La femme de ménage

- Par l'auteur HDS Mainsdouces1974 -
Auteur homme.
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Récit libertin : La femme de ménage Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(10.0 / 10)

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La femme de ménage
Je travaille dans une petite entreprise où depuis bien longtemps les tâches ménagères sont confiées à des sociétés d’entretien.

On voit rarement les mêmes têtes (ou alors cela ne dure pas bien longtemps). L’avantage c’est que parfois on voit des têtes très agréables, parfois aussi des jeunes filles très délurées. Mais je dois dire que, passé l’effet d’optique souvent très agréable, toutes ces choses là ne sont plus trop de mon âge, elles ne sont plus qu’anecdotiques pour moi et je n’y trouve plus guère d’excitation.

Alors que dans ma jeunesse, je fréquentais minettes et midinettes, parfois même des lolitas, passé un certain cap, je me suis résolument tourné vers les femmes plus mûres, voire très mûres, toujours plus âgées que moi en tout cas. Dans ces conditions elles dépassent forcément la cinquantaine et avoisinent la soixantaine quand ce n’est pas plus.

Le déclic s’est fait l’année de mes 33 ans, précisément à cause d’une de ces dames du personnel d’entretien.

A l’époque, je me souviens d’une fille d’une vingtaine d’années, très grande, brune aux cheveux très longs qui lui descendaient jusqu’aux fesses, avec un petit cul d’enfer qu’elle déhanchait à loisir. Elle était sympa et loin d’être farouche, ce n’était pas non plus la première à qui je faisais des avances et, pour me rassurer, je n’étais pas non plus le seul dans la boîte à courir ce genre d’aventure, la seule différence c’est que ma femme de l’époque, je la détestais profondément depuis toujours. Et donc je n’avais vraiment aucun scrupule à la cocufier de toutes les façons qui soient, d’autant plus qu’elle me le rendait bien, notre union n’étant que pécuniaire.

Il y avait donc cette grande brune qui trémoussait son petit cul dans les couloirs et moi je matais à fond en attendant qu’elle ne se décide à m’en donner un peu plus. Un jour, la voici qui s’arrête devant ma porte et nous entamons une conversation pleine de sous-entendus…

J’en étais arrivé à « Mais que diriez-vous si je vous proposais d’aller boire un verre après le travail ? » et, sans tout à fait dire « Oui » elle ne disait pas spécialement « Non », quelques mots plus loin et ce serait peut-être dans la poche, quand une petite femme d’un certain âge fit irruption devant la porte, en blouse, elle aussi, l’air sévère :

- Carole, que faîtes-vous ici, vous êtes affectée au deuxième cette semaine ?

La dénommée Carole obtempéra de suite sans rien dire et je me retrouvai d’un coup seul à seul avec cette petite femme revêche. L’instant d’avant j’étais en train de bander en pensant à ma jeunette et me voici face à cette « mal baisée » acariâtre dont les rides trahissaient le nombre d’heures de vol et dont le seul attrait était d’avoir une poitrine opulente (mais dans quel état ?). Mon excitation est retombée d’un coup face à cette emmerdeuse.

J’étais déjà en train de monter le plan dans ma tête de ma future visite au second étage quand l’inimaginable se produisit :

- En ce qui me concerne, je suis tout ce qu’il y a de plus disponible ce soir.

Tout cela dit sous le ton le plus naturel qui soit. J’en suis resté complètement baba :

- Pardon ?
- Je veux dire que, si ça vous tente, je veux bien passer la soirée avec vous.

Je la regardais droit dans les yeux, elle n’avait vraiment pas l’air de plaisanter. Pour rien au monde, elle était sérieuse comme un pape. Elle ne souriait même pas. Je l’avais déjà rencontrée ça et là les jours précédents dans les couloirs mais nous ne nous étions pas échangé 2 mots, ni même un regard.

- Je quitte à 21 heures, alors faîtes-moi signe si vous êtes intéressé.

Intéressé, pour faire quoi ? Pour draguer cette vieille chouette ? D’un autre côté c’est la première fois de ma vie qu’on me faisait des avances aussi claires. Il faut dire que n’ai jamais eu le look d’un minet, encore moins d’un sex-symbol. En ce qui me concerne, chaque partie de drague était plutôt une longue parade durant laquelle je devais jouer de finesse pour accéder à mes fins.

Après tout, elle n’était pas trop moche et même plutôt baisable, pas plus moche que moi en tout cas. Ce qui me refroidissait, c’était plus la tristesse de son visage, pas la moindre trace de sourire.

