La cousine de ma femme...

- Par l'auteur HDS elle7991 -
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Récit libertin : La cousine de ma femme... Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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La cousine de ma femme...
Contexte : Je suis un homme, j’ai la trentaine, et j’ai rencontré ma femme il y a 10 ans au lycée.
Aujourd’hui je l’aime comme un fou et tout va pour le mieux. Ce que je vais raconter c’est passé dans un contexte très particulier et ne se repassera donc plus jamais.

Ma femme et moi habitons une ville moyenne du sud de la France depuis maintenant 6 ans.
Ma femme est une grande brune aux cheveux ondulés toujours au naturel et sans maquillage.
Elle est plutôt mince et a de grand yeux marrons.
Elle est souriante du matin au soir, elle est élégante et fait tourner les têtes aussi bien en robe avec un décolleté, quand tenue de sport.
Elle a un cul bien rond et musclé et des seins fermes ont une taille parfaite (90d FR ou 34d US).
Mais le physique ne fait pas tout et depuis notre première rencontre la vie a suivi son cours et comme pour beaucoup de couples le désir et la fougue des débuts avait laisser la place à la routine.
Je parle aussi bien de notre relation amoureuse que de nos ébats sexuels.
Je précise que c’est avec elle que j’ai fait ma première fois et que j’ai longtemps pensé qu’il me serait impossible d’avoir autant de désirs et d’excitations pour une autre femme.
Et ce fut le cas pendant un bon moment.
Mais malheureusement, après plusieurs années passées ensemble j’ai compris trop tard que ma vie amoureuse et ma vie sexuel avait besoin d’une flamme constamment entretenue...
Sans entrer dans les détails, nous n’avions plus les mêmes centres d’intérêt, et étions en désaccord sur plein de sujets. On était enfermé dans un quotidien métro boulot dodo et on ne sortait quasiment plus de chez nous. Les seules sorties que nous faisions étaient chez sa cousine et son copain qui s’était installé depuis peu dans la même ville.
Les prises de tête devenaient régulières et en plus de ça le sexe était de plus en plus espacé et de moins en moins intense.
La flamme était éteinte.
Après en avoir parlé tous les deux plusieurs fois pour tenter d’arranger la situation nous avons fait le point une bonne fois et conclu que nous avions chacun nos torts et que nous ne pouvions pas faire autrement que de nous séparer.
On ne savait même pas si on se remettrait ensemble un jour.
La séparation est donc l’une des causes qui a amené à cette fameuse baise, mais l’histoire commence surtout quelques semaines en arrière avant la séparation. Quand pour une de nos rares sorties on avait été invité pour la première fois par sa cousine qui venait tout juste de se mettre en appart avec son copain.
C’était la première fois que nous y allions et je ne s’avait pas à quoi m’attendre.
Sa cousine s’appelle Marie et elle était avec son copain depuis 2 mois à l’époque. Lui était plutôt cool et on s’entendait bien mais sans plus.
J’avais déjà rencontré Marie à une réunion de famille 1 an auparavant, mais pendant cette journée je n’avais pas fait attention à elle plus que ça.
Et en arrivant chez elle pour manger ce soir-là j’ai été un peu étonné de ne pas avoir plus de souvenir.
En effet, c’était une belle brune légèrement plus petite que ma femme, mince mais avec de bien plus gros attributs.
Elle avait un très joli cul mais surtout des seins énormes bien plus gros que ceux de ma femme.
Grace à la suite de mon histoire je sais précisément que ses soutiens-gorges faisaient du 85J (32i US).
Au moment de cette première rencontre je ne pensais ni à quitter ma femme, ni à faire quoi que ce soit avec elle, mais je me souviens mettre dit qu’elle était bien gaulée et que son mec avait de la chance.
Je pense que son débardeur moulant blanc, ses bretelles de soutien-gorge noires qui ressortait légèrement sur ses épaules et son short en jean un peu trop serré y était pour quelque chose.
On a passé un bon moment chez eux, on a bien mangé, et on s’est fixé une autre date pour qu’ils viennent manger chez nous.
Lors du deuxième dîner qui s’est déroulé chez nous 1 semaine plus tard, la situation avec ma femme n’avait pas évolué. Notre relation était plate et le seul évènement de la semaine était ce diner.
A leur arrivé, Marie et son copain nous ont offert une bouteille de vin. Nous leur avons fait visiter l’appartement et nous somme mis à table. Je n’avais pas pu m’empêcher de remarquer depuis leur arrivé que Marie et son copain était distant l’un de l’autre. Comme si ma situation me permettait de sentir qu’il se passait la même chose pour eux.
D’ailleurs la soirée n’avait pas été aussi bonne que la première fois, marie et son copain se sont cherché toute la soirée et on voyait qu’ils étaient un peu gênés.
Tout le monde semblait tendu et l’atmosphère était lourde. On était fin juin un jour de canicule et même le ventilateur ne rafraîchissait pas l’ambiance. Il ne servait qu’à faire voler les cheveux de ma femme et le parfum de Marie.
Marie qui si je me souviens bien avait une jolie robe d’été vert olive avec un dos nu. La robe lui allait très bien et mettait en valeur ses seins avec un beau décolleté.
Ils sont partis tout de suite après le dessert un peu en précipitation et nous n’avions même pas fixé de nouvelle date pour se voir.
Plus tard, après l’été au moment de la rentrée, ma femme a reçu un texto de Marie qui nous invitait à nouveau à manger chez elle mais cette fois un midi pendant le week-end sans plus de précisions.
À ce moment-là la relation avec ma femme était vraiment au plus mal et on tentait de faire les derniers efforts avant notre séparation.
Ma femme a accepté l’invitation de Marie qui semblait ravie de notre venue et bien plus enjouée.
Mais deux jours avant le rendez-vous, on a de nouveau eu une grosse prise de tête, plus importante que toute celle auparavant. C’était la dispute de trop et on s’est préparé le samedi matin.
Je ne sais pas si c’était par habitude ou par envie de tourner la page mais on a tous les deux décidé de quand même aller voir Marie. On est arrivé chez elle et elle nous a ouvert avec un grand sourire.
