La déchéance d'Horty Partie 1/4

- Par l'auteur HDS MrLouis -
Récit érotique écrit par MrLouis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : La déchéance d'Horty Partie 1/4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La déchéance d'Horty Partie 1/4
La déchéance d'Horty Partie 1/4
  
par MonsieurLouis





Préambule :


Le texte suivant est une fanfiction pornographique mettant en scène la youtubeuse/streameuse Horty aka HortyUnderscore. Ce récit de 100 pages est strictement réservé aux adultes avertis, il contient des scènes très crues et pornographiques. Ce texte est libre et partageable (tant que vous modifiez pas le contenu) , et a été partiellement rédigé par une IA (30 % du récit).
- Je recherche des traducteurs bénévoles pour le traduire en anglais et dans toutes les langues possibles.
- Je recherche aussi des illustrateurs bénévoles.
Cette fanfiction ne contient pas de scènes pédopornographies, ni zoophiles, ni scatologiques. Tous les personnes décrit dans ce texte sont majeurs. C’est une fiction, loin de la réalité.



 
1er chapitre : Horty et son modérateur de Twitch.

Louis avait passé des mois à infiltrer la vie d’Horty. Hack après hack, mot de passe après mot de passe, il s’était glissé dans chaque recoin de son existence sans qu’elle ne s’en doute une seule seconde. Comptes bancaires, réseaux sociaux, plannings, il possédait tout.  
"Merci pour le sub, Louis !" Elle buta sur le pseudo, mélangeant les lettres comme d’habitude.


Et maintenant, il venait d’être promu modérateur sur son stream Twitch. Horty souriait à son chat, les cheveux en désordre, son pull trop large glissant légèrement d’une épaule. Pas de faux-semblant, juste elle, maladroite, un peu perdue dans ses propres notifications.  
Derrière son écran, il serra les dents. La patience était une vertu. Bientôt, elle comprendrait.  

Elle se pencha pour attraper sa bouteille d’eau, le tissu de son pull se tendant à peine. Quelques dons apparurent dans le chat. Louis enregistra chaque nom. Ils ne dureraient pas.  
Horty était sienne. Elle respirait, bougeait, existait parce qu’il le permettait. Elle le découvrirait assez tôt.
 
 Louis avait réussi à gagner la confiance d'Horty et, au fil de leurs discussions platoniques, une complicité s'était installée. Lorsqu'il l'a complimentée sur sa façon d'animer ses lives, elle n'a pas hésité à le nommer chef de ses modérateurs. C'était un signe fort de confiance qu'elle lui accordait.
 
 Alors qu'il souriait en voyant la notification sur son écran : "Horty vous a promu super modérateur en chef", son cœur battait la chamade. Leur conversation sur Discord clignotait encore en arrière-plan, remplie d'échanges sincères. Elle avait été tellement reconnaissante pour ses conseils, lui adressant même une série d’émojis cœur en disant : "T'es vraiment le seul qui comprenne comment je veux gérer mon chat."
 
 
 Louis, avec une précision glacée, avait répondu : "C’est normal. Ton stream a quelque chose que les autres n’ont pas." Mais Horty, toujours un peu hésitante, lui avait envoyé un vocal : "T’es sûr ? Parce que des fois je me dis que je fais n’importe quoi, haha…"  
 
 Louis, les yeux rivés sur l’écran, relisait pour la dixième fois son accès à son compte bancaire. Dans un murmure, il avait dit : "Fais-moi confiance." Puis, avec détermination, il ajouta : "Je te prouverai." Elle ne savait pas encore comment. Mais elle apprendrait.
 


Après plusieurs semaines de conversations, Horty trouve Louis de plus en plus sympathique et gentil. Un soir, allongée sur son lit, les jambes balançant dans l’air, elle pianote sur son téléphone en riant. La lumière de l’écran éclaire son visage, à moitié enfoui dans l’oreiller.


"T’es trop drôle sérieux," avait-elle envoyé, ajoutant un GIF de chat qui éternue. Louis, de son côté, regarde la bulle "en train d’écrire..." apparaître et disparaître plusieurs fois. Il imagine ses sourcils froncés, sa langue entre les dents, réfléchissant trop pour un simple message. Soudain, son téléphone vibre.


"Ça te dit qu’on s’appelle ? J’ai envie d’entendre ta voix." Elle, absorbée par la légèreté de l'instant, ne réalise pas le piège qui se referme lentement autour d'elle. Louis laisse passer dix secondes avant de répondre.


"Si tu veux." L’appel arrive aussitôt, et elle a ce rire nerveux, ce souffle un peu précipité qui traduit son excitation. À ce moment-là, elle est trop bête et stupide pour comprendre les réelles intentions de Louis, qui, tout en jouant le jeu, sait parfaitement comment l’attirer davantage dans son filet.


"Désolée, je suis bizarre ce soir, j’ai bu un peu de vin…"
Il sourit, le pouce caressant le bord de son clavier. "T’es mignonne quand tu es comme ça." Elle rougit, il l’entendit dans sa voix. "Oh, arrête…" Mais elle ne raccrocha pas. Elle ne demandait jamais à partir. Pas quand il lui parlait des dons "bizarres" qu’elle recevait, des modérateurs qu’il avait dû bannir. Pas quand il lui rappelait, doucement, à quelle heure elle avait oublié de prendre ses médicaments.  

Horty bâilla, inconsciente. "Tu me rassures, tu sais." Il ferma les yeux. "Je sais." Le piège était déjà refermé.  
Horty étira ses bras au-dessus de sa tête, le tissu fin de son débardeur remontant légèrement pour effleurer la peau nue de son ventre. "T’es encore là ?" murmura-t-elle, la voix traînante de fatigue.

Louis ne répondit pas tout de suite. Il écoutait le froissement des draps, le son de ses ongles grattant à peine le tissu du smartphone. Elle bougeait encore, inconsciente de l’attention absolue qu’elle recevait.
"Je suis toujours là," dit-il enfin, plus bas. "Tu devrais dormir."

Elle grogna, un petit bruit de protestation enfantin. "J’ai pas envie." Puis, après un silence : "Parle-moi encore. De n’importe quoi."
Il se permit un sourire. "Tu veux que je te raconte comment j’ai modéré ton chat aujourd’hui ? Ce type qui t’a envoyé des messages privés…"
Elle se raidit imperceptiblement. "Quoi ? Quel type ?"
"Rien de grave," mentit-il, doigts tapotant l’écran de son autre téléphone, celui où il avait créé le faux compte. "Juste un obsédé. Je m’en suis occupé."

Horty exhala, soulagée. "Putain… merci."

"T’inquiète pas." Il ajusta le volume pour mieux capter chaque respiration. "Je prends soin de toi."
À l’autre bout de la ligne, elle sourit, paupières lourdes. Elle ne voyait pas l’écran s’allumer dans l’obscurité de sa chambre, la notification du virement qu’il venait d’annuler. "T’es le meilleur," murmura-t-elle.
Et elle s’endormit comme ça, le téléphone serré contre son oreille.
Louis raccrocha doucement.


La suite serait encore plus facile.


2eme chapitre : Horty et ses vidéos compromettantes

Un jour, Horty contacte Louis, désespérée à cause d'un problème sur son PC personnel, le seul ordinateur auquel Louis n'avait pas accès. En pleurs, elle le supplie de l'aider, ayant perdu des fichiers de sa dernière vidéo YouTube. Elle lui donne accès à son PC, et après quelques manipulations, il retrouve ses fichiers. Ravie, elle lui propose de boire un verre ensemble, mais Louis refuse ; La surprise se lit sur le visage d’Hortense.  