Je ne sais pas comment j’en suis venu à accepter ce rendez-vous, peut-être par curiosité, il aurait été si facile de retrouver la divine Carole pour passer une très agréable soirée. Au lieu de ça je suis passé voir sa patronne qui bataillait avec un aspirateur infernal. Un bruit d’enfer. Pour pouvoir m’entendre elle dut arrêter l’appareil.

- C’est d’accord pour ce soir, je vous laisse le choix pour un bar du centre ville.
- Chez moi ce sera tout aussi bien, surtout que je ne suis pas spécialement attirée par l’alcool.

Décidément, elle avait tout pour surprendre. Sans équivoque, à ce rythme là, j’allais inévitablement passer à la casserole. Pourtant je me voyais mal dans ses bras, j’avais trop l’habitude de mes petites jeunettes.

Je l’ai attendue jusqu’à 21h, sagement assis dans mon bureau, m’interrogeant toujours sur le contenu de cette soirée. La blouse retirée, elle se retrouvait affublée d’une jupe longue et d’un chemisier très échancré qui mettait bien en valeur la naissance de ses seins. Sans être très sexy, il était évocateur, j’en fus assez surpris.

- Je m’appelle Monique et vous ?
- Et moi Simon.
- Je vais être franche, cela fait 2 fois que je vous surprends à draguer une femme de ménage, alors je me suis dit « Pourquoi pas moi ?».
- …
- Un de mes fantasmes c’est de faire l’amour dans un bureau

Sur ce, elle referma la porte derrière elle et s’approcha lentement de moi. Elle s’était abondamment parfumée en se changeant et sentait très fort la cocotte. C’était assez enivrant. Passant derrière le bureau, elle s’est tout de suite agenouillée devant moi, elle a dégrafé prestement ma braguette et a extrait ma queue sans plus attendre avant de l’emboucher. Je bandais à peine, je peux même dire qu’au début je ne bandais pas. Mais, devant cette experte de la turlutte je n’ai pas tardé à durcir. Elle me pompait avec vigueur, alternant pour me lécher tandis que ses petites mains fines me masturbaient avec un savoir-faire évident. C’était vraiment parfait, irréprochable, aucune de mes petites jeunettes n’auraient pu l’égaler dans cet exercice :

- J’adore l’odeur de ta queue, dit-elle entre 2 pompages.

J’étais aux anges mais à ce rythme là je n’allais pas tenir bien longtemps.

- Arrête, Monique, à mon tour de te faire du bien.

Je la fis se redresser, s’asseoir sur le bureau face à moi. A genoux à mon tour entre ses cuisses, je ne pus que constater qu’elle n’avait pas de culotte. Entièrement nue sous sa jupe. Une chatte plutôt large, non épilée mais relativement peu poilue, quelques longs poils clairs et clairsemés. Une odeur plutôt forte, très poivrée, mélange d’urine et de mouille. J’ai plongé dans son antre pour la goûter, elle était juteuse à souhait. Je la bouffais, je la branlais, je l’aspirais. Elle a fini par s’allonger sur le bureau en écartant largement les cuisses pour que je puisse bien y accéder. Plus je la léchais et plus j’étais stimulé par ce divin nectar. Je la sentais gémir sous mes coups de langue, gémir et se tortiller.

C’est à ce moment précis que j’ai entendu du bruit dans le couloir. « Mince la ronde de nuit ».

- Vite, Monique

Nous eûmes à peine le temps de nous rajuster. Monique était encore à mes côtés lorsque le veilleur de nuit ouvrit la porte, attiré par la lumière qui était restée allumée.

- Euh, pardon, je ne savais pas qu’il y avait encore du monde

Mais nous voyant trop proches l’un de l’autre, je crois que malgré tous mes efforts, j’eus beaucoup de mal à lui faire croire que « Je vais raccompagner la femme de ménage chez elle car elle s’est fait mal aux pieds ». Le « bonne soirée » qui a suivi en disait fort long sur ce qu’il avait compris.

En tout cas, nous prîmes, Monique et moi, bien sagement la direction du parking. Elle habitait vraiment à deux pas, dans des immeubles qui jouxtaient la zone industrielle, un quartier ouvrier pas trop bien famé.

