La belle parisienne mature: le fantasme se réalise 10 ans après

- Par l'auteur HDS Geronimo79 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : La belle parisienne mature: le fantasme se réalise 10 ans après Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La belle parisienne mature: le fantasme se réalise 10 ans après
Mais qui est-ce ? D'où vient-elle ? Que vient-elle faire dans un trou perdu comme celui-là.

Je suis en plein dans le début de l’adolescence, cette magnifique femme déboule dans mon village avec son mari, son coupé sport et son chien. Elle arrive de la région parisienne, ils viennent d’acheter une résidence secondaire à la campagne.

Elle, que l'on nommera Muriel, a une bonne quarantaine d’années, une chevelure blonde magnifique, un très joli visage et son corps : bon sang quel corps ! Une poitrine que j'avais toujours pensé refaite tellement elle se portait bien, pourtant un beau 90C et une superbe paire de fesse, elle était très bien proportionnée avec des rondeurs juste où il faut en bref : LE FANTASME de la femme mûre de l'adolescent qui a les hormones qui commencent à le travailler sérieusement.

Nous jouiions tout le temps dans la rue avec mon ami d’enfance, surtout l’été. Muriel sortait souvent pour promener son chien, ce qui offrait de magnifiques occasions pour pouvoir la reluquer, qu’est-ce qu’elle était belle, classe et surtout terriblement bandante.

Puis m’est venu l’idée de faire quelques tours de vélo devant chez elle pour essayer de la voire un peu plus souvent car Muriel occupait pas mal mon esprit de jeune puceau en rut... En passant devant le portail ajouré on pouvait entrevoir l'intérieur de la cour. Et là, WAOUH, j'ai eu l'impression de voir une sirène, mon cœur s'est mis à taper dans ma poitrine, j'ai eu l'impression que mon sang me glaçait les veines, elle était là, en train de bronzer sur un bain de soleil avec comme seul vêtement, le bas de maillot de bain ! L “objet “ de mes rêves et de mes fantasmes était là juste devant moi presque nue !!Quelle scène, du haut de mes tout juste 13-14 ans, je ne savais plus quoi faire, faire demi-tour et repasser devant, c’était ce que je voulais mais j'avais en même temps cette boule au ventre qui venait d'apparaitre en une fraction de seconde. J’étais en trans, c’était la première fois que je voyais une femme quasi nue, je me souviens de ce moment comme si c’était hier. Finalement je suis repassé dans l'autre sens à toute vitesse sans même oser regarder, tellement j’étais gêné. J'ai prétexté à mon copain (qui lui n'en avait rien à faire de Muriel) que je devais rentrer, et j'ai foncé dans ma chambre pour une séance de masturbation terrible avec enfin de vraies images en tête, pas des photos de magasines. Ce fût divin !!!

Les jours suivants, je passais et repassais de nombreuses fois et de moins en moins vite pour pouvoir profiter de ce spectacle le plus longtemps possible, à chaque fois s'en suivait un retour manu militari dans la chambre pour une séance de branlette en revoyant le corps de Muriel étendu sur le transat, j'imaginais tellement de choses....

Ce petit manège a duré 2 ou 3 étés quand Muriel venait passait ses vacances en province. Elle a été l'objet de mes fantasmes pendant de longues années, je grandissais et la désirai plus que tout, c ‘est la première femme dont j'avais eu envie. Les séances de masturbations à imaginer faire l'amour à Muriel se comptaient par centaines pendant ces quelques années, en quelque sorte c’était ma muse. Mais tout ça n’était que dans ma tête, jamais il ne s’était passé quoi que ce soit avec Muriel, rien de plus que des “bonjour”, “bonsoir”, “ça va”....

Puis les années ont passées, j'ai commencé à rencontrer des filles de mon âge, je suis parti pour les études, j'ai eu mon permis, mon premier appart donc je ne voyais plus Muriel, je l apercevais quelque fois au loin en passant chez mes parents mais rien de plus. Malgré tout chaque fois que je rentrais au village, sans exception, je jeter toujours un coup d’œil en direction de chez elle en espérant quand même la voir, toujours avec une petite pointe d’excitation.

