L'odyssée de Coralie - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Enlèvement

Coralie jeune avocate est épuisée par cette journée d’audience et de négociation. La douceur de cette fin de journée l’incite à faire quelques pas dans le Parc du Procé tout proche afin d’appeler Sébastien, son mari en voyage d’affaire au moyen Orient.
En saisissant son Smartphone, elle repense à la rudesse inhabituelle des propos, des caresses et des gestes de son mari lors de la soirée coquine.
Troublée Coralie conserve l’impression d’avoir subi un quasi viol lorsqu’elle refusa de se soumettre aux envies de Sébastien. Le souvenir du traitement infligé à ses seins, de ces tétons pincés, tordus engendrant une douleur fulgurante mais tellement excitante, fait durcir ces mamelons sous son chemisier mauve.
Elle se souvient des claques, de la dureté de la sodomie, de l’agression du gode dans son sexe, mais aussi les orgasmes qui la laissèrent épuisée et repus. Elle garde des sensations de plaisirs mêlés, de peur constatant les traces de coups sur ses fesses, ses cuisses encore marquées par rudesse de son mari. Pourtant, elle se surprend à sentir son sexe humide et sa poitrine tendue.

Toutes à ses pensées, Coralie ne remarque pas la femme grande, athlétique qui approchait
- « Coralie Thomat … » l’interpelle la voix sèche d’une Femme qui lui montre une photo de Sébastien et de son enfant ajoutuant « si vous tenez à eux, suivez nous sans résistance » ordonne la Femme lui présentant une carte de police
- « Qu’est ce que cela signifie, qu’est-il arrivé… » Interroge Coralie effrayée.
- « Pas ici, vous n’êtes pas en sécurité, ils vont bien rassurez vous Madame… » Affirme la femme en lui prenant le bras pour l’entrainer vers une voiture stationnée à quelques mètres.
L’autorité de la femme ne laisse pas le choix. Elle ouvre la portière, Coralie est poussée à l’intérieur du véhicule qui démarre aussitôt.
Un homme massif assis sur la banquette lui saisit les poignets et lui passe les menottes pour « sa sécurité » lui dit-il.
Protestant contre de telles pratiques, l’avocate tente de réagir en essayant vainement de se dégager de l’emprise de ses kidnappeurs. Elle sent une piqure à la cuisse et se retrouve rapidement sans connaissance.
Avant de sombrer inconsciente, elle entend : « Direction la Perrière, ma belle…. Tu as une dette à rembourser… ».

Quelques heures plus tard, Coralie émerge lentement de son sommeil. Elle reprend conscience toujours menottée à même le sol froid, dans une pièce sombre à peine éclairée par une faible ampoule au plafond.
Elle aperçoit une douche, une cuvette de WC et un lit de fer comme seul meuble de la pièce. Une chaine pendue au centre de la pièce et un anneau fixé au sol complète le « mobilier ».

Alors, Coralie se souvient des dernières paroles de la Femme. Elle parvient à se lever et tambourine à la porte s’épuisant inutilement … elle éclate en pleurs pensant à ces proches sans comprendre ce qui lui arrive.
Elle perçoit des bruits de chaines, des pas, des cris étouffés. Elle a froid, le temps passe.
Elle reste prostrée assise sur le lit, en larmes.

Soudain la porte s’ouvre un homme massif lui ordonne de le suivre sans discuter.
Surprise, Coralie décide de refuser de se lever. Puis constatant que la porte restée ouverte, elle se rue sur l’homme dans une illusoire tentative de fuite pour s’échapper. L’homme esquive la charge, se moque et assène à la jeune femme une claque magistrale qui la laisse presque assommée sur le plancher poussiéreux.
Sans un mot et sans ménagement, l’homme empoigne la chevelure de la captive pour la relever, et l’entraine de force dans un escalier.
Vous franchissez un long couloir puis un vestibule qui précède un bureau de style classique. L’homme s’arrête au centre de la pièce et contraint Coralie à se mettre à genoux tête baissée. Coralie est aveuglée par un spot dirigé sur elle.

-Bonjour Madame Thomat, je vous souhaite la bienvenue à La Perrière, notre centre de regroupement et de dressage que j’ai l’honneur de diriger. J’espère que ce séjour vous sera profitable.
- Que fais je ici, qui êtes vous, que me voulez vous, où est mon enfant, mon mari ? Otez moi ces menottes sinon... »
Pour seule réponse, la jeune avocate entend le rire sarcastique d’un homme placé en retrait et reçoit un violent coup de fouet qui cingle le dos et le torse. Coralie se tord de douleur sur le sol.
- « Première leçon Esclave, On n’interrompt pas la Maitresse … » lance l’homme dont la voix vous semble connue.
Le garde en vous relève une nouvelle fois par vos cheveux.
- « Doucement mon ami intervient la Femme identifiée comme la Maitresse, ne gâcher pas cette marchandise de valeur, pour la peine elle passera une nuit au cachot, cela la calmera. »
Puis s’adressant à vous « Madame vous souhaitez des explications sur votre situation… et bien, ma chère écouter, je ne me répéterais pas »
Malgré le spot, vous apercevez une silhouette grande, fine qui vient vers vous une cravache en main.
« Comprenez mon dilemme, ma chère, vous avez une dette que des créancier de votre mari m’ont vendu. Vous êtes donc devenue ma créancière en solidarité avec votre conjoint. Il s’avère que celui-ci n’a pas donnée suite à mes demandes de remboursement … Pire il s’est visiblement enfuit.
Et je sais que vos biens sont loin de couvrir la dette et les intérêts j’en suis désolé mais avez-vous plus de 1 million d’Euro pour me rembourser…Si oui vous êtes libre sinon … ? »