A peine sorti du parking que je sentais déjà sa main entre mes jambes tandis que je conduisais. Elle alla droit au but et commença à palper. Devant cette caresse directe, je me remis à bander. D’une main experte elle eut tôt fait de dégrafer mon pantalon. Et, tandis que je garais la voiture, elle sortit ma queue déjà bien dure, se penchant aussi sec vers mon gland pour le goûter. Elle m’avala entièrement, fit quelques allers et retours, une pipe de pro.

Elle mouilla son doigt avant de replonger vers mon dard. Cette fois-ci je sentis un doigt s’insinuer entre mes fesses : Quelle salope, elle me pompait comme une reine alors que dans l’immeuble d’en face n’importe qui de curieux aurait pu nous surprendre.

Elle finit malgré tout par se redresser.

- Allez, viens, nous sommes trop à l’étroit ici

L’instant d’après dans l’ascenseur, je lui roulais une pelle d’enfer en malaxant ses gros seins, un peu mous et tombants certes mais encore acceptables.

Arrivés à l’étage, elle bloqua l’ascenseur et se laissa dépoitrailler, pétrir et téter. N’importe qui aurait pu arriver, ça ajoutait à notre excitation. Poitrine en avant, elle se donnait totalement, je ne tardai pas à lui mordiller ses tétins érigés.

Ensuite, n’en pouvant plus elle sortit prestement de l’ascenseur seins à l’air, se dirigea vers son appartement et nous nous y engouffrâmes.

Le salon donnait sur une grande baie vitrée qui s’ouvrait sur un balcon. Aucun rideau, il est clair que les voisins de l’immeuble d’en face avaient vue plongeante sur cet appart, d’autant que la lumière crue du plafonnier devait leur faciliter la tâche. Pourtant elle insista pour que ce soit sur le canapé que l’on continue nos ébats. Les voyeurs d’en face avaient à peine besoin de jumelles pour voir : petite séance de pompage, petite séance de cunni, ramonage sur canapé, défonçage sur le tapis, plus quelques figures hétéroclites qui nous permirent de varier les plaisirs.

N’en pouvant plus je finis par retirer la capote pour lui asperger copieusement le visage avant de recommencer à l’asticoter. Je la branlais avec tellement de force que je finis presque par la fister. Plusieurs fois des jets de jouissance s’échappèrent de son con, elle criait, elle couinait, elle se trémoussait. J’ignore combien de fois elle a joui mais à chaque fois je recommençais, avec mes doigts, avec ma bouche et bientôt avec ma queue qui s’était remise à bander.

A la fin, elle s’est levée :

- Arrête, arrête, je n’en peux plus

Moi non plus je n’en pouvais plus, j’avais mal aux mains à force de la branler, j’avais les lèvres brûlées par l’acidité de son jus. J’étais allé jusqu’au bout de mes limites pour que cette divine salope aille au bout de ses limites.

Elle est sortie à poil sur le balcon. Sans aucune gêne. Elle a allumé une clope, je l’ai suivie.

- Je me doutais que t’étais un bon coup, tu t’occupes bien des femmes.

Mon orgueil de mâle a fait le fanfaron.

- Mais tu as quand même quelques petits trucs à apprendre. Disposée comme je l’étais tu aurais pu me faire jouir beaucoup plus.

Mon orgueil de mâle est retombé d’un coup. Il faut dire qu’avec mes midinettes j’avais l’habitude qu’elles tombent en admiration devant mon savoir-faire. Or là, tout d’un coup, je m’apercevais que je n’étais peut-être pas si doué que ça.

Dans l’immeuble d’en face, un type tapi dans l’ombre nous reluquait c’est certain. Enfin, de là où il était il devait voir surtout les seins de ma partenaire. Pour le reste il avait peut-être assisté à nos ébats.

- Laisse tomber, il regarde à chaque fois que je ramène un mec à la maison
- Et c’est souvent ?
- Ca dépend des périodes, là ça faisait assez longtemps, presque un mois.

Je m’apprêtais à lui demander si c’était toujours les mêmes mais je me suis ravisé, cela ne me regardait pas après tout.

Nous avons bu un thé et mangé quelques gâteaux puis, sur le coup de 2 heures, elle m’a fait comprendre qu’elle était fatiguée et qu’il était préférable que je rentre chez moi.

Par la suite elle a dû faire appel à moi une petite dizaine de fois, toujours quand elle avait envie. J’ai beaucoup appris entre ses mains et j’ai surtout appris à aimer les femmes matures et épanouies. Depuis ce jour je ne peux plus m’en passer.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
bjr
a quand la suite des autres fois ou vous vous ete rencontrés
willy de VANNES



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