La ferme 5 - histoire érotique

Marc suçait bien, habitué à obéir sans questions. Pascal se démenant dans sa belle chatte de gay, formée à coup de queues.
François soupirait doucement, donnant des conseils à Dom.
- Serre plus les lèvres et caresse mes couilles. Oui là c'est mieux. Ce n'est pas moi qui te dépucèlerai mais Pascal aura le plaisir d'enfiler sa queue dans un cul vierge. Laisse tomber Marc et lèche la rondelle de Dom. Prépare-la pour la glisser dedans.
Dom a commencé à gigoter mais François le tenait et une fois la langue sur la rondelle il n'a plus bougé. Je l'entendais pousser de petits cris en suçant. J'ai pas voulu jouir dans le cul de Marc, lui plantant un plug dans les fesses bien grasses et me suis approché de François par derrière pour lui faire une feuille de rose sur son trou encore bien souple de la nuit. J'ai fait reculer Pascal vers Marc qui lui a léché le trou. On commençait à être bien chaud, tous occupés. Pascal s'est redressé pour passer sa queue entre les fesses humides de salives, cherchant le petit trou de la queue, s'énervant de ne pas le sentir s'ouvrir un peu. Il a claqué les fesses de Dom.
- Pousse un peu que ton trou s'ouvre. Ha! Voilà je le sens.
Il a poussé, engageant le gland dans ce cul vierge avec un plaisir évident mais pas encore partagé. Dom gémissait comme si la douleur était insupportable mais une fois la queue bien engagée dans le conduit il a commencé à haleter et son sexe à durcir un peu.
Après la feuille de rose, j'ai eu envie de prendre François qui ne demandait que ça. Ma queue s'est glissée bien facilement dans son conduit et je l'ai labouré à tout va, l'envoyant, queue en avant dans la bouche de Dom qui lui-même a reculé sur Pascal, fesses bien léchées par Marc. Il y a eu une réaction en chaîne. Je ne sais pas où ça a commencé. Mais les gémissements de jouissance ont commencé et des grands ha, poussés à pleine gorge. J'avais joui dans les fesses de François qui lui-même avait dosé la bouche de Dom, lui tenant la tête pour qu'il goûte son jus. Pascal avait aussi lâché la première dose de jus que recevait le cul de Dom. Même Marc uniquement excité par l'odeur de foutre avait lâché un petit jet par terre sans se toucher.
- Bon on fait une pause les mecs.
On s'est tous dégagés et j'ai détaché Marc ne lui laissant qu'un collier de chien. Il nous a suivi jusqu'aux bains de soleil à quatre pattes, remuant du cul. On avait tous enlevé le reste de nos vêtements et on se détaillait en souriant.
Pascal a fait circuler un plateau avec des boissons énergisantes le temps de reprendre un peu de force. Marc matait les queues, impressionné par le gland de François même au repos, Dom lui regardait un peu chacun sans en avoir l'air, détaillant les sexes avec des yeux de braises.
- Tu es d'où Dom? De Mende?
- Non pas loin d'ici, en fait deux vallées de là.
- Et personne ne sait que t'es gay?
- Non à part vous et Marc.
- Hé bien quand on est là, passe nous voir. Au fait une question, tu te rases le cul?
- Ben oui
- Arrête, ça va pousser encore pire et les poils plus durs. Épile-toi plutôt. Il y a des crèmes très efficaces et c'est plus doux plus longtemps.
Je m'étais approché de lui, caressant sa cuisse doucement, sa queue se déployant. J'ai passé la main dessus la faisant tressauter puis j'ai grattouillé le scrotum et en dessous, le faisant gémir.
- Replie les jambes, on est entre nous, montre-nous ton deuxième sexe, celui que tu as tellement envie d'offrir aux mâles.
Il s'est calé dans le bain de soleil, repliant les mollets sur les cuisses montrant son petit trou à peine défloré par Pascal.
- Humm joli!
J'ai passé les doigts sur ses lèvres.
- Salive les comme de petites bites. Je vais détendre un peu ton anus avant la suite.
Il a léché, salivé mes doigts et j'en ai enfoncé un dans son trou, surveillant son visage, j'ai branlé un peu le trou avant de mettre un deuxième collé au premier et de continuer à lui branler le cul. Il me regardait avec un air de défi et du coup j'ai glissé un troisième doigt. Cette fois il gémissait, les yeux un peu perdus, massant plus qu'il ne branlait sa queue bien enflée. Depuis un moment, je sentais la langue de Marc qui mouillait mon gland, devinant fort bien où j'allais l'introduire. Je me suis calé un pied de chaque coté du bain de soleil et ôtant mes doigts j'ai glissé le gland dans son cul. Après le cri quand le gland est passé il a très vite haleté pendant que je le limais doucement puis quand il a commencé à se branler, je suis passé à la vitesse supérieure dégageant ma queue pour la planter vigoureusement au fond de ce cul qui s'offrait. Je ne pensais plus qu'à lui défoncer la rondelle mais en reculant d'un coup, j'ai senti que François était passé derrière moi. Il avait dû graisser son gland car dans la position où j'étais il m'a pénétré d'un coup et j'ai été forcé de me maîtriser pour ne pas jouir d'un coup dans le cul de Dom. François collé à moi me disait à l'oreille que j'avais le cul aussi chaud que la queue mais que je devais baiser Dom plus doucement pour que lui aussi prenne son pied en moi.
J'ai ralenti la cadence malgré les coups de butoir de François qui savait que j'adorais maintenant quand il sortait le gland pour me baiser à fond aussitôt. J'ai profité d'un moment où il était collé à moi pour faire changer de position Dom, le faisant se mettre à quatre pattes et de bien se cambrer pour que je puisse aller plus profond en lui. Quand j'ai repris, il couinait à chacun de mes coups de reins. J'en faisais autant chaque fois que je reculais sur le gland de François et le ton montait. J'ai dit à Dom de poser la tête sur le bain de soleil et de mettre ses mains dans le dos, j'avais vu qu'il se branlait et voulait qu'il jouisse par ma queue dans ses fesses. Il n'a pu faire autrement que bander dans le vide, recevant à chaque fois un coup de mes couilles pendantes contre les siennes. Je ne me rappelle plus qui a joui le premier mais tout s'est enchaîné à grands cris de nous trois. Seul Dom avait giclé dans le vide, moi dans ses fesses et François dans les miennes. On a repris haleine, se souriant et se roulant des pelles à trois. Pascal qui nous avait observés avait une trique d'enfer comme Marc, toujours à quatre pattes.
- On ira se laver après mais je vais installer Marc pour Pascal dans la grange. Viens avec moi la chienne.
Il me connaissait et savait ce qui l'attendait. On aurait pu le suivre à la trace de sa bave. Je l'ai appuyé sur un poteau, glissant un coussin au niveau des reins et je l'ai attaché serré juste sous les bras et le collier fixé à la poutre. Je l'ai ceinturé au niveau du ventre, sous le coussin et autour du poteau. J'ai attrapé une de ses chevilles que j'ai levée assez haut pour l'attacher à une corde qui pendait et l'autre à une deuxième corde.
- Voilà Pascal, t'en fait ce que t'en veux, bouche, cul et tiens, voilà des pinces pour ses tétons pour le faire couiner. -
- On va se laver un peu, on repassera après.