Le lendemain, alors qu'elle est en déplacement pour une opération commerciale avec Samsung, Louis en profite pour fouiller dans le PC personnel d'Horty. Il découvre des fichiers vidéo cryptés très étranges, son intérêt piqué.  
Installé devant son propre ordinateur dans sa villa, il scrute les dossiers qu'elle pensait sécurisés. Les mots de passe étaient d'une simplicité déconcertante, son anniversaire, suivi de "123". Amateur.


En naviguant, il tombe sur un dossier intitulé "YT_archives", mais il est attiré par un répertoire caché nommé "X.private". Curieux, il commence à déchiffrer les fichiers cryptés.  

Un rapide script plus tard, les vidéos s'ouvrent. La première le choque : elle apparaît, cheveux en bataille, chemise de nuit remontée sur ses cuisses, doigts enfoncés profondément en elle-même devant la webcam. Les notifications de donations affluent tandis qu'elle haletait, les yeux vides, remerciant ses fans : "Merci pour les 50 euros, mon amour… je peux… je peux aller plus loin si tu veux…"


Louis arrête la lecture, étonné et surpris, hésitant entre fascination et dégoût. Il ouvre le second fichier. Plus récent, il montre Horty en larmes, les joues ruisselantes, suppliant la caméra pour obtenir de l'argent : "S'il vous plaît… j’ai besoin des sous pour l’appart…", Le troisième est encore pire, Horty discute avec Baghera et arrive à lui soutirer 10.000 euros.  


Fermant les vidéos, Louis copie le dossier entier sur sa clé USB avant de supprimer toute trace de son passage. Quand Horty rentrera, triomphante après sa réunion, elle ne remarquera rien. Mais maintenant, Louis a bien plus qu’une simple adresse : il connaît ses faiblesses, et il compte bien s’en servir.


Louis envoie des mails anonymes pour détruire les activités d'Horty, son objectif étant de lui faire perdre de l'argent. Il propage des rumeurs selon lesquelles Horty aurait de mauvaises relations avec les autres streamers, et il s'arrange pour que ses vidéos perdent de l'audience.

Petit à petit, les relations d'Horty avec d'autres streameuses comme Baghera Jones, Maghla, Gom4rt, AvaMind, Ultia, DamDam, Pélerine, Clara Doxal, LittleBigWhale, et surtout AngleDroit se détériorent. Elles commencent à la trouver stupide et cupide.  
Cette situation ne manque pas d'affecter Horty, qui voit ses partenariats avec des marques comme Samsung et Renault s'effondrer.


Les jours qui suivent, Louis orchestre sa campagne silencieuse. Grâce à des comptes anonymes, il inonde Twitter et Reddit de rumeurs soigneusement distillées : "Horty triche sur ses stats", "Horty copie le contenu des autres", "Horty méprise ses viewers".  

Les discussions s'enflamment, alimentées par ses multiples pseudos. Il envoie également des emails cryptés aux sponsors, insinuant des "comportements inappropriés" lors d’événements privés. Renault annule son partenariat en premier, suivi de Samsung deux jours plus tard.  


Horty commence à paniquer lorsque ses audiences chutent de 40%. Les chaînes de Baghera Jones et AngleDroit la bloquent après que des captures d’écran trafiquées de messages insultants fassent leur apparition. Ultia la ridiculise en direct, affirmant qu’elle a trafiqué son classement sur Twitch.  

Un soir, alors qu’Horty est en larmes, elle tente d’appeler Louis. "Je comprends pas ce qui se passe… Tout le monde me déteste maintenant !", dit-elle. Il feint la compassion tout en contenant un sourire. "C’est juste une mauvaise passe. T’es plus forte que ça."  
Pendant qu’elle sanglote, il consulte les statistiques désastreuses de sa chaîne : sa dernière vidéo atteint à peine 10K vues, contre 200K habituellement.  


Après son appel, Louis ouvre un dossier sur son ordinateur intitulé « X.private » et sélectionne une vidéo compromettante de Horty. Sans hésitation, il l’upload sur un forum underground, prédisant que les vrais ennuis commenceront le lendemain.  

Effectivement, la vidéo fait l'effet d'une bombe sur Internet. En moins d'une heure, elle est partagée sur les forums obscurs et finit par embraser Twitter et TikTok, atteignant même les groupes privés des streameuses qu’Horty fréquentait.  

Les captures d'écran circulent avant même qu'elle ne se réveille, et les commentaires fusent, méchants et cruels. Baghera Jones partage le lien avec un simple 😬, tandis qu’AngleDroit tweete : "Certains streamers ont vraiment perdu toute dignité."


Quand Horty allume son téléphone, elle est submergée par les notifications : des centaines de messages, des appels manqués de sponsors, des menaces. Sa main tremble alors qu’elle ouvre Twitter, découvrant que le hashtag #HortyGate est en tendance.  

Elle tente de streamer en urgence, bafouillant et les yeux rouges. "C’est pas ce que vous croyez, c’est..." mais le chat défile trop vite, inondé de "SALE PUTE" et de "ON VA TE FAIRE ENLEVER TA CHAINE". Quelques dons d’1 € arrivent, accompagnés de demandes obscènes. 


Dans l'ombre, Louis observe avec satisfaction, son écran partagé entre son stream désespéré et les statistiques de haine en temps réel. Il envoie un email depuis un nouveau compte jetable : "On devrait parler. Je peux faire disparaître ça. Viens seule à 23H00."  

L’adresse qu’il mentionne est celle d’un hôtel minable en banlieue de Montpellier. Horty répond presque instantanément : "Oui, merci. J’arrive." Louis sourit, débranche son VPN, et prépare la caméra qu’il a installée dans la chambre. Elle n’a encore rien vu.


Horty éclata en sanglots en voyant l’annonce officielle de Baghera sur Twitter, arborant fièrement le logo des anciens sponsors de sa chaîne. "Merci à tous pour votre confiance !" Le post était inondé de cœurs et de félicitations.


Sur la clé USB, Louis a découvert des vidéos de Horty, menaçante, exigeant de l’argent à Baghera sous peine de révéler tous les secrets de Baghera.  

"Tu veux vraiment que tes viewers sachent que tu baises tes modos ?" murmurait Horty dans l’enregistrement, un sourire cruel aux lèvres.  
Une autre séquence montrait Horty et Baghera (visiblement ivre), signant un faux contrat de collaboration lesbienne pour l’audimat.


Il décide de diffuser ces vidéos dans la journée en attendant horty. Avec ca, la réputation d’Horty est fichue, elle est ruinée.


Désespérée, Horty prends sa voiture pour ce rendre à ce mystérieux rendez-vous. Elle arrive dans cet hôtel minable.
En entrant dans la chambre, elle découvre Louis pour la première fois. Ignorant l’implication de Louis dans tout ca, elle est soulagée et heureuse. Horty se jette dans ses bras. Il est grand, plus âgé qu’elle.  


Elle se tourna vers Louis, les traits déformés par la douleur. "Elle savait… Elle savait ce qui allait m’arriver, et elle a profité de tout ça. Je croyais qu’on était amies." Sa voix se brisa.


Louis l’attira contre lui, une main dans ses cheveux, l’autre remontant lentement le long de sa nuque. "T’as trop fait confiance. Mais t’es pas seule, je suis là." Ses doigts s’attardèrent sur sa peau, calculant chaque frisson.


Louis se penche vers elle, Ils s’embrassent avec passion.
Louis se rapproche d’elle , collant ses lèvres à l’oreille d’Horty. "T’es bien plus jolie qu’elle et je vais d’aider ».