Elle était habillée avec un pull gris bien ample et un jogging, en lui faisant la bise j’ai remarqué qu’elle avait mis le même parfum que la dernière fois.
Un peu étonné de nous voir ne pas lui sourire en retour elle nous a fait entrer et nous a proposé de se mettre sur le canapé. On s’est vite aperçu qu’elle était toute seule.
Ma femme a d’ailleurs tout de suite demandé ou était son copain et s’il allait nous rejoindre. On s’est assis et elle nous a expliqué que ça faisait 3 semaines qu’elle et son copain avaient rompu et qu’elle n’avait pas aussi heureuse depuis des mois.
Elle nous a raconté en détails comment la relation c’était dégradé avec lui, qu’il voulait tout le temps sortir, qu’il ne s’occupait pas d’elle etc…
Ma femme écoutait Marie et la relançait sur chaque sujet. Et à chaque fois que Marie disait qu’elle était mieux sans lui, ma femme regardait rapidement dans ma direction par reflex.
Avant de se mettre à table je me suis éclipsé à la salle de bain pour me laver les mains et en entrant dans la pièce je suis tombé nez à nez avec du linge en train de sécher.
J’étais perdu dans mes pensées entre la rupture avec ma femme et la nouvelle que Marie venait de nous apprendre. Ce qui fait qu’en poussant le linge pour accéder au lavabo, j’ai vu quelque chose tomber du coin de l’œil.
En me baissant pour ramasser ce que je venais de faire tomber je me suis aperçu que le linge mis à sécher était quasi exclusivement de la lingerie.
Dans ma main ce que j’avais ramassé était un string rouge en dentelle très sexy. Je l’ai vite reposé avec le reste du linge et je me suis lavé les mains pour vite revenir à table.
Ce n’est pas que la vue de la lingerie de Marie me gênait, au contraire, j’ai toujours aimé que ma femme mette de beaux sous-vêtements, mais disons que j’avais autre chose en tête à ce moment.
Je suis revenu dans le salon, et Marie et ma femme qui était en pleine discussion se sont tus d’un seul coup.
Les deux ont tout de suite évité mon regard, je me suis assis à table et Marie c’est levé pour aller chercher le repas.
J’ai compris que ma femme avait dit à Marie que nous venions de nous séparer.
Ma femme a continué à éviter mon regard jusqu’au retour de Marie. Elles ont alors repris leur conversation comme si de rien n’était.
Après le repas, nous sommes retournées sur le canapé et nous avons un peu discuté.
Elle n’hésitait pas à plaisanter sur sa vie de nouvelle célibataire. Elle allait aussi jusqu’à dire qu’elle avait hâte de rencontrer d’autres mecs et de s’amuser un peu.
Au bout d’un moment je commençais à fatiguer car il commençait à se faire tard. Je n’étais plus vraiment présent mentalement jusqu’au moment où Marie a retiré son pull car elle avait un peu chaud.
Sous son pull elle portait un t-shirt rouge et je pouvais voir sans qu’elle n’avait rien en dessous. J’ai pensé en rigolant qu’elle avait justement fait une lessive de tous ses sous-vêtements et qu’elle n’en avait plus à se mettre. Son t-shirt était très étiré sous le poids de sa grosse poitrine.
Quelques dizaines de minutes plus tard ma femme commençait à bailler et j’ai proposé qu’on rentre. J’étais content que Marie soit heureuse et elle aussi nous a fait savoir qu’elle avait apprécié de nous voir tous les deux.
Ma femme a pris Marie dans ses bras et lui disant qu’elle se reverrait bientôt. Puis Marie s’est approché de moi et elle m’a également prise dans ses bras pour me remercier.
Je lui ai retourné ses remerciements et elle nous a simplement répondues « À bientôt ». Sur le coup je n’ai pas accordé plus d’importance à ce « À bientôt » car je pensais déjà au trajet du retour et à ce que je pourrais dire à ma femme pendant le trajet.
Le seul moment agréable de cette journée était le au revoir avec Marie lors lorsqu’on s’est enlacé et où j’ai pu sentir la chaleur du buste de Marie sur mon torse.
Après ça, le retour dans la voiture fut long et silencieux.
En arrivant chez nous, on est directement allés nous coucher chacun dans une pièce différente et le lendemain ma femme est partie.
On avait convenu que je garderais l’appartement et qu’elle en chercherait un autre. Je l’ai aidé à déménager (malgré les différents conflits nous n’étions pas en mauvais termes.).
Il se trouve que le jour où ma femme a fini de déménager, j’ai reçu un message de Marie qui me demandait comment j’allais. Elle avait bien sûr appris par ma femme que nous nous étions séparés et elle voulait prendre des nouvelles.
On a échangé quelques messages et je lui ai expliqué que nous étions en bons termes mais que cela faisait un moment que cela se profilait.
Je lui ai dit en plaisantant que j’allais goûter à nouveau à la vie d’homme célibataire, sans parler de conquête, mais juste en profitant de sortie entre collègues ou autres.
C’est d’ailleurs lors d’une soirée en ville un mardi soir avec des collègues que j’ai croisé Marie dans un bar. Je l’ai aperçue au loin et avant de lui faire signe j’ai vérifié que ma femme n’était pas avec elle. Ce n’était pas par méchanceté mais juste afin de profiter de ma soirée sans me replonger dans cette histoire.
Marie était avec deux autres femmes, mais pas de trace de mon ex. J’ai dit à mes collègues que j’allais saluer une amie et je me suis dirigé vers elle.
Elle m’a aperçu alors que j’étais encore à l’autre bout du bar et elle m’a fait signe la rejoindre. Elle avait l’air d’avoir déjà bu 2 ou 3 verres parce qu’elle avait les joues aussi rouges que son haut de la dernière fois.
Cette fois, elle avait un haut bustier noir qui laissait deviner son nombril, il s’accordait parfaitement avec sa jupe à plis blanche. Ses cheveux étaient attachés et elle avait mis un rouge à lèvre qui dessinait magnifiquement les contours de sa bouche.
Elle a sauté à mon cou pour me faire la bise et m’a demandé comment j’allais. Je lui ai demandé si elle voulait qu’on sorte du bar un moment pour en parler et une fois dehors je lui ai rapidement expliqué ce qu’elle savait déjà, comment ça s’était passé avec ma femme depuis les derniers mois puis j’ai tout de suite écarté le sujet.
