La femme de mon pote la belle Valérie.
Récit érotique écrit par Franky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-07-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La femme de mon pote la belle Valérie.
Cette histoire c'est déroulée il y'a un peu plus de 20 ans, j'avais à cette époque 35 ans, j'était souvent invité chez un couple d'amis, Serge et Valérie, lui était un copain d'enfance, il avait rencontré Valérie à la boulangerie où il travaillait et où elle était elle même vendeuse, ils se sont mariés quelques années plus tard.
Valérie est une pulpeuse femme de 32 ans aux cheveux mi-longs châtain, un visage d'ange et un corps de rêve.
Un soir j’était donc invité chez-eux, je fus accueilli par mon copain que je salua et lui remis une bonne bouteille de rouge, il me fit entrer dans le salon quand la belle Valou arriva de la cuisine où elle s’affairait à préparer le repas, elle me fis la bise en même temps que je lui remettais un bouquet de fleurs, elle était vraiment très belle, sa courte chevelure ramenée en arrière formait une petite queue de cheval, son léger maquillage, elle portait un chemisier de couleur saumon, une mini-jupe en cuir noir et par-dessus le tout un beau petit tablier en nylon rose qui s’attache sur les côtés avec des liens, ce dernier dépassait allègrement sa jupe, lui arrivant même pas à mi-cuisses, de face on n’aurais pu croire qu’elle n’avait rien dessous, pour finir elle avait une paire de bottes en cuir noire qui montaient presque à hauteur des genoux.
Enchanté de cette vision, je la trouvait vraiment désirable, toute la durée de l’apéro et du repas je n’arrêtais pas de la regarder, mon regard se posait souvent sur son imposante poitrine (un bon 90c) qui tendait son tablier rose, de son côté elle n’était pas en reste car nos regard se croisait souvent et étaient soutenus par moment.
Après le repas elle débarrassa la table, pendant que Serge et moi allions nous installer dans le salon pour voir le match de foot qui allait commencer, je proposa alors mon aide à la belle maitresse de maison qui ne refusa pas, Serge commençait à avoir un coup dans le nez, pis moi j’était un peu limite, il faut dire que nous avions pas mal picolé, j’ai donc pris quelques couverts que j’ai porté à la cuisine où j’ai rejoins Valou qui préparait l’eau de vaisselle, puis après quelques aller-retour tous les plats se trouvaient en cuisine, Valou faisait déjà la vaisselle, je me suis mis à côté d’elle puis nous avons discuté un peu, nos regards plongeaient l’un dans l’autre, puis au bout d’un moment, l’alcool aidant sans doute, j’ai approché mes lèvres près des siennes si pulpeuses, puis à son tour elle approcha sa tête et nous avons commencé un langoureux baisé, entrecoupés de smacks, puis nos langues se sont liées pour finir dans un baisé baveux, à ce moment elle me dit d’aller rejoindre Serge, car le match devait-être commencé et qu’elle allait nous apporter un bière.
Je suis donc aller rejoindre mon copain et le match était effectivement commencé, au bout d’un instant Valérie nous a rejoint en nous apportant 2 bières, mon pote avait du mal à tenir sa bouteille mais néanmoins il l’a bu cul sec, quant à la belle elle s’était assise dans le fauteuil en face de moi qui étais assis par terre devant le canapé, nous n’arrêtions pas de nous fixer du regard, puis je remarquais qu’elle écartait ses cuisses lentement, je fixais ses cuisses quand soudain j’ai aperçu son petit chaton à l’air libre, les lèvres étaient écarté légèrement et il semblait bien humide, je remontais mon regard vers le sien, elle me lançait un grand sourire en suçotant son petit doigt, j’était dans un état d’excitation pas possible, puis je jeta un regard discret vers mon copain, il était à trois quart dans les vaps et il commençait à piquer du nez, à ce moment Valou se leva en disant: « bon ce n’est pas le tout, mais il faut que je finisse ma vaisselle! » et comme je venais de finir ma cannette de bière elle ajouta: « viens chercher 2 autres bières si tu veux Franky !» je saisi l’occasion et la suivi à la cuisine, mais à peine arrivés nous nous sommes enlacés et avons repris notre langoureux baisé, je la caressait dans le dos tandis qu’elle avait pris ma tête dans ses mains et tout en caressant mes joues.