Il sentit son corps se raidir d’excitation contre le sien.


Horty leva les yeux vers Louis, ses larmes encore fraîches sur ses joues. Elle respirait vite, désorganisée, mais sous son regard, quelque chose en elle céda. Sans un mot, elle attrapa le bord de son t-shirt et le fit glisser par-dessus sa tête, exposant sa peau pâle, ses seins tendus par le désir naissant.


Louis ne bougea pas, ses yeux sombres traçant chaque mouvement, chaque frémissement de son corps. Elle défit son jean d’une main tremblante, le laissant tomber à ses pieds. Maintenant, elle était à moitié nue devant lui, le souffle court.


"Tu sais ce que tu fais ?" murmura-t-il, bas, presque rauque.


Elle hocha la tête, incapable de parler, le cœur battant à se rompre.


Il avança d’un pas, imposant, son ombre l’engloutissant. Une main se referma sur sa gorge, doucement, juste assez pour qu’elle sente la pression. Elle gémit, les paupières lourdes.


"T’es à moi, maintenant," souffla-t-il, et elle sentit son autre main descendre, traçant un chemin brûlant entre ses cuisses.


Horty se cambra contre lui, déjà perdue.
 
 Horty défait la braguette du pantalon de Louis. Son sexe émerge devant son nez. Son étonnement est total, le pénis de Louis est imposant. Horty attrape le sexe de Louis, ses mains sont incapables de le faire tourner.  
 Elle n'a jamais été témoin d'un sexe aussi volumineux. Louis lui demande de la sucer sur le champ.
 
Horty est surprise, ses doigts tremblants s'accrochant à la base de la bite, si épaisse qu'elle avait du mal à en faire le tour. La chaleur qui s'en dégageait la fit frissonner. Elle leva les yeux, croisant son regard sombre, autoritaire.  
 
« Ouvre cette magnifique bouche », ordonna-t-il, une main s'enfonçant dans ses cheveux pour diriger son geste. Elle se conforma, les lèvres ouvertes, et dès que la tête de son sexe toucha sa langue, un goût salé et musqué se répandit dans sa bouche.
  
Elle essaya de le pénétrer plus loin, mais la taille excessive entrava son entrée. Son menton fut couvert d'un filet de bave, tandis qu'il lui enfonçait la tête, l'étouffant assez pour qu'elle ressente chaque centimètre.  
 
"T'aime ça, n'est-ce pas?" Il éclata de rire, ressentant son corps frémir d'enthousiasme malgré son manque d'expérience.  
 Ses doigts se serrèrent dans ses cheveux, le manipulant comme un jouet, son rythme s'accélérant. Le son humide de sa gorge contrainte à accepter son sexe résonna dans la pièce. 

Horty ferma les yeux, soumise, ravie de n’être qu’un outil pour son plaisir.

 

3eme chapitre : Horty devient sa chose


Horty se tient à genoux et suce le mieux qu'elle peut. Le pénis de Louis lui détourne la bouche, elle s'étouffe et elle bave, mais le résultat n'est pas très bon. Louis exprime son désarroi face à ces performances.  

Il la menace de la quitter et de ne pas lui apporter d'aide. Horty est effrayé à l'idée d'être laissée seule. Elle tente une gorge profonde en retenant sa respiration, son sexe doit mesurer au moins 26 cm ; elle parvient à en avaler la moitié. Louis lui confie qu'il croyait qu'une personne comme elle serait une experte en pipe. Horty est sur le point de pleurer. 

Horty haleta avec une gorge brûlante, sa salive coulant le long de la veine saillante de son cœur. Elle avait les yeux remplis de larmes, mais elle serra les doigts autour de la base de son sexe et s'enfonce à nouveau, avec détermination. Elle tournait la tête, son souffle était bloqué, mais elle réussit à s'enfoncer encore quelques centimètres, ressentant le muscle de sa gorge se contracter.

« Oh, c'est vraiment pathétique », murmura Louis en lui tirant les cheveux pour ouvrir sa bouche, un filet de bave encore reliant ses lèvres à son gland brillant. « Je pensais qu'une putain comme toi savait au moins sucer ».

« Je peux faire mieux, je te promets », murmura-t-elle, les joues enflammées, les paumes moites. Elle avait une voix dévastée.

Il éclata de rire, déposant le bout de son pénis sur ses lèvres gonflées. "Montre-moi, Et cette fois, avale tout, ou je te laisse pourrir ici, pleine de tes regrets."

Horty inspira un coup sec et se jeta dessus, les yeux fermés, les muscles de sa mâchoire forcés à l’extrême. Elle sentit son gland cogner contre le fond de sa gorge, son estomac se soulevant de dégoût mêlé à une excitation humiliante.

"Voilà," grogna-t-il en lui plaquant le front contre son pubis. "Enfin, t’apprends."


Après une fellation intensive de 10 minutes, Horty est déjà épuisé, tandis que Louis ne ressent pas de plaisir. Louis lui demande d'arrêter et est extrêmement déçu.  

Il la met sur le lit et se déshabille. Horty est contente malgré sa piètre prestation buccale. Elle s'allonge sur le lit, légèrement effrayée par la prochaine découverte. Elle apprécie les sexes d’hommes de grande taille. Elle s'amusait régulièrement avec de grands jouets. Elle a toujours imaginé les grandes dilatations.

Louis enleva son pantalon d'un coup soudain, son membre lourd rebondissant contre son ventre, toujours tendu et loin d'être content. Horty le fixa, émerveillée, ses propres cuisses serrées par une tension nerveuse et excitée. 

« Il est préférable que tu fasses mieux avec ta chatte », murmura-t-il en se dirigeant vers le lit. 
Instinctivement, elle se cambra, déposant son corps, ses doigts tenant les draps.  

Son corps était déjà humide, plein de hâte. Elle était tellement attirée par cette sensation : l'étirement brutal, le poids d'un homme capable de la combler au-delà de sa capacité.  

Louis écarta fermement ses cuisses, appuyant son gland contre son entrée humide. Un coup sec à la hanche, et il s'enfonça d'un seul coup.  
Horty s'écria en contractant violemment ses muscles autour de lui, trop larges, trop profonds, mais exactement comme elle le souhaitait. 

"Merde, t’es serrée," gronda-t-il en enfonçant plus loin, ses doigts marquant ses hanches. Elle haleta, déjà déformée, déjà conquise.


Louis n’attendit pas qu’elle s’habitue. Il saisit ses chevilles et les écarta brutalement, écartelant son corps pour mieux s’enfoncer jusqu’à la garde. Horty gémit, ses muscles intérieurs secoués de spasmes sous l’invasion. Il était si large qu’elle sentait chaque veine, chaque pulsation de son membre distendre ses parois déjà sensibles.


"Regarde-moi," ordonna-t-il en lui agrippant la mâchoire.


Elle ouvrit les yeux, fixant son regard dur tandis qu’il commençait une cadence impitoyable, ses coups de hanche la repoussant contre le matelas.  
L’étau de son sexe l’enserra avec une telle force qu’il grogna, les doigts s’enfonçant dans la chair de ses cuisses.


Horty sentait le frottement brûlant, son clitoris écrasé à chaque poussée, mais c’était la profondeur qui la faisait délirer. Il la frappait là où aucun jouet n’avait pu atteindre, et quand il se retirait presque complètement, elle étouffait un cri, vide et désespérée.


"T’aimes ça, salope ?" Il ralentit juste assez pour la torturer, son gland tournoyant contre ses parois tendues.


"Oui", Sa voix se brisa. "S’il te plaît… plus fort."