Quelques années plus tard, alors que j'avais 23ans, il y avait une fête au village à laquelle tous les habitants étaient conviés, tout le monde se connaissait et toutes les générations étaient mélangées. C’était des supers soirées avec une très bonne ambiance, un cochon à l a broche et pas mal de punch et rosé pour la soif, c’était en plein été.

Ce soir-là, j'ai vu Muriel arrivait seule (elle s’était séparée de son mari), elle portait une robe noire, légèrement moulante qui la mettait en valeur, et des chaussures avec des petit talons ouvertes à l'arrière. Je l’avais vu pour la première fois 10 ans avant, elle avait certes un petit peu vieilli mais je crois que je la trouvais encore plus désirable ce soir là, elle était sublime, tous les hommes la regardaient, discrètement bien sûr. Elle plaisait, elle avait tout pour elle, car en plus de sa plastique, Muriel était joviale et agréable. Cette soirée se déroula sous les meilleurs hospices, bonne ambiance, franche rigolade, musique, danse et alcool, et rinçage d’œil pour ma part à regarder discrètement Muriel. À un moment avancé de la soirée je m’absente chez mes parents quelques minutes pour je ne sais plus quelle raison puis ressors pour revenir à la fête qui se déroule sur la place du village. En arrivant dans la rue, je vois Muriel passer devant moi dans la pénombre, je stoppe le pas afin de la détailler un peu plus sans qu’elle ne me voie. Elle est toujours aussi attirante, surtout avec cette robe moulante. Tout à coup, Muriel ayant un peu abusé du punch ou du rosé, trébuche et s’écroule par terre à quelques mètres de moi, Muriel d’un côté, les chaussures de l ‘autre, la situation est plutôt cocasse.Je me précipite pour l’aider à la relever, je lui demande si ça va, elle me répond qu’elle a mal à la main. Nous sommes dans une semi pénombre, je me penche pour la saisir, je passe mes bras autour de son corps pour la soulever, et là en la saisissant ma main se pose sur son sein involontairement. A l‘instant où je sens qu’elle n'a pas de soutien-gorge, c'est comme si mon corps avait pris une décharge électrique, j’étais comme un dingue, J'ai ressenti la même sensation que 10 ans auparavant quand j’avais aperçu Muriel en topless. Je sens son sein ferme dans ma main avec son tetton dur, j'avais pourtant observé Muriel avec attention toute la soirée, je n'avais pas remarqué qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. A cet instant je suis comme un fou, mais je relève Muriel afin de la raccompagner chez elle vu son état. Tout le long du trajet je sens son corps bouger sous la fine robe, le contact de son corps me donne des frissons. 10 ans qu’elle m'attire et là, j'ai un de ses seins dans ma main, et son creux des reins dans l'autre. Je n’en reviens pas...Malheureusement, à ce moment-là une autre voisine passe par là et vient m’aider à raccompagner Muriel, intérieurement je peste mais continue de faire bonne mine.

Nous arrivons chez elle, Muriel se met face à l’évier de la cuisine et la seconde voisine l’aide afin de nettoyer les blessures de la main, moi je reste derrière Muriel pour l'aider à garder l’équilibre, enfin c est-ce que je prétexte ! Moi aussi l’alcool m’enivre un peu, alors à cet instant je ne me pose plus trop de question et me dit qu’il faut que j'essaie de tirer profit de ce moment. C ‘est alors que je commence à passer ma main dans son dos et la fait glisser délicatement jusque sur ses fesses, je sens sous la fine robe les coutures de son string, deuxième décharge électrique, je bande comme un dingue. Elle n’eut aucune réaction, peut être pensé elle que ce n’était pas volontaire (Muriel m’a avoué plus tard ne pas s’en souvenir). J’étais dans un état second, l’interdit de la situation rendait le moment encore plus excitant. Tout à coup l’autre voisine stoppe ce moment en disant à Muriel que sa plaie est propre et que nous allons la laisser pour qu’elle aille se coucher : je suis frustré que ce moment s’arrête ainsi, j'avais imaginé tellement de choses avant que cette voisine n’arrive, j espérai qu’elle ait besoin d'aide pour se déshabiller et se coucher et que je pourrai enfin la voire nue, et bien non Je me suis dit qu’un tel moment ne se reproduirait probablement jamais, même si il n’était pas très correct de profiter de l’ivresse de Muriel.

