La bête se déchaîne

- Par l'auteur HDS Apparenzo -
Récit érotique écrit par Apparenzo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 1 récit publié.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Apparenzo ont reçu un total de 10 478 visites.
Récit libertin : La bête se déchaîne Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 10 478 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
La bête se déchaîne
Je me présente, Charles à l'époque 22 ans, 1,75m 175 lb châtain, yeux bruns.J'espère que vous serez indulgents car ceci est mon premier récit. Si vous appréciez, je pourrai vous faire bénéficier de la suite de ce récit (soit dit en passant, il n'est que la pointe de l'iceberg), ainsi que de quelques autres de mes aventures des plus excitantes. J'étais à cette époque étudiant en dernière année du baccalauréat en finances aux Hautes Études Commerciales à Montréal. J'avais rencontré quelques filles, mais à chacune d'elle j'étais l'initiateur ou sinon elles n'étaient pas vraiment expérimentée. Ce soir là j'étais loin de me douter que je rencontrerais quelqu'un qui me montrerait à danser.... J'ai rencontré cette fille sur internet en répondant banalement à une petite annonce, sans toutefois savoir ce qui m'attendait. Nous nous sommes envoyés quelques courriels et nous sommes sortis une première fois sans qu'il ne se passe quoi que ce soit.J'avais envie de savoir exactement à qui j'avais affaires. Nous sommes allés manger une crème glacée, marcher dans le vieux Montréal, puis nous sommes allés discuter dans un petit local auquel j’avais accès dans un des pavillons à l’université. Durant cette partie j’avais vraiment une envie folle de lui sauter dessus, mais le fait que nous étions dans un des locaux de l’université, qu’il faisait noir à l’extérieur et que nous étions dans un demi-sous-sol, j’ai pensé qu’il était mieux de me retenir si je voulais revoir la belle. Dans d’autres circonstances, je ne me serais absolument pas retenu, mais j’ai préféré jouer la carte de la prudence pour cette fois; comme on dit il faut savoir jouer ses cartes efficacement si on veut gagner. Après cette rencontre j'étais foudroyé.

Je tiens à préciser que l'impression que j'ai eue après cette rencontre c'est que malgré tout le sex-appeal qu'elle dégageait, elle était, si on veut dans la même catégories que toutes celles que j'avais rencontrées auparavant, c'est à dire qu'elles étaient soit vierges soit elles avaient eues quelques amants, mais rien de solide, voire même qu'il semble que mes prédécesseurs ne savaient pas vraiment y faire car je devais souvent tout leur montrer. Elle était belle, c’était une jolie petit brune, bouclée, délicate, yeux verts, un 34C bien mis en valeur, humm mm à croquer, sans oublier son sourire angélique. Elle avait fait plusieurs voyages un peu partout à travers le monde et j’étais suspendu à ses lèvres lorsqu’elle me racontait toutes ces aventures(je parle évidemment de vécu et non d’aventures au sens sexuel de la chose)

À la deuxième rencontre je m'étais dit que j'allais bouger. Elle est donc venue me prendre avec la voiture de sa mère, un petit 4X4, 2 portes datant de quelques années. Nous sommes allés discuter dans un parc et j'ai tenté sans succès quelques approches sans trop savoir ce qu'elle pensait exactement de moi. Je me rapprochais de plus en plus d’elle en tentant de pénétrer sa bulle d’intimité, mais elle ne semblait pas comprendre mes intentions; j’ai compris par la suite que la belle ne voulait qu’être désirée davantage car elle voyait chacun de mes pas maladroits pour me rapprocher d’elle. Elle était belle comme le jour, dans sa petite camisole blanche bien décoltée, mais sans entrer dans la vulgarité.Comme on dit c’était assez bien pour couvrir le sujet, mais aussi pour pouvoir garder l’intérêt. C’était certain, je la voulais, j’étais prêt à bien des pirouettes pour pouvoir l’avoir. Elle était à ce moment vu comme le summum de toutes mes rencontres et je pense qu’après presque dix années elle l’est encore.

À un moment donné il commençait à faire un peu plus froid et les moustiques devenaient de plus en plus dérangeants. Elle m'a alors demandé si je désirais faire un bout et j'ai répondu par l'affirmative, pensant qu'elle voulait me ramener chez moi (je ne voulais évidemment pas sembler insistant de par mes tentatives ratées). Sur le chemin du retour, nous approchions de chez moi et elle m'a lancé quelque chose du genre : tu désires déjà terminer la soirée? Bien sur que non lui ai-je répondu, mais où aller? Je lui proposai alors de nous arrêter dans un parking derrière une école.

Une fois la voiture arrêtée, elle s'est lancée en arrière pour remonter le siège arrière qui était descendu. Moi qui pensait simplement discuter avec elle chacun de notre coté et que mes chances étaient à l'eau, je suis resté bouche bée. Elle n'arrivait pas à remonter le siège pour une raison que je ne saurais expliquer,mais j'étais déterminé à le remonter. Une fois fait, nous nous sommes assis l'un à coté de l'autre et avons commencé à discuter. Elle s'est alors plaint d'une tension au cou. J'ai donc commencé à la masser et elle m'a demandé d'arrêter car elle était pour s'endormir sous mon massage. Je lui ai dit que je m'engageais à la tenir éveillée. Elle m'a demandé comment et je me suis aussitôt emparé de sa bouche d'un baisé les plus fougueux. C'est avec autant de fougue que sa langue est aller retrouver la mienne et qu'elle me caressait le corps avec une passion que je n'avais rarement connue. En l'embrassant je me suis rapidement mis à lui caresser les seins et à lui embrasser le cou et les oreilles. Elle sentait bon, elle embrassait à merveille et ses seins étaient d'une fermeté que j'avais rarement connue. Je la sentais hors de contrôle et moi aussi je l'étais.

Elle gémissait de plaisir à chaque caresse. J'avais l'impression qu'elle coulait dans mes mains. J'ai sorti les deux jolis attributs de sa camisole pour les lécher et les caresser de plus belle. Elle s'exclamait : ah mon dieu, humm mm,que c'est bon!!! Tout en se tortillant dans mes bras. Je la caressais maintenant sur tout le corps et passais régulièrement ma main sur son sexe, par-dessus son pantalon. Chaque coup lui donnait l'effet d'un coup de tonnerre tellement elle était excitée. Soudain elle commença à prendre le contrôle un peu plus. Elle s'est assise sur moi, face à moi et s'est mise à détacher ma ceinture, ce qui me fit un bien énorme car j'étais bandé comme un âne. Elle se mit à me branler avec une telle dextérité.

Lorsque je voulus aller plus loin, elle m'expliqua qu'elle était indisposée,mais que ce n'était que partie remise. Malgré toute l'ambiance qui planait dans la voiture, nous sommes revenus sur la terre car il semblait y avoir un petit attroupement de jeunes qui passaient par-là. Par prudence, malgré toute cette adrénaline et cette passion, nous sommes retournés chacun chez soi et nous sommes rappelés pour d'autres rencontres torrides ... à suivre

Tel que je l'ai mentionné au tout début, si le texte est bien noté, je vous ferai part de la suite des évènements...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
ouais pas mal mais la si elle veut pas change de fille c est pas se qui manque sur montreal les quebecoises sont toute tres chaudes apres l hiver elle se lache je sais suis entrain de cruiser une quebecoise de longueuil bonne chance avec cette fille la



Texte coquin : La bête se déchaîne
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Apparenzo

La bête se déchaîne - Récit érotique publié le 03-04-2011