La coloc de ma copine... partie 1
Récit érotique écrit par Jojo-lasticot [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La coloc de ma copine... partie 1
Cette histoire s’est déroulée il y a quelques années. J’étais alors un jeune étudiant en art, installé en banlieue parisienne dans un petit studio. C’était les vacances universitaires parisiennes, et je décidai de profiter de l’occasion pour passer quelques jours chez ma copine, qui habitait dans une ville moyenne non loin de Paris. Aurore étudiait la médecine en première année. Très studieuse, elle passait ses journées à la bibliothèque. Sans être canon, elle était plutôt mignonne. Elle était petite, portait des lunettes, et s’habillait avec goût, dans un style plutôt classe, quoiqu’un peu trop coincé à mon goût. Disons qu’elle était plutôt colle Claudine, que décolleté. Dommage, car elle était plutôt bien foutue, avec une poitrine généreuse (D) et des fesses pulpeuses. Malgré la réputation qu’ont les étudiants en médecine, Aurore, étant plutôt de bonne famille, n’était pas vraiment du genre fêtarde. D’éducation catholique, elle était assez prude, ce qui avait des répercussions au lit. Après un an de couple, nous n’avions jamais dépassé le stade des préliminaires. Cela me frustrait énormément, mais j’attendais, patiemment... enfin, jusqu’à ces vacances-là.
J’avais déjà eu l’occasion de lui rendre visite plusieurs fois cette année, quand nos emplois du temps nous le permettaient. Elle vivait dans un trois pièces refait à neuf, dans lequel elle avait emménagé avec une très bonne amie du lycée, Céline, elle aussi étudiante en médecine. Je connaissais très bien Céline. C’était une jolie fille, sportive, légèrement garçon manqué sur les bords, mais avec un très joli visage, et de belles formes (une poitrine légèrement plus petite que celle d’Aurore, donc du C, mais que sa taille plutôt fine faisait bien ressortir). Céline était de nature très joviale, enjouée, et savais qu’elle aimait le sexe. Quelques mois auparavant, je l’avais entendue plusieurs fois en plein ébat avec son copain, une fois dans leur chambre, puis une fois sous la douche. Pour être honnête, savoir que cette jolie fille prenait du plaisir à s’envoyer en l’air me rendait un peu envieux, mais me faisait aussi fantasmer. Il était cependant hors de question pour moi d’envisager quoi que ce soit avec Céline. Elle était heureuse en couple, et je n’avais de plus aucune envie de briser mon couple en flirtant avec la colocataire de ma copine. Cette attirance devait rester un simple fantasme.
Quelques jours avant mon arrivée, Aurore me confirma que Céline était d’accord pour que je vienne. Elle ajouta simplement que sa petite sœur serait aussi en visite dans la colocation, mentionnant une histoire de rupture avec son copain. Le vendredi soir, après les cours, je pris donc un covoiturage qui m’amena chez Aurore et Céline en milieu de soirée. Céline travaillant dans sa chambre, et ayant déjà mangé, Aurore et moi mangeâmes tous les deux dans la cuisine, tout en discutant de choses et autres. Puis nous allâmes nous dans sa chambre pour faire quelques câlins platoniques. Je commençais à avoir l’habitude de ces retrouvailles sans sexe, mais je n’arrivais toujours pas à m’y faire. Aurore ayant un rythme de travail soutenu, elle se coucha tôt. Moi je n’avais pas sommeil, et restais dans le lit à attendre.
Au bout d’une demi-heure, je décidai d’aller aux toilettes pour faire pipi. Les toilettes se situaient dans le couloir d’entrée, en face de la chambre de Céline. Ne voyant plus de lumière sous la porte de Céline, je marchai donc sur la pointe des pieds pour ne pas la réveiller. Mais en arrivant à la hauteur de sa porte, j’entendais un petit bruit sourd et continu qui venait de la chambre. Curieux, je décidai de tendre l’oreille. C’était en fait un bruit de vibration. Un vibromasseur ? Non ce serait trop beau... je rapprochai encore mon oreille de la porte pour m’en assurer. Je pouvais à présent entendre des variations dans les vibrations, indiquant sans doute qu’un objet était manipulé. Après quelques secondes à peine, j’entendis un léger soupir. Mon cœur se mit à accélérer, je retins mon souffle : quelques secondes plus tard, j’entendais un nouveau soupir. Cette fois j’en étais sûr, Céline était en train de se masturber !
J’avais déjà eu l’occasion de lui rendre visite plusieurs fois cette année, quand nos emplois du temps nous le permettaient. Elle vivait dans un trois pièces refait à neuf, dans lequel elle avait emménagé avec une très bonne amie du lycée, Céline, elle aussi étudiante en médecine. Je connaissais très bien Céline. C’était une jolie fille, sportive, légèrement garçon manqué sur les bords, mais avec un très joli visage, et de belles formes (une poitrine légèrement plus petite que celle d’Aurore, donc du C, mais que sa taille plutôt fine faisait bien ressortir). Céline était de nature très joviale, enjouée, et savais qu’elle aimait le sexe. Quelques mois auparavant, je l’avais entendue plusieurs fois en plein ébat avec son copain, une fois dans leur chambre, puis une fois sous la douche. Pour être honnête, savoir que cette jolie fille prenait du plaisir à s’envoyer en l’air me rendait un peu envieux, mais me faisait aussi fantasmer. Il était cependant hors de question pour moi d’envisager quoi que ce soit avec Céline. Elle était heureuse en couple, et je n’avais de plus aucune envie de briser mon couple en flirtant avec la colocataire de ma copine. Cette attirance devait rester un simple fantasme.
Quelques jours avant mon arrivée, Aurore me confirma que Céline était d’accord pour que je vienne. Elle ajouta simplement que sa petite sœur serait aussi en visite dans la colocation, mentionnant une histoire de rupture avec son copain. Le vendredi soir, après les cours, je pris donc un covoiturage qui m’amena chez Aurore et Céline en milieu de soirée. Céline travaillant dans sa chambre, et ayant déjà mangé, Aurore et moi mangeâmes tous les deux dans la cuisine, tout en discutant de choses et autres. Puis nous allâmes nous dans sa chambre pour faire quelques câlins platoniques. Je commençais à avoir l’habitude de ces retrouvailles sans sexe, mais je n’arrivais toujours pas à m’y faire. Aurore ayant un rythme de travail soutenu, elle se coucha tôt. Moi je n’avais pas sommeil, et restais dans le lit à attendre.
Au bout d’une demi-heure, je décidai d’aller aux toilettes pour faire pipi. Les toilettes se situaient dans le couloir d’entrée, en face de la chambre de Céline. Ne voyant plus de lumière sous la porte de Céline, je marchai donc sur la pointe des pieds pour ne pas la réveiller. Mais en arrivant à la hauteur de sa porte, j’entendais un petit bruit sourd et continu qui venait de la chambre. Curieux, je décidai de tendre l’oreille. C’était en fait un bruit de vibration. Un vibromasseur ? Non ce serait trop beau... je rapprochai encore mon oreille de la porte pour m’en assurer. Je pouvais à présent entendre des variations dans les vibrations, indiquant sans doute qu’un objet était manipulé. Après quelques secondes à peine, j’entendis un léger soupir. Mon cœur se mit à accélérer, je retins mon souffle : quelques secondes plus tard, j’entendais un nouveau soupir. Cette fois j’en étais sûr, Céline était en train de se masturber !
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