Nous saluons Muriel et sortons de la maison, une fois dans la rue, un volet était ouvert et on pouvait distinguer l'intérieur de la pièce car la lumière était allumée. Quelle ne fût pas ma surprise de voir Muriel assise sur les toilettes, la robe relevée, le string aux chevilles, en train de se soulager la vessie, après le profiteur, je jouais les voyeurs et je trouvais ça terriblement excitant, j'adore voir une femme uriner. Une fois de plus cette satané voisine me coupe mon moment de bonheur, elle me tapote l’épaule et me dit allé ne reste pas là ce n’est pas de ton âge (oh j'ai 23 ans quand même) Et voilà c'est ainsi que s’est terminé cette soirée si riche en émotion pour moi. Aujourd’hui, bientôt 15 ans après je me souviens de cette soirée comme si c’était hier, j'ai encore la sensation de cette robe sous mes mains et toutes les images sont intactes dans ma tête. Elles m’ont permis et me permettent encore d'ailleurs de délicieuses séances de masturbation.



Je n'ai pas revu ni aperçu Muriel pendant deux années mais je n'ai jamais oublié cette soirée. Deux ans plus tard, une nouvelle fête de village était organisée, j’avais un peu muri et je m'y suis rendu avec en tête essayer de me rapprocher de Muriel. Comme deux ans auparavant ce fût une belle soirée, bien arrosée, ce qui m'a sûrement donné un peu de courage. Nous avons bu l'apéro debout puis je l ‘observais de loin du coin de l’œil, elle portait un petit t shirt marine et un pantalon léger blanc. Après deux heures d’apéro, les gens commençaient à aller s ‘asseoir à table pour aller manger, j'observais Muriel pour pouvoir la suivre et pouvoir me mettre proche d’elle à la table. C’était des tablées de 30 personnes et comme nous nous connaissions tous il allait donc être facile de m'asseoir pas très loin d'elle en prétextant me mettre à côté d’untel ou untel. Quelques minutes plus tard, je me retrouvais à sa table elle d’un côté moi de l'autre, à deux places d'intervalle nous étions donc en diagonal, nous avons ris tous ensemble tout au long du repas et je n'ai pas arrêté de la fixer du regard. Elle s'en est rendu compte et à commencer à me regarder aussi et à me sourire discrètement .A ce moment-là je ne savais pas encore ou cela me mènera mais j’étais sûr qu’elle avait compris qu’elle m’attirait et a priori elle ne le prenait pas mal, elle aurait pu être choquée, elle avait 59 ans et moi 25.

Le petit jeu des regards a continué toute la soirée, puis, la soirée passant, les places à table ont changées et Muriel à fini la soirée en face moi. Nous avons donc commencé à discuter un peu elle m'a dit que je la faisais rire car je n'arrêtais pas de la regarder. Encore une fois le rosé et la gnole de fin de repas me donner des ailes pour lui faire du rentre dedans, je lui ai répondu que c'est pacque je la trouvais belle. Contrairement à deux ans avant Muriel était restée raisonnable sur la boisson et donc avait conscience de ce qu’il se passait. Tard dans la nuit, vers 4-5 h, les organisateurs mettaient fin aux festivités, nous n'étions plus beaucoup (5 ou 6 de mémoire), Muriel nous invita à finir la soirée chez elle. Je me retrouvais donc avec Muriel et 3 ou 4 quingénaire du village. Fruit du hasard ou placement calculé par notre hôte, je me retrouve assis dans le canapé à coté de Muriel. Nous buvons quelques verres, en racontant des histoires et rigolant, mais je n’oubliais pas qu’elle était là, à côté de moi, celle que j'avais tripoté et observé il y a 2 ans dans cette même pièce. En étant le plus discret possible, et en prenant mon courage à deuxmain car je ne savais pas comment elle réagirai, j'ai commencé à caresser sa cuisse avec mon petit doigt, je ne pouvais pas faire plus au risque d’être découvert. J’avais la boule au ventre, comment va-t-elle réagir : m’engueler, faire comme si de rien était, et bien non, pour mon plus grand bonheur elle me rendait mes caresses sans même me regarder et sans rien laisser paraitre, j’étais aux anges !