Ma bite était raide comme un bout de bois, en plus nous étions collés l’un contre l’autre, elle sentait bien ma raideur, cela à duré plusieurs minutes, puis toujours enlacés je lui dit qu’elle avait un beau petit chaton et que c’était bien de lui faire prendre l’air, elle rigola discrètement puis me dit: « bon tu prend les bières et tu retournes au salon, moi je vais aller me changer! » je pris les 2 bières et je la regardait aller vers sa chambre tout en tirant sur les liens de son tablier de chaque côté et le faisant passer par-dessus sa tête, j’était ensuite de retour au salon, je déposait la bière de Serge sur la table basse devant lui, mais le pauvre n’en pouvait plus, il piquait du nez et ne toucha pas à sa bière.
Je suis resté derrière lui en dégustant ma boisson tranquillement quand j’entendis Valou revenir, elle avait troquée son tablier, son chemisier et sans doute sa jupe, pour une petite blouse de ménagère en nylon bleu ciel qui lui arrivait à mi-cuisse, cette dernière se fermait dans son dos et les côtés étaient très échancrés, ses gros seins débordaient un peu, ce qui me fascinait le plus c’était les 2 pointes qui tendaient le fin nylon et formaient 2 bosses parallèles qui flottaient librement et déformaient le nylon de sa blouse aux rythmes de ses pas et gestes, elle se plaça à coté de moi et d’un signe de la tête en direction de son mari pour me demander comment il allait, de la main je lui fit signe qu’il n’était pas au mieux de sa forme, alors elle me pris par la taille avec un bras, et moi je plaqua ma main sur son dos, je la caressait mais le crissement du nylon de sa blouse n’était pas des plus discret, alors j’ai descendu ma main puis je l’ai insinué entre les pan de la boutonnière, et là, j’ai senti ses fesses nues, chaudes et douces, elle était donc complètement nue sous sa petite blouse, je lui caressait les fesses un instant puis elle me dit qu’il fallait qu’elle retourne en cuisine, on se fis un petit smack discret, puis elle me fis un clin d’œil et retourna dans sa cuisine, je la suivait du regard, la vision était des plus érotique, la rangé des 5 boutons de sa blouse se finissait au niveau de ses fesses et les pans s’écartaient légèrement faisant apparaître son sillon fessier à ma vue, je bandais comme un taureau, j’avais très envi de la prendre et de son coté je sais qu’elle le voulait aussi!
J’essayais de rester calme mais j’avais très envi de la rejoindre en cuisine, la sachant totalement nue sous sa blouse, puis d’un coup j’entendis Serge qui se mit à ronfler, il s’était endormi et il commençait à cuver, j’ai saisi l’occasion que j’attendais, j’ai rejoins Valérie, en entrant dans la cuisine elle était face à moi de dos devant son évier en train de passer l’éponge, elle avait fini sa vaisselle, dans son dos les pans de la boutonnière de sa blouse étaient écartés me dévoilant un fessier magnifique, n’y tenant plus je m’approche et je me colle à elle tout en passant mes bras autour de sa taille et en mettant mes mains dans les poches de sa blouse, elle retourna sa tête vers moi avec un grand sourire en me demandant: « et Serge? » je lui est dit qu’il s’était endormi, et qu’il ronflait même! Alors elle avança ses lèvres contre les miennes puis nous avons repris notre baisé passionné, je sentais au rythme de mes caresses la chaleur de son corps au travers du fin nylon de sa blouse, elle avait lâchée son éponge et ôtée ses gants de caoutchouc puis elle avait passée ses mains sous mon sweat-shirt et comme je n’avais pas de maillot elle caressait ma peau nue, elle avait les mains d’une douceur exquise, je remontais lentement ma main gauche au niveau des seins, puis je senti au travers du nylon ses mamelons durcis de plaisir, ils semblaient au toucher comme 2 tétines de biberon, effectivement, je les pinçaient tendrement en les faisant rouler entre mes doigts et le nylon de sa blouse, Valou commençait à gémir silencieusement, son souffle s’accélérait, puis je senti sa main au niveau de mon sexe durci, en même temps qu’elle me pressait contre elle, elle caressait mon sexe au travers de mon pantalon, puis je l’enlaçait de nouveau et je passais mes mains sous sa blouse pour lui caresser les fesses, cela à duré un bon moment.
