La dame en noir et son petit chien (Chapitre 1) - histoire érotique

Pour maintenir un physique athlétique durant mes études, je me suis inscrit dans une grande salle de sport de ma ville. Je m'étais fait un programme alimentaire et un programme biomécanique afin de favoriser mon hypertrophie musculaire. Cela se remarqua au fil des ans, car les étudiantes, un peu en feu, voulaient toutes coucher avec moi. C'était assez simple : j'étais dans une école d'infirmiers, donc 95 % des étudiants étaient des femmes.

Mais je ne voulais pas créer une réputation de baiseur. Je veillais à mon image, même s'il y a des périodes où j'avais besoin d'évacuer mon stress autrement que de porter des haltères. De plus, j'ai toujours été un peu attiré, durant cette période, par les femmes plus âgées. Cette différence générationnelle m'excite beaucoup. Attention, des femmes âgées, mais entretenues, classes, coquettes !

Je m'égare un peu, mais il est important pour le lecteur de savoir comment j'ai rencontré cette dame en noir un jour d'automne. J'étais en plein stage, qui se passait un peu comme tous les stages d'infirmiers : souvent... mal !

Entre les frustrations des équipes et mon ras-le-bol de ces études, le moyen de décompresser était de partir à la salle et de m'entraîner pour ne penser à rien d'autre.

En revenant de stage un jour, d'humeur joyeuse car j'avais bien réussi mon stage, sur ma route se trouvait une femme d'une quarantaine d'années, fine, bien habillée, avec des petits talons, en train de promener son petit chien blanc.

Je m'arrête un instant à son niveau et je lui dis :

— Vous avez un très beau chien, Madame !
— Oh merci, moi aussi je le trouve charmant.
— Mais sa maîtresse est encore plus charmante !
— (Elle rigole) Mais enfin, jeune homme ! Ne me dites pas que vous êtes en train de me draguer tout de même.
— Un peu... Je vous trouve très attirante !
— (Elle rigole) Ah bon ?
Et au moment de continuer à entretenir la conversation avec elle, des amies au loin m'ont reconnu et scandent mon prénom en hurlant.
— Je pense qu'on vous attend, jeune homme !
— Oui, je vais y aller, vous passez souvent par ici ?
— De temps en temps !
— À bientôt alors !
— Oui, c'est cela, jeune coquin.
(Je rigole en la regardant dans les yeux) et je pars rejoindre mes amies.

Des jours passent, ma routine fait que j'en ai juste parlé à mon meilleur ami de cette histoire, et je ne la revis plus jamais dans ce quartier calme.

Nous sommes au mois de mai. Ce jour-là, j'ai congé, et pour éviter de m'entraîner à 17h quand la salle est remplie, je décide d'y aller le matin. Ce jour-là, je suis en train de réaliser ma séance pecs/dos. Bien congestionné, focus sur mes temps de repos, je ne pense qu'à cela.

Quand tout d'un coup, au niveau des machines "abdos", je sens qu'on me fixe. Je regarde la personne. Et je vois une dame d'1m60, en T-shirt blanc qui laisse transparaître des seins refaits, avec un bonnet D. Fine, avec un legging noir.

Avec un grand sourire, je décide d'aller la voir.

— Mais non, lui dis-je ! La belle dame, mais comment allez-vous ?
— Tiens, encore vous, me dit-elle avec un sourire.
— En fait, moi c'est Maxime, enchanté, et vous ?
— Monique, enchantée, Maxime.
— Monique, vous venez souvent à la salle de sport ?
— De temps en temps, me dit-elle.
— Oui, je le vois, pas besoin avec votre beau corps.
— Mais dis donc, jeune homme ! Doucement enfin, on ne se connaît pas.
— Je ne décris que ce que je vois.
— Bah vous n'êtes pas mal non plus, hein, physiquement, je vois qu'on s'entretient !
— Merci Monique, Monique, ça te dérange pas qu'on se tutoie ?
— Non, tu peux me tutoyer, Maxime.
— Tu fais juste une séance abdo aujourd'hui ?
— Non, j'aimerais bien faire du squat, mais j'ai peur avec la barre libre de faire un mauvais mouvement.
— Au pire, je te suis derrière.
— (Elle commence à rigoler, ah bon ?)
— Je lui fais un sourire, non mais de façon sérieuse.
— Let's go, me dit-elle.

— Au fur et à mesure qu'elle charge la barre de squat, elle vient se frotter sur mon short. Et je commence tout doucement à devenir dur.