La soirée en resta là car tout le monde parti se coucher et Muriel hébergeait une amie à elle ce soir-là, il n’était donc pas question de rester.

Je rentrai chez mes parents frustré que tout s'arrête ainsi mais heureux de ce qui venait de se passer, elle me rendait mes caresses ce qui voulait dire qu’elle n’était pas contre un rapprochement, je me sentais à l’étroit dans mon jean. Aussitôt rentré je me suis adonné à mon plaisir préféré, me branler en pensant à Muriel, cette fois ci, il y avait eu vrai échange, elle se rendait compte de ce qu’il se passait et était donc “consentante", c'était” fou, je me rapprochais tout doucement de ce que j'avais toujours fantasmé mais me semblait impossible, faire l’amour à Muriel ! Ma jouissance arriva en quelques secondes. Le lendemain, le dimanche, je lui ai envoyé un message via un réseau social , nous avons échangé quelques messages, nous avons parlé de ce qui s’était passé et très rapidement Muriel m’invita à lui rendre visite en région parisienne la semaine suivante. Je ne réfléchis pas 1 seconde et accepta. De mémoire, l’invitation était pour le jeudi suivant, les quelques jours qui me séparaient du jour J me parurent interminable, un nombre incalculable de scénarios sur comment se déroulerait la soirée m'avait traversé l’esprit.

J'avais déjà bien sûr déjà eu des relations avec des filles, et 3 “ longues ”histoires et pourtant je crois que je n'avais jamais autant ressenti de stress les fois d’avant, il n’était pourtant pas question d'essayer d'avoir une quelconque histoire mais bien de juste prendre du plaisir mutuellement.

Le jeudi soir, je quittais le travail et me dépêchai de rentrer chez moi prendre une douche, je préparais quelques affaires dans un sac, ne sait-on jamais, j'ai 2h de route donc si on termine la soirée tard, je vais prendre de quoi rester dormir (j'y comptais bien). 18h je m’engage sur l’autoroute, le sourire jusqu’aux oreilles, voilà que j'ai l'impression d'être un gamin de 5 ans à 2 h de Noël pour déballer mes cadeaux : oui je vois Muriel comme un cadeau, tant d ‘années que je la désire secrètement en me disant que de toute façon ce serait impossible. Eh bien oui ce soir c’est Noël et mon cadeau tant attendu est sous le sapin !

La route me parut longue mais à la fois je voulais que ce moment seul dans la voiture ne s’arrête pas j’étais dans mes pensées, joyeux, excité et surtout stressé : comment cela va-t-il se passer, première fois que nous allons vraiment discuter ensemble, se retrouver que tous les deux, comment aborde-t-elle la chose avec nos 35 ans d’écart, ne vais-je pas passer pour un gamin qui ne connait pas grand-chose de la vie face à cette femme qui doit avoir un passé riche en rencontres vue sa beauté. Plus les kilomètres qui me séparaient de chez Muriel diminués plus ma boule au ventre augmentait.

Voilà que je quitte le périphe, je ne suis plus qu’à quelques centaines de mètres de ma destination.J’ appelle Muriel lui disant que je serais là dans 2 min, elle me dit qu’elle descend au-devant de moi.

Je me gare et la vois arriver avec sa petite jupe.J ai le cœur qui tape à une vitesse folle, allez hop je me lance je sors de la voiture et vais à sa rencontre Elle a un grand sourire et rit légèrement en arrivant à ma hauteur. Je lui fais la bise et nous discutons 2 min de banalités le temps que sa chienne face ses besoins. Je ne sais pas trop quoi dire, je suis un peu gêné. Muriel crève l ‘abcès tout de suite en me demandant si je n'ai pas pris d'affaires pour rester ce soir car j'avais laissé mon sac dans le coffre : parfait, en gros c'est une proposition à passer la nuit-là. Me voilà rassuré sur ces intentions et ça me libère quelque peu.