Puis n’y tenant plus, j’ai retroussé sa blouse au dessus de ses seins, je ne m’était pas trompé, ce sont les plus beaux seins qu’il m’avait été donné de voir, il tiennent bien pour leur volume, et ses 2 tétines qui pointent fièrement en avant rappellent celle d’un biberon, alors je les suces chacun leur tour, elle aime ça, elle gémie, je sent sa main qui défait ma ceinture, puis le bouton et la braguette, elle veut sortir ma bite, elle plonge sa main dans mon slip tout en me disant d’une voix sensuel: « je suis sûr que tu est bien monté! » puis elle empoigna mon sexe à pleine main et le sorti de sa prison, elle le tenait fermement en le masturbant doucement, entre temps nos bouches et nos langues s’étaient liés à nouveau, puis je passa une main devant sur son chaton lisse, j’insinuais un doigt dans sa fente détrempée, j’allais de haut en bas en écartant un peu plus ses lèvres à chaque passage, de temps en temps mon doigt s’attardait un peu sur son clitoris pour l’exciter encore davantage, ce qui marchait puisqu’à chaque fois elle gémissait un peu plus et elle était prise de spasmes.
Au bout d’un instant je l'ai prise par les hanches en prolongeant mes caresses jusqu’à son dos pour revenir sur les hanches, au loin on n’a du mal à entendre le son de la télé et les ronflements de Pascal, car le crissement du nylon de la blouse de Valou, nos smacks, nos baisés baveux et nos gémissements emplissent la cuisine, alors Valou se met à genoux devant mon sexe dur et dressé pour elle, elle le fixe du regard en le masturbant et en me disant: « je savais que tu avais une belle bite, je vais te la sucer! » (elle fait presque 20 cm) puis à ces mots elle l’enfourna dans sa bouche bien chaude et la suça goulument tout en caressant mes bourses, je sentait sa langue qui passait et repassait autour de ma bite tout en la suçant, c’était vraiment une experte en la matière, pendant ce temps, j’avait plongé mes doigts dans ses cheveux et je les lui caressait.
Au bout d’un moment, je sentais que j’allais venir, alors je l’ai stoppé et je lui ai dit que j’aimerais lui mangé le minou, alors elle s’est relevée, puis elle a retroussée sa blouse sur ses hanches et s’est assise sur le bord de la table, puis elle s’est allongée en écartant en grand ses cuisses, elle me fixa du regard et me dit: « vas-y, mange moi! Bouffe moi la chatte! » alors je plongea ma tête entre ses cuisses et je lapais son minou tout mouillé, ma langue le longeait dans tous les sens et parfois je m’attardais sur l’entrée de sa grotte où je la faisait pénétrer en la remuant bien, puis je m’attardait sur son clito et je le suçai en le mordillant très légèrement, Valérie était prise de spasmes incontrôlables, elle gémissait de plaisir et sa respiration était de plus en plus forte, de plus mes deux mains s’occupaient de ses seins, je pressais de plus en plus fort ses deux tétines en les faisant rouler entre mes doigts et le nylon de sa blouse, à cet instant on se foutais complètement que Serge était dans la pièce un peu plus loin en train de dormir, car tout en gémissant elle ne parlait plus à voix basse, elle me disait: « hoooo c’est bon, c’est bon ouiiii continu de me bouffer, haaaa j’adore ça, haaaa je vais venir, continu mange moi! Mange