Un rire rauque lui répondit avant qu’il ne lui obéisse.


 Après quelques minutes de ce traitement, Horty se sentait épanouie et libérée. L'orgasme arrivait rapidement, mais Louis se retira.

 Elle sentit un vide dans son vagin. Louis s’allongea sur le lit et lui ordonna de venir s'empaler sur son sexe . Louis a envie de lui défoncer la chatte.
Horty obéit aussitôt, ses cuisses tremblantes se hissant à califourchon sur ses hanches. Elle s'abaissa lentement, son propre besoin la guidant, jusqu'à ce que la pointe de son sexe écartèle à nouveau ses lèvres gonflées.  


"Pas comme ça," gronda Louis en lui agrippant les hanches. "À fond, d'un coup."  
Elle retint son souffle et s'enfonça d'un mouvement brusque, étouffant un cri rauque tandis qu'il la remplissait d'un seul coup, déchirant son plaisir déjà sensible.  
Ses muscles se contractèrent violemment, mais Louis ne lui laissa pas le temps de s'adapter. "Bouge," ordonna-t-il, ses doigts s'enfonçant dans sa chair.  

Horty obéit, soulevant son corps à peine assez pour que son gland affleure son entrée avant de retomber, s'empalant avec un gémissement rauque. Chaque choc faisait claquer leur peau, et bientôt elle trouva son rythme, ses propres hanches roulant avec avidité.
Louis la regardait, les dents serrées, alors qu'elle se démenait sur lui, son ventre tremblant à chaque impact.  

"T’es qu’un trou à bite," grogna-t-il en la soulevant brusquement pour la faire retomber plus fort.  
Elle hurla, son orgasme éclatant dans une vague brûlante, mais Louis ne s’arrêta pas, continuant à la pilonner sans pitié alors même qu’elle se contractait autour de lui.


Louis la retourna d'une main brutale, la clouant sur le dos avant de saisir ses chevilles et de les ramener vers elle, pliant son corps en deux. Son sexe durci s'enfonça d'un coup sec, arrachant un cri rauque à Horty. La douleur et le plaisir se mêlaient dans une tempête de sensations, chaque coup frappant son col, chaque remontée brutale laissant son vagin brûlant et béant.

"Putain, t'es ouverte comme une vraie salope," gronda-t-il en accélérant, ses hanches claquant contre ses fesses.
Son vagin est ravagé et le gland de Louis frappe son utérus. elle a chaud, des vertiges , tout son corps crie à l'orgasme.

Horty suffoquait, ses doigts agrippant les draps, son ventre tremblant sous les impacts répétés. Son corps était parcouru de secousses, ses muscles se contractant spasmodiquement alors que l'orgasme montait, trop fort, trop vite.
Louis continue de la besogner comme un vulgaire sac à foutre. Il l'insulte, la traitant de de tous les noms les plus vulgaires.  
Elle jouit au bord de l’évanouissement.  


"J’vais..." Sa voix se brisa dans un gémissement étouffé.
Louis ricana. "Déjà ? T’es qu’une merde, hein ?"
Il redoubla de violence, la pilonnant jusqu’à ce qu’elle hurle, son corps arqué, les yeux révulsés, puis il se retira d’un coup net, la laissant pantelante.

Avant qu’elle ne reprenne son souffle, il lui attrapa les cheveux, collant son sexe contre son visage.
 "Ouvre."

Les premiers jets chauds l’éclaboussèrent, coulant sur ses paupières, ses lèvres entrouvertes. Il éjacule 5 ou 6 jets de sperme sur la figure d'horty. Son visage est recouvert de sperme,Elle lécha instinctivement, le goût salé et musqué emplissant sa bouche.  
Ses doigts se pressèrent contre son propre visage, recueillant chaque goutte qu’elle porta avidement à ses lèvres, les yeux mi-clos sous la jouissance.Elle est très surprise, elle goûte le sperme de Louis, le trouve très bon, avec ses doigts elle récupère le foutre pour l'avaler goulûment.  
Louis la regarda, méprisant et satisfait. "T’as vraiment rien dans le crâne à part mon foutre, hein ?"


4eme chapitre : Horty soumise et heureuse

A peine remise de ses émotions, croyant la séance finie, Louis lui dit en l'insultant de salope : « c'est pas fini, cela ne fait que commencer sale pute. fous toi à quatre pattes pour que je t'encule. »  

Horty haleta, encore tremblante, mais obéit aussitôt en se mettant à quatre pattes, ses hanches soulevées.
Horty est habitue à la sodomie depuis longtemps, mais la taille de phallus de Louis l’inquiète un peu. Elle a appris depuis des années de se dilater la chatte et cul avec des gros godes. Louis sort de la table de chevet un gros pot de lubrifiant.

Elle sentit l’air froid sur son cul, habitué à la sodomie mais jamais avec un sexe masculin aussi imposant.
Louis saisit le pot de lubrifiant et en étala une généreuse quantité sur ses doigts avant de les enfoncer sans préambule dans son anus. Elle étouffa un cri, sentant ses jointures l’étirer, mais elle resta immobile, les poings serrés dans les draps.


"T’as peur, hein ?" ricana-t-il en retirant ses doigts pour enduire son sexe gonflé de gel froid.


Elle sentit la pression à son entrée, brutale, implacable. Un grognement rauque lui échappa quand il commença à s’enfoncer, son anneau céda progressivement sous la force, la brûlure se mêlant à la sensation d’être remplie au-delà du possible.


"Putain, oui," gronda Louis en saisissant ses hanches pour l’empaler plus profondément. Elle gémit, son ventre tendu, chaque centimètre de lui qui disparaissait en elle déclenchant un choc électrique.


Il ne lui laissa aucun répit, commençant à la défoncer d’un rythme saccadé, ses coups faisant claquer sa chair. Horty se mordit la lèvre, sentant son corps céder, s’adapter, jusqu’à ce que la douleur se transforme en un plaisir sourd, écrasant.


"T’es faite pour ça," cria-t-il en lui frappant la fesse d’une claque sonore. "Un trou à merde bien docile."


Elle ne répondit pas, trop occupée à étouffer ses cris dans l’oreiller alors qu’il la pilonnait sans pitié, chaque mouvement ravageant son intestin, la poussant vers un autre orgasme forcé.


Louis resserra sa prise sur ses hanches, ses doigts s’enfonçant dans sa chair pâle tandis qu’il tirait presque entièrement hors d’elle, puis la claquait de nouveau en avant, ses 26 centimètres déchirant son anus béant d’un seul coup net.  

"HAAA !" Le cri d’Horty se brisa en hoquets, son ventre convulsant sous la violence de la pénétration. Elle hurle de douleur et de plaisir, elle n’a jamais connu une telle jouissance. 

La douleur brûlante irradiait, mais l’élasticité de ses années de préparation lui permettait de prendre chaque centimètre avec une jouissance perverse, son corps forçant ses muscles à se détendre malgré tout.  

"Regarde-moi ce cul," grogna Louis en lui écrasant la joue contre le matelas, une main remontant pour écarter ses fesses, exposant son trou distendu, luisant de lubrifiant et serrant encore faiblement autour de sa base.  


"T’es qu’un sac à merde, hein ? Un trou tellement pourri que t’as même plus besoin de pousser pour chier, je te défonce à même ton intestin, salope." 
Il s’enfonça encore plus loin, jusqu’à ce que ses couilles cognent contre son clito tuméfié. Horty hurla, ses doigts griffant le drap, son orgasme explosant comme une décharge électrique dans son bas-ventre.  

