La découverte
Récit érotique écrit par Bottom-boy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 19 705 fois depuis sa publication.
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La découverte
Charleville - me voilà arrivé dans ma nouvelle ville, pour une nouvelle vie que je ne
soupçonne pas encore.
J’ai 21 ans, je viens de débarquer dans le nord de la France pour terminer mes études
en alternance. Je loue un petit studio en résidence privée juste à côté de ma boîte.
Plutôt pratique ! Pour finir de planter le décor, je me décris un peu : 1m75 pour
70Kg, musclé plutôt sec, cheveux châtains et yeux noisette, une peau blanche presque
encore un peu laiteuse, mais qui prend bien le bronzage ;).
Je ne connais personne dans cette ville, qui en apparence est peu dynamique, peu de
restos, peu de bars. Bref, quand je ne suis pas en vadrouille, je m’ennuie ferme par
ici.
Alors, certains soirs, je navigue sur des sites porno, histoire de passer un peu le
temps, et puis, il faut bien l’avouer, aussi parce que j’aime m’y balader de temps en
temps.
Ce que j’aime regarder par-dessus tout sur ces sites, sont les petites vidéos de
sodomie. J’aime voir un gros sexe pénétré ce petit orifice, au rythme des cris de
jouissance de ces dames qui en réclament toujours plus. J’aime quand un homme qui
vient de prendre son pied dans un cul, sort son engin pour le présenter à la bouche
gourmande de sa partenaire pour bien tout nettoyer et avaler jusqu’à la dernière
goutte.
J’aime me masturber devant ce genre de vidéos… et petit à petit, je me sens de plus en
plus excité non pas par les fesses rondes et rouges de ces dames, non pas par leur
jouissance, non pas non plus par leurs seins qui se balancent au rythme des coups de
reins de leur partenaire, mais par le sexe de ces dits partenaires. Je voulais en voir
toujours des plus gros, des plus grands. Et puis j’ai commencé à ne plus regarder que
les sexes, mais aussi les hommes qui vont avec. Au début, j’aimais voir des grands
blacks, souvent très très bien montés, leur corps sculptés, huilés.. humm, très
excitant… sensation étrange pour moi.
Je décide de pousser un peu plus loin ma curiosité, et me voilà à la recherche de
sites gays.
Je tombe sur un site qui propose des récits, des images et pas mal de catégories de
vidéos. Je découvre petit à petit le monde gay, les actifs, passifs, les bears, les
daddy, les TTBM, bref, tout un tas de « catégories » et de mots que je ne connaissais
pas.
Les vidéos que j’y trouve ne me laissent vraiment pas indifférents. Je commençais par
trouver étranges les ébats entre hommes, mais petit à petit j’ai commencé à trouver
cela émoustillant, puis palpitant, pour à la fin être carrément excité par deux
langues d’hommes qui se mélangent.
Me voilà donc en train de me masturber devant des vidéos où des hommes musclés
enculent des mecs fins, des vidéos où des mecs peinent à faire entrer le membre TTBM
dans leur bouche mais qui l’accueillent avec une facilité déconcertante dans leur cul.
J’aime voir ces hommes, a genou, bouche ouverte et langue tendue devant un membre
luisant et prêt à décharger tout son nectar.
Depuis cette « découverte », je prends pour habitude les soirs où je suis seul, de me
regarder quelques vidéos, ou d’acheter puis télécharger des films gays sur Internet.
J’aime me retrouver nu et mater un de ces films, mon sexe bandé de plaisir. Dans ces
moments-là, j’aime aussi aller me regarder dans un miroir, me mettre de profil et me
cambrer, passer une main sur mes fesses, mouiller mon majeur et le passer dans ma
raie. Maintenant, c’est avec un doigt plongé dans mon anus que je me branle devant ces
films. La sensation est trop bonne, mais j’avoue que la position n’est pas pratique du
tout !
Un soir je décide donc de me procurer un sextoy sur internet, histoire d’être plus à
l’aise dans mes moments d’intimité solitaire ;) . Après y avoir vu un tas d’articles,
je me décide pour un gode genre boules de geisha. Il est composé de sept boules
reliées par un genre de tube flexible. Les boules sont de plus en plus grosses à
mesure qu’elles se rapprochent du manche, elles prennent 1 cm de diamètre à chaque
fois, soit de 1 à 7 cm de diamètre. Je me dis qu’il est idéal pour commencer tout
doucement, mais doute d’aller un jour jusqu’au bout.