moi! Mange moiiii » puis à ses mots, elle a été prise d’un violent orgasme, son corps ondulait, elle se caressait maintenant les seins par-dessus sa blouse, elle gémissait de plaisir, alors elle se ressaisit et me dit: « met moi ta bite mon chérie! Met la moi, baise moi! » alors j’ai descendu mon pantalon et mon slip jusqu’aux pied, et j’ai présenté ma bite à l’entrée de sa chatte baveuse et chaude, et lentement je l’ai rentré entièrement dans son fourreau, elle a fermée les yeux dans un long gémissement de plaisir et un long « hoooo ouiiii » elle est vraiment bonne cette femme, elle n ’avait pas encore eu d’enfants, mais sa chatte était tendre et profonde, elle enserrait ma bite toute entière alors que j’entamait un va et viens en tenant sur mon coude droit sa jambe gauche pliée, et ma main gauche était en appui sur son genoux droit afin de tenir ses jambes écartées en grand, le bruit de mes coups de bite dans sa chatte était de plus en plus fort, elle se mordait les lèvres et continuait de gémir de plaisir, elle s’occupait elle même de ses 2 tétines qu’elle pinçait et faisait rouler entre ses doigts par dessus le nylon de sa blouse.
Au bout d’un instant, elle arrêta puis elle me repoussa pour faire sortir ma bite de sa chatte en feu, alors elle s’est relevée et m’a ôté mon pantalon et mon slip, puis elle me pris par la main et m’emmena dans sa chambre, et là elle m’ôta mon sweat-shirt et mes chaussettes, j’étais entièrement nue, puis face à moi elle se retourna et me dit: « déboutonne ma blouse s’il te plait! » ce que je fis, puis le fin vêtement glissa le long de ses bras pour finir à terre, alors une fois de plus nous nous sommes enlacés dans un long baisé langoureux, les corps nue serrés l’un contre l’autre nous nous sommes allongés sur le lit, puis elle me demanda de la baiser, une fois de plus ma bite pénétra son vagin, j’avais passé ses jambes par-dessus mes épaules et je la baisait de plus en plus fort, maintenant elle était limite de hurler de plaisir, elle parlait à voix haute, comme si nous n’étions que tout les deux: « encoooore ho oui encoooore, baise moi baise moi baise moi à fond » puis ne tenant plus j’ai lâché ma semence bien au fond de son trou dans un râle de plaisir, au même moment elle est venue aussi dans un long râle de plaisir également, puis nous sommes restés sans bouger un long moment tout en nous bécotant, après elle a sortie une serviette pour que l’on s’essuie, puis je me suis rhabillé, elle a renfiler sa blouse et a passée ses mains dans son dos pour la boutonner, nous ne nous quittions pas du regard avec un smack de temps en temps, puis elle me dit: « si tu peux, passe mercredi matin de bonne heure, c’est mon jour de repos et Serge ne rentre pas avant 11h30! » je lui ai répondu que j’allais tout faire pour pouvoir venir, alors nous avons été voir Serge qui continuait de ronfler comme une moissonneuse batteuse, Valérie rigola et dit: « quand il se réveillera demain matin, il se demandera ce qu’il fait là! » ensuite elle m’a raccompagner à la porte d’entrée, puis nous sommes enlacés et embrassés en se disant « sûrement à mercredi! ».
À suivre…
Valérie est une pulpeuse femme de 32 ans aux cheveux mi-longs châtain, un visage d'ange et un corps de rêve.
