La DRH ne porte pas de culotte

- Par l'auteur HDS rouillip -
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Récit libertin : La DRH ne porte pas de culotte Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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La DRH ne porte pas de culotte
Madame Lemaitre était un femme grande, énergique, qui occupait avec maitrise les fonctions de Directrice des ressources humaines dans la société Synolac ou je travaillais. Elle avait la réputation d’être sévère mais juste et de mener son personnel à la baguette. Bref on la craignait un peu mais on la respectait pour sa droiture
C’était une femme pas très jolie mais avec beaucoup d’allure, de prestance. Toujours habillée assez strict, tailleur et jupe grise, cheveux poivre et sel toujours tirés en chignon. Un véritable archétype de la DRH.
Un soir que j’étais resté travailler tard au bureau elle me sonna au téléphone ;
DENISE : Pierre pouvez-vous passer dans mon bureau pour régler le problème des effectifs pour les vacances
J’arrivais donc dans son bureau et j’entrais en refermant soigneusement la porte. Je trouvais Madame Lemaitre changée et il me fallut un certain temps pour me rendre compte qu’elle avait abandonné son chignon et lâché ses cheveux sur les épaules. Je me fit la réflexion . … tiens cela lui donne l’air moins austère ! elle doit être mieux ainsi pour travailler
DENISE : Asseyez-vous Pierre et réglons ce problème d’effectif
PIERRE : Oui madame Lemaitre
Le problème fut rapidement réglé, Madame Lemaitre me faisant tout confiance sur les questions d’organisation
je lui trouvais un air spécial, elle semblait peut impliquée dans le problème dont nous venions de débattre, elle semblait un peu ailleurs, distraite et peu concentrée
Je lui en fit la remarque
PIERRE : Madame vous semblez ailleurs, quelque chose vous tracasse ?
DENISE : Vous savez Pierre c’est une lourde tâche que de devoir toujours imposer sa volonté aux autres, commander, toujours commander c’est usant
PIERRE : Préfèreriez-vous être commandée ?
DENISE : J’avoue que relâcher la pression, lâcher prise en se laissant aller à la volonté d’un autre … parfois j’en rêve !
PIERRE : Un besoin de pénitence pour avoir trop diriger les autres ?
DENISE : Peut-être un besoin de punition pour avoir trop imposer ma volonté au personnel !
Elle s’approcha de moi, posa sa main sur mon épaule, et me susurra à l’oreille
DENISE : Pierre j’ai très envie d’un fessée
Je ne puis m’empêcher de rougir devant cette proposition. Certes ce n’était pas la première fois que j’administrais une fessée à une femme … Mais Madame Lemaitre !
Elle roucoula un peu, frotta ses cuisses contre moi. Comment résister à une telle proposition. Mon étonnement se changea en interrogation, puis rapidement le désir m’envahi et balaya toutes mes réticences
PIERRE : Madame Lemaitre vous aimez les fessée sévère ?
DENISE : Idiot, appelle moi Denise : et fesse moi comme tu en as envie
PIERRE : comme une salope ?
DENISE : Comme une salope qui a très envie d’être punie et soumise à tes désirs
Je la pris par la main pour l’inviter à se coucher sur mes genoux. Elle s’étala sur moi de tout son long, semblant attendre la première injure à sa féminité
Je commençais par caresser la croupe qu’elle m’offrais, à la peloter. Ses fesses étaient dure, elle étais encore tendu, sans doute à cause de la situation. Elle s’offrais mais se sentait humiliée de sa position … elle commençais à ressentir la jouissance de la punition … et moi le plaisir de l’infliger
Quelques claques sur les fesse lui tire un petit gloussement
DENISE : Hum ! c’est bon
Je m’enhardi est les claques deviennent plus fortes
DENISE :_ Ho ! fesse-moi comme une salope !
P_ mais je crois que tu es vraiment une salope
Ce disant je commençais à remonter sa jupe grise qui découvraient ses bas noirs
PIERRE : II y en a de belle choses là dessous, je sens que je vais me régaler
DENISE : profites en, rince toi l’œil, c’est pour ton plaisir que je me suis parée
PIERRE : Et si je remonte un peu, je trouve quoi ?
DENISE : Vas voir, c’est pour toi
PIERRE : petite salope, ru avais prévu ton coup, c’est un crime sexuel avec préméditation !
DENISE : je crois que d’en ce cas la peine encourue est plus forte
PIERRE : Tout à fait, crois-moi tu vas recevoir la correction de ta vie, tu m’as fait rougir avec to proposition mais tes petites fesses vont être plus rouges que mes joues
DENISE : Tu me fais mouiller ma culotte
PIERRE : bonne occasion pour la baisser
DENISE : quand on se fait baisser la culotte c’est un signe de capitulation sans conditions
PIERRE : C’est pourquoi les hommes aiment bien garder en trophée les culottes des femmes qu’ils ont baisé. Tu me laissera ta culotte en souvenir ?
DENISE : Tu ne m’as pas encore baisée !
