La femme du pressing (un samedi suivant)

- Par l'auteur HDS Piltier -
Récit érotique écrit par Piltier [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La femme du pressing (un samedi suivant) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2010 dans la catégorie Fétichisme
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La femme du pressing (un samedi suivant)
Ce jour là, lorsque j’arrivais au pressing, Nathalie finissait de mettre sous film plastique un ensemble qu’une dame était venue chercher.
Elle raccompagna la cliente jusqu'à la porte puis la referma à clé avant de se tourner vers moi.
Me saisissant par un bras, elle m’amena rapidement dans l’atelier ou travaillait Michelle.
Depuis plusieurs semaines, j’avais pris l’habitude des envies et fantasmes sexuelle de mes deux repasseuses, mais ce jour là, je les sentais particulièrement fébriles. Il faut dire qu’il était 12h00 que la température extérieure était au moins de 34 ° et que celle de l’atelier, remplie de l’atmosphère moite par la vapeur dégagé par les fers et la presse de repassage, devait avoisiner les 40.
Si je tenais compte des dires de Nathalie sur le fait que la chaleur et un parfait excitant, je comprenais mieux leur empressement à s’occuper de moi. Toute les deux étaient habillées comme d’habitude d’une blouse blanche en coton, mais je m’aperçus rapidement qu’elles ne portaient strictement rien dessous.
Nathalie me poussa contre sa table de repassage et commença, à l’aide de la brosse, à nettoyer mon pantalon au niveau de la ceinture et des fesses.
Elle approcha une chaise et me demanda de me mettre debout dessus, ceci lui permettant de brosser plus facilement l’ensemble du pantalon. Comme elle le souhaité, elle sentie au moment ou la brosse attaquait l’entre jambe et la braguette du pantalon, un début de durcissement de mon sexe.
Ah dit-elle, je vais pouvoir commencer la mise en forme.
La mise en forme consistait à me faire assoir sur le bout de la table de repassage, à pousser sur mon torse pour que je me retrouve allongé, les jambes écartées laissant ainsi le champ libre à Michelle pour repasser avec précaution tout l’entrejambe et la braguette du pantalon.
Je me retrouvais donc dans cette position, et le fer, dont la semelle était heureusement muni d’une plaque en téflon, glisser sur les tissus, manier habillement par la main experte de Michelle.
Nathalie quand à elle, passer sa main sur ces même tissus entre deux repassages, s’assurant ainsi que celui-ci produisait son effet question mise en forme.
Parfois tout s’arrêtait là, mon éjaculation précoce, durant le passage du fer sur le tissu recouvrant ma verge, salissait l’intérieur de mon slip au grand désarroi de mes repasseuses. Ceci se produisait immanquablement lorsque je n’étais pas passer depuis longtemps au pressing.
Mais ce jour là, bien que mon excitation était fort importante, je me contenais. Nous étions Samedi et je dois dire que c’était la troisième fois que je passais au pressing depuis le début de la semaine.
Un nouveau repassage de la braguette, une nouvelle caresse de Nathalie sur le tissu très chaud et la constatation de ma raideur fit que Michelle descendit rapidement la fermeture éclaire du pantalon.
Après avoir passé l’élastique de mon slip sous les testicules, elle sortie l’ensemble de mon appareil génital en ayant passé son pouce et son indexe derrière celui-ci. Elle me fit descendre de la table.
Nathalie qui avait remonté sa blouse, ce positionna jambes tendues et écartées face a la table de repassage. Elle allongea son buste sur cette table, offrant ainsi sa chatte humide à mon sexe tendu maintenue d’une main ferme par Michelle. Mon guide me fit pénétrer Nathalie et me libéra de son étreinte. Au fur et à mesure que je m’enfonçais à l’intérieure de Nathalie, je la sentais frémir du fait de la chaleur de ma verge qui venais de subir plusieurs repassage.
Cette chaleur semblais produire une excitation particulière et après quelque va et vient, elle demanda à Michelle de me repasser a nouveau avant que je la pénètre une nouvelle fois.
La table libérée par Nathalie, Michelle positionna ma verge sur le bout, installa une épaisseur de lainage sur le dessus et se mis à repasser la grosseur quelle deviné sous cette protection. La chaleur dégagé par la table et le fer qui glissé sur ma raideur me prenais la queue en sandwich entre deux surface très chaudes qui m’amenèrent vite a la limite du supportable, moment ou je prévenais Michelle d’arrêter.