Elle m'invite à la suivre jusqu’à son appart, nous montons quelques étages et nous voilà arriver. Tout le long du trajet, je n'ai pas arrêté de mater son délicieux petit cul. Elle me fait visiter son appart, je me souviens de la disposition des pièces comme si j y étais allé hier. Elle me propose de m'installer autour de la table, nous débouchons la bouteille de champagne que j'avais apporté et nous trinquons, nous parlons de choses et d'autres. Muriel me met très à l’aise, tout se passe très bien, je me lance donc et lui avoue qu’elle est mon fantasme depuis des années elle ne me croît pas. Je lui raconte les tours en vélo devant chez elle quand j’étais adolescents, je lui raconte ce qu’il s'est passé 2 ans avant lors de la fête quand elle était éméchée.elle n'en revient pas .Nous discutons comme deux amis , c’est fluide mais j'ai tout de même en tête la suite. Nous terminons l’apéro et Muriel me sert le repas qu’elle avait préparé, elle avait fait les choses bien. Elle est à côté de moi sur la table ronde, j'observe ses jambes à chaque fois qu’elle se lève, elle porte un pull mais on devine bien sa belle poitrine en dessous, je l’observe attentivement. Pendant le repas elle se rend compte que je l’observe, elle est joueuse et écarte un peu plus les jambes que je puisse me rincer l’œil, je commence à bander comme un fou, je me jette à l'eau et pose ma main sur sa cuisse que je caresse délicatement. Elle à la peau douce, ma main reste sur sa cuisse pour le moment mais j'aperçois son string en dentelle noire, elle écarte maintenant largement les jambes. Je lui demande d’enlever son pull car j'ai très envie de voir ses seins, elle s’exécute aussitôt, elle porte un soutien-gorge noir en dentelle assorti au string et légèrement transparent, je devine ses tettons... quel moment Muriel est assise face à moi, la jupe relevée sur les hanches les jambes écartées me laissant totalement voir son string et en soutif transparent, elle me regarde et me souris, c’est surréaliste. Je n'en reviens pas mais en profite à fond, je lui demande si je peux prendre quelques phots car je la trouve extrêmement désirable, elle me dit qu’il n'y a pas de soucis tant qu’elles ne seront jamais divulguées, elle joue le jeu. Je n'en peux déjà plus, ma queue va exploser dans mon boxer. Muriel me suggère que nous finissions le dessert afin que nous puissions aller nous installer dans le canapé ensuite, je ne mis pas longtemps à avaler le dessert et un petit café. Je lui donne un coup de main à débarrasser, la cuisine n’est pas très large, j'en profite à chaque fois qu’on se croise pour soit lui caresser les fesses par-dessus la jupe soit un sein, soit le creux des reins. Le temps qu'elle fasse la vaisselle, je me colle derrière elle, j'appuie fort pour qu’elle sente ma queue appuyer sur son cul, et je lui tripote les seins, elle ne me repousse pas. Elle termine la vaisselle, nous fumons une clope et allons-nous poser dans le canapé avec le reste de la bouteille de champagne, je suis surexcité. A peine dans le canapé je me jette sur elle. Nous nous embrassons et je commence à lui retirer sa jupe et son pull. Muriel est en sous vêtement et à l'assaut de mes caresses. Elle me dit d’y aller doucement, que l’on a le temps. Je crois qu’elle n'a pas conscience de l’état dans lequel elle me met. Muriel me retire mon pull et mon pantalon, elle me dit qu’elle va s’occuper de moi. Elle me caresse la queue par-dessus le boxer, j'ai une trique de fou, elle baisse mon boxer et continue de me caresser. Je sors ses seins du soutif, je les caresses, ils sont comme je l’imaginais bien ferme malgré ses presque 60 ans et surtout bien naturel .Je lui caresse ses petits tettons, ils ne tardent pas à durcir, je les lèche, que c'est bon. “Muriel tu es encore plus bandante que dans mes rêves”, elle éclate de rire et me remercie. Je ne sais pas si c est ce compliment qui lui a fait de l’effet mais elle descend tout de suite à ma queue, elle me décalotte le gland et commence à me donner des petits coups de langues dessus tout en me malaxant les couilles, pas de doute, elle sait y faire, ce n ‘est pas les gamines de 20ans que j'ai connues jusque-là, cela dure quelques minutes, de son autre main elle me caresse le torse. Elle me prend enfin complètement dans sa bouche, elle joue avec sa langue et fais de va et vient tout doucement, je suis dans un état second tellement c’est bon. Tout à coup Muriel s’arrête et me dit "on t’a déjà fait une pipe au champage ?” je lui répond que non. “Alors je vais te montrer” me dit-elle. Elle se relève, attrape la flûte de champagne en prend une gorgée qu’elle n’avale pas et revient mettre ma queue en bouche Elle me suce en même temps qu’elle a du champagne dans la bouche.La sensation des fines bulles sur la queue est étrange mais très agréable, je ne vais pas mettre longtemps à partir, je la préviens elle accélère alors ça pipe, puis retire sa bouche et se met à me branler avec frénésie, elle veut que je lui jute sur les seins.Elle continue de me branler et quand elle voit que je suis sur le point de jouir elle me dit de tout lui cracher dessus et elle se rapproche. La sauce part en saccade avec force (15 ans que tu m’excites forcément c’est puissant lol) et tout atterri sur ses seins, elle parait en trans, elle gémit et se caresse les seins et étale mon sperme sur tout son ventre et ses seins. La vision de Muriel en train de s'étaler mon sperme partout me rend dingue, après la pipe j’étais déjà au 7ème ciel mais là, c’est le pompon.