Je lui ai demandé comment ça allait pour elle en ce moment et elle m’a dit qu’elle sortait souvent et qu’elle aimait venir avec ses collègues pour boire des coups. Après quelques minutes dehors je voyais qu’elle commençait à avoir froid, ses tétons pointaient énormément et ce n’était pas pour me déplaire mais je lui ai proposé de lui payer un verre et de s’asseoir dans un coin du bar pour continuer à discuter mais elle a dit qu’elle devait bientôt rentrer et qu’elle préférait discuter dans un endroit calme.
Je lui ai demandé si elle était libre dans la semaine et on a convenu qu’elle viendrait chez moi le vendredi de la même semaine.
On a tous les deux rejoint les personnes avec qui on était venu et pendant que les collègues de Marie finissaient leurs verres, on se jetait régulièrement des regards l’un l’autre. Lorsqu’elle est sortie du bar, elle a fait un petit détour pour me dire au revoir et j’ai fini la soirée en éludant les questions de mes collègues qui me demandaient qui s’était.
De retour chez moi en fin de soirée je me posais beaucoup de questions. Qu’est-ce que je devais penser de cette rencontre à l’improviste avec la cousine de ma femme ? Est-ce que croiser Marie était vraiment un hasard ou est-ce qu’elle savait que je serais là ce soir pour venir me parler et tout rapporter cette rencontre à ma femme ? Pourquoi elle ferait ça ?
Puis j’ai fini par juste penser à Marie et à sa compagnie de ce soir. J’avais eu un échange agréable avec elle et j’avais le sentiment de pouvoir lui faire confiance.
Le vendredi soir est finalement arrivé et durant toute la journée j’avais hâte de revoir Marie.
J’avais prévu un cocktail en apéro, des lasagnes maison en repas puis un dessert léger avec salade de fruit et crème brûlée aussi maison.
Je voulais marquer le coup pour la venue de Marie car je ne recevais pas beaucoup de monde pendant cette période.
Marie est arrivé pile à l’heure, je lui ai ouvert et l’ai invité à entrer.
Je découvrais sa tenue du jour avec un peu plus de plaisir que les fois précédentes. Elle avait pris le temps de coiffer ses cheveux et les avaient ondulés. Elle portait une petite robe verte d’été légère à motif à fleurs qui avait le dos nu et qui s’arrêtait juste au-dessus des genoux.
J’ai tout de suite senti qu’elle avait encore mis son parfum et j’ai remarqué qu’elle arborait quelques bijoux en or autour du cou et en boucle d’oreille. Tout ça la mettait énormément en valeur.
Après quelques banalités je lui ai proposé de venir s’asseoir dans le salon où j’avais pris la peine de mettre un vinyle sur la platine.
Elle s’est assise sur le canapé et moi sur le fauteuil à côté. Ses jambes à demi-nue étaient joliment bronzées et semblais très douces. Je me suis surpris à les fixer quelques secondes.
En discutant, elle m’a dit qu’elle était contente d’être là et qu’elle attendait cette soirée avec impatience.
Je lui ai servi un cocktail et nous avons commencé à parler de nos quotidiens respectifs.
Nous avons reparlé de notre rencontre dans le bar et je lui ai dit que je l’avais très belle et qu’elle avait l’air heureuse.
Elle a répondu qu’en tant que célibataire elle appréciait bien les sorties les soirs de semaine.
Je lui ai dit que de mon côté j’avais plus de mal mais que j’avais eu une révélation en la voyant l’autre soir.
Que j’avais de nouvelles envies de voir d’autres personnes et notamment des femmes.
Après avoir dit ça, la conversation a bien sûr tournée autour de la séparation avec ma femme. Je n’étais pas gêné d’en parler avec Marie, je lui ai simplement dit que je ne prenais volontairement pas les nouvelles pour passer à autre chose.
Marie a comparé ça avec son expérience personnelle qui avait pris fin quelques jours avant ma séparation.
Après un autre cocktail je lui ai proposé de venir à table. Elle était ravie de manger les lasagnes que j’avais servies avec un verre de vin.
J’ai remarqué que de la même manière ou j’avais pu fixer ses jambes quand nous étions dans le salon, elle me quittait difficilement du regard lorsque nous étions à table. Je l’ai même surpris à me reluquer plusieurs fois lorsque je me suis levé pour changer la musique.
Puis l’alcool a dû commencer à faire effet sur nous deux car elle parlait de plus en plus de son intimité avec son ancien copain.
Elle disait que le sexe lui manquait mais qu’elle n’avait pas encore fait le pas de recoucher avec un autre mec.
J’ai retorqué que de mon côté le sexe ne me manquait pas autant car nous avions des problèmes pour entretenir la flamme.
Elle avait l’air étonné et il y a eu un blanc pendant quelques secondes. En se penchant pour attraper la bouteille de vin pour se servir un deuxième verre de vin je pouvais admirer l’échancrure qui laissait une vue plongeante sur ses deux obus.
Nous sommes passées au dessert et de mon côté comme du sien la soirée était très agréable.
On a tous les deux plaisanté que cela ressemblait quand même bien à un premier rendez-vous.
Elle s’est absentée à un moment et j’ai débarrassé la table.
À son retour de lui ai demandé si elle voulait manger ou boire autre chose et elle a répondu qu’elle ne savait déjà pas si elle pouvait prendre la route vue ce qu’elle avait bu.
Je lui ai demandé si elle voulait se caler sur le canapé pour discuter tranquillement ou si elle voulait regarder un film le temps de voir si l’alcool re descendrait un peu.
Elle a dit que regarder un film était une bonne idée et nous nous sommes mis dans le salon.
Nous avons rapidement choisi un film mais avant de commencer je me suis éclipsé 2 minutes aux toilettes.
J’avais quitté Marie des yeux mais je ne pensais plus qu’à elle. Marie commençait à m’exciter de plus en plus. Sa robe, ses attributs, son attitude, ce n’était pas de l’amour mais on rigolait ensemble depuis plusieurs heures et je sentais qu’on pouvait se parler de tout.
