La banquière - suite - histoire érotique

Une semaine s'est passée depuis mon entrevue avec ma banquière. Je me rends donc à ce nouveau rendez-vous en espérant qu'il sera aussi agréable que le premier.
Comme prévu elle me reçoit juste avant la fermeture. Elle va droit au but :« _Déshabille toi vite j'ai envie de toi ! Tu es mon meilleur client.
_ Oui madame ! Je m’exécute promptement j’espérais bien reprendre là où on en était restés.
Elle a l'air toute excitée cette fois ci elle se met à poil immédiatement.
_ Bien comme toute bonne banquière il faut que je vérifie les cours des bourses.
Elle me palpe alors les testicules, ce geste plus la vision d'une telle beauté nue mon érection ne se fait pas attendre.
_ Parfait les actions sont en hausses me dit elle en me masturbant légèrement.
_ Oh oui madame et ça risque de grimper encore !
_ J'espère bien j'ai investi sur toi tu sais. Tu as maintenant droit d'embrasser ta maîtresse et de jouer avec ses seins sans demander c'est un grand privilège que je t'accorde.
Je saisis la balle au bond et l'embrasse aussitôt nos langues se mélangent dans un désir réciproque tandis que mes mains caressent ses incroyables seins.
Quand après ce long baiser passionné nous reprenons note souffle, elle me fait signe de regarder sur son bureau. Là 3 godes de taille différente sont alignés. Je suis derrière elle mes doigts jouant avec ses seins et ma bite lui chatouillant doucement la raie des fesses. Elle devine mon regard interrogateur et me dit :_ C 'est pour toi tu vas m'enculer mais avant je vais te sodomiser avec le gode qui se rapproche le plus de la taille de ton sexe.
Soudainement j'ai moins envie de la prendre par derrière et je commence à regretter d'avoir un gros sexe même si je vois également un tube de lubrifiant sur le bureau.

Nous sommes nus face à la porte quand celle ci s'ouvre !
La femme de ménage vient d'entrer ! Il se trouve en plus que c'est ma voisine Madot, la cinquantaine, veuve depuis 10 ans et seule depuis tout ce temps.
_ Eh bien on s'amuse bien on dirait dit-elle. Stéphane c'est toi ?
_ Oui chère voisine je lui réponds les mains cachant mon intimité.
_ Et vous couchez avec vos client Madame ! Ca ne doit pas être autorisé !
_ D'accord que dois je faire pour que vous fermiez les yeux ? Lui demande ma banquière à la fois honteuse et en colère.
_ Je préférerais les garder ouverts ça a l'air intéressant à regarder. Stéphane enlève tes mains.
Je m’exécute je ne veux pas qu'elle dise ce qu'elle a vu.
Intéressant dit elle en me branlant . Stéphane pour toi c'est facile tu me rejoins dans ma chambre trois fois par semaine pendant un mois j'ai 10 ans à rattraper.
Quand à vous Madame laissez la porte ouverte quand vous avez des entretiens dans votre bureau le soir. Je me joindrai à vous on commence tout de suite s’il ne devait pas y avoir de prochaine fois.
Déshabillez moi tous les deux.

Ma banquière semble plus réticente que moi elle n'est plus la maîtresse du jeu mais nous nous éxécutons elle enlève la blouse de ma voisine puis j'enlève le haut et la banquière lui enlève le bas.
Madot n'st pas spécialement jolie mais pas laide non plus. Sa poitrine assez généreuse commence à tomber et ses poils pubiens grisonnants forment une grosse touffe qui cache son intimité.
_ Je n'ai jamais couché avec une femme dit Madot.
_ Moi non plus dit mal à l'aise la banquière qui pense que ça va mal tourner.
_ Et toi Stéphane déjà fait l'amour à 3 ou avec une cougar ?
_ Non plus j'avoue.
_ Et bien c'est la soirée des premières. Embrassons nous !
J'embrasse ma banquière avec encore plus de passion elle me rend et le prend comme un encouragement. Puis les deux femmes s'embrassent ça ne m'excite même pas je sens l'angoisse chez ma banquière que je commence à fortement appréciée.
Puis c'est mon tour je ferme les yeux et ouvre la bouche Madot embrasse bien ce n'est pas un baiser d'amoureux mais ce n'est pas désagréable.
_ Bien continuons les préliminaires ! Visiblement ma voisine prend les chose en main.
Elle se penche et me suce le gland mmm c'est maladroit mais agréable. On voit qu'elle n'a pas l'habitude de faire des gâteries mais elle a l'air d'aimer ce qu'elle fait. Puis une deuxième langue plus experte se joint à elle. Mon dieu je me fais sucer par deux femmes.
Elles trouvent leur marque Madot me branle vigoureusement et ma banquière me suce le gland.
Je suis au bord de l'explosion ma voisine prend alors seule ma bite dans sa bouche et enfourne tout pour recueillir tout mon sperme.
_ Reprends des forces dit elle, on va s'occuper entre filles maintenant.
Mes deux nouvelles maîtresses s'allongent ensuite sur le sol et cherchent à se stimuler en 69. Ca prend du temps c'est nouveau pour toutes les deux et même dégoûtant pour l'une d'entre elles.
Un premier râle de plaisir de la part de ma banquière, Madot qui est sur elle a trouvé comment s'y prendre avec sa langue qui jongle habilement entre le clitoris et les lèvres vaginales. L'excitation ressentie libère enfin ma jolie employée de banque qui glisse ses doigts dans l'intimité de ma voisine qui elle aussi se met à hurler de plaisir.
Cette fois ci le spectacle m'excite.
_ Elle est prête je te laisse la place.
Je m'allonge à mon tour sur ma banquière pour un missionnaire torride. Elle serre ses jambes autour de moi et me demande de la baiser très fort.Pendant que j'effectue des va et vient de plus en plus rapides, Madot examine les godes sur la table.
_ Retourne là me commande- t-elle.
Je m’exécute je suis sur le dos ma belle banquière est collée sur moi ses seins gonflés de plaisir blottis contre moi. Nous ne sommes plus loin de l'orgasme quand ma voisine décide de sodomiser ma belle amante avec le gode qui m'étais destiné.
Sous cette double pénétration des cris de plaisir et de douleurs mêlés retentissent dans toute la banque. Je jouis en elle au plus haut sommet de son orgasme.
Nous sommes tous deux en sueur et nous nous embrassons tendrement.
_ Les amoureux crie ma voisine décollez vous j'ai le ménage à faire ici. Stéphane garde des forces pour moi quand je rentrerai du boulot dans 3 heures.

Quelle semaine j'ai résolu mes problèmes bancaires et j'ai gagné deux maîtresses!