Je lui saute dessus, lui dégrafe son soutif, lui retire son string et la plaque sur le canapé, je l'embrasse fougueusement, lui dévore les seins qui sont encore poisseux de mon sperme et descend jusqu’à sa chatte. Pas un poil, j’adore, elle s’entretient la coquine…je commence à lui lécher la chatte, j'ouvre légèrement les lèvres titille son clito du bout de ma langue. “tu m'as bien fait jouir, c’est à mon tour maintenant”. Je lui bouffe la chatte, elle sent bon, hmmm j'adore son jus.... Je m ‘y active avec cœur, Muriel à des spasmes, émet des petits gémissements, plus ça va plus j accélère mes coups de langue, les spasmes s’intensifient, elle ne gémit plus et tout à coup elle explose, elle tremble et se raidit et respire comme si elle était à l'arrivée d’un marathon. Je suis content, elle vient de jouir sous mes coups de langue…Elle revient à elle se redresse, me prends dans ses bras et m ‘embrasse....je suis sur un nuage.

Nous avons tous les 2 jouis alors je prends le temps, je la caresse avec délicatesse et tendresse et je l’observe, elle est totalement nue, c'est la première fois que je la vois comme cela. Purée qu’est-ce qu’elle est bien foutue pour son âge. Je l’allonge sur le ventre pour enfin découvrir son cul, j’adore, je lui pelotte les fesses et les embrasses, je remonte le long de sa colonne pour aller jusqu' à son cou. Je m’allonge sur son dos, je sens sons cul contre moi, ma queue reprend de la vigueur, la soirée n’est pas finie...

Muriel me dit qu’elle doit s’absenter quelques minutes pour se soulager la vessie, (j'ai comme un flash, la vision de ce que j'avais observé par la fenêtre il y a 2ans).je lui demande si je peux l’accompagner, elle est surprise par ma demande mais accepte (j'adore elle n'a pas de tabou). Elle enfile une nuisette transparente et se dirige vers les toilettes, elle s'assoit face à moi sur les toilettes. Je la regarde droit dans les yeux. Elle commence à se soulager. Je dégaine mon appareil photo et fais quelques photos de Muriel sur les toilettes en train de pisser, on voit le jet d’urine s’écouler de sa belle chatte, c'est magnifique. Elle en rigole et me dit que je suis fou. J’étais redevenu bien raide du fait de la voir pisser.Nous sommes retournés sur le canapé et elle m a à nouveau sucé, mois assis sur le canapé et elle à genou devant moi…elle m'a sucé un long moment, “bon sang on ne m'a jamais sucé comme ça “me disais- je. La sève arrivait enfin je me tordais dans tous les sens tellement j'avais la sensation qu'elle m aspirait tout le corps, je la préviens que je vais venir.je m'attendais à ce qu’elle se retire et me finisse à la main mais non elle accélère sa pipe et me garde en bouche.Je lui ai tout cracher dans la bouche, elle me regardait dans les yeux, je la i vu déglutir, elle avait tout avalé, elle n’en n’avait pas laissé une goutte. Jamais mes copines n avaient avaler.... Je restais bouche bée : Muriel mon fantasme venait de me sucer et d'avaler ma liqueur en me regardant droit dans les yeux, j’hallucinais mais j'étais aux anges. Quel moment ! Elle m’a avoué aimer le sperme, elle était encore plus cochonne que ce que j'avais pu imaginer durant toutes ces années. Nous nous sommes levés du canapé et sommes allés dans sa chambre, j’ai pris au passage la bouteille de champagne, j’avais une idée derrière la tête !