Je suis revenu dans le salon, Marie avait récupéré une couverture pour se mettre dessous. En début de soirée nous étions éloignés l’un dans le fauteuil et l’autre dans le canapé mais maintenant on était côte à côte sous la couverture.
J’ai lancé le film, ET NON, la suite de la soirée ne s’est pas finie en « Netflix & Chill ».
Même si, au fur et à mesure du film, j’avais de plus en plus envie de lui montrer que je pouvais être plus affectif…
Par contre, pendant le film de son côté elle n’a pas hésité à se blottir contre moi pour pouvoir poser sa tête sur mon épaule.
Nos corps étaient chauds sous la couverture mais elle comme moi n’avions pas l’intention de l’enlever. Nos jambes se touchaient et se croisaient parfois.
Et je pense qu’elle a senti que l’ambiance et la soirée commençais à être ambiguë et que je me retenais de faire ou de dire des choses.
Elle a mis le film en pause pour me dire quelques mots. Des mots très importants pour la suite de l’histoire.
Elle m’a dit en souriant : « Tu sais que je suis dans la même situation que toi actuellement ? Je sens qu’avec une autre femme tu ne serais pas pareil actuellement. Tu m’aurais peut-être déjà proposé de t’embrasser vu la soirée qu’on a passé. Alors je vais te dire : le lien qu’on avait il y a 5 ou 6 mois est différent de celui d’aujourd’hui. On est tous les deux libres de parler à qui on veut ou de voir qui on veut. On est plus en couple. Qu’on se voit en coup de vent dans un bar ou pour un dîner comme ce soir, je veux juste penser au présent. On doit se détendre ! »
Moi qui ne voulais rien dire pour ne pas précipiter les choses ou paraître bizarre, elle avait tout dit alors j’ai seulement répondu : « C’est bien de ça qu’il s’agissait. En fait je pense que je ne voulais pas te mettre dans une position inconfortable. Je suis d’accord avec toi, la situation a changé. Je veux aussi juste voire comment ça se passe et ne pas penser à ce qui est bien ou pas. Je dois t’avouer que je te trouve vraiment belle et qu’avec quelqu’un d’autre je serais sûrement plus à l’aise. Mais maintenant je vais me détendre ! »
On a échangé un regard complice de plusieurs secondes et j’ai remis le film en route. Pendant plusieurs minutes je pensais à ce qu’on venait de se dire. On n’a plus dit un mot jusqu’à ce que le film se termine.
J’ai regardé l’heure et il était déjà 1h30 du matin. Marie a dit qu’elle devait rentrer.
Après notre discussion pendant le film j’étais presque déçu. Maintenant que tout était clair entre nous j’aurais voulu qu’elle reste un peu plus pour voir où ça nous aurait emmenées.
Je l’ai raccompagné jusqu’à sa voiture et on a encore échangé quelques mots avant qu’elle ne parte.
Je lui ai dit : « Merci d’être venu. Je suis content d’avoir passé la soirée avec toi et maintenant que tout est claire entre nous j’aurais presque voulu que tu dormes à la maison. »
Elle m’a répondu : « Je pense savoir ce que tu aurais voulu ! Tu n’as pas arrêté de regarder mes jambes toute la soirée et pendant le film j’attendais que tu fasses un vrai pas vers moi ! Comme je t’ai dit tout à l’heure, si j’avais été une autre femme tu m’aurais déjà embrassé et peut-être même plus. Mais maintenant c’est à moi de t’inviter. Du coup si c’est bon pour toi, tu viens chez moi demain ? Viens à 16h, j’ai un cours de danse avant. On mangera ensemble et t’aura le droit à un cadeau ! »
Marie a fini sa phrase avec un gros clin d’œil puis ma prise dans ses bras.
Alors que mes bras étaient dans son dos, elle les descendus sur sa taille puis sur ses fesses. Je n’y croyais pas. C’était elle qui prenait les devants. Elle m’a fait un baiser volé au coin des lèvres, puis elle est montée dans sa voiture et est partie.
Je suis remonté me coucher mais j’ai n’ai presque pas dormi cette nuit-là. Je n’ai fait que penser à Marie, ses seins, ses jambes et au reste…
Je savais que le lendemain après-midi avec Marie allais être chaud et qu’elle voulait qu’on aille définitivement plus loin.
Au matin l’attente se faisait de plus en plus longue. Et en début d’après-midi en me préparant j’ai pensé à récupérer une boite qui se trouvait dans un tiroir de ma chambre. Une boite un peu spéciale qui n’avait dû servir qu’une fois avec ma femme. J’avais hésité à la prendre par peur de la réaction de Marie mais je me suis dit que si tout se passais comme elle l’avait laissé suggérer, les gadgets que contenait la boite pourrait servir à son cadeau...
Finalement j’étais tellement pressé que je suis arrivé plus tôt que prévu devant chez elle et qu’elle n’était pas encore rentré de son cours. J’ai attendu quelques minutes dans la rue en jetant des regards à gauche et à droite en espérant l’apercevoir.
Elle est arrivée 5 minutes plus tard au bout de la rue et je pense qu’elle ne m’a pas vu directement. Moi je pouvais voir qu’elle était en legging gris très moulant avec une brassière de sport assortie. Ses seins remplissaient son haut et à travers le décolleté on pouvait voir de la sueur faire briller sa peau. On voyait quelques centimètres de son ventre lui aussi luisant de sueur.
Elle avait les cheveux attachés en queue-de-cheval et les joues rouge vu qu’elle venait de faire du sport.
Elle m’a fait la bise et m’a dit : « Et ben ça fait longtemps que tu attends ? Tu étais pressée de me voir ? »
Bien sûr que j’étais pressé, je ne pouvais pas le cacher et à sa manière de le dire je savais ce qui allait se passer ensuite. Je lui ai dit : « Ça fait pas longtemps non. Et oui, j’avais très envie de te voir. Je pense que tu le verras vite quand on sera chez toi.. »
Elle a rigolé d’un air coquin et on est monté dans son appart. Elle a fermé la porte et les choses sérieuses ont commencé.
Je me suis assis sur le canapé et j’ai déposé la boite que j’avais ramenée de chez moi dans un coin au pied de la table basse.