Quatre jours plus tard, mon colis est arrivé. Je vais le chercher à la poste un midi
et m’empresse de l’ouvrir une fois arrivé chez moi. Je tiens dans mes mains l’engin
que j’imagine déjà en train de me faire découvrir quelques sensations. Je résiste pour
ne pas l’essayer de suite, je préfère le garder pour ce soir, car en plus, je serais
en vacances ! J’aurais tout le temps de l’apprécier. En attendant, je le lave un coup,
et je retourne au boulot, l’après-midi va me sembler très longue…
18h30 ! Vacances ! Pour la première fois, je ne vais non pas fêter mes vacances avec
une bande de potes et une bonne bouteille, mais je m’apprête à les fêter seul, avec
une paire de bières, et mon nouveau jouet que j’ai hâte d’essayer.
Arrivé chez moi, je ferme toutes mes fenêtres et tous mes volets, je mets une lumière
minimum très tamisée, de la bonne musique et file direct à la douche. Ce soir, j’ai
rencart. Avec un « bout de plastique » certes, mais rencart quand même, je veux être
toute belle (toute belle ? j’ai dit toute belle ? bah finalement, pourquoi pas me
sentir « belle »).
Et me voilà sorti de la salle de bain, encore mouillé sous mon peignoir, parfumé avec
un échantillon d’Alien, le cœur battant, prêt pour mon rendez-vous. J’ai dans la poche
un tube de vaseline (merci la trousse de premiers soins, pommade contre les brulures).
Je vais me servir une bière bien fraîche et me pose devant l’ordinateur. Le film se
lance, mon cœur tape, mon sexe commence à gonfler. Je bois une gorgée de bière. Je me
sens bien, relaxe, détendu, et sens monté un début d’excitation.
Devant moi, un maître de maison rend visite à son jardinier, dans la cabane à outil.
Très vite, le jardinier doit tout arrêter pour s’occuper du sexe de son maître qui
exige d’être sucé. Pendant cinq longues minutes, il ne pourra reprendre son souffle
tant la queue est grosse et entrée profondément dans sa gorge. Pour à la fin se faire
inonder le visage par le foutre chaud de son maître, et finir de nettoyer le gland
encore plein de nectar. Cette dernière scène aura eu raison de moi, et c’est à ce
moment-là que l’excitation est montée à son maximum. J’enduis mon jouet de vaseline,
j’en étale également le long de ma raie, puis entre un doigt pour lubrifier l’entrée
de ma rondelle.
Allongé sur le dos, jambes relevées, je présente le bout de mon gode à mon cul tout
juste lubrifié. La première boule entre sans aucune difficulté. Je sens les parois de
mon anus enserrer cette première boule qui poursuit son chemin. La deuxième boule
passe également sans encombre, je sens mon anus se dilater au passage de la troisième.
Je m’arrête et reprend mon souffle. La sensation est étrange, et surtout très bonne.
Je sens bien ces trois boules en moi, surtout la dernière qui est juste derrière
l’entrée et qui me fais sentir une toute petite douleur, largement compensée par
l’effet que me procurent les deux autres, comme un effet de plénitude.
Je suis prêt à pousser pour le quatrième. Je sens mon petit trou qui s’élargit sous la
pression, je commence à avoir un peu mal, mais je sens aussi que je veux la sentir
encore plus profondément en moi. Dernière poussée, elle passe. Je m’arrête de
respirer, et savoure cet instant ou la petite douleur fait place au plaisir de se
retrouver avec un engin d’un peu plus de 10cm de long pour 4cm de diamètre.
Je me sens bien, du doigt, je caresse les contours de mon anus qui est tendu, je joue
avec l’objet enfoncé en moi. Je décide de le laisser en place. De la garder, au chaud.
Bien au chaud, pendant que je m’occupe de mon sexe tendu et prêt à exploser devant
moi.
Allongé sur le dos, jambes en l’air, écartées, je me courbe un peu plus afin de
positionner mon sexe devant mon visage. Il ne m’aura fallu que quelques allers-venus
de masturbation pour que mon visage soit inondé de foutre chaud. Foutre duquel je me
suis ensuite délecté.
Me voilà donc, premier soir de vacances, un gode dans le cul, allongé sur mon lit, le
visage collant, en train de me remettre des émotions qui viennent de me traverser. On
peut dire que ce premier rencart est une réussite, qui me donne envie de continuer et
pourquoi pas d’aller plus loin, à la rencontre d’un homme.
soupçonne pas encore.
J’ai 21 ans, je viens de débarquer dans le nord de la France pour terminer mes études
en alternance. Je loue un petit studio en résidence privée juste à côté de ma boîte.
Plutôt pratique ! Pour finir de planter le décor, je me décris un peu : 1m75 pour
70Kg, musclé plutôt sec, cheveux châtains et yeux noisette, une peau blanche presque
encore un peu laiteuse, mais qui prend bien le bronzage ;).