— Il n'y a pas qu'une barre que je sens, me dit-elle en rigolant doucement. Visiblement, je te plais, petit coquin, me souffle-t-elle une fois l'exercice terminé.

— Dès le premier jour où je t'ai vu !

— OK, t'es venu comment, l'étudiant ?

— À pied, pourquoi, Monique ?

— Tu veux retourner avec moi ? Je suis en voiture.

— Oui, avec plaisir !

— Juste passe sous la douche avant et frotte bien ta queue, me fait-elle avec le sourire.

— Dans ma tête, c'est l'explosion : comment ça, une femme d'une quarantaine d'années, bien fraîche et timide en même temps, vient me dire cela, en toute détente ?

— Oui, Madame, l'interloqué-je.

— Madame, Madame... sourit-elle.

— En me lavant, je suis tout excité, heureusement que je suis seul dans la douche de la salle de sport. Car je bande dur, mais vraiment !

En descendant les escaliers, elle m'attend devant la porte d'entrée de la salle de sport. En faisant chemin jusqu'au parking, elle me dit qu'elle est célibataire, maman d'un ado de 16 ans. Jusqu'au moment où un récent 4x4 BMW s'allume dans le parking mal éclairé.

— Alors, mon petit Maxime, s'approche-t-elle de moi. Tu me plais auss...

— Et je l'embrasse tendrement sa bouche, pour finir par lui bouffer la bouche. Et lui lécher le cou.

— Je sens qu'elle est excitée aussi, limite femme fontaine, car à travers son legging noir, je vois comme une substance blanche sortir.

— Je lui fais : Niaaaaam !

— Elle me dit : Attends ! Ça fait combien de temps que tu n'as pas éjaculé ?

— Euuuh, une semaine facile !

— T'es beaucoup trop excité, Maxime, je veux m'occuper de toi maintenant, sors ta queue !

— Wouah, j'ai rarement fait des plans voiture, et voilà qu'une inconnue va s'occuper de moi sur un vieux parking.

— Je sors ma queue, déjà bien dure, de mon short.

— Elle me regarde en me disant : Hmm, ça c'est une queue bien virile ! Et elle commence à me gober le gland tout en salivant et tenant mes couilles chaudes dans sa main.

— Je ne fais que des soupirs dans sa voiture... Monique, je peux terminer où ?

— Au fond de ma gorge ! Quelle question...

— Au moment où elle me dit cela, j'ai un contraste entre la femme que j'ai vue habillée toute classe et la salope qu'elle est au lit ! Tout ce que j'aime.

— Je commence à lui baiser la bouche avec ma queue circoncise, jusqu'au moment où je lui lâche toute la sauce que j'ai.

— Elle me suce jusqu'à la dernière goutte, avale la moitié et me montre le reste qu'elle a pris dans sa bouche avant d'avaler !

— Je suis tout excité, car aucune partenaire de ma génération n'a encore avalé ma semence.

— Monique ! T'es extrêmement excitante, lui dis-je !

— Merci Maxime, maintenant, je veux que tu t'occupes de moi ! Mais pas ici, on va aller dans mon appartement pour prendre tout le temps qu'il faut. Mais avant ça ! Je veux que tu me fasses plaisir !

— Je t'écoute, tu vas pas me bouffer la chatte, je conduis, j'ai avalé ta semence sucrée, je veux que tu goûtes la mienne maintenant.

— Elle sort de son sac son string qu'elle a porté, parfumé, avec des traces blanches.

— Ouvre ta bouche, me dit-elle.

— Euuuh, je sais pas si c'est mon délire, Monique.

— Si tu veux qu'on s'amuse, faut que tu me fasses plaisir comme je l'ai fait pour toi.

— Et elle m'a mis son string parfumé en bouche. Mâche-le bien, Maxime !

— En conduisant, elle a pris ma main et m'a demandé de la doigter tout en léchant mes doigts humides à chaque feu rouge.

— Alors, ça te plaît ? Tu pensais vraiment que j'étais la femme célibataire sage ?

— Tout au long de la route, je n'étais pas excité d'avoir son string en bouche. Mais je savais que j'allais la baiser comme il faut ! Pour qu'elle comprenne qu'il y a un seul partenaire dominant. Et ce n'est pas elle !

— Je sens que tu vas me baiser et non me faire l'amour, Maxime ! Me dit-elle en se garant devant un immeuble.

— Tu verras, Monique 🥵

(Prochain épisode - Monique 2)