Marie est allée se servir un verre d’eau et pendant qu’elle marchait pour aller à la cuisine je n’ai pas pu m’empêcher de regarder ses fesses moulées dans son legging. La tension était palpable.
Marie m’a dit : « Elle te plaît ma tenue ? »
J’ai répondu : « Oui, ça te met en valeur. Ton cours c’est bien passé ? »
Elle a répondu : « Ne change pas de sujet, tu m’as bien maté là ? Dis-moi ce que tu penses de mon cul ? »
Elle ne voulait pas vraiment discuter apparemment.
J’ai un peu bégayé avant de me reprendre : « Euh, bah je l’aime bien ouais. Est-ce que ça te dérange quand je te mate ? J’ai surtout envie d’en voir plus maintenant. »
J’étais toujours assis dans le canapé et elle s’est avancée doucement vers moi.
Elle m’a dit : « Si tu veux bien je vais aller prendre une douche et après tu pourras en voir plus ! »
Elle m’a embrassé sur la joue et s’est éclipsée vers la salle de bain. Elle est revenu quelques secondes après seulement vêtue d’une serviette.
Elle m’a dit : « Il va faire chaud dans la salle de bain, je laisse la porte ouverte pour aérer, j’en ai pour 15 min ! Tu bouge pas hein !»
C’était clair. J’étais tellement excité de découvrir ce qu’il y avait sous la serviette que je ne tenais plus en place. Pendant qu’elle était sous la douche je me suis levé pour boire un verre d’eau et faire un tour dans l’appart.
En allant pour me rasseoir je suis passé d’abord devant sa chambre où j’ai aperçu le même étendage que la dernière fois. J’ai pu voir plusieurs de ses lingeries qui étaient entendues et cette fois m’attarder un peu sur ce que je voyais.
Il y avait un body blanc très sexy, plusieurs soutien-gorge et culottes dépareillées, le string rouge que j’avais fait tomber et ramassé la dernière fois et plein d’autres sous-vêtements différents.
En voyant la quantité de lingerie j’ai toute suite eu une idée.
Et avant que Marie ne termine sa douche je suis retourné dans le salon en passant devant la salle de bain.
J’avais oublié que Marie avait volontairement laissé la porte ouverte et je suis tombé nez à nez avec Marie complètement nue sous la douche. Elle avait un rasoir en main et se rasait les jambes et la chatte.
Elle m’a vue et a dit : « Et ben t’es vraiment impatient ! Tu vois bien que je me prépare. »
Je n’ai même pas compris qu’elle m’avait parlé. Je fixais sa poitrine énorme complètement trempée, ses jambes rasées et sa chatte encore à demi poilu.
Elle a insisté : « Allez va m’attendre dans le salon maintenant, j’arrive ! »
Je me suis rassis sur le canapé mais je devenais fou à l’attendre. Encore quelques minutes à patienter et j’ai entendu la douche se couper.
Je l’entendais marcher dans la salle de bain et je trépignais d’impatience de mettre mon plan à exécution.
Marie est arrivée dans le salon avec encore seulement sa serviette pour la couvrir.
Elle s’est approchée de moi, avec une main elle tenait la serviette enroulée autour d’elle au-dessus de ses seins et avec son autre main, elle a pris la mienne, l’a posée sur sa jambe et a dit : « Touche ! Tu sens comme c’est doux ! »
Elle commençait à remonter doucement ma main sur sa cuisse en direction de son entre jambe.
Je me suis levé d’un coup juste avant que ma main atteigne sa fente. Elle a d’abord eu un petit sursaut de surprise et elle eut un regard interrogateur.
Je lui ai dit : « Je sais ce que tu veux ! Tu veux enlever ta serviette et tu veux prendre les choses en main ! Et ben ça va pas se passer comme ça ! J’ai bien envie que tu fasses ce que moi je décide. Je vais te dire un truc, déjà la première fois que je suis venu ici j’avais repéré que tu aimais bien la lingerie. Ton étendage en était rempli et je l’ai vu aujourd’hui encore. Donc on va s’amuser. Tu vas aller dans ta chambre, tu vas choisir trois lingeries différentes, et tu vas défiler devant moi pendant que je reste dans le salon. Tu es d’accord ? »
Marie a répondu sans hésitation : « Si tu veux jouer à ça OK, c’est toi qui décides !! »
Elle est de nouveau repartie en me laissant seul dans le salon.
Je l’entendais ouvrir et fermer des placards et des tiroirs. J’étais vraiment très excité qu’elle accepte de suivre l’idée que j’avais eu.
Je l’ai entendu revenir lentement de sa chambre. Elle a passé la porte du couloir vêtu d’un kimono noir en soie qu’elle avait refermé avec la ceinture. Je ne voyais pas encore ce qu’elle avait mis dessous.
Le kimono lui arrivait juste en dessous des fesses et cachait tout juste l’arrière comme l'avant. L’expression sur son visage était très coquine. Elle s’avait qu’elle était sexy et que ce que je voyais me plaisait.
Elle a défait la ceinture du kimono et l’a ouvert d’un coup. Sous le kimono elle avait mis le body blanc en dentelle que j’avais vu tout à l’heure.
Elle a lancé le kimono à côté de moi sur le canapé et je pouvais admirer le body qui lui moulait parfaitement le corps.
Ses seins étaient mis en valeur, toujours aussi gros et sous la dentelle je pouvais voir ses tétons légèrement bruns par transparence.
Mon regard c’est ensuite dirigé vers sa chatte dont on devinait aussi les contours rosés sous le body.
Je lui ai fait signe de s’approcher, je me suis levé et je me suis mis à peloter ses fesses, puis ses seins.
Sa peau était très chaude. Je me suis approché de son cou pour embrasser sa nuque et j’ai senti qu’elle avait remis son parfum.
Je me suis arrêté et lui ai dit : « Tu sais qu’il me rend fou ton parfum ! »
Je l’ai amené sur le canapé et je lui ai demandé de se mettre à quatre pattes. Elle a seulement hoché la tête et s’est mise en position.