Un soir j’était donc invité chez-eux, je fus accueilli par mon copain que je salua et lui remis une bonne bouteille de rouge, il me fit entrer dans le salon quand la belle Valou arriva de la cuisine où elle s’affairait à préparer le repas, elle me fis la bise en même temps que je lui remettais un bouquet de fleurs, elle était vraiment très belle, sa courte chevelure ramenée en arrière formait une petite queue de cheval, son léger maquillage, elle portait un chemisier de couleur saumon, une mini-jupe en cuir noir et par-dessus le tout un beau petit tablier en nylon rose qui s’attache sur les côtés avec des liens, ce dernier dépassait allègrement sa jupe, lui arrivant même pas à mi-cuisses, de face on n’aurais pu croire qu’elle n’avait rien dessous, pour finir elle avait une paire de bottes en cuir noire qui montaient presque à hauteur des genoux.
Enchanté de cette vision, je la trouvait vraiment désirable, toute la durée de l’apéro et du repas je n’arrêtais pas de la regarder, mon regard se posait souvent sur son imposante poitrine (un bon 90c) qui tendait son tablier rose, de son côté elle n’était pas en reste car nos regard se croisait souvent et étaient soutenus par moment.
Après le repas elle débarrassa la table, pendant que Serge et moi allions nous installer dans le salon pour voir le match de foot qui allait commencer, je proposa alors mon aide à la belle maitresse de maison qui ne refusa pas, Serge commençait à avoir un coup dans le nez, pis moi j’était un peu limite, il faut dire que nous avions pas mal picolé, j’ai donc pris quelques couverts que j’ai porté à la cuisine où j’ai rejoins Valou qui préparait l’eau de vaisselle, puis après quelques aller-retour tous les plats se trouvaient en cuisine, Valou faisait déjà la vaisselle, je me suis mis à côté d’elle puis nous avons discuté un peu, nos regards plongeaient l’un dans l’autre, puis au bout d’un moment, l’alcool aidant sans doute, j’ai approché mes lèvres près des siennes si pulpeuses, puis à son tour elle approcha sa tête et nous avons commencé un langoureux baisé, entrecoupés de smacks, puis nos langues se sont liées pour finir dans un baisé baveux, à ce moment elle me dit d’aller rejoindre Serge, car le match devait-être commencé et qu’elle allait nous apporter un bière.
Je suis donc aller rejoindre mon copain et le match était effectivement commencé, au bout d’un instant Valérie nous a rejoint en nous apportant 2 bières, mon pote avait du mal à tenir sa bouteille mais néanmoins il l’a bu cul sec, quant à la belle elle s’était assise dans le fauteuil en face de moi qui étais assis par terre devant le canapé, nous n’arrêtions pas de nous fixer du regard, puis je remarquais qu’elle écartait ses cuisses lentement, je fixais ses cuisses quand soudain j’ai aperçu son petit chaton à l’air libre, les lèvres étaient écarté légèrement et il semblait bien humide, je remontais mon regard vers le sien, elle me lançait un grand sourire en suçotant son petit doigt, j’était dans un état d’excitation pas possible, puis je jeta un regard discret vers mon copain, il était à trois quart dans les vaps et il commençait à piquer du nez, à ce moment Valou se leva en disant: « bon ce n’est pas le tout, mais il faut que je finisse ma vaisselle! » et comme je venais de finir ma cannette de bière elle ajouta: « viens chercher 2 autres bières si tu veux Franky !» je saisi l’occasion et la suivi à la cuisine, mais à peine arrivés nous nous sommes enlacés et avons repris notre langoureux baisé, je la caressait dans le dos tandis qu’elle avait pris ma tête dans ses mains et tout en caressant mes joues.
Ma bite était raide comme un bout de bois, en plus nous étions collés l’un contre l’autre, elle sentait bien ma raideur, cela à duré plusieurs minutes, puis toujours enlacés je lui dit qu’elle avait un beau petit chaton et que c’était bien de lui faire prendre l’air, elle rigola discrètement puis me dit: « bon tu prend les bières et tu retournes au salon, moi je vais aller me changer! » je pris les 2 bières et je la regardait aller vers sa chambre tout en tirant sur les liens de son tablier de chaque côté et le faisant passer par-dessus sa tête, j’était ensuite de retour au salon, je déposait la bière de Serge sur la table basse devant lui, mais le pauvre n’en pouvait plus, il piquait du nez et ne toucha pas à sa bière.
