La contrôleuse pour la sécurité sociale - histoire érotique

Bonjour je m’appelle Nico, voulant profiter un peu de mon employeur comme lui profite de moi. Je décide de me mettre en arrêt maladie pour réaliser quelques travaux chez moi après tout c’est l’été. Au bout de deux semaines les travaux avancés bien. Jusqu’au jour où…Quelqu'un frappe à la porte, je suis justement en train de refaire le plafond du couloir de l’entrée, j’ouvre ma porte et je découvre une femme d’environ quarante quarante cinq ans. Elle était vêtue d'un pantalon noir, une veste noire et un chemiser blanc, l'air très sérieuse. Cette femme est très grande et assez costaud environ ma taille donc 1m80 et doit peser un bon 90 kg, en tout cas on peut voire au premier regard quelle dégage un charisme impressionnant. Avec ces cheveux blond mi-long elle me fait penser à une amazone.
Étant fétichiste des pieds, je remarque tout de suite à ces pieds une paire d’escarpins noires très pointues avec un petit talon de 4 cm. La taille de ces pieds me fond dire qu’elle doit chausser au moins du 40 voire du 41. Ces pieds doivent être très grands ainsi que ces orteils j’arrive à voir l’échancrure de ces orteils apparaitre sur le bord du décolleté de ces chaussures qui n’ont pas l’air d’être neuve. Ce jour-là il fait très chaud et je remarque qu’elle souffre de cette canicule annoncée par la météo.
« Bonjour Monsieur je suis Madame Leblanc contrôleuse pour la sécurité sociale. Est-ce que je peux entrer »« Bonjour Madame mais non. »« Excusez-moi Monsieur mais vous êtes actuellement en arrêt maladie donc en tant que contrôleuse de la sécurité sociale j’ai tout à fait le droit de vous contrôler et donc entrer chez vous. »Par surprise elle fait un pas pour placer son pied de tel façon que je ne puisse plus refermer la porte. La semelle et le talon de son escarpin son plein de boue. Elle profite que mon regard soit attiré par son pied pour pousser la porte et forcer le passage.
« OK je vois et je note que la maison est en plein travaux. »« Et quoi Madame »« S’il vous plaît Monsieur, on voit bien qu’ici tout est en travaux et que surtout c’est vous qui réalisez ces travaux, vous êtes couvert de peinture. Pour une personne avec une ciatiq c’est impressionnant. »Effectivement j’ai beau être torse nue uniquement vêtue d’un short ma poitrine est couverte de petit taches de peinture.
« Je ne vous permets pas de me juger chez moi Madame »« Et pourtant monsieur c’est ce que je fais et surtout c’est le rapport que je vais envoyer à mes supérieurs pour vous mettre en justice »Elle s’avance jusque-là cuisine pose son sac et prend son portable pour mitrailler de photos.
« Madame je ne vous permet pas de photographier ma maison. Je ne vous donne pas l’autorisation. »Elle éclate de rire.
« Quelle autorisation, monsieur vous êtes un tricheur, un profiteur de la société et moi personnellement je n’ai aucuns respects pour des personnes comme vous »Là je vois rouge et je ne me contrôle plus.
« Putains je t’emmerde connasse, à non grosse connasse, dégage de chez moi et en plus grosse pute je t’emmerde. »« Pourquoi réagir comme ça monsieur, et je ne partirai pas d’ici avant d’avoir terminé mon rapport. Hors de question que vous ne soyez pas condamné pour ce délit. »« Ce n’est pas parce que tu es une femme que je ne vais pas te foutre dehors avec un coup pied dans ton gros cul de pétasse. »Là je m’approche pour lui faire peur et dans l’espoir qu’elle se sauve. Mais à bien y regarder elle n’a pas l’air impressionné.
« Je suis dans l’obligation de vous avertir que j’ai suivi plusieurs formations aux sports de combats. Et si vous utilisez la force je serai contrainte de vous faire mal. »Et là je la vois fouiller dans son sac et soupirer.
« Dégage la grosse sinon je te mets une claque »« Monsieur vous ne comprenez pas bien, je vais appeler la police. »Fou de rage j’approche de cette femme même ces allures d’amazone ne me calme pas et je fonce pour lui mettre une claque et la calmer. Je la vois sortir un appareil noir de son sac et soudain une énorme douleur, suivie d’un trou noir. C’est un taser.