J’ai attrapé la boite que j’avais emmenée avec moi et je l’ai ouvert devant elle. Il y avait plusieurs objets érotiques et sexuels à l’intérieur. Du lubrifiant, des menottes, des cartes actions ou vérité, et enfin un plug anal…
Je lui ai montré le plug et je lui ai dit : « Tu connais ? Tu as déjà fait de l’anal ? »
Elle a répondu : « J’ai jamais utilisé de plug, mais j’ai déjà essayé la sodomie avec mon ex sans allez au bout. »
J’ai demandé : « Par douleur ? Tu veux réessayer ? »
Et elle a répondu avec une voix douce : « Nous il n’arrivait pas à bander, Oui vas-y fait ce que tu veux de mon trou ! »
Elle parlait de plus en plus crûment, j’ai pris le plug pour le poser sur la table basse et j’ai posé le reste de la boite par terre.
Je me suis dirigé vers le cul de Marie tout en caressant ses seins à travers et sous son body. Elle commençait à pointer et plus je m’approchais de son cul, plus elle frissonnait. Mes mains ont fait un détour au niveau de ses larges hanches et au niveau de sa chatte fraichement rasée et fraîchement douce.
Je commençais doucement à la caresser et à sentir qu’elle faisait des va-et-vient pour se frotter à ma main.
Je me suis mis complètement derrière elle et j’ai commencé à caresser son anus par-dessus son body.
Plus je caressais son trou, plus Marie s’appuyais en arrière. Elle voulait aller plus vite.
Alors j’ai pris le plug qui était sur la table basse pour le mettre dans sa bouche. Je voulais qu’elle le lubrifie avec sa salive pendant que je m’occupais de dilater son cul.
J’ai décalé le body pour pouvoir enfoncer un premier doigt dans son cul. Elle a gémi de plaisir à ce moment-là mais c’était étouffé à cause du plug qu’elle avait dans la bouche.
Je faisais des va-et-vient avec mon doigt de plus en plus rapide, puis je suis passé au pouce.
Tout en continuant de dilater son trou avec une main, je me suis penché pour attraper un de seins et jouer avec son téton.
Elle gémissait de plus en plus.
J’ai retiré mon doigt de son cul, j’ai récupéré le plug qui était dans sa bouche. Il était complètement trempé de bave.
Je l’ai pris et j’ai commencé à doucement l’insérer dans son anus. Après quelques hésitations j’ai senti qu’elle prenait une grande inspiration et le plug est rentré d’un seul coup.
Marie a poussé un léger soupire de plaisir.
Pendant plusieurs minutes, j’ai joué avec le plug en le poussant et en le tirant d’avant en arrière sans jamais le sortir.
Je me suis assis sur le canapé et lui ai demandée de se mettre sur moi à califourchon.
Je pouvais tenir ses fesses ou ses cheveux (que je tirais légèrement) avec une main tout en jouant avec le plug de l’autre et tout en ayant ses seins directement devant les yeux. J’avais écarté le body au niveau de ses seins pour pouvoir sucer le bout de ses tétons qui était délicieux et bien dur.
Elle poussait de petits cris de plaisir très sexy dans mon oreille tout en posant ses mains sur mon torse et en me caressant jusqu’au bas-ventre.
Alors j’ai décidé de passer à la suite.
Je l’ai fait se relever et je lui ai dit : « C’était la première partie. Je veux que tu reviennes avec la deuxième lingerie et je veux que tu gardes le plug jusqu’à ton retour ! »
Marie a remis ses cheveux en place et m’a dit : « Tu vas pas être dessus ! »
Elle a récupéré le kimono qui était à côté de moi et je l’ai regarder repartir et je pouvais voir le bout argenté du plug sous son body.
Elle est retournée se changer et j’ai à peine pu me remettre mentalement de ce premier acte que 2 minutes après je l’ai entendu revenir.
Elle a à nouveau passé la porte du couloir avec son kimono fermé pour que je ne vois pas ce qu’il y avait en dessous.
Cette fois, elle a lentement défait la ceinture pour simplement laisser tomber le kimono à ses pieds.
En dessous elle avait mis un ensemble soutient gorge et string rouge en dentelle. Le même string que j’avais vu déjà deux fois sans savoir que je le verrai une troisième fois dans ce contexte.
Son soutien-gorge avait du mal à contenir ses gros seins à tel point que les tétons dépassaient de chaque côté.
Je lui ai demandé de s’approcher pour que je puisse voir que le plug était toujours là.
Elle s’est tournée et s’est penchée complètement en avant. Etant donné que j’étais encore assis sur le canapé, j’étais pile à la bonne hauteur pour voir le plug dépasser de son string.
Pendant qu’elle était penchée, j’ai encore joué avec le plug en appuyant dessus à plusieurs reprises.
Je lui ai dit : « Maintenant c’est à moi de kiffer ! » j’ai retiré mon t-shirt et je l’ai fait se mettre à genoux devant moi pendant que j’étais encore assis sur le canapé.
J’ai commencé à défaire mon pantalon et elle s’est empressée de venir pour finir de me l’enlever. Je bandais déjà beaucoup mais lorsqu’elle a posé ses mains sur ma queue, je suis devenu super dur.
Elle a retiré mon caleçon pour commencer à faire quelques mouvements lents en serrant fermement mon membre avec ses mains.
Elle me regardait dans les yeux tout en continuant les allers-retours. Je pouvais voir qu’elle adorait me donner du plaisir. Elle a ensuite lentement approché sa langue pour commencer à lécher délicatement mon gland.
Sa langue était brulante de plaisir et chaque coup était très agréable.
Elle a vite compris que j’adorais ça et à continuer en donnant des coups de langue de la base de mes couilles jusqu’au bout de mon gland. Elle augmentait progressivement la cadence.
Avant de continuer, je me suis penché sur le kimono qui était par terre pour récupérer la ceinture.
J’ai posé la ceinture qui faisait un bandeau de soie sur les yeux de Marie pendant qu’elle remettait la bave qui était sur ses lèvres dans sa bouche tandis que je serais le bandeau.
Maintenant qu’elle avait le bandeau, je me suis mis debout et j’ai mis Marie à genoux sur le canapé à hauteur de ma queue. J’ai pris ses mains pour les poser sur moi et la laisser chercher le chemin de ma bite.