Coralie est stupéfaire, anéantie....Coralie murmure au bord des larmes « De quelle dette, de quoi me parlez vous.., vous êtes des hors la loi, ou est mon enfant…ce n’est pas possible » s’écrie Coralie Thomat esquissant un mouvement vers la Femme.
Le rappel à l’ordre de La Maitresse est cuisant. Coralie reçoit d’un coup sec de cravache au travers de la poitrine.
« Je pensais bien que la réponse serait négative….… il me faut donc vous contraindre et vous encourager à participer activement au remboursement de cette dette en utilisant votre capital très personnel et vos capacités de séduction. Pour cela, il vous faut apprendre à être une esclave soumise et obéissante. Nous allons y veillez »

Pour commencer, il nous faut estimer votre capital poursuit la Femme.
Puis s’adressant au garde, « Mettez la en position de visite et marquez la du numéro 2158 »

Rapidement Coralie se retrouve suspendue par les bras et les chevilles. Elle sent une lame effilée courir le long de son dos découpant ses vêtements. Puis l’homme indique la nouvelle identité de Coralie sur la fesse et sur un sein à l’aide d’un marqueur noir.
Des ombres s’approchent pour mieux observer la captive suspendue à la merci totale de ses geôliers. Elle est en larmes, honteuse humiliée par la situation et les commentaires de la Maitresse et des spectateurs.
Pour poursuivre l’examen de la captive, ses jambes sont relevées et écartées permettant à la maitresse de fouiller sans se baisser l’intimité de Coralie qui tente de résister.
Les doigts experts de la Maitresse… ouvrent le sexe, les lèvres et caressent doucement puis pincent le clitoris de la Jeune femme qui ressent un léger plaisir malgré sa honte d’être ainsi fouillée…
« Voyons un peu la souplesse de ce vagin » plaisante alors la maitresse en enfonçant, deux puis trois doigts tout en massant l’intimité de Coralie. Celle-ci s’ouvre instinctivement pour faciliter la pénétration accueillant presque entièrement la paume qui la fouille.
« Bien, bien… elle a des capacités certaines… voyons son cul maintenant » commente la Maitresse à l’intention des spectateurs tout en introduisant directement et profondément un doigt dans l’anus de Coralie lui arrachant un cri et une ruade, vite corrigée par la cravache de la dominatrice.
Elle effectue quelques va et vient, masse avec le doigt l’orifice et satisfaite le retire en disant « Là il va falloir travailler …Esclave 2158 nettoie mon doigt dit la Maîtresse en présentant celui-ci à Coralie qui essaie de reculer pour échapper à cette humiliation »
«Lèche, je te dis… » Ordonne la dominatrice menaçant les seins de la jeune femme de la cravache. En larme, Coralie ouvre la bouche et pose sa langue sur le doigt. Elle lèche en fermant les yeux de dégoût et de honte.
« La prochaine fois, tu ouvriras les yeux ou tu te nettoies correctement ton cul… c’est toi qui choisit » s’exclame la Maîtresse faisant rire les spectateurs

« Messieurs les gardes menez l’esclave 2158 au cachot, … dans la petite cage avec le cul à disposition des passants » ordonne la Maitresse ajoutant dans un sourire amuser vous uniquement dans l’anus, sans abimer la marchandise quand vous aurez fini vous lui mettrez un Plug de 4cm jusqu'à nouvel ordre.
Puis pour faire bonne mesure tournant le dos à Coralie « Bonne nuit ma belle… j’espère que tu es satisfaite de l’accueil de La Perrière. »

Les gardes détachent l’esclave qui voit son cou orner d’un collier de fer avec le numéro 2158. Pour finaliser l’équipement de l’esclave celui-ci comprend des fers aux poignets et aux chevilles.
Elle est ensuite trainée par les cheveux à travers un immense escalier vers une cave humide.
Parvenu à une cage permettant de n’être qu’accroupie, le Garde ordonne à Coralie de pénétrer de se positionner pour placer son fessier dans un trou placé au fond de la cage. Quelques coups de cravaches aident l’esclave à gagner le position requise. Coralie est à genoux appuyée sur un barreau, le fessier relevée, jambes écartée par la géométrie de la cage conçue pour facilité les sodomies des esclaves enfermées.
La cage est ensuite placée dans sa position de présentation. C'est-à-dire enchâssée dans la cloison, ne laissant visible que les fesses et l’anus de l’esclave.
Rapidement Coralie sent des doigts la pénétrée puis un sexe longs et fin qui l’encule durant de longue minute la conduisant sur les chemins de la jouissance et du plaisir. Coralie contre sa volonté sent son corps prendre plaisir et se surprend à allez au devant du sexe qui œuvre dans son fondement. Bientôt elle connait plusieurs orgasmes qui finissent de la troublée bientôt suivi par la chaleur de l’éjaculation du garde.
Repus celui-ci félicite Coralie.. lui prédisant de futurs et profitables expériences ..En prononçant ses paroles, il introduit rapidement et très facilement le gode pour travailler l’élasticité de l’anus de l’esclave 2158.

« Allez, je te laisse esclave,… à demain et passe une bonne nuit quoique je pense que tu vas recevoir des visiteurs pour tester ton cul durant la nuit… » dit il dans un rire


A suivre