Louis éclata de rire, sadique, retirant presque entièrement son sexe avant de la crucifier à nouveau, le claquement de ses cuisses contre son cul résonnant comme une claque humide.  
"Ouais, jouis, enculée ! T’es bonne qu’à ça, à gémir avec mon foutre dans ton cul ou dans ta gorge !". Il ressort son sexe de son cul béant pour s'enfoncer encore plus loin. 

Elle pleurait maintenant, bave et larmes mélangées sur l’oreiller, mais ses hanches se soulevaient instinctivement à chaque poussée, cherchant plus, toujours plus.  


Son corps n’était plus qu’un instrument, sculpté pour sa bite, pour cette douleur exquise qui la faisait vibrer jusqu’aux doigts de pieds.  
"Déjà en train de redemander ?" Il cracha sur son trou ouvert, le liquide chaud coulant le long de ses lèvres anales palpitantes.  
"T’es vraiment une chienne." 

Un dernier coup, profond, délibérément lent, il s’enfonça jusqu’à la garde, la maintenant là, écrasant ses organes, la forçant à sentir chaque veine de son sexe pulsant en elle.


Après plusieurs minutes de ce traitement, horty ne sent plus son cul, elle ouverte en deux, elle enchaîne les orgasmes de plus en plus puissants.  


Louis ricana, son sexe luisant et gonflé à craquer encore enfoncé au fond d’elle, puis il retira sa bite d’un mouvement lent, sadique, chaque veine traînant contre ses parois distendues. Horty hoqueta, son cul béant palpitant, vidé, le vide la faisant trembler de frustration.


"NON, ENCORE !" hurlât-elle. Elle se cambra, ses doigts s’agrippant au drap déchiré. "DÉFONCE-MOI, CASSE-MOI LE CUL !"


Il la gifla d’une claque brutale sur la fesse, la chair tremblante marquée de rouge. "Tu commandes rien ici, salope." Mais il aligna déjà son sexe à son entrée, jouissant de la façon dont son trou se contractait faiblement, essayant en vain de se refermer.

Horty crie : « NON, ENCORE, DEFONCE MON TROU A MERDE »

D’un coup sec, il lui rentra dedans jusqu’aux couilles, écartant ses chairs à nouveau avec une brutalité calculée. Horty hurla, son ventre se soulevant, ses seins écrasés contre le matelas rebondissant sous l’impact.  


Son orgasme la traversa comme une lame, ses muscles se serrant convulsivement autour de lui, trop sensibles, trop stimulés.


Louis grogna, saisissant ses cheveux pour lui arquer le dos. "T’es qu’une putain de poupée à foutre, hein ? Un trou qui sait même plus respirer sans ma bite."


Il accéléra, ses coups devenant plus désordonnés, sauvages. Elle sentit son ventre se distendre à chaque enfoncement, le frottement brûlant de ses intestins labourés sans pitié. Un nouveau flux de jouissance la submergea, incontrôlable, sa salive coulant en filets sur le lit, son esprit noyé dans la soumission pure.


"Ouais, c’est ça, Jouis comme une chienne en chaleur," cracha-t-il, avant de plaquer sa main sur sa nuque pour l’écraser dans l’oreiller, son propre grognement trahissant qu’il était proche.


Horty sentit son sexe gonfler encore , puis il déchargea en elle, chaque jet brûlant pulvérisant ses dernières résistances. Elle s’effondra, son cul toujours traversé par lui, son corps secoué de spasmes muets.


Louis retira sa bite avec un «schlack » humide, contemplant son trou ruiné, ouvert, qui ne parvenait même plus à se refermer.
"T’as mérité ton repos, pétasse," ricana-t-il en lui tapotant la cuisse, sadique. "Mais t’inquiète pas… On recommence dans dix minutes."


Horty gémit, faible, mais son ventre frémit déjà d’anticipation perverse.


"Suis moi dans la salle de bain" dit Louis à Horty. Elle se lève du lit péniblement. Elle a du mal marcher. Louis rigole car elle marche en canard en écartant les jambes. c'est humiliant pour elle. Arrivé dans la salle de bain, louis lui ordonne : « rentre dans la douche»
Horty vacilla, ses jambes tremblantes, ses cuisses encore écartées par la violence de la prise.

"À genoux, maintenant," aboya-t-il, la saisissant par les cheveux pour l’abaisser brutalement sur le carrelage froid. Elle s’agenouilla, ses articulations douloureuses, mais obéissante, de plus en plus soumise.

Résignée, Horty s’exécute. Louis pointe son sexe sur Horty et commence à lui uriner dessus; Le premier jet la frappa en plein sternum, brûlant et acide, ruisselant entre ses seins avant de glisser le long de son ventre contracté. Le jet atteint sa petite poitrine, puis remonte jusqu’à son visage.  

"Ouvre !" Louis grogna, ajustant son angle, la deuxième gicla directement sur son visage, inondant ses paupières closes, sa bouche entrouverte. Elle haleta, la chaleur âcre envahissant sa gorge, son nez, coulant en filets sales sur son menton.

Cassée et épuisée, Horty ouvre la bouche en grand et boit la pisse de son homme.
Elle toussa, mais ouvrit plus grand, tendant la langue comme une bonne chienne assoiffée. Louis ricana, jubilant de la façon dont son corps brisé se soumettait encore. "Avale tout, salope. C’est tout ce que tu vaux."


Le flux continua, remplissant sa bouche, forçant ses joues à se gonfler avant qu’elle ne déglutisse avec un gémissement rauque.


Quand il eut fini, il lui écrasa le visage contre son sexe légèrement durci. "Nettoie." Elle n’eut pas besoin qu’on le répète, sa langue lécha avec ferveur, recueillant les dernières gouttes, son propre corps frémissant d’une humiliation qui la faisait mouiller malgré l’épuisement.


"Bien. Maintenant, reste là." dit-il, la laissant tremblante et ruisselante, à genoux sur le carrelage. "On n’a pas fini."


Horty ferma les yeux, son souffle court. Elle était vide, souillée, et pourtant, son ventre se serra d’excitation à l’idée de ce qui viendrait après.


Après s’être lavée, Horty sort de la salle de bain, des étoiles plein la tête et éperdument amoureuse. Louis est assis à table travaillant sur PC portable.  
Horty glissa ses mains sur les épaules de Louis, ses lèvres effleurant sa nuque avec une tendresse qui contrastait violemment avec leurs ébats de tout à l’heure.  


Louis lui dit "C'est une catastrophe, ton nombre d'abonnés sur tous les réseaux sociaux s'est effondré. Tout le monde te déteste et veux te faire la peau".
Louis claqua l’écran de son portable avec un grognement. "T’es devenue un putain de repoussoir. Tes abonnés fuient comme si tu avais la peste."


Il se tourna vers elle, saisissant son menton entre ses doigts. "T’as posté quoi, pétasse ?" 
Elle rougit, ses pupilles dilatées malgré la lumière crue de la pièce. "J’ai… juste envoyé avant de venir des photos trafiqués de Baghz, AngleDroit et Ultia pour me venger"

Sa voix se brisa, moitié honte, moitié excitation. Il éclata d’un rire dur.  

"Eh bien, maintenant t’es une paria. Une putain dégueulasse que même les pervers trouvent trop extrême."
Sa main glissa entre ses cuisses, trouvant la chair encore trempée malgré la douche. "T’as plus que moi, maintenant. Plus rien."
 Horty gémit, se pressant contre ses doigts.  

"Je… je m’en fous. T’es tout ce dont j’ai besoin."


Louis sourit, lent, cruel. "Bien sûr que oui. Et maintenant, tu vas prouver à quel point t’es désespérée."
Il désigna le sol à ses pieds. "À genoux. Encore."