Elle a rapidement posé ses mains dessus et a tout de suite mis mon gland dans sa bouche. Elle m’a sucé pendant 5 min sans enlever ma bite de sa bouche. Ses lèvres étaient hermétiques et elle enfonçait la moitié de ma queue dans sa bouche.
Elle s’est stoppée pour faire sortir ses seins de son soutien-gorge et reprendre sa respiration, puis elle a mis chaque meule à gauche et à droite de ma bite pour me branler avec. Ses seins étaient parfaits pour recouvrir complètement ma bite. Pendant que ses seins faisaient des va-et-vient j’en ai profité pour mettre deux doigts dans sa bouche pour qu’elle continue quand même de sucer.
Elle a repris ma bite dans sa bouche avec encore plus d’envie. Elle suçait de plus en plus profondément et avec toujours plus de vigueur.
Elle arrivait presque jusqu’à mes couilles et je commençais à sentir que je ne tiendrais pas beaucoup plus à ce rythme. Au moment où je me disais ça, Marie a pris mes mains pour les poser derrière sa tête au niveau du nœud que j’avais fait avec le bandeau.
Elle a posé les siennes sur mes fesses et je sentais qu’elle appuyait de plus en plus pour pouvoir rentrer encore plus ma queue dans sa gorge. La pression sur sa bouche était de plus en plus grande et chaque mouvement est devenu bruyant et baveux. Mes bourses tapaient maintenant contre son menton.
Je ne pouvais plus me retenir, alors au moment où ma bite était le plus profond possible je me suis vidé dans sa gorge.
J’ai fait un gémissement de plaisir à chaque éjaculation pendant qu’elle laissait s’échapper de légers sons de déglutition. J’ai retiré ma bite de sa bouche en laissant tout mon sperme et elle a avalé le reste de la semence qui n’était pas déjà dans sa gorge.
Elle était tremblante d’excitation et pendant qu’elle reprenait son souffle, je lui ai enlevé le bandeau des yeux pour le jeter sur le canapé et je lui ai demandé avec un sourire : « Ça va ? Tu veux faire une pause ? »
Elle me dit avec une voix encore haletante : « Tu rigoles ? Tu m’as tellement chauffée, le troisième round sera pour moi ! »
Je me suis réassis sur le canapé, elle s’est relevée et a repris le kimono pour aller se changer une troisième fois.
Pendant ce temps je tentais de me ressaisir. Marie était trop bonne, même dans mes rêves je n’aurais pas imaginé qu’elle était aussi cochonne.
Elle a mis plus de temps que les fois précédentes à revenir dans le salon. Mais entre-temps je n’avais pas débandé.
Cette fois, je l’ai entendu venir depuis sa chambre. En effet, le plancher claquait sous les talons qu’elle avait mis pour accompagner la dernière lingerie.
Quand elle a passé la porte, attirée par le son de ses pas j’ai d’abord posé les yeux sur ses jambes qui étaient habillées de bas noire attachées à un porte-jarretelles en dentelle également noir. Son kimono était entrouvert, car la ceinture qui avait servi de bandeau était à côté de moi, donc je pouvais déjà deviner ce qu’elle avait ou n’avait pas sur elle.
Ses seins étaient nus sans soutien-gorge. Je pouvais voir ses tétons qui pointaient encore à mort.
Elle s’est approchée de moi avant que je ne puisse bouger ou parler.
Elle m’a dit en me prenant la main : « Regarde comment tu m’as fait mouiller, ça fait 5 minutes que je suis partie et je dégouline encore ! Alors maintenant tu vas me baiser ! »
Marie avait guidé ma main jusqu’à son entre-jambe qui était un string très sexy ouvert au niveau de sa chatte. Elle était trempée de cyprine et en glissant mes doigts au niveau de son clito je pouvais sentir qu’il était gonflé et sensible, car elle avait tressailli quand je l’ai effleuré.
Elle a pris ma main et s’est mise à sucer mes doigts qui étaient encore couverts de sa mouille.
Pendant que j’étais encore assis sur le canapé et qu’elle se tenait debout en léchant mes doigts pour en retirer chaque goutte, j’ai entrepris avec mon autre main de me glisser au niveau de son cul pour voir si elle avait toujours le plug en place.
Le plug était bien là encore enfoncé dans son orifice. En jouant avec, Marie poussait des petits rugissements de plaisir et serais sa bouche autour de mes doigts.
Tout à coup, tout en me repoussant contre le fond du canapé, elle s’est installée en position à genoux avec une jambe de chaque côté de moi pour me chevaucher.
Sans encore que je la pénètre, elle frottait son clito à ma queue qui n’avait pas débandé. Ça chatte était toujours aussi baveuse de sécrétion et il n’y avait presque aucun frottement.
J’avais ma tête pile entre ses deux gros seins et pendant ses mouvements je léchais et j’attrapais parfois un de ses tétons.
Je serais une de ses fesses avec ma main pendant que j’appuyais sur la base du plug encore dans son cul avec l’autre. J’entendais ses soupirs à côté de mon oreille qui devenait de plus en plus forts à mesure que la pression que j’exerçais sur le plug augmentait.
Marie arrêta sa chevauchée, elle se retourna pour être dos à moi mais toujours en me chevauchant, puis elle prit ma bite avec sa main et elle la glissa à l’entrée de sa chatte. Elle a fait un léger mouvement de bassin pour que mon gland entre dans son orifice et les lèvres de sa chatte étaient tellement lubrifiées que ma queue est rentrée sans effort jusqu’aux couilles.
Elle a lâché un gémissement : « Oooh oui !! C’est bon !! »
S’en ai suivi 5 minutes intense de rodéo ou elle sautait sur moi comme si elle était sur un étalon en plein galop.
Plus les rebonds sur ma bite était rapide, plus elle en redemandait, ses seins et ses cheveux sautaient en faisant un balancement magnifique.
Je la tenais par la taille en m’accrochant à son porte-jarretelles pour accélérer les mouvements de haut en bas.
Et d’un coup elle s’est mise à trembler de tout le corps et à jouir frénétiquement. Pendant 20 secondes après chaque tremblement elle retombait sur mon membre, ce qui la faisait trembler à nouveau.
