La ferme le retour 7

- Par l'auteur HDS Manu2 -
Récit érotique écrit par Manu2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La ferme le retour 7 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La ferme le retour 7
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Sans rien à faire la route m'a parue plus longue et je m'endormais par courts instants, rappelé par la main de Denis qui jouait avec mon poids. J'étais coincé au centre entre Denis et Louis.
Mets tes pieds sur les dosssiers de devant. Montre le meilleur de toi même, ta chatte.
A 4 pattes tu auras l'air d'un taureau niveau des couilles mais pour la queue faudra repasser ou... Il a réfléchi un instant. Oui je crois avoir vu ça pour les femelles qui baisent leur mec. Une prothèse de sexe qui pendrais sous ton ventre. Il a passé la main sur mon sexe. Hé ben, ça te fait bandouiller mon bâtard de flic?
Excuse moi Denis mais ok pour bâtard mais ne dis plus flic ou ça fout tout en l'air.
OK. OK . Alors tu seras ma Tépu soumise aux queues. Tu t'arrêtes quand pour faire le plein François?
Autour d'Orléans je pense. Ok j'en profiterais pour balader ma tépu . Faut qu'il s'habitue au regards des autres mecs. Et si il a du pot , à d'autres bites mais je les sélectionnerais. Pas du vieux gibier faisandé, que du perdreau ou du pigeonneau peu poilu. Des jeunes qui le rabaissent à ce qu'il va être. Deux trous à profiter. Hein que tu vas aimer ça ma tépu?
Pas trop jeune hein! Moi je suis pas pervers.
Ouaih y en a plein dans les chiottes des stations que les vibrations du moteur excitent. Tu attendras dans une cabine et je t'en trouverais , j'ai l'oeil pour ça. On est loin d'Orléans?
Non pas trop Je vais m'arrêter juste avant. La station est grande.
Ok Denis a écarté le poids, tripoté mon anus. Il va être content ce bon trou, il va en recevoir. T'as des capotes?
Regarde dans la boîte à gants j'en ai une boîte pleine.
Hé ben tu prends tes précautions. Ha tu sors, c'est la station?
Oui , allez y le temps que je fasse le plein et que je me gare je vous retrouverais bien.
En sortant j'ai tiré sur le bas du short pour cacher un maximum mes couilles qui se balançaient. Louis et Abdu m'entouraient. Hé t'as oublié la boîte de préservatifs. Va la chercher on t'attends. J'avais deux solutions, soi me pencher en avant mais on verrait surement mes fesses, soit m'accroupir et on verrait mes couilles quand j'aurai la tête dans la boîte à gants. J'ai pris le moins de risque, soutenant mon poids et fouillant dans la boîte j'ai trouvé les capotes rapidement. Je suis allé rejoindre Abdu et Louis. Denis était parti devant. Les chiottes étaient nickels et ils m'ont fait entrer dans une cabine, ôté le short et m'ont fait pencher en avant. Abdu s'est appuyé au montant de la porte entrouverte. J'ai entendu Denis discuter avec un mec à la voix douce et j'ai vu par dessous la porte s'ouvrir.
Voila ma tépu, si tu la prends bouche ou cul mets une capote mais tu peux lui gicler sur la gueule ou sur les fesses à la fin. Tu verras il adore la teub. Le porte s'est refermée un peu et j'ai senti du tissus glisser et vu le bas d'un jean su des chevilles avant qu'on me prenne la boîte des mains et qu'on déchire un emballage. Je ne savais rien du mec mais lui s'est pas gêné pour m'emmancher d'un coup sec. Depuis le fist je mouillais presqu'en permanence et il s'est bien enfoncé. Me tenant par les hanches il a donné de furieux coups de reins et a feulé en dosant mon cul dans la capote. j'ai pris une claque sur le cul en remerciement pendant qu'il remontait son jeans.
Bonne lope. Bien ouverte. Il est sorti aprés avoir jeté la capote dans la cuvette. Déjà Denis avait trouvé un autre mec, en short qui m'afait accroupir devant lui et sa tige est sortie du haut du short.
Suce bâtarde. T'inquiètes pas je vais te gicler sur la gueule j'en rêve. Regarde moi!
La vache il était super mignon et se branlait juste devant moi.
Lèche moi les couilles comme une femelle je vais t'en foutre plein les cheveux.
Penché sous lui pour lècher j'ai senti ses jets arroser mes tifs. Il a rigolé et a remonté son short. Bonne chance pédale.
C'était la première fois qu'on me traitait comme ça mais son ton pour le dire m'a plu.
Tu rêves ou quoi? Il étaient devant moi, la porte grande ouverte. Sort de la y a plus rien de chaud à mon goût mais le dernier t'as apprécié il me l'a dit en partant. Relève ton short on va repartir. La voiture est sur le parking. Cette fois plus d'arrêts avant Paris.
François tu nous laisse devant chez moi? Si ça marche ça sera plus crédible qu'il soit à ma disposition.
Oui ok sans poblème T'as touours ton petit loft?
Oui mais j'ai gardé le fric qu'ils donnaient et j'ai pas mal servi ces salopards. J'ai même aménagé la cave pour un cas comme Manuel. Bah il sait bien qu'il en sortira pas indemne.
On a roulé, j'avais remis les pieds sur les dossiers avant, gémissant quand Denis ou Louis tripotaient mon cul sans modération J'étais perdu quand on a roulé dans Paris et que la voiture s'est arrêtée devant une ruelle.
Descend et attends moi.
Pense à prendre mon portable Denis stp.
Ok t'inquiètes. Il a parlé un moment avec Abdu et François et ils sont partis avec Louis et ma voiture. Je m'étais réfugié dans l'entrée de la ruelle. Aller avance j'habite tout au fond. C'est calme et j'ai bien isolé. Il y avait une porte et deux fenêtres volets descendus. Il m'a fait entrer et a appuyé sur un bouton pour relever les volets. Fous toi à poil, évidemment t'en a plus mais c'est l'expression. Le poids te tire bien?
Oui Denis.
Vlan j'ai ramassé une baffe. Fait attention toi ausi. Oui qui?
Oui maître.
C'est mieux, il faut que ce soit naturel et j'ai une journé pour faire de toi une larve à mon service. Aprés seulement j'appelerais si il y a quelqu'un. Il a ouvert une porte. Ton domaine commence la. Un escalier descendait sous la maison, assez profondément. Surement, la maison était construite sur d'anciennes carrières de ¨Paris. Colle toi au mur et fait ce que je te dis.
Il a installé entre mes chevilles une barre d'écartement articulée avec au centre une barre mobile à laquelle il a fixé un gode de belle taille. Il a relevé la barre contre mes fesses.
Monte sur tes doigts de pieds Il faut que le gode te pénètre. Ha pour me pénétrer il est entré! Coincