L'ORAGE
Récit érotique écrit par Rafaelle [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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L'ORAGE
Encore une journée à peu près normale. Il n'y avait pas eu de catastrophe, pas de psychodrame entre les employés et en plus le service commercial avait même signé un contrat avec un nouveau client. Hormis la chaleur étouffante de cette fin d'Août, on pouvait dire que tout c'était bien passé.
Dans son bureau, ma secrétaire avait poussé la climatisation à fond et malgré sa tenue légère transpirait comme une fontaine. Dommage pour une aussi jolie fille de 32 ans. D'ailleurs il était l'heure et cette sportive allait, comme tous les jours, repartir chez elle à vélo soit 15 km en pleine campagne. « Rien de tel pour vous changer les idées » me disait-elle régulièrement.
Comme tous les soirs avant de partir, Lisbeth vint faire un dernier tour dans mon bureau pour voir s'il ne me fallait pas un dernier dossier, envoyer un mail ou autre. « A demain ». Je regardais son corps splendide, sa démarche si souple, la douceur et la grâce féminine qui émanait de tout son être et je me suis demandée pourquoi il n'y avait personne dans sa vie. Lisbeth habitait un petit village perdu à la campagne comme notre société perdue, elle aussi, dans un petit village campagnard. Reconnaissons que cette situation ne prédispose pas vraiment aux rencontres. J'avais eu l'occasion d'aborder le sujet lors d'une discussion à cœur ouvert que nous avions de temps en temps et j'avais découvert une personne au caractère riche, mais très seule, qui se rabattait sur son travail avec passion, un peu comme moi. Ceci expliquait pourquoi nous avions une vraie complicité dans notre travail. D'ailleurs, lorsque nous travaillons au même bureau, nos bras, nos mains se frôlaient sans que l'un de nous en soit choqué et même, certain jour, un observateur extérieur aurait pu croire que nous recherchions ces contacts tant ils étaient naturels. Pourtant, régulièrement nous déjeunions ensemble et rien ne s'était passé.
Pendant que mon esprit divague me rappelant cette relation pour le moins étrange entre un employé et son employeur, le ciel s'assombrit et les nuages noirs d'un violent orage d'été obscurcissent le bureau. Tout de suite je pense à Lisbeth et son vélo. Je ne sais pas pourquoi, mais je n'ai vraiment pas envie qu'elle subisse cette pluie et je m'en veux de ne pas lui avoir proposé de la ramener en voiture. Je me précipite à ma voiture, je pars à sa recherche sur la petite route qu'elle prend d'habitude. Dans le pinceau des phares je vois la malheureuse inondée par la pluie qui avance péniblement sous les rafales de vent. Arrivé à sa hauteur, courbé sous la pluie, j'ouvre la porte de la voiture, lui intime l'ordre de monter et charge son vélo dans le coffre de mon SUV. Une fois à l'intérieur je me rends compte que j'arrive en sauveur, elle est trempée des pieds à la tête et grelotte de tous ces membres.
L'orage continu de gronder autour de nous alors que nous empruntons le petit chemin qui mène à la charmante maison où elle habite. Je lui demande ses clés et ouvre la porte de la maison pendant qu'elle se précipite à l'intérieur, toujours grelottante. Sans réfléchir en la prenant par la main, je la guide jusqu'à sa salle de bain et commence à lui sécher les cheveux avec une serviette. Bientôt celle-ci étant mouillée je lui demande « où sont les autres serviettes » ? « dans ceee placcaarrd lààà ». Elle tremble encore de tous ses membres, c'est logique elle est trempée. Doucement je lui demande de lever les bras et lui retire son petit top que je jette dans la baignoire et je reprends ma friction sur les épaules. Gênée par le soutien-gorge, je le dégrafe et lui aussi atterri dans la baignoire. Sa poitrine est assez menue, on dirait une adolescente. Elle me regarde avec un petit sourire et me dit « je n'ai jamais été très généreuse de ce côté-là ». Je trouve cela touchant et lui répond par un grand sourire. Sans pouvoir ôter mes yeux de son corps, je lui enlève sa jupe et je sèche les jambes une à une.
A cet instant c'est moi qui tremble et qui ressent un plaisir que je ne connaissais pas depuis longtemps. Doucement mes mains glissent le long de ses jambes vers sa taille puis ses épaules. Elle se laisse faire et même semble éprouvé du plaisir puisque je vois ses lèvres se pincer. Quand ma main arrive à son cou, elle penche la tête et la pose au creux de ma paume avec un soupir de satisfaction. Nos regards se croisent et ne se quittent plus, j'approche mes lèvres de sa bouche et j'attends son baiser qui ne tarde pas. Nos langues se mêlent en une danse profonde et légère, nos mains découvrent l'autre, nos corps se rapprochent et se croisent. Le bonheur jailli sur nous et nous plonge dans un nirvana incontrôlable.
Reprenant sa main, je l'entraine vers sa chambre et son lit. Son corps est splendide, un mètre 60 ou 65, Un visage slave, des cheveux très très blonds, des pommettes hautes, une tein ambrée. Sa peau est douce et soyeuse comme de la plume, ses épaules sont rondes et les bras forment un tout gracieux fait pour enserrés un autre corps. Ma bouche descend vers ses seins menus aux tétons roses, presque translucides. Ma bouche courre sur son corps, mordille les seins et pince ses tétons. Un gémissement sourd sort de sa gorge et mes caresses se font de plus en plus précises. Mes mains caressent ses jambes et remontent vers sa culotte. Une première caresse, un corps qui se cambre, une main qui arrache le peu de tissus qui la recouvrait et je découvre son sexe qui s'offre et qui demande de l'amour. La toison peu fournit est blonde et ses lèvres sont rouges, gonflées de désir. Je l'embrasse avec volupté et entrouvre son sexe. Immédiatement un clitoris d'une taille et d'une longueur inhabituelle jaillie. Il est tendu et mesure trois à quatre centimètres. Aussitôt mes lèvres s'en emparent et se mettent à le caresser, le sucer, le mordiller. Chacun de ces attouchements lui font pousser un gémissement de bonheur. Quand l'orgasme n'est pas loin, ma bouche va à son puits d'amour et ma langue pénètre son vagin, sa liqueur au goût de yaourt un peu salé coule dans ma gorge et je continue mon va et viens pendant que mes doigts tournent autour de son clitoris. La violence de son orgasme est impressionnante. Dans un sursaut, son corps se cambre et ses jambes se resserrent emprisonnant ma tête entre ses cuisses pendant qu'un feulement sort de sa gorge. Puis tout ce calme.
Ses mains viennent caresser mes cheveux et me tirent vers sa bouche où de nouveau nos langues se mêlent. Maintenant, ce sont ses mains qui courent sur mon corps essayant de découvrir ma peau. Un à un les boutons sautent et je me retrouve en sous-vêtement. Elle est partout, sa bouche grappille de petits baisers sur mon ventre, sur mon sexe, sur mes jambes, puis ses mains arrachent les derniers vêtements qui me couvrent et ma poitrine apparaît au grand jour ainsi que mon sexe aux lèvres complètement épilées.
Dans son bureau, ma secrétaire avait poussé la climatisation à fond et malgré sa tenue légère transpirait comme une fontaine. Dommage pour une aussi jolie fille de 32 ans. D'ailleurs il était l'heure et cette sportive allait, comme tous les jours, repartir chez elle à vélo soit 15 km en pleine campagne. « Rien de tel pour vous changer les idées » me disait-elle régulièrement.
Comme tous les soirs avant de partir, Lisbeth vint faire un dernier tour dans mon bureau pour voir s'il ne me fallait pas un dernier dossier, envoyer un mail ou autre. « A demain ». Je regardais son corps splendide, sa démarche si souple, la douceur et la grâce féminine qui émanait de tout son être et je me suis demandée pourquoi il n'y avait personne dans sa vie. Lisbeth habitait un petit village perdu à la campagne comme notre société perdue, elle aussi, dans un petit village campagnard. Reconnaissons que cette situation ne prédispose pas vraiment aux rencontres. J'avais eu l'occasion d'aborder le sujet lors d'une discussion à cœur ouvert que nous avions de temps en temps et j'avais découvert une personne au caractère riche, mais très seule, qui se rabattait sur son travail avec passion, un peu comme moi. Ceci expliquait pourquoi nous avions une vraie complicité dans notre travail. D'ailleurs, lorsque nous travaillons au même bureau, nos bras, nos mains se frôlaient sans que l'un de nous en soit choqué et même, certain jour, un observateur extérieur aurait pu croire que nous recherchions ces contacts tant ils étaient naturels. Pourtant, régulièrement nous déjeunions ensemble et rien ne s'était passé.
Pendant que mon esprit divague me rappelant cette relation pour le moins étrange entre un employé et son employeur, le ciel s'assombrit et les nuages noirs d'un violent orage d'été obscurcissent le bureau. Tout de suite je pense à Lisbeth et son vélo. Je ne sais pas pourquoi, mais je n'ai vraiment pas envie qu'elle subisse cette pluie et je m'en veux de ne pas lui avoir proposé de la ramener en voiture. Je me précipite à ma voiture, je pars à sa recherche sur la petite route qu'elle prend d'habitude. Dans le pinceau des phares je vois la malheureuse inondée par la pluie qui avance péniblement sous les rafales de vent. Arrivé à sa hauteur, courbé sous la pluie, j'ouvre la porte de la voiture, lui intime l'ordre de monter et charge son vélo dans le coffre de mon SUV. Une fois à l'intérieur je me rends compte que j'arrive en sauveur, elle est trempée des pieds à la tête et grelotte de tous ces membres.
L'orage continu de gronder autour de nous alors que nous empruntons le petit chemin qui mène à la charmante maison où elle habite. Je lui demande ses clés et ouvre la porte de la maison pendant qu'elle se précipite à l'intérieur, toujours grelottante. Sans réfléchir en la prenant par la main, je la guide jusqu'à sa salle de bain et commence à lui sécher les cheveux avec une serviette. Bientôt celle-ci étant mouillée je lui demande « où sont les autres serviettes » ? « dans ceee placcaarrd lààà ». Elle tremble encore de tous ses membres, c'est logique elle est trempée. Doucement je lui demande de lever les bras et lui retire son petit top que je jette dans la baignoire et je reprends ma friction sur les épaules. Gênée par le soutien-gorge, je le dégrafe et lui aussi atterri dans la baignoire. Sa poitrine est assez menue, on dirait une adolescente. Elle me regarde avec un petit sourire et me dit « je n'ai jamais été très généreuse de ce côté-là ». Je trouve cela touchant et lui répond par un grand sourire. Sans pouvoir ôter mes yeux de son corps, je lui enlève sa jupe et je sèche les jambes une à une.
A cet instant c'est moi qui tremble et qui ressent un plaisir que je ne connaissais pas depuis longtemps. Doucement mes mains glissent le long de ses jambes vers sa taille puis ses épaules. Elle se laisse faire et même semble éprouvé du plaisir puisque je vois ses lèvres se pincer. Quand ma main arrive à son cou, elle penche la tête et la pose au creux de ma paume avec un soupir de satisfaction. Nos regards se croisent et ne se quittent plus, j'approche mes lèvres de sa bouche et j'attends son baiser qui ne tarde pas. Nos langues se mêlent en une danse profonde et légère, nos mains découvrent l'autre, nos corps se rapprochent et se croisent. Le bonheur jailli sur nous et nous plonge dans un nirvana incontrôlable.
Reprenant sa main, je l'entraine vers sa chambre et son lit. Son corps est splendide, un mètre 60 ou 65, Un visage slave, des cheveux très très blonds, des pommettes hautes, une tein ambrée. Sa peau est douce et soyeuse comme de la plume, ses épaules sont rondes et les bras forment un tout gracieux fait pour enserrés un autre corps. Ma bouche descend vers ses seins menus aux tétons roses, presque translucides. Ma bouche courre sur son corps, mordille les seins et pince ses tétons. Un gémissement sourd sort de sa gorge et mes caresses se font de plus en plus précises. Mes mains caressent ses jambes et remontent vers sa culotte. Une première caresse, un corps qui se cambre, une main qui arrache le peu de tissus qui la recouvrait et je découvre son sexe qui s'offre et qui demande de l'amour. La toison peu fournit est blonde et ses lèvres sont rouges, gonflées de désir. Je l'embrasse avec volupté et entrouvre son sexe. Immédiatement un clitoris d'une taille et d'une longueur inhabituelle jaillie. Il est tendu et mesure trois à quatre centimètres. Aussitôt mes lèvres s'en emparent et se mettent à le caresser, le sucer, le mordiller. Chacun de ces attouchements lui font pousser un gémissement de bonheur. Quand l'orgasme n'est pas loin, ma bouche va à son puits d'amour et ma langue pénètre son vagin, sa liqueur au goût de yaourt un peu salé coule dans ma gorge et je continue mon va et viens pendant que mes doigts tournent autour de son clitoris. La violence de son orgasme est impressionnante. Dans un sursaut, son corps se cambre et ses jambes se resserrent emprisonnant ma tête entre ses cuisses pendant qu'un feulement sort de sa gorge. Puis tout ce calme.
Ses mains viennent caresser mes cheveux et me tirent vers sa bouche où de nouveau nos langues se mêlent. Maintenant, ce sont ses mains qui courent sur mon corps essayant de découvrir ma peau. Un à un les boutons sautent et je me retrouve en sous-vêtement. Elle est partout, sa bouche grappille de petits baisers sur mon ventre, sur mon sexe, sur mes jambes, puis ses mains arrachent les derniers vêtements qui me couvrent et ma poitrine apparaît au grand jour ainsi que mon sexe aux lèvres complètement épilées.
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