Reprenant nos positions initiales, Michelle m’aida à introduire ma verge brulante dans la chatte de Nathalie. Je l’entendis criai de plaisir lorsque j’enfonçais d’un coup sec ma protubérance bouillante. Quelque vas et vient et j’éjaculais au moment ou je la sentais jouir.
Elle se retira rapidement et je compris vite que son excitation était encore très grande. Elle saisie ma verge et me dis qu’après la phase "mise en forme", elle allait passer a la phase "maintien de la raideur".
Elle m’amena prés de la presse de repassage, et ferma celle-ci. Je vis le plateau supérieur de la presse descendre rapidement sur le plateau fixe, ensuite elle procéda a la mise en pression des plateaux, les deux plateaux étant posé l’un sur l’autre je les vis se serrer fortement entre eux. Nathalie m’informa que c’était a ce moment la que l’on procédait a la vaporisation par l’un ou l’autre des plateaux ou par les deux en même temps, mais que cela n’était pas une obligation surtout pour la pièce qu’elle souhaitait presser. Elle ouvrit tout de même les vannes de vapeur réchauffant ainsi les plateaux de la presse
Les vannes de vaporisation de la presse n’étaient pas tout à fait étanches, et on pouvait apercevoir certaine légères fuites de vapeur sortir du plateau fixe de la presse.
Nathalie y installa une couverture, et me fit m'installer à l’extrémité de la presse sur une marche de bois. Prenant mon sexe dans sa main, elle installa ma verge sur le plateau et replia la couverture dessus. Le plateau supérieur descendit et Nathalie m’informa que c’était la première opération. Je devais la prévenir dés que je sentirais la chaleur, ce que je fis rapidement compte tenu des fuites de vapeur.
Elle entama alors ce qu’elle appeler la deuxième opération.
Je vis Nathalie appuyer sur le bouton de pressage, sans ouvrir les électrovannes distribuant la vapeur. Le plateau supérieur appuya avec force m’écrasant la verge. En trois seconde, la chaleur sur mon sexe devint insupportable et je criais pour qu’elle me libère.
Aussitôt libre, elle me fit m’allonger sur le sol devant la presse et s’empala sur moi. Elle gémissait de plaisir en sentant mon sexe brulant la pénétré.
Ce type de pressage ce renouvela a de nombreuse reprise, et afin que je puisse garder une érection malgré les éjaculations dus autant au repassage, pressages et aux empalements de Nathalie, Michelle avait passer un cordon sous mes testicules puis après lui avoir fait faire plusieurs tour elle serra fortement, les érections durée ainsi beaucoup plus longtemps et était surtout beaucoup plus violente en ce qui concerne la raideur.
La presse était maniée soit par Michelle soit par Nathalie, mais toujours en vue de la satisfaction de cette dernière qui semblait ne pas se lasser d’être pénétré par un sexe chaud qu’elle souhaitait toujours plus brulant…. A la fin de cette après midi de repassage et de plaisir, Michelle dues enduire d’huile ma verge écarlate d’une chaleur qui arrivait parfois a la limite du supportable et de la brulure.
Mes repasseuses connaissaient parfaitement le point de non retour par rapport au repassage avec des semelles en Téflon et surtout par rapport aux possibilités de vaporisation. Je leurs faisaient confiance à 100% d’autant que mes jouissances étaient extraordinaires et que je percevais leurs extrêmes excitations lors des préparations de mon anatomie au repassage, excitation dont l’apogée était atteint lorsqu’elles me sentaient me vider pendant et sous leur repassage.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Le repassage tres hot et tres jouissif.

Histoire Libertine
j'ai mois meme travailler dans un pressing, a la presse,une fois j'ai,fait venir mon petit ami en fin d'apres midi il me rester un jeans a la presse, mon petit ami c'est aprocher de mois et j'ai sentis son erection,il ma pelloté les seins,et au moment ou la presse c'est rabatu,sur la patte du jeans en pression, il a joui.

Histoire Erotique
JE REITERE SUR LE GENIE HUMAIN,mais avais oublié de laisser mon mail

Histoire Erotique
je trouve cette histoire fantastique,elle demontre le genie de l'imagination
humaine....un veritable et grand obsédé sexuel imagine des scénarii et des situations a
chaque instant.....je ne regarderai plus jamais un pressing de la même façon à
présent....merci

Histoire Libertine
cette histoire, me rappelle mes séances de repassage a grand coup de pattemouille
frémissante,qui me procurait un plaisir enorme,en me masturban avec la pattemouille que
je metter entre les cuisse.



Texte coquin : La femme du pressing (un samedi suivant)
Histoire sexe : Une rose rouge
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