Elle s’agenouilla sans hésiter, ses yeux brillants d’une soumission absolue. Les doigts de Louis s’enfoncèrent dans ses cheveux, guidant sa tête vers son entrejambe.  
"Fais ton boulot de salope sans abonnés. Suces moi !!"

Horty ouvrit la bouche, son souffle précipité contre le tissu de son pantalon. L’humiliation lui brûlait la peau, et pourtant, son ventre se nouait d’un désir obscène. Elle n’était plus rien. Et c’était parfait.


5eme chapitre : Horty déménage

Une demi heure après, Louis lui dit : "viens chez moi, c'est plus sur. je veux pas que quelqu'un t'agresse. Je vais te protéger. tout le monde te hais".  

Comprenant le danger de revenir chez elle, Horty lui répondit : "D’accord Louis, ca me rassure, j’ai peur, je te suis". 
Ils partent de l’hôtel et monte dans la Bentley de Louis. Horty est très surprise du luxe de la voiture. Louis ricane et lui explique qu'il est très riche et qu'il faut pas qu'elle s’inquiète de l'argent.
 

Le moteur de la Bentley gronda sous eux, l’habitacle capitonné de cuir enveloppant Horty dans un luxe qu’elle n’avait jamais touché. Elle passa ses doigts sur les coutures du siège, bouche entrouverte. "Putain, c’est à toi ?"


Louis sourit, une main négligente sur le volant, l’autre remontant lentement la robe d’Horty. Ses doigts effleurèrent sa cuisse nue. "Tout est à moi. Toi aussi." Il appuya sur l’accélérateur, la poussant contre le siège. "T’as vu comment ils te parlaient dans ton chat ? T’es une proie pour eux. Moi, je te traiterai comme une princesse."


Horty frissonna quand ses doigts s’enfoncèrent entre ses jambes, trouvant sa culotte déjà humide. Elle gémit, honteuse et excitée par l’audace. "Louis… pas ici"


Il rit, retirant sa main pour lui saisir brutalement la nuque. "Dis merci."
Elle haleta. "…Merci."


La voiture s’arrêta devant un grand portail d’un villa, entourés des caméras et de barbelés. Louis dit à Horty : « Bienvenue dans ma villa, tu risque rien ici. Mais d’abord, tu vas me montrer à quel point t’es reconnaissante." murmura-t-il en descendant son zip d’un geste sec.  


Horty obéit, se penchant vers sa braguette, ses boucles rouges cachant son visage cramoisi de soumission. Elle sorti le gros pénis de louis avec délectation et commença une fellation toujours imparfaite au goût de Louis. Il savait que les cameras automatiques filmait tout la scène, cependant une voiture passait au loin et surpris le couple. Il démarrait la voiture et entra dans son domaine pas loin de Montpellier.


La portière claqua derrière eux dans le garage souterrain, l’écho métallique résonnant comme un verdict. Louis attira Horty contre lui, une main enserrant sa taille tandis que l’autre lui relevait le menton avec une autorité qui la fit trembler. "Regarde-moi quand je te parle."


Ses yeux bleus, noyés de confusion et de désir, se fixèrent sur les siens. Il sourit, traçant un doigt le long de sa gorge. "Tu sais pourquoi tu viens chez moi ? Pas pour streamer. Pas pour tes « fans »." Sa voix était une caresse toxique. "Tu viens parce que t’as besoin qu’on te rappelle ta place."


Elle frémit quand il attrapa brutalement une poignée de ses cheveux, l’obligeant à marcher devant lui vers l’ascenseur. Ses talons claquaient sur le béton, chaque pas plus hésitant que le précédent.


À l’intérieur de l’ascenseur, les miroirs reflétèrent son corps emprisonné contre le mur, les mains de Louis remontant sous sa robe pour déchirer sa lingerie d’un geste expert. "T’es qu’une petite salope qui a besoin de discipline," grogna-t-il à son oreille en sentant son souffle s’accélérer.


L’ascenseur s’arrêta. « Ding. »


La porte s’ouvrit sur un loft aveuglant, mais Horty n’eut pas le temps d’admirer. Louis la poussa à genoux sur le parquet, sa paume s’abattant sur sa joue avec une claque cinglante. "Maintenant, prouve-moi que t’es utile à autre chose qu’à geeker devant une caméra."


Elle leva vers lui des yeux larmoyants, ses lèvres entrouvertes, déjà soumise.


 Horty est prête à sucer Louis, mais celui-ci mets une petite claque sur la joue, il lui crie dessus : "Qui t'a autorisé à me sucer la bite ? ferme ta gueule, mets les mains derrière ton dos, et à partir de maintenant tu m’appelle "Maître".
 

Horty sursauta sous la gifle, ses joues brûlantes de honte et d’excitation mêlées. Elle cligna des yeux, un léger goût du sang sur sa langue où sa lèvre avait heurté ses dents.  

"Pardon, Maître," murmura-t-elle aussitôt, les mains plaquées dans son dos comme ordonné.  
Louis ricana, déboutonnant son pantalon d’un geste lent. Son érection apparaît imposante, à quelques centimètres de son visage.  

"T’as cru que t’avais le droit de décider ?"  
Sa main se referma dans ses cheveux, tirant brutalement. "Tu suces quand je te le permets. Tu jouis quand je te l’ordonnes."  
Elle gémit, ses cuisses serrées pour contenir le frisson qui la parcourait. Il lui cracha sur le front, le jet de salive coulant sur son nez. 
"Lèche moi."  
Horty obéit, entame avec sa langue une lente remontée du pénis, la langue tendue pour recueillir chaque goutte de précum, ses yeux levés vers lui en quête d’approbation.  

"Bien."  
Il lui écarta les mâchoires avec son pouce. "Maintenant, avale."  
Elle sentit la pointe de son gland lui heurter l’arrière de la gorge avant même d’avoir pu préparer sa respiration.


"Reste ici et ne bouge pas !!" lui dit louis. Horty résigné et complètement soumise s’exécute. Louis part dans le garage et reviens avec un grand sac de sport.


Louis laissa échapper un grognement de mécontentement, retirant brutalement sa bite de la bouche d’Horty avec un claquement mouillé.  
"T’es vraiment nulle à chier" éructe-t-il, essuyant son membre sur sa joue.


"Déshabille-toi. Maintenant. Mets toi au milieu de la salle à manger avec les mains sur la tête".
Les doigts tremblants, Horty obéit, la robe glissant à ses pieds avant qu’elle ne défasse son soutien-gorge et sa culotte, exposant sa peau couverte de frissons.  
Elle croisa les mains sur sa tête, les seins soulevés par la posture, le regard fixé droit devant elle.


"Bouge pas," Louis ordonna, se dirigeant vers le garage. Le silence pesait dans la pièce, seulement rompu par le claquement des chaussures de Louis sur le carrelage.
Quand il revint, il traînait un lourd sac de sport qu’il déposa avec un bruit sourd près d’elle. Horty retint son souffle, sentant l’excitation et la peur se mêler dans son ventre.  
Les doigts de Louis déboulonnèrent la fermeture éclair du sac, révélant une lueur métallique à l’intérieur. Il sourit. "On va te rééduquer."


6eme chapitre : Horty rééduquée

"D'abord, ferme les yeux," ordonna Louis, la voix basse et autoritaire.
Horty obéit aussitôt, ses paupières s'abaissant tandis qu’elle entendait le froissement du sac et le cliquetis des objets métalliques.  
Louis sort du sac des cordes, des bracelets en cuir, un collier, un martinet, un bâillon avec une grosse boule rouge, des pinces à seins et un bandeau pour les yeux.