Je suis resté derrière lui en dégustant ma boisson tranquillement quand j’entendis Valou revenir, elle avait troquée son tablier, son chemisier et sans doute sa jupe, pour une petite blouse de ménagère en nylon bleu ciel qui lui arrivait à mi-cuisse, cette dernière se fermait dans son dos et les côtés étaient très échancrés, ses gros seins débordaient un peu, ce qui me fascinait le plus c’était les 2 pointes qui tendaient le fin nylon et formaient 2 bosses parallèles qui flottaient librement et déformaient le nylon de sa blouse aux rythmes de ses pas et gestes, elle se plaça à coté de moi et d’un signe de la tête en direction de son mari pour me demander comment il allait, de la main je lui fit signe qu’il n’était pas au mieux de sa forme, alors elle me pris par la taille avec un bras, et moi je plaqua ma main sur son dos, je la caressait mais le crissement du nylon de sa blouse n’était pas des plus discret, alors j’ai descendu ma main puis je l’ai insinué entre les pan de la boutonnière, et là, j’ai senti ses fesses nues, chaudes et douces, elle était donc complètement nue sous sa petite blouse, je lui caressait les fesses un instant puis elle me dit qu’il fallait qu’elle retourne en cuisine, on se fis un petit smack discret, puis elle me fis un clin d’œil et retourna dans sa cuisine, je la suivait du regard, la vision était des plus érotique, la rangé des 5 boutons de sa blouse se finissait au niveau de ses fesses et les pans s’écartaient légèrement faisant apparaître son sillon fessier à ma vue, je bandais comme un taureau, j’avais très envi de la prendre et de son coté je sais qu’elle le voulait aussi!
J’essayais de rester calme mais j’avais très envi de la rejoindre en cuisine, la sachant totalement nue sous sa blouse, puis d’un coup j’entendis Serge qui se mit à ronfler, il s’était endormi et il commençait à cuver, j’ai saisi l’occasion que j’attendais, j’ai rejoins Valérie, en entrant dans la cuisine elle était face à moi de dos devant son évier en train de passer l’éponge, elle avait fini sa vaisselle, dans son dos les pans de la boutonnière de sa blouse étaient écartés me dévoilant un fessier magnifique, n’y tenant plus je m’approche et je me colle à elle tout en passant mes bras autour de sa taille et en mettant mes mains dans les poches de sa blouse, elle retourna sa tête vers moi avec un grand sourire en me demandant: « et Serge? » je lui est dit qu’il s’était endormi, et qu’il ronflait même! Alors elle avança ses lèvres contre les miennes puis nous avons repris notre baisé passionné, je sentais au rythme de mes caresses la chaleur de son corps au travers du fin nylon de sa blouse, elle avait lâchée son éponge et ôtée ses gants de caoutchouc puis elle avait passée ses mains sous mon sweat-shirt et comme je n’avais pas de maillot elle caressait ma peau nue, elle avait les mains d’une douceur exquise, je remontais lentement ma main gauche au niveau des seins, puis je senti au travers du nylon ses mamelons durcis de plaisir, ils semblaient au toucher comme 2 tétines de biberon, effectivement, je les pinçaient tendrement en les faisant rouler entre mes doigts et le nylon de sa blouse, Valou commençait à gémir silencieusement, son souffle s’accélérait, puis je senti sa main au niveau de mon sexe durci, en même temps qu’elle me pressait contre elle, elle caressait mon sexe au travers de mon pantalon, puis je l’enlaçait de nouveau et je passais mes mains sous sa blouse pour lui caresser les fesses, cela à duré un bon moment.
