La femme de ménage - histoire érotique

Cela fait maintenant quatre semaines qu'il y a une nouvelle femme de ménage qui entretien le lavomatic de ma rue. C'est une femme d'une quarantaine d'année, de taille moyenne avec quelques kilos en trop ce qui fait quelle est plutôt ronde de silhouette. Les deux très gros seins en font de cette femme une mature et, faut bien le dire, donne envie d'y toucher car ils ne paraisses pas tombant. Comme je vais y laver mon linge tous les samedi matin, vers sept heure, c'est à dire à l'ouverture de la boutique, nous avons fini par sympathiser et ainsi parler de tout et de rien. J'ai donc appris quelle était divorcé et était seule depuis. Elle était ici pour un remplacement de quelques semaines. Aujourd'hui, je suis arriver comme à mon habitude, et, après un bonjour amical, je me suis occuper de mon linge. C'est a ce moment, en me retournant que je me suis aperçu quelle portait une jupe sous sa blouse alors que les autres fois elle était en pantalon. Quand elle se pencha bien en avant pour essuyer la table, je vis quelle avait un tanga en dentelle bleu qui était un peu trop petit car il lui rentrait dans son sillon ainsi qu'entre ses grandes lèvres. Je pus en déduire quelle avait le sexe raser. Quand elle se redressa, je fis semblant de n'avoir rien vu et continuait a m'occuper de ma lessive. Je remarquai, néanmoins, quelle avait le visage rouge et pensa que cette position n'était pas involontaire. Elle s'en alla dans le local technique et revint peu de temps après avec son balai pour finir le nettoyage de la pièce. Comme à mon habitude, je sortais dehors pendant ce temps. Quand elle eu fini, elle se pencha, de dos par rapport a moi, pour ramasser les saletés. Ce que je vis me fit rougir car sous sa blouse, elle n'avait plus de jupe ni de tanga. Elle avait le bas du corps nu. J'ai attendu quelle ait fini pour rentrer à nouveau et attendre que ma lessive soit finie. Elle était dans son local quand quelque chose est tomber et que je l'ai entendu crier très fort «AIE ». __ Y a un soucis, ais je répondu __ Oui, je me suis fait mal. Vous pouvez m'aider, dit elle. Je me dirigeai donc vers son local et là, je la vis debout, nue, sa blouse ouverte, les seins bien en évidence quelle tenait à deux mains et elle me dit : __ Il n'y a personne d'autre que toi et moi, alors tu vas me baiser car ça fait longtemps que je n'ai pas eu une bite dans la chatte ou dans le cul. J'ai eu un moment de surprise mais comme elle m’attrapa par le pantalon et me tira vers elle, elle ne tarda pas a baisser mon survêtement et empoignai ma bite quelle se mit à sucer aussitôt. Finalement, je me dis que comme la situation pour une fois se présentait, autant en profiter. Elle me suça un bon moment puis se retourna en me présentant son cul. __Choisi un trou et baisse moi vite. J'en ai envie. Je m’introduit dans sa chatte que je limais aussi fort que possible. Elle veut se faire sauter alors je vais lui en donner. Pendant plusieurs minutes je la pilonnais tout en lui crachant des mots crus et en le tenant par les seins. Je lui pinçait les tétons dès que je pouvais. Ça devait faire un bout de temps quelle n'avait pas du se faire sauter car elle jouit plusieurs fois et a intervalle très court. Quand je ressenti que j'allais moi aussi être proche d'arriver, je me suis retirer ce qui lui fit crier un gros râle. Je lui administrai une bonne paire de claques sur les fesses tout en regardant si personne n'était rentrer dans la pièce. Comme nous étions tous seuls, je lui mis ma bite devant sa bouche. Elle l'avala et me pratiqua une fellation comme si elle avait faim. Je me remis derrière elle et lui fourra mon sexe dans la chatte que je limais pendant quelques minutes. Je me retirais puis, mon sexe dans ma main droite pour bien le diriger, je m’enfonçai dans son fondement sans aucuns préliminaires. Elle cria de douleur, mais ce n'est qu'une fois bien au fond que je l'ai laisser reprendre sons souffle tout en la maintenant fermement. __ Tu en voulais, tu vas en avoir lui dis-je. __ Oui, allez continu, t'arrête pas. Bourre moi le cul. Je l'ai ainsi enculer pendant de longues minutes. Elle criait et en redemandait sans arrêt. Ce n'est que quand j'ai senti que j'allais arriver, que je l'ai bien bloquer contre moi et me suis déverser en elle. Une fois vider, je lui ai présenter ma bite et elle s'est empresser de me nettoyer. Pour ma part, je me suis rhabiller et suis aller ramasser mon linge qui avait fini d'être laver. Avant de partir, je suis aller la voir dans son local. Elle était toujours nue. __ Ça va aller, lui dis-je ? __ Oui ça va aller, j’attends un peu, j'ai le cul en feu et je crois que je vais avoir du mal à marcher. Merci, c'était bon. J'en avais besoin. __ Le plaisir a aussi été pour moi. Je serai là samedi prochain si vous en voulez encore. __ On verra, on verra. Merci. Bisous Elle repris sa position le cul pencher vers l’arrière pour faire passer la douleur qui l’empêchait de marcher correctement sans éveiller la curiosité. Je la regardait un moment et me dit que son cul avait été bien accueillant. J'ai ramasser son tanga comme trophée de la journée. Je lui ais souhaiter une bonne journée puis, avant de partir, en voyant ce cul légèrement ouvert, je n'ai put m'empêcher de lui fourrer mon index tout en lui décrochant un « Ho » de surprise. Mon samedi avait bien commencer.