Quelques secondes plus tard à mon réveil je me retrouve allongé à terre sur le dos avec son pied sur ma gorge. Et elle ne se gêne pas pour appuyer. J’essaie de me débattre mais elle augmente la pression.
« Alors connard je t’ai prévenu pourtant. »J’attrape sa chaussure des 2 mains pour l’enlever de ma gorge. Mais impossible et même au contraire elle appuie encore plus fort je n’arrive plus à respirer.
« Bouge pas et lâche moi sinon je t’étrangle »Je lui lâche son pied mais elle continu a m’étranglé, au bout d’un moment trou noir.
Quand je me réveille quelque minute plus tard, je suis allongé sur le dos les mains attachées dans le dos et les chevilles entravées. J’essaie de me libérer mais impossible. Puis j’entends le bruit de ces talons claqué , elle arrive dans la cuisine .
« Tiens tu es réveillé, tant mieux alors avant t’appeler les flics on va régler nos comptes tu vas voir. Ça c’est pour le connasse »Elle m’envoie un coup pied avec la pointe de son escarpin en plein dans mes côtes, ce qui me fait extrêmement souffrir. Ensuite je la vois s’approché de moi lever son pied droit et me l’envoyer en plein visage. Son talon s’enfonce dans ma joue et là elle s’amuse à m’écraser la tête comme on écrase un insecte.
« Ça c’est pour le gros cul et attend après je vais utiliser ta gueule comme un paillasson pour nettoyer mes semelle pleine de boue ce matin j’ai été contrôler un fermier, du coup j’ai ruiné mes godasse »« Arrêter Madame, ça fait mal. Et je suis désoler je m’excuse, jamais je n’aurais dû vous parler comme ça. Je vous en supplie »« Pourquoi j’arrêterai, je te l’ai dit je m’amuse un peu après je te fais embarquer par les flics. »« Non pas la police Madame, attendez j’ai une idée »Je ne sais pas pourquoi j’ai pensé à ça, peut-être le fait de voir ces escarpins pleins de boue.
« Je peux vous nettoyer vos chaussures si vous voulez, en plus je suis fétichiste des pieds de femmes alors ne vous inquiétez pas ça sera bien fait.
Elle retire son pied de mon visage et en prenant appuie sur le mur , monte pieds joints sur mon torse.
« C’est qu’elles sont sales mais tu me prend pour une idiote, je ne vais pas de détacher. »« Pas la peine de me détacher »« à oui et comment tu va faire »« Avec ma bouche et ma langue »« A oui !, ok allons y »Elle descend de mon torse et s’assoit sur la chaise à côté en tendant les jambes. Moi je rampe jusque ces chaussures et commence mon travail. Je fais de mon mieux, bizarrement je sens déjà une forte odeur qui se dégage de ces chaussures. Elle a pris son téléphone et me films.
« tu fais ça vraiment bien, elle vont redevenir toute neuve et quand je vais montrer la vidéo à mes copines, elles vont être folle de jalousie. »Là j’attaque les semelles, mes coup de langue sont très fort, je veux qu’elle aussi prenne du plaisir.
« Attendez Madame, si vous pouvez appuyer avec votre pied, vous avez un chewing gomme collé sur la semelle, il faut que j’y aille avec les dents »« Ouais ok j’appuie »J’arrache ce truc avec mes dents et le recrache, je passe ensuite au talon quand soudain j’ai une idée, je vais tellement y aller fort avec ma langue qu’elle va en perde sa chaussure. Bingo, son pied droit et à moitié sorti. Et là je vois un pied énorme suivi d’une forte odeur qui me pique le nez mais qui aussi me rend dingue.
« Excusez-moi madame »« Ce n’est pas grave »« Je vois que les pieds de madame sont fatigués, vous voulez un massage toujours avec ma bouche. »« Pourquoi pas, on ne m’a jamais fait ça pourtant j’adore dominer les hommes mais je préfère les tabasser pour à la fin leur pisser dans la bouche ça c’est mon truc. Mais si tu veux me lécher les pieds vas-y en plus ça va les nettoyer un bon coup parce que là ça doit avoir un gout dégueulasse et vue l’odeur de mes chaussures, tu vas avoir une haleine de pieds pendant longtemps. »« Au non Madame des pieds aussi sublime doivent avoir un gout magnifique rien que l’odeur me fait saliver mais si j’étais détaché ça ira mieux. »Elle se déchausse, je m’allonge sur le dos, ainsi mon visage lui sert de repose pieds. Mais soudain je me rends compte que la pression augmente. Puis elle lève, avec ces pieds elle m’oblige à tourner la tête pour lui présenter ma joue droite. Elle se lève, se retourne et en prenant appui sur la chaise vient monter à pieds joints sur ma tête.