PIERRE : Attends ton tour
Pendant cet aimable babillage j’avais remonté sa jupe sur ses hanches, laissant apparaître un merveille de petit cul gainé dans une culotte noire et encadré de jarretelles du meilleur effet. Ses petites fesses rosie par les premières claques ressortaient comme deux fruit mures au milieu de cet univers de satin noir.
Je recommençais à fesser son derrière. Chaque coup lui tirait un oups ! de satisfaction. Elle aimait ça la bougresse
PIERRE : Il est temps de passer à la vitesse supérieur, à bas la culotte
DENISE : Tu ne vas pas me déculotter, ce serai la honte
PIERRE : La honte c’est cela qui t’excite petite vicieuse
La culotte avait glissée jusque sur ses cuisses malgré ses protestations
DENISE : Non pas la culotte , pas cul nu, je t ‘en supplie
Mais en même temps elle se soulevait sur mes genoux pour me faciliter le travail. Je jubilait de la voir désemparée, punie, honteuse mais incapable de résister à son désir d’humiliation.
Je fis une pause dans la fessée
PIERRE : Petit salope, va te mettre à genoux au coin, les mains sur la tête.
DENISE : J’ai trop honte, je peux remettre ma culotte ?
PIERRE : certainement pas, le spectacle est trop excitant ainsi. Ton petit derrière rouge que ta jupe ne peut plus masquer me fait un effet d’enfer
En grommelant elle se mis a genoux au coin comme une petite vicieuse punie
PIERRE : J’ai dit les mains sur la tête !
Elle s’exécutât. Je la laissait un moment digérer la situation. Je crois que quelques larmes coulaient de ses yeux. Elle se rendait compte combien sa position était humiliante et s’en voulait de l’accepter et même d’en jouir. Elle aurait aimé au moins remonter sa culotte pour limiter l’humiliation. Et pour moi quel plaisir de voir cette femme ,qui quelques heures auparavant me donnait des ordres, tout contrite et obéissante face au mur la culotte sur les cuisses exhibant son derrière rougi par la punition
Je m’approchait d’elle. Elle tourna légèrement la tête et son visage vint se coller sur mon bas ventre qui formait une bosse dans mon pantalon. Je me frottais doucement sur son visage, amenait ma bosse prés de ses lèvres. Elle mordilla ma queue à travers le tissus … puis n’y tenant plus elle se rua sur la ceinture de mon pantalon quel dégrafa en un tour de main. Elle avait complétement oubliée sa position à genoux, le culotte sur les cuisses, elle ne pensait plus qu’à engloutir mon dard qui se dressait devant elle. Elle suçait avec une telle frénésie que je dû la stopper
P_ Va doucement ma pute, tu en aura plus de jus que tu n’en voudra.
Je deit les bouton de sa veste pour ouvrir la vue sur une paire de seins tenus dans un soutien-gorge en dentelle noire. Quel plaisir que de peloter ces deux mamelons.
Ses lèvres allaient et venaient le long de ma queue m’offrant du plaisir à chaque fois qu’elle m’avalait et du répit dans son retrait. Mes mains avaient fait jaillir ses seins de leur gaine de dentelle et je caressait doucement ses petits tétons. J’étais au bord de la jouissance. Elle voulait à tout prix me faire éjaculer, mais je me retenais pour garder ce plaisir vivant encore longtemps. L’éternelle lutte du bien et du mal !
PIERRE : Arrête tu vas me faire jouir
Elle insistait et suçait de plus belle
P DENISE :- Si tu continues à me désobéir je vais être obligé de te punir à nouveau
Elle éclatât de rire
DENISE : Mais mon beau maitre ‘en ai vraiment besoin, as ti connus une salope qui te tête avec tant de désir.
PIERRE : Alors viens sur mes genoux tu va prendre une fessée mémorable
Elle vint s’allonger sur mes genoux. Tout était prêt pour la fessée : Jupe relevée, culotte à mi-cuisses
Je commençais à la cingler, à main plate, pour bien lui rougir les fesses et lui donner cette impression de chaleur que connaissent bien tous les fessées. Je claquaitsde plus en plus fort
DENISE : arrête, tu me brules le cul
PIERRE : tu en a voulu, tu vas en avoir
T DENISE : u me fais mal
PIERRE : C’est s ce que a demandé, alors ne te plain pas d’être exaucée
Les coups tombaient sur son fessier qui devenait cramoisi. Elle suppliait
DENISE : Arête, c’est trop dur je n’en peut plus, j’en pleure
PIERRE : tu as décidé de jouer les salopes et les salope ça paye leur cochonneries, tu peux pleurer cela n’efface pas tes fautes
Je crois que je me suis un peu emporté et la fessée à vraiment été sévère. Au bout d’un moment je me rendis comte que je dépassais es bornes et j’arrêtais de la fesser
Elle se réfugia dans mes bras
DENISE : Merci chéri tu m’a donné plus que je ne pouvais l’espérer. Je sais maintenant que je peut-être une vrai chienne, je suis fessé, je suce comme une pute, et j’adore !