Les bracelets de cuir encerclèrent ses chevilles et ses poignets, les boucles se verrouillant avec un « clic » satisfaisant. Le collier en cuir avec des anneaux se referma autour de son cou, l’étreinte du cuir déjà familière contre sa peau.

La situation excitait Horty. Elle poussa un petit gémissement quand Louis tira sur la corde, reliant les anneaux du collier à ceux de ses poignets, puis la faisant glisser vers la poutre au plafond.  

Ses bras furent lentement soulevés, la tension écartant légèrement ses épaules, ses seins bombant davantage sous la contrainte. Le bandeau lui couvrit les yeux, plongeant son monde dans le noir.


"Tu respires trop vite," murmura Louis, une main glissant le long de son flanc jusqu’à sa taille. "T’as peur ?"
Horty secoua la tête, mais son corps tremblait, sa peau réagissant à chaque effleurement.
"Bien."


Louis s’empara du martinet qui effleura l’intérieur de ses cuisses, le cuir froid contre sa chair chaude. Elle retint son souffle, anticipant déjà la première morsure.


Le martinet claqua contre sa cuisse avec une précision brutale, laissant une traînée de feu sur sa peau. Horty étouffa un cri, ses doigts se crispant dans le vide. Louis traça un autre sillon parallèle au premier, plus lent, plus profond, jusqu’à ce que sa cuisse frémisse et que ses jambes fléchissent légèrement.


"Tiens-toi droite," gronda-t-il, agrippant sa hanche pour la redresser d’une main tandis que l’autre brandissait le martinet.
Le troisième coup arriva, plus bas cette fois, cinglant le creux sensible derrière son genou. Elle serra les dents, un filet de salive coulant sur son menton.


Les pinces à seins suivirent, serrées une à une sur ses tétons déjà durcis. La morsure froide du métal la fit se cambrer, un gémissement rauque lui échappant quand Louis tira dessus, allongeant délibérément ses mamelons.


"Ça te plaît, hein ?" Sa voix était rauque, presque un ricanement.


Elle hocha la tête, incapable de mentir, son souffle saccadé trahissant son excitation. La boule du bâillon heurta ses lèvres.
"Ouvre".


Le caoutchouc écarta ses mâchoires, étouffant ses sons tandis que la corde était tirée plus haut, forçant ses bras à s’arquer. Son corps était à présent une toile tendue, chaque muscle offert, chaque frisson visible.

Louis passa derrière elle, ses doigts s’enfonçant sans préavis entre ses cuisses, écartant ses lèvres trempées.
"T’es déjà toute mouillée." Il ricana. "Sale petite chienne."


Ses doigts plongèrent en elle sans ménagement, les articulations cognant contre son sexe déjà gonflé. Horty cria dans le bâillon, son bassin se soulevant instinctivement pour chercher plus de pression, plus de friction.


"T'en veux encore ?" Louis lui écartait les lèvres avec ses doigts, révélant son sexe palpitant, luisant de désir.


Il retira brusquement ses doigts et l’entendit gémir de frustration. Le martinet cingla de nouveau, cette fois directement sur sa chatte exposée. Le cuir brûla sa chair sensible, et elle hurla, son corps secoué par un mélange de douleur et de plaisir.


Louis ne lui laissa pas le temps de reprendre son souffle. Il enfonça trois doigts d’un coup, le talon de sa main frottant contre son clito à chaque mouvement.


"Regarde-toi," il grogna, bien qu’elle ne puisse pas voir. "Tu te tortilles comme une putain en chaleur."


Ses doigts s’enfoncèrent plus profondément, cherchant, étirant, jusqu’à ce qu’elle se tende, puis son poing entier commença à glisser, lentement, inexorablement, à l’intérieur d’elle.


Horty hurle de plaisir, mais le bâillon noyant ses cris en une série de sons étouffés et rauques. C'est son premier fist vaginal.Son corps se tend, ses muscles vibrants de plaisir, tandis que le poing de Louis écrase chaque centimètre de ses paroi internes.  

Elle est ouverte, distendue, pleine d’une manière qu’elle n’aurait jamais imaginée possible. Louis grogne, fasciné par l’étreinte brûlante de son sexe autour de son poing.  

Il le retire lentement, presque entièrement, jouant avec la résistance de ses muscles avant de l’enfoncer d’un coup sec.  
Un jet de fluide jaillit, arrosant son avant-bras. "Putain, tu pisses ton plaisir," ricane-t-il, accélérant le mouvement.  

Chaque va-et-vient fait claquer ses cuisses contre son poignet, le bruit humide de sa chatte dilatée résonnant dans la pièce. Les doigts de Louis se resserrent à l’intérieur, lui arrachant un spasme violent.  

Il la sent se contracter autour de sa main, son utérus palpitant contre ses jointures. Louis enfonce encore plus loin sa main dans la chatte dégoulinante d'horty.
"T’es tellement profonde," murmure-t-il, tournant son poing en spirale pour s’assurer qu’aucun repli n’échappe à sa domination. Il s'amuse pendant plusieurs minutes a sortir son poing puis le renter violemment. Elle jouit sans s’arrêter.  

Horty sanglote, les larmes coulant sous son bandeau, ses pieds glissant sur le sol à chaque nouvelle impulsion. Elle ne contrôle plus rien, juste l’écrasante et « délicieuse » invasion.


Louis ralentit, retirant son poing d’un mouvement fluide, laissant Horty haletante, béante, son sexe encore frémissant de vide et de souvenirs.  
D’un geste précis, il détache la corde qui la maintenait en place. Horty a du mal à tenir debout. Ses jambes tremblent, mais il l’attrape avant qu’elle ne s’effondre, une main ferme sur sa hanche.  

Le collier tombe, puis les pinces à seins, libérant ses tétons meurtris d’un claquement sec. Le bâillon glisse enfin, et Horty inspire profondément, sa bouche entrouverte, marquée.  
Le bandeau suit, révélant des yeux noyés de larmes mais brillants. Horty garde les bracelets aux chevilles et aux poignets. Louis calme le jeu et devient romantique. 

Il l’embrasse soudainement , sa bouche est chaude et possessive, un contraste brutal avec la violence précédente. Ses doigts s’accrochent à ses cheveux, l’autre main sous ses fesses pour la soulever sans effort.  

Le lit les accueille, et il la dépose avec une douceur qui la surprend. Elle s’enfonce dans les draps, ses bracelets métalliques cliquant contre le bois du lit tandis qu’il s’allonge contre elle, peau contre peau. Ils ne parlent pas.  

Ses lèvres trouvent son cou, son épaule, avant qu’elle ne se blottisse contre son torse. La fatigue les engloutit vite, leurs respirations se synchronisant dans l’obscurité.


7eme chapitre : Hortydans le luxe et la soumission

Trois jours plus tard, Hortense se retrouve immergée dans l'opulence de la villa de Louis. Chaque matin, elle se réveille entourée de luxe, des femmes de ménage s'occupant des détails minutieux de la maison, tandis qu'une cuisinière talentueuse prépare des plats raffinés qui éveille ses papilles.  

La présence des gardiens, accompagnés de leurs chiens de garde, lui offre une sensation de sécurité, une protection contre le monde extérieur qui lui semble désormais hostile. Les caméras de surveillance veillent sur elle comme des sentinelles, encapsulant Hortense dans une bulle où elle peut se laisser aller à la douceur de cette vie dorée, loin des tumultes de son passé.