Je ne connais personne dans cette ville, qui en apparence est peu dynamique, peu de
restos, peu de bars. Bref, quand je ne suis pas en vadrouille, je m’ennuie ferme par
ici.
Alors, certains soirs, je navigue sur des sites porno, histoire de passer un peu le
temps, et puis, il faut bien l’avouer, aussi parce que j’aime m’y balader de temps en
temps.
Ce que j’aime regarder par-dessus tout sur ces sites, sont les petites vidéos de
sodomie. J’aime voir un gros sexe pénétré ce petit orifice, au rythme des cris de
jouissance de ces dames qui en réclament toujours plus. J’aime quand un homme qui
vient de prendre son pied dans un cul, sort son engin pour le présenter à la bouche
gourmande de sa partenaire pour bien tout nettoyer et avaler jusqu’à la dernière
goutte.
J’aime me masturber devant ce genre de vidéos… et petit à petit, je me sens de plus en
plus excité non pas par les fesses rondes et rouges de ces dames, non pas par leur
jouissance, non pas non plus par leurs seins qui se balancent au rythme des coups de
reins de leur partenaire, mais par le sexe de ces dits partenaires. Je voulais en voir
toujours des plus gros, des plus grands. Et puis j’ai commencé à ne plus regarder que
les sexes, mais aussi les hommes qui vont avec. Au début, j’aimais voir des grands
blacks, souvent très très bien montés, leur corps sculptés, huilés.. humm, très
excitant… sensation étrange pour moi.
Je décide de pousser un peu plus loin ma curiosité, et me voilà à la recherche de
sites gays.
Je tombe sur un site qui propose des récits, des images et pas mal de catégories de
vidéos. Je découvre petit à petit le monde gay, les actifs, passifs, les bears, les
daddy, les TTBM, bref, tout un tas de « catégories » et de mots que je ne connaissais
pas.
Les vidéos que j’y trouve ne me laissent vraiment pas indifférents. Je commençais par
trouver étranges les ébats entre hommes, mais petit à petit j’ai commencé à trouver
cela émoustillant, puis palpitant, pour à la fin être carrément excité par deux
langues d’hommes qui se mélangent.
Me voilà donc en train de me masturber devant des vidéos où des hommes musclés
enculent des mecs fins, des vidéos où des mecs peinent à faire entrer le membre TTBM
dans leur bouche mais qui l’accueillent avec une facilité déconcertante dans leur cul.
J’aime voir ces hommes, a genou, bouche ouverte et langue tendue devant un membre
luisant et prêt à décharger tout son nectar.
Depuis cette « découverte », je prends pour habitude les soirs où je suis seul, de me
regarder quelques vidéos, ou d’acheter puis télécharger des films gays sur Internet.
J’aime me retrouver nu et mater un de ces films, mon sexe bandé de plaisir. Dans ces
moments-là, j’aime aussi aller me regarder dans un miroir, me mettre de profil et me
cambrer, passer une main sur mes fesses, mouiller mon majeur et le passer dans ma
raie. Maintenant, c’est avec un doigt plongé dans mon anus que je me branle devant ces
films. La sensation est trop bonne, mais j’avoue que la position n’est pas pratique du
tout !
Un soir je décide donc de me procurer un sextoy sur internet, histoire d’être plus à
l’aise dans mes moments d’intimité solitaire ;) . Après y avoir vu un tas d’articles,
je me décide pour un gode genre boules de geisha. Il est composé de sept boules
reliées par un genre de tube flexible. Les boules sont de plus en plus grosses à
mesure qu’elles se rapprochent du manche, elles prennent 1 cm de diamètre à chaque
fois, soit de 1 à 7 cm de diamètre. Je me dis qu’il est idéal pour commencer tout
doucement, mais doute d’aller un jour jusqu’au bout.
Quatre jours plus tard, mon colis est arrivé. Je vais le chercher à la poste un midi
et m’empresse de l’ouvrir une fois arrivé chez moi. Je tiens dans mes mains l’engin
que j’imagine déjà en train de me faire découvrir quelques sensations. Je résiste pour
ne pas l’essayer de suite, je préfère le garder pour ce soir, car en plus, je serais
en vacances ! J’aurais tout le temps de l’apprécier. En attendant, je le lave un coup,
et je retourne au boulot, l’après-midi va me sembler très longue…
18h30 ! Vacances ! Pour la première fois, je ne vais non pas fêter mes vacances avec
une bande de potes et une bonne bouteille, mais je m’apprête à les fêter seul, avec
une paire de bières, et mon nouveau jouet que j’ai hâte d’essayer.
