La chasteté

- Par l'auteur HDS Burlow -
Récit érotique écrit par Burlow [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La chasteté Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2003 dans la catégorie Dominants et dominés
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La chasteté
Je suis un homme marié qui adore se masturber et qui a un faible pour la sodomie. En plus de tout cela j’aime beaucoup obéir, me soumettre. De tous ces défauts, j’ai réussi à trouver un équilibre dans ma vie de couple.

Marié depuis 20 ans, ma femme a très vite découvert mes besoins. Petit à petit, nous avons peaufiné nos jeux sexuels. Il m’a fallu beaucoup de persuasion au début car ma femme n’aimait pas trop mais j’ai réussi à lui faire prendre conscience que ma soumission sexuelle aurait pour effet de stimuler mes ardeurs pour son plus grand plaisir. Elle accepta de faire une tentative durant un week-end complet, pour voir. Elle connut sa première jouissance ; son premier vrai orgasme. Elle accepta alors d’engager notre vie sexuelle sur une destination particulière.

Aujourd’hui, ma vie est réglée de manière très précise :

Chaque matin, quand je me lève, (je dors obligatoirement nu hiver comme été), je place sur mes tétons des barrettes à cheveux de ma femme. Je vais préparer son petit déjeuner que je lui apporte au lit. Je vais ensuite me laver. C’est elle qui me retire mes pinces. Les marques faites pas les pinces deviennent rouges et restent en général une bonne demi-heure. Elle les remplace par les petites pinces étaux en plastique que j’ai trouvé un jour dans un magasin de modélisme pour me permettre de déjeuner tout nu. Ces pinces sont d’ailleurs toujours avec moi car je dois les mettre à chaque repas quelque soit l’endroit. Comme elles sont petites et discrètes je n’ai aucun mal à les poser rapidement même en présence d’amis ou de collègues de travail. Puis je m’habille mais je ne porte jamais de sous-vêtement ou alors ce sont des strings en dentelle de couleur rose en général. Quand je dois aller aux toilettes, je dois toujours relever la planche et m’asseoir sur la faïence directement, même pour faire pipi. Quand on se promène dans la nature, je baisse mon pantalon et je m’accroupis.

Dès que je rentre le soir, je me déshabille entièrement et je mets un tablier de dentelle pour faire des travaux ménagers : vaisselle, repassage, repas, nettoyage du sol ou des vitres. Pour m’aider dans mes tâches, ma femme m’enfile un gode vaseliné en bois. J’en ai confectionné plusieurs de longueurs et diamètres différents dans des bûches de chêne. Pour terminer le tout, elle m’applique sur les tétons des pompes afin de faire grossir les tétons.

Elle a découvert que je bandais plus rapidement quand elle me tirait sur les tétons ou qu’elle giflait mon sexe.

Quand j’ai terminé mes tâches, je peux enfin m’occuper d’elle. Je m’agenouille devant son fauteuil en faisant attention de ne pas la déranger dans sa lecture ou ne pas gêner si elle regarde la télé. J’aime beaucoup lui lécher son sexe. Elle s’arrange toujours pour faire pipi un peu avant et ne pas s’essuyer. J’aime passer ma langue sur sa chatte baveuse et odorante et lui procurer une douce chaleur interne avec mon souffle. Il n’est pas rare que je bande déjà à ce moment là. Mes doigts se hasardent souvent à remonter sous sa robe de chambre à la recherche de ses seins lourds et pleins. Je titille un moment les tétons mais pas longtemps car cela l’énerve. Ensuite je les caresse et les presse doucement. Quand elle est assez mouillée, je caresse sa chatte avec mes doigts. Mon plaisir (et le sien) est de prendre entre mon pouce et mon index son clitoris et le sentir gonfler. A ce stade, il ne lui faut pas longtemps pour avoir des désirs si elle n’est pas fatiguée. Alors nous allons dans notre chambre, et nous faisons l’amour. Même dans cet acte si conjugale, ma femme continue d’exercer sa Domination sur moi : je n’ai pas le droit d’éjaculer ! Je dois lui procurer du plaisir et la faire jouir sans le faire moi-même. Quand elle a joui, elle aime bien sentir encore en elle ma queue bandée et se laisser aller à des caresses intimes lentes et douces. Enfin quand elle en a assez, je dois me retirer.

Jusque là, j’avoue que je me masturbais ensuite, souvent lorsqu’elle s’était endormie. Mais cela a changé, il y a quelques mois. Je m’étais masturbé plusieurs fois dans la journée en surfant sur Internet. Le soir arriva et elle voulut faire l’amour. Elle eut beau me violenter les seins, me gifler la queue, celle-ci, repus, n’arrivait à rien. Elle m’en demanda la raison : je dus lui avouer ce que j’avais fait. Déçue, elle m’interdit de dormir avec elle. Je me retrouvais sur le canapé. Le lendemain, au réveil, comme d’habitude, en arrivant nu avec son plateau, elle me dit qu’elle voulait que je cherche sur Internet des sites parlant de ceintures de chasteté. Inutile de me faire un dessin. Le soir, je faisais la recherche demandée et je lui proposais plusieurs sites et plusieurs types de ceintures. Elle choisit une cage en plastique fermant avec un cadenas. Pratique et facile à entretenir, elle permettait (au contraire de beaucoup d’autres) de pouvoir uriner sans l’enlever. Je l’ai acheté.

Aujourd’hui, je dors 4 nuits pas semaine avec. Il m’a fallu un certain temps pour m’y habituer, surtout au niveau des testicules. L’objectif est de dormir avec en permanence. Dans la journée, je teste actuellement un autre système car la cage est trop volumineuse. Il s’agit de deux manilles de marine arrondies que je pose : la grande sur mes couilles, la petite sur ma verge et que je relie avec un cadenas dont ma femme possède seule la clé.

Les trois nuits encore libre, je peux me masturber. Mais en fait, je le fais de moins en moins et il m’arrive de rester 10 jours sans pouvoir éjaculer. Cela me fait jouir énormément.

Donner du plaisir à sa Maîtresse-Femme et Amour et n’avoir que le plaisir de la satisfaire : voilà ma vie.

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Texte coquin : La chasteté
Histoire sexe : Une rose rouge
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