Puis n’y tenant plus, j’ai retroussé sa blouse au dessus de ses seins, je ne m’était pas trompé, ce sont les plus beaux seins qu’il m’avait été donné de voir, il tiennent bien pour leur volume, et ses 2 tétines qui pointent fièrement en avant rappellent celle d’un biberon, alors je les suces chacun leur tour, elle aime ça, elle gémie, je sent sa main qui défait ma ceinture, puis le bouton et la braguette, elle veut sortir ma bite, elle plonge sa main dans mon slip tout en me disant d’une voix sensuel: « je suis sûr que tu est bien monté! » puis elle empoigna mon sexe à pleine main et le sorti de sa prison, elle le tenait fermement en le masturbant doucement, entre temps nos bouches et nos langues s’étaient liés à nouveau, puis je passa une main devant sur son chaton lisse, j’insinuais un doigt dans sa fente détrempée, j’allais de haut en bas en écartant un peu plus ses lèvres à chaque passage, de temps en temps mon doigt s’attardait un peu sur son clitoris pour l’exciter encore davantage, ce qui marchait puisqu’à chaque fois elle gémissait un peu plus et elle était prise de spasmes.
Au bout d’un instant je l'ai prise par les hanches en prolongeant mes caresses jusqu’à son dos pour revenir sur les hanches, au loin on n’a du mal à entendre le son de la télé et les ronflements de Pascal, car le crissement du nylon de la blouse de Valou, nos smacks, nos baisés baveux et nos gémissements emplissent la cuisine, alors Valou se met à genoux devant mon sexe dur et dressé pour elle, elle le fixe du regard en le masturbant et en me disant: « je savais que tu avais une belle bite, je vais te la sucer! » (elle fait presque 20 cm) puis à ces mots elle l’enfourna dans sa bouche bien chaude et la suça goulument tout en caressant mes bourses, je sentait sa langue qui passait et repassait autour de ma bite tout en la suçant, c’était vraiment une experte en la matière, pendant ce temps, j’avait plongé mes doigts dans ses cheveux et je les lui caressait.
Au bout d’un moment, je sentais que j’allais venir, alors je l’ai stoppé et je lui ai dit que j’aimerais lui mangé le minou, alors elle s’est relevée, puis elle a retroussée sa blouse sur ses hanches et s’est assise sur le bord de la table, puis elle s’est allongée en écartant en grand ses cuisses, elle me fixa du regard et me dit: « vas-y, mange moi! Bouffe moi la chatte! » alors je plongea ma tête entre ses cuisses et je lapais son minou tout mouillé, ma langue le longeait dans tous les sens et parfois je m’attardais sur l’entrée de sa grotte où je la faisait pénétrer en la remuant bien, puis je m’attardait sur son clito et je le suçai en le mordillant très légèrement, Valérie était prise de spasmes incontrôlables, elle gémissait de plaisir et sa respiration était de plus en plus forte, de plus mes deux mains s’occupaient de ses seins, je pressais de plus en plus fort ses deux tétines en les faisant rouler entre mes doigts et le nylon de sa blouse, à cet instant on se foutais complètement que Serge était dans la pièce un peu plus loin en train de dormir, car tout en gémissant elle ne parlait plus à voix basse, elle me disait: « hoooo c’est bon, c’est bon ouiiii continu de me bouffer, haaaa j’adore ça, haaaa je vais venir, continu mange moi! Mange moi! Mange moiiii » puis à ses mots, elle a été prise d’un violent orgasme, son corps ondulait, elle se caressait maintenant les seins par-dessus sa blouse, elle gémissait de plaisir, alors elle se ressaisit et me dit: « met moi ta bite mon chérie! Met la moi, baise moi! » alors j’ai descendu mon pantalon et mon slip jusqu’aux pied, et j’ai présenté ma bite à l’entrée de sa chatte baveuse et chaude, et lentement je l’ai rentré entièrement dans son fourreau, elle a fermée les yeux dans un long gémissement de plaisir et un long « hoooo ouiiii » elle est vraiment bonne cette femme, elle n ’avait pas encore eu d’enfants, mais sa chatte était tendre et profonde, elle enserrait ma bite toute entière alors que j’entamait un va et viens en tenant sur mon coude droit sa jambe gauche pliée, et ma main gauche était en appui sur son genoux droit afin de tenir ses jambes écartées en grand, le bruit de mes coups de bite dans sa chatte était de plus en plus fort, elle se mordait les lèvres et continuait de gémir de plaisir, elle s’occupait elle même de ses 2 tétines qu’elle pinçait et faisait rouler entre ses doigts par dessus le nylon de sa blouse.