Une fois allongé sur le lit, nous avons recommencé nos caresses, j'avais l’impression d'être vidés, ça faisait déjà 2 fois que Muriel me faisait jouir en quelques heures, nous nous tripotions, nous nous embrassions, j'ai refait quelques photos et j’ai sorti la bouteille de champagne je lui ai rendu la pareille, je lui ai fait un cunni en déversant du champagne sur sa petite chatte, elle aimait. La bouteille de champagne étant vide, je m'en suis servi comme gode, je lui caressé les lèvres avec le goulot, et lui ai introduit dans son puit d’amour, je la branlai avec la bouteille de champagne. Muriel a fini par me coller sur le dos et est montée à cheval sur moi, elle voulait ma queue en elle, Elle s’est empalée sur mon chibre et a commencé à remuer le bassin. Ma queue était dans son fourreau tout chaud de désir et j'avais devant les yeux ses seins qui ballotaient au grès de ses mouvements de croupes, je les caressais, les mangeaient pendant que Muriel s’activait. Malgré les 2 éjaculations précédentes je n'ai pas mis longtemps à jouir tellement c’était bon, laissant Muriel sur sa faim elle n'avait pas joui. Elle ne m'en tient pas rigueur, elle paraissait toute de même heureuse de ce qui venait de se passer. Moi je n'en pouvais plus, j'avais l'impression d'avoir des raisins secs à la place des couilles. Il était tard, 1 h ou 2 du matin, et je me levais à 5h le lendemain matin. Muriel me dit qu’il serait raisonnable d'aller se coucher pour que je fasse la route le lendemain en ayant dormi un peu. Elle prend soin de moi, elle est adorable.

On se couche et s'endort comme des masses. Le lendemain sur la route du retour je pensais à tout ce qui s’était passé la veille...C’était fou, je venais de faire l'amour à la femme bientôt sexagénaire qui me faisait fantasmer depuis le début de ma sexualité d’ado. J'ai pris un pied d’enfer, outre le coté physique c’est vraiment les circonstances qui font que se fût fabuleux, enfin pour ma part car je pense que pour Muriel cela n'avait rien d’extraordinaire hormis la différence d'âge mais moi je ne pensais jamais en arriver là et pourtant je l'avais si souvent imaginer.

Nous nous sommes revus quelques fois pour d'excellentes séances de sexe, soit chez elle, à l’hôtel, en forêt…puis chemin faisant nous avons arrêté de nous voir.

Encore aujourd’hui, 10 ans après notre rencontre, je suis marié et j’ai deux enfants, mais je pense très souvent à Muriel, elle m’excite toujours autant. Elle a été et est toujours l’héroïne de beaucoup de séance de masturbation. J’ ai gardé bien précieusement toutes les photos que j'avais faites. Nous sommes restés en contact, une fois de temps en temps nous nous écrivons pour prendre des nouvelles l’un de l’autre, à chaque fois cela fait remonter les souvenirs et c'est très agréable
Muriel est à ce jour la femme qui a le plus marqué ma vie sexuelle, au final ça fait plus de 20 ans que je pense à elle régulièrement alors que je n'ai que 35 ans. Je ne l'oublierai jamais.

Je ne sais pas si c’est grâce à Muriel mais ajour hui je suis très attiré par les femmes mûres bien que ma femme soit plus jeune que moi, je me rends compte que je regarde beaucoup plus les femmes "mures” plutôt que celles de mon âge.

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