Les tremblements se sont calmés et elle m’a dit : « Ooh putain oui ! Oh tu m’as fait jouir comme jamais putain ! »
Elle m’excitait à mort et je ne voulais pas en rester là, j’avais envie de passer encore au niveau supérieur.
J’ai répondu : « T’en veux encore ? J’ai bien envie de te refaire jouir si t’aimes ça ! »
Je me suis couché sur le canapé pendant qu’elle était encore sur moi, je l’ai agrippé par les cuisses pour la faire pivoter et qu’elle se retrouve de nouveau face à moi. J’ai embrassé ses jambes pendant que je les faisais passer au-dessus de moi et tout en restant toujours en elle je me suis levé pour la prendre contre le mur.
Elle s’est mise à serrer ses jambes autour de moi et ses bras autour de mon cou. Nous étions luisants de sueur et je pouvais goûter sa peau salée en embrassant son cou. Elle m’embrassait en retour pendant que je lui mettais des coups de reins toujours plus rapides.
Je l’ai prise comme ça pendant quelques minutes mais elle me serrait de plus en plus fort et je commençais aussi à fatiguer alors je l’ai doucement reposé sur le canapé.
Je l’ai allongé sur le ventre, j’ai rejoint ses mains dans son dos et je les ai attachées avec la ceinture du kimono qui traînait à côté.
Je me suis mis derrière elle et pendant que je la pénétrais, j’observais le plug dans son cul qui était là depuis presque 1h maintenant. Son anus qui paraissait étroit était tout dilaté et en tirant à peine dessus il est sorti de son cul sans effort.
J’ai dit à Marie : « Ton cul est prêt, je crois que je vais te la mettre ! »
Elle a répondu : « Oui vas-y, je veux que tu le prennes et que tu jouisses dedans ! »
Marie était toujours attachée donc je l’ai prise par les hanches pour la mettre sur ses genoux et qu’elle soit cambrée le plus possible. Sa tête était posée contre l’assise du canapé vu que ses bras étaient dans son dos.
J’ai fait quelque va-et-vient dans sa chatte pour que ma bite soit bien lubrifiée avec sa mouille puis j’ai posé mon gland a l’entré de son anus.
Je suis rentré dans son cul de quelques centimètres pour ressortir et retourné dans sa chatte et re-lubrifier ma bite.
À chaque fois que je sortais de son cul elle lâchait un petit cri de plaisir, puis je suis rentré complètement en elle à nouveau jusqu’aux couilles.
Son cul était serré même s’il était bien dilaté mais elle n’avait pas mal et je n’avais aucun problème à faire de grand aller-retour pour enfoncer à chaque fois la totalité de ma bite.
Dans cette position je pouvais en même temps soit caresser son clito, soit lui mettre plusieurs doigts dans la chatte.
Je continuais de l’enculer tout en alternant la pénétration de mes doigts dans sa chatte et les caresses sur son clito. Le rythme de mes allers-retours sur sa vulve était devenu très soutenu.
Je sentais que Marie n’était pas loin de jouir à nouveau alors j’ai intensifié la fréquence du pilonnage de son cul.
Je voulais la faire jouir avec son clito et au moment où elle a eu son orgasme, ses tremblements ont fini de me faire venir et j’ai vidé une deuxième fois mes couilles en elle mais cette fois tout à fond de son cul.
Elle gémissait à chaque tremblement pendant que ma bite était encore profondément dans son cul.
J’étais épuisé et pendant que ces tremblements se calmaient, j’ai retiré ma bite et j’ai détaché ses mains.
Marie s’est mise sur le dos sur le canapé.
Elle m’a dit : « Putain tu nous as fait jouir en même temps ! Il t’a plus mon cul on dirait ! »
Elle était essoufflée et en sueur. Mon sperme commençait à couler de son cul et avant qu’il ne tache le canapé elle s’est mise un doigt dans le cul pour le boucher.
Elle se tortillait sur le canapé pour se replacer et surélever son cul pendant que j’allais chercher des mouchoirs.
Quand je suis revenu, je l’ai vu à moitié les jambes en l’air faisant plusieurs allers-retours avec son doigt entre son cul et sa bouche pour gouter ma semence qui dégoulinait.
Je lui ai dit : « T’es une grosse cochonne en fait ! Si j’avais encore du jus à te donner, je te le donnerais volontiers ! »
Elle a répondu : « C’est la première fois qu’on me baise comme ça, tu m’as donné chaud, je vais me doucher ! »
Du coup, il n’y a pas eu de 4eme round, Marie est partie se relaver, elle sortit de la salle de bain et je suis aussi allez prendre une petite douche. On s’est rhabillé et on a commandé un truc à manger vite fait.
La soirée est passé sans plus de rapprochement affectif, nous ne nous sommes pas non plus évités mais je suis rentré chez moi le soir en remerciant Marie pour cette après-midi. Remerciements qu’elle m’a rendus, puis les jours d’après on a chacun eu des obligations nous empêchant de nous revoir et les deux ou trois fois où on avait prévu de se revoir l’un ou l’autre avait eu un empêchement de dernière minute.
Finalement, on a tous les deux faits d’autres rencontres assez rapidement.
Du coup, cette après-midi de baise bestiale était cohérente avec ce que nous avions dit la veille au diner chez moi.
C’étaient simplement des ébats entre deux personnes qui se désirent, pour nous deux, c’était le déclic qu’il nous fallait pour aller de l’avant.
La vie a fait que quelques mois plus tard j’ai recroisé ma femme par hasard en ville et que nous avons pu discuter quelques minutes. Puis nous nous sommes revus pour un café, puis un verre, puis un dîner, etc…
Nous avons tout de suite mis les choses aux claires sur tous les points de discorde qui nous avait poussés à la séparation. Le sexe étant pour moi maintenant un point très important à ne pas négliger.
Et depuis nous sommes heureux ensemble et nous avons pu reproduire à mainte reprise l’après-midi que j’avais eu avec sa cousine sans qu’on n’en ait jamais parlé bien sûr !
D’ailleurs, sa cousine a ensuite redéménagé et aujourd’hui on ne se croise qu’une fois tous les 2 ou 3 ans sans échanger un mot sur ce qui c’était passé…

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