Au bout d’un instant, elle arrêta puis elle me repoussa pour faire sortir ma bite de sa chatte en feu, alors elle s’est relevée et m’a ôté mon pantalon et mon slip, puis elle me pris par la main et m’emmena dans sa chambre, et là elle m’ôta mon sweat-shirt et mes chaussettes, j’étais entièrement nue, puis face à moi elle se retourna et me dit: « déboutonne ma blouse s’il te plait! » ce que je fis, puis le fin vêtement glissa le long de ses bras pour finir à terre, alors une fois de plus nous nous sommes enlacés dans un long baisé langoureux, les corps nue serrés l’un contre l’autre nous nous sommes allongés sur le lit, puis elle me demanda de la baiser, une fois de plus ma bite pénétra son vagin, j’avais passé ses jambes par-dessus mes épaules et je la baisait de plus en plus fort, maintenant elle était limite de hurler de plaisir, elle parlait à voix haute, comme si nous n’étions que tout les deux: « encoooore ho oui encoooore, baise moi baise moi baise moi à fond » puis ne tenant plus j’ai lâché ma semence bien au fond de son trou dans un râle de plaisir, au même moment elle est venue aussi dans un long râle de plaisir également, puis nous sommes restés sans bouger un long moment tout en nous bécotant, après elle a sortie une serviette pour que l’on s’essuie, puis je me suis rhabillé, elle a renfiler sa blouse et a passée ses mains dans son dos pour la boutonner, nous ne nous quittions pas du regard avec un smack de temps en temps, puis elle me dit: « si tu peux, passe mercredi matin de bonne heure, c’est mon jour de repos et Serge ne rentre pas avant 11h30! » je lui ai répondu que j’allais tout faire pour pouvoir venir, alors nous avons été voir Serge qui continuait de ronfler comme une moissonneuse batteuse, Valérie rigola et dit: « quand il se réveillera demain matin, il se demandera ce qu’il fait là! » ensuite elle m’a raccompagner à la porte d’entrée, puis nous sommes enlacés et embrassés en se disant « sûrement à mercredi! ».
À suivre…
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
super histoire
bandant!
J'ai adoré. J'ai très hâte à la suite!
c'est sa les potes d'enfance, tu bois et il baise ta femme mais bon ils ont pris leurs
pieds et cela fera peut être un trio dans une prochaine histoire
pieds et cela fera peut être un trio dans une prochaine histoire
PS: il y'a une erreur sur un prénom, j'ai mis "Pasccal" à la place de "Serge", ceci
parce que je recherchais le prénom d'un autre amis qui interviendra dans la suite de
l'histoire, et qu'il m'est revenu pendant que j'écrivais la 1ère partie... donc à
restifier dans la lecture de la 1ère partie...
Franky
parce que je recherchais le prénom d'un autre amis qui interviendra dans la suite de
l'histoire, et qu'il m'est revenu pendant que j'écrivais la 1ère partie... donc à
restifier dans la lecture de la 1ère partie...
Franky
Il y aura bien sûr la suite, c'est exactement ce que je me suis dit après coup, je suis
vraiment un salop envers mon copain d'enfance, mais vous verrez qu'en faite! il n'était
pas si cocu que ça!
Franky
vraiment un salop envers mon copain d'enfance, mais vous verrez qu'en faite! il n'était
pas si cocu que ça!
Franky
raconte nous ton mercerdi avec la coquine; tu profites de la femme de ton pote t'es un
beau salaud mais tanpis pour lui si il est cocu ! on veut la suite?????
beau salaud mais tanpis pour lui si il est cocu ! on veut la suite?????
A SUIVRE J ESPERE