« Tu veux que je te détache, mais seras-tu sage. Je ne sais pas, j’hésite encore, on va jouer à un jeux , je te détache et ensuite je te tabasse si tu te laisses faire je veux bien mais si tu te protège ou même juste me toucher je te rattache tout de suite. Et je ne tente pas le diable je vais garder mon Taser à la main. »« Ok madame »Elle me détache, je n’ose pas bouger mais bon je pense que ça devrait aller elle est pieds nus. Elle commence par m’écraser le visage ou plutôt le broyer. L’odeur de son pied me fait bander comme un four, ce n’est pas discret avec mon short. Mais la puanteur de ces pieds d’amazone me posse au respect.
« Mets-toi à 4 pattes »Je m’exécute et là je la vois qui remet ces escarpins, pour venir me frapper dans le ventre avec la pointe de ces chaussures. Comme prévue je me laisse faire et elle rit à l’éclat. Ensuite elle se met face à moi pour me frapper au visage, à plusieurs reprise, un gout sang arrive dans ma bouche.
« Et bien tu résistes bien encore un ou deux essais et tu serras libre. Bon avec quoi je peux te sodomiser. Tiens je vais prendre ça ».
Elle prend en main un presse-purée et commence à m’enfoncer le manche dans le cul. Jusqu’au moment où il tient tout seul. Me voilà à 4 pattes avec ce manche de presse purée dans le cul, ça va elle ne la pas enfoncer très profond.
« Maintenant qu’il tient tous je vais terminer de te l’enfoncer avec mes pieds, vue que tu aimes particulièrement mes pieds. »Elle retire ces chaussures et avec son pied droit nu appuie sur le presse-purée.
« Alors normalement arrivé à la prostate tu vas bander comme jamais et peut être jouir. Tu connais ça au moins »« Non Madame c’est la première fois qu’on encule. »« A ok tu vas voire attend je prends une chaise ».
Elle s’assoie et continu doucement à l’enfoncer, soudain je me mets à ressentir un plaisir, ma bite durcis. Du coup je sens qu’elle appuie moins fort mais s’amuse juste à frapper l’objet avec son pied.
Et là j’éjacule comme jamais mes fesses se contracte, j’ai l’impression que mes couilles se vident entièrement. Là toujours avec son pied droit elle ressort l’objet et moi je m’écroule à terre.
« Alors ça ta plu ça se voit »Je me jette sur ces pieds pour lui lécher.
« Merci madame merci, c’était trop bon laisser moi m’occuper de vos pieds maintenant. »« Oui vas-y. Pas de bêtise ok je ne te rattache pas »Je suis resté une heure à lui lécher les pieds qui n’étaient vraiment pas propre les ongles même pas couper, alors j’ai décidé de lui ronger ces ongles de pieds. Au début elle est surprise, et après elle s’est laissé faire, par la suite elle a sortie de son sac une lime à ongles. Sans compter touts les morceaux de peau mortes que je lui ai arraché avec mes dents.
Au bout d’une heure ces pieds sont méconnaissables.
« Et bien, on peut dire que tu as fait du bon travail, aller remet moi mes chaussures et donne moi ton numéro de portable. »Je m’exécute sans rien dire, elle se lève je suis à genou devant elle et je ne sais pour quelle raison elle m’envoie un énorme coup de pied dans mes couilles avec la pointe de ces escarpins. Impossible de ne rien dire me voilà à terre et en pleure comme un bébé. Elle approche pose sa chaussure droite sur mon visage et appuie.
« Ecoute moi bien espèce de sous merde de chien, ce n’est pas en me nettoyant mes chaussures et mes pieds une fois que tu vas t’en sortir. Je te préviens dès que je t’appel tu accoures aussi vite que tu peux sinon je balance tout à ton employeur et à la sécu. Ok esclave. »Là elle me crache dessus et augmente la pression de son pied sur mon visage.
« Alors compris !! »« Oui Maitresse j’ai compris »Elle retire son pied.
« J’espère, en plus j’ai 2 ou 3 copines à te présenter. A bientôt petite merde. » Elle part, 2 jours plus tard mon téléphone sonne, c’est elle qui me demande de la rejoindre dans une salle des sports ces copines et elle on besoin de se défouler, ça promet, mais ça c’est une autre histoire.