L'argent de Louis, dont elle a toujours rêvé, est devenu une réalité palpable. Cette richesse matérielle, bien qu'irrésistible, n'est rien comparée aux sentiments qui l’étreignent de plus en plus fort. Elle sent son cœur battre plus rapidement à chaque sourire de Louis, chaque attention délicate qu’il lui porte. 
Sa dépendance grandit, non seulement à l'égard du luxe qu'il lui offre, mais aussi de l'affection qu'elle ressent pour lui.  

Cependant, cette bulle de sécurité est assombrie par la réalité de sa situation. Bannie de Twitch et des réseaux sociaux, Hortense est devenue une paria, traquée par ceux qui veulent lui faire du mal. Les murmures malveillants des gens se sont intensifiés, transformant son nom en une cible dans un jeu cruel qu'elle ne comprend pas entièrement.  

Elle est terrifiée à l'idée que cette vie de luxe puisse être volée d’un moment à l’autre, mais la présence de Louis la rassure. Il a même pris soin de récupérer ses affaires personnelles à son appartement, témoignant d'un engagement qui renforce son sentiment d'appartenance. 
Dans cette villa, malgré l'angoisse qui la hante, Hortense se sent à la fois protégée et piégée, oscillant entre amour et angoisse, entre désir et crainte.


Horty s’étire sur le canapé en cuir blanc, les doigts traçant des cercles sur son ventre encore sensible.  
Le soleil filtre à travers les baies vitrées, éclairant les dalles en marbre de la villa. Une femme de ménage passe en silence, déposant un verre de champagne frais sur la table basse avant de disparaître.  

Louis a tout organisé : les gardiens aux entrées, les caméras, les Dobermans qui patrouillent la clôture électrifiée. Elle n’a plus peur. Ou presque.  

Son téléphone vibre : une alerte. Encore une menace anonyme, encore une photo truquée d’elle, les cuisses écartées, le visage tuméfié.  
Elle éteint l’écran d’un geste vif, mais Louis est déjà derrière elle, ses mains massant ses épaules nouées. "T’inquiète pas," murmure-t-il en mordillant son oreille. "Ils ne t’auront jamais."  

Elle se cambre contre lui, sentant son érection à travers le tissu de son pantalon. La peur se mêle au désir, brûlant plus fort que la honte.

 "Je veux encore la sucer, Maître" chuchote-t-elle en guidant sa main entre ses cuisses. Il rit, bas et sombre, avant de l’attraper par les poignets et de la pousser à genoux sur le tapis. Luxe et soumission, désormais indissociables.


Louis dit : « on va encore tester tes capacités orales. Mains dans le dos, Tu suces ma queue à fond. cette fois pas d’étouffement et de nausée !! j'exige que mes 26 centimètres rentrent bien au fond de ta gorge ». 


Louis lui tire les cheveux d'une poigne brutale, tendons saillants sous la peau de son avant-bras. Ses ongles s'enfoncent dans son cuir chevelu, tirant jusqu'à faire craquer les racines. "Ouvre ta gueule de traînée." Sa voix est un couteau rouillé qu'il tourne dans la plaie.

Horty ouvre sa bouche et tente de faire la colonne de chair dans sa bouche. Les 15 premiers centimètres entrent facilement.

Horty bave déjà, ses cils tremblants mouillés de larmes réflexes. Les premiers 15 cm lui défoncent le palais, la tête de Louis cognant comme un marteau contre son amygdale. Elle entend le claquement humide de sa salive quand il retire d'un coup sec, juste pour mieux frapper.


"Tu respires par le nez, putain."


Il lui écrase les narines d'une main, l'autre lui tirant la mâchoire ouverte. Son gland explose dans son pharynx, déchirant les muqueuses. Elle suffoque, ses spasmes l'encerclant comme un étau vivant.

Mais le plus dure arrive, centimètre par centimètre , elle pousse. mais la nausée arrive et elle recule. La gifle arrive avec le bruit d'une chair morte tombant sur du marbre. Ses dents tranchent l'intérieur de ses lèvres.

Louis est furieux et la gifle violemment plusieurs fois, lui serre la gorge en l'insultant longuement. Louis dit : « recommence et applique toi, sinon la punition va être terrible »


Il enfonce ses pouces dans les commissures de sa bouche, écartant jusqu'à ce qu'un craquement sec résonne. Sa queue s'enfonce d'un coup de reins, écrasant son épiglotte. Horty voit des éclairs blancs, ses ongles s'arrachent contre le parquet.
"Avales ou je te défonce le cul à la bouteille."


Louis plaque son pubis contre son nez, l'asphyxiant dans son propre vomi. "Lèche mes couilles pendant que je t'utilise."


Elle obéit, la langue épaisse, chaque mouvement déclenchant des haut-le-cœur. Il jouit en râlant, la remplissant à ras bord, elle avale par réflexe, s'étouffant sur les dernières gouttes.


"Voilà comment on dresse une chienne." Sa paume craque contre sa joue enflée. "Maintenant, recommence."


La paume de Louis s'abat encore, marquant la peau d'Horty d'un rouge vif. Il saisit sa mâchoire, enfonce brutalement sa queue entre ses lèvres entrouvertes et commence un va-et-vient rapide, sans ménagement.  
Sa chair dure frappe le fond de sa gorge à chaque poussée, les muscles d'Horty se contractant en réflexes désespérés.


"T'as la gueule faite pour ça," crache-t-il, un filet de salive atterrissant sur ses paupières tremblantes. Il retire d'un coup sec, laissant sa bite luisante claquer contre son front avant de lui cracher encore au visage, le liquide chaud mêlé à ses larmes.


"Ré-commence," il ordonne, doigt enfoncé dans sa bouche pour écarter ses mâchoires. "Et cette fois, tu souviens toi, une pute comme toi avale tout."


Elle s'efforce d'ouvrir plus grand, les coins de sa bouche douloureux, son souffle sifflant entre ses dents. Dès qu'elle hésite, une nouvelle gifle la fait tituber.


"Plus vite." Sa voix est rauque, impatiente. Il lui attrape les cheveux, scelle ses lèvres autour de lui, et l'oblige à suivre le rythme , dur, brutal, sans air. Ses genoux glissent sur le sol, le parquet brûlant sous sa peau.


Un dernier crachat atterrit sur sa joue meurtrie. "Vas-y. Montre que t’es bonne à rien d’autre."


 La dernière poussée est brutale, puis son gland gonflé pulvérise des jets épais sur le visage d’Horty. Le liquide chaud éclabousse ses paupières, sa bouche entrouverte, glissant le long de ses joues en stries blanches.
 

 "Bouge pas," grogne Louis, tirant sa queue encore luisante loin de sa bouche. "Tu gardes ça que ta sale gueule de pute."
 

 Horty cligne des yeux, le souffle court, mais un sourire étire ses lèvres tremblantes. Son visage est couvert de sperme.
 

 "C’est mieux," murmure-t-il en saisissant sa nuque. "Tu progresses, salope."
 

 Elle exhale, soulagée malgré la brûlure de sa gorge. Horty reprend son souffle et, contente du compliment, elle sourit.
 

 "Viens. Je vais te faire découvrir un endroit spécial" Il l’attire pour la relever, la traînant vers l’ascenseur. Les portes coulissent, révélant le garage sombre. Une pression contre un panneau discret, un clic, puis un couloir étroit apparaît.

 Au bout, une porte blindée. Louis compose le digicode, le métal gri1nçant en s’écartant.

 "Tu vas adorer," ricane-t-il en la poussant vers l’intérieur de la pièce.

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Texte coquin : La déchéance d'Horty Partie 1/4
Histoire sexe : Une rose rouge
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