Arrivé chez moi, je ferme toutes mes fenêtres et tous mes volets, je mets une lumière
minimum très tamisée, de la bonne musique et file direct à la douche. Ce soir, j’ai
rencart. Avec un « bout de plastique » certes, mais rencart quand même, je veux être
toute belle (toute belle ? j’ai dit toute belle ? bah finalement, pourquoi pas me
sentir « belle »).
Et me voilà sorti de la salle de bain, encore mouillé sous mon peignoir, parfumé avec
un échantillon d’Alien, le cœur battant, prêt pour mon rendez-vous. J’ai dans la poche
un tube de vaseline (merci la trousse de premiers soins, pommade contre les brulures).
Je vais me servir une bière bien fraîche et me pose devant l’ordinateur. Le film se
lance, mon cœur tape, mon sexe commence à gonfler. Je bois une gorgée de bière. Je me
sens bien, relaxe, détendu, et sens monté un début d’excitation.
Devant moi, un maître de maison rend visite à son jardinier, dans la cabane à outil.
Très vite, le jardinier doit tout arrêter pour s’occuper du sexe de son maître qui
exige d’être sucé. Pendant cinq longues minutes, il ne pourra reprendre son souffle
tant la queue est grosse et entrée profondément dans sa gorge. Pour à la fin se faire
inonder le visage par le foutre chaud de son maître, et finir de nettoyer le gland
encore plein de nectar. Cette dernière scène aura eu raison de moi, et c’est à ce
moment-là que l’excitation est montée à son maximum. J’enduis mon jouet de vaseline,
j’en étale également le long de ma raie, puis entre un doigt pour lubrifier l’entrée
de ma rondelle.
Allongé sur le dos, jambes relevées, je présente le bout de mon gode à mon cul tout
juste lubrifié. La première boule entre sans aucune difficulté. Je sens les parois de
mon anus enserrer cette première boule qui poursuit son chemin. La deuxième boule
passe également sans encombre, je sens mon anus se dilater au passage de la troisième.
Je m’arrête et reprend mon souffle. La sensation est étrange, et surtout très bonne.
Je sens bien ces trois boules en moi, surtout la dernière qui est juste derrière
l’entrée et qui me fais sentir une toute petite douleur, largement compensée par
l’effet que me procurent les deux autres, comme un effet de plénitude.
Je suis prêt à pousser pour le quatrième. Je sens mon petit trou qui s’élargit sous la
pression, je commence à avoir un peu mal, mais je sens aussi que je veux la sentir
encore plus profondément en moi. Dernière poussée, elle passe. Je m’arrête de
respirer, et savoure cet instant ou la petite douleur fait place au plaisir de se
retrouver avec un engin d’un peu plus de 10cm de long pour 4cm de diamètre.
Je me sens bien, du doigt, je caresse les contours de mon anus qui est tendu, je joue
avec l’objet enfoncé en moi. Je décide de le laisser en place. De la garder, au chaud.
Bien au chaud, pendant que je m’occupe de mon sexe tendu et prêt à exploser devant
moi.
Allongé sur le dos, jambes en l’air, écartées, je me courbe un peu plus afin de
positionner mon sexe devant mon visage. Il ne m’aura fallu que quelques allers-venus
de masturbation pour que mon visage soit inondé de foutre chaud. Foutre duquel je me
suis ensuite délecté.
Me voilà donc, premier soir de vacances, un gode dans le cul, allongé sur mon lit, le
visage collant, en train de me remettre des émotions qui viennent de me traverser. On
peut dire que ce premier rencart est une réussite, qui me donne envie de continuer et
pourquoi pas d’aller plus loin, à la rencontre d’un homme.
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
un bonheur intense et que du plaisir.
belle histoire,
j'habite la région, si tu veux un coup de main pour utiliser ton jouet...
j'habite la région, si tu veux un coup de main pour utiliser ton jouet...
Très beau récit !
Superbe récit !!!! Merci de nous partager cette 1ère fois !!! J'attends la suite avec
impatience...
impatience...
Belle histoire, vivement la suite :)
on dirais moi la premiere fois avec une banane
Texte bien écrit et enfin un récit qui n'est pas truffé de fautes d'orthographe.
J'attends la suite en l’espérant un peu plus chaude.
J'attends la suite en l’espérant un peu plus chaude.
Bjr et merci pour ce récit. Je trouve que tu raconte très bien ton ressentis. Dommage
que l'on ne se connaisse pas habitant la même ville. Bonne decouverte.
que l'on ne se connaisse pas habitant la même ville. Bonne decouverte.
superbe histoire, attendons la suite