PIERRE : Avant de cesser tu vas me faire une bonne pipe, tu ne mérite pas plus que de sucer mon gland
Pour celle qui dirigeait, se retrouver à genoux, déculottée en train de sucer un employé, ce devait être, pour elle, le summum de l’humiliation, de la déchéance. Je voyais bien combien cela l’excitait
PIERRE : Allez suce bien, prend ma bite dans ta bouche de bourgeoise pendant que je mate ton cul
DENISE : Je suis une vicieuse, et j’aime cela
Elle s’exécutât, suça, suça, et re suça jusqu'à ce que j’(explose sans retenue dans sa bouche
DENISE : Je n’avais jamais avalé, c’est une sensation agréable, on a le sentiment d’avoir bien fait son devoir de chienne, et reçu en récompense ce que l’on mérite : un bain de foutre !
PIERRE : Donne moi ta culotte, j’ai le droit à mon trophée, l’oscar de la fessée
DENISE : Mais tu ne l’a pas mérité, tu ne m’a pas vraiment baisée
PIERRE : c’est vrai qu’une bonne salope suce, mais doit aussi se faire prendre Approche un peu petite trainée vicieuse
Elle s’agenouillât, à quatre pattes et m’offrit son cul
DENISE : Fait ton travail petit maitre mon trou et pour toi
Je mouillait mon index et commençait à lui titiller la rondelle. Elle se cabra
DENISE : Non, pas ce trou, pas cette fois ci, j’ai assez souffert pour aujourd’hui
J’insistait un peu, essayant de glisser mon doigt dans son intimité. Elle se cabra
DENISE : Non la prochaine fois, on prendra le temps car je suis vierge du cul, personne ne s’est encore insinué par là
PIERRE : On doit toujours satisfaire Madame. Me permettriez-vous de glisser ma virilité masculine dans cet orifice si prisé des hommes
DENISE : Idiot, tais-toi et baise moi
Elle s’offrait tout à moi, je la pénétrais en douceur, je plongeais mon dard dans cet écrin de soie, j’allait et venait sur un rythme lent. Quand j’accélérait elle gémissait. Elle perdait tout contrôle
DENISE : Baise moi fort, prend moi comme une chienne
Je la pénétrait aussi profond que le pouvais
DENISE : Je la sent, elle me fouille, c’est bon d’être violée
Manifestement elle avait lâché prise et ne se contrôlait plus
DENISE : Ho ! salaud, tu baise ta petite chienne de DRH
DENISE : Je suis une pute, je mérite ta punition, salit moi ! je suis tout à toi !
Je sentais la jouissance monter en moi, à chaque fois que je me plantais en elle, à chacun de ses gémissement. Elle manifestait plus bruyamment. C’était maintenant des cris étouffés, le cris d’une femelle prise par son mâle
DENISE : tu crois baiser un femme, mais tu baise une femelle, … je suis ta pute
PIERRE : Oui tu es ma pute et je te tringle comme tu le mérite
DENISE : Viens, viens, je veux jouir
P_ je veux gicler en toi, avoue que tu es prise
DENISE : Ho ! oui, tu me domine et tu fais de moi tout ce que tu veux
L’orgasme arriva simultanément, elle poussa un cri de rut
Aaah ! Aaah ! je suis punie, humiliée … j’aime être une salope !
La pression descendit rapidement et chacun reprit ses esprits. Elle entrepris de se rhabiller, réajustât sa veste, enfila sa culotte
PIERRE : Tu n’oublies pas quelque chose ?
DENISE : Non, quoi ?
PIERRE : La culotte
DENISE : Ha ! oui, petit cochon, tu l’as bien mérité
Elle retira la culotte et me la tendit d’un air soumis
PIERRE : Merci se sera le symbole de ta punition
En riant je lui dit
PIERRE : Je vais l’afficher dans mon bureau, c’est un trophée !
DENISE : Si tu fais cela je vais t’accuser de m’avoir violé quand on est resté seul
PIERRE : Bien sûr que je ne le ferais pas, je respecte ce qui s(est passé entre nous
DENISE : Il s’est passé quelque chose ?
PIERRE : Non, je ne me souvient pas !
Elle était de nouveau habillée et avait repris ses airs de Directrice
DENISE : Pierre on se voit demain pour le bilan
PIERRE : Oui madame Lemaitre
Elle prit son sac et s’éloigna de son pas énergique. La vie reprenait son cours. Je la voyait s’éloigner en me disant
PIERRE : Moi je sais que sous sa jupe … il n’y a pas de culotte !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Désormais elle ne doit plus porter de culotte, après va falloir aussi supprimer le soutif qui cache et lui faire porter une guépière seins nus

Histoire Erotique
Très sympa et équilibré comme récit.
Demain elle devra travailler sans culotte ?

Histoire Erotique
Très sympa et équilibré comme récit.
Demain elle devra travailler sans culotte ?



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