me donner du plaisir. » Elle frémit sous les insultes. « Sache que dans ma bouche, ces mots seront toujours des compliments. Ici, nous ne sommes pas des prudes. J'aime que mes femmes soient sexuelles, désirables, animales. Qu'elles soient guidées par leurs instincts pour prendre du plaisir et en donner, sans s'inquiéter du regard des autres. Je veux que tu penses avec ta chatte, avec ton cul, que tu sois en chaleur et guidée par la seule volonté de te faire enfiler encore et encore pour remplir ton esprit d'une jouissance après l'autre. Je vais te montrer. »
Il la fit basculer sur le dos, un coussin sous le cou pour le confort. Puis il s'allongea sur elle, collant son corps contre le sien, sa queue dure frottant contre sa peau chaude et délicate. Il voulait lui faire sentir la force de son désir. Il commença par l'embrasser vigoureusement, fourrant sa langue dans sa bouche, attrapant sa lèvre supérieure entre les siennes. Les yeux noirs de Louise étaient emplis de désir, et elle commençait à s’affranchir de ses barrières pour n'être plus que dans cet instant. Henri se libéra de ce baiser puis il colla sa tête dans son cou, alternant entre baisers et coups de langue. Il passa sur ses seins qu'il agrippa, suçotant les tétons qui pointaient, puis descendit vers sa chatte en feu. Avec avidité il se mit à la lécher avec de grands coups de langue, couvrant tout son sexe. Il attrapa ses lèvres dans sa bouche. Puis il bascula sur son clitoris qu'il aspirait et suçait et titillait avec sa langue. C'était un cunnilingus passionné, animal, dont l'unique objet était de faire jouir Louise le plus vite et le plus intensément possible. Prise par surprise, elle commençait à soupirer et haleter, son bassin ondulant légèrement. Henri s'interrompit à son grand désarroi. « Tu vois ? Je n'ai pas honte. Je veux juste te donner du plaisir. Je veux que tu t'abandonnes complètement. Ne retiens pas tes soupirs, passe tes mains dans mes cheveux et colle-moi contre ta chatte, serre-moi entre tes cuisses pour que j'y reste. Suis ton instinct et deviens esclave de ton plaisir. Maintenant supplie-moi de te faire jouir, ma jolie chienne ». Louise devenait de plus en plus hypnotisée par le moment et s'exécuta malgré sa gêne car elle ne voulait qu'une chose, c'était sentir à nouveau la langue de Henri et jouir sans retenue. « Lèche-moi Henri s'il-te-plaît ! Remets ta langue sur ma chatte ! Regarde comme je suis humide pour toi ! Fais-moi jouir je t'en supplie. Je te jure qu'après tu pourras me faire ce que tu veux. Je m'occuperai bien de ta queue. Mais s'il-te-plaît lèche-moi encore ! » Henri se remit au travail avec passion. Louise cette fois-ci ne cherchait pas à être discrète et gémissait de manière beaucoup plus audible. Elle jouait avec ses seins et ses tétons pendant que Henri s'activait sur sa chatte et il n'en fallut pas beaucoup plus pour que Louise explose de bonheur, serrant fortement la tête de Henri entre ses cuisses avant que son corps ne se relâche et qu'elle ne s'affaisse sur le canapé. Henri revint s'allonger sur elle pour l'embrasser. « Goûte comme tu es bonne ma petite chérie. »
Il se mit à frotter sa queue contre le corps détendu de Louise, laissant une traînée de pré-sperme sur sa cuisse. « Laisse-moi te sucer Henri s'il-te-plaît. J'ai compris maintenant », lui dit-elle langoureusement. Il se remit en position. Cette-fois ci, elle avala sa queue goulûment, cherchant à la prendre complètement dans sa bouche. Elle allait et venait le long de son membre, avec détermination, tout en utilisant sa langue pour le titiller pendant qu'elle le suçait. Henri posa une main sur sa tête, pour accompagner ses mouvements, puis se mit à donner des coups de bassin. Louise fit de son mieux pour ne pas protester. Il voulait lui montrer qui commandait. Il aurait pu jouir au fond de sa gorge, d'ailleurs ce n'était pas l'envie qui lui manquait, mais il avait d'autres intentions. Il se retira de sa bouche et lança à Louise : "C'est bien, ma jeune salope. Tu progresses. Tu es très capable quand tu y mets du tien." Louise était gênée mais à la fois satisfaite du compliment. « Merci. La prochaine fois que je te sucerai, tu jouiras instantanément, je te le promets. Maintenant, fais de moi ce que tu veux. Je suis à toi. Utilise-moi. »
Henri hésita à la prendre au mot et à fourrer son petit cul qui, lorsqu'il l'avait inspecté lors du cunnilingus, lui avait semblé très étroit. Peut-être même vierge. Mais il se dit qu'il garderait ça pour plus tard, et Louise venait juste de commencer son initiation. Il fallait se ménager une marge de progression. Il se pencha à nouveau sur elle. Pour cette première fois il allait la prendre de la manière la plus classique. Il voulait voir son visage et ses seins quand il jouirait en elle. Il se pencha sur elle et la pénétra vivement, mais elle était plus que prête, trempée et dilatée, et elle l'accueillit sans peine. Il se mit à la baiser sauvagement, par va-et-vient rapides et profonds. Louise gémissait et l'encourageait : « Baise-moi Henri ! Fourre ta petite chienne ! Jouis-en moi et marque-moi. Je suis à toi maintenant. Oui, oui, ouiiii ». Ses mots salaces se perdaient parfois en gémissements. Henri vint en elle avec délectation, un plaisir intense l'envahissant. Il la remplit de foutre chaud en poussant un grognement sauvage, tel un loup hurlant sous la lune, puis s'affaissa légèrement sur elle. Il l'attrapa et la fit basculer au-dessus de lui. Elle se blottit contre sa poitrine tandis qu'un peu de sperme s'écoulait d'elle. Elle était épuisée mais satisfaite. Henri était comblé : il venait de marquer sa chienne. Les aventures de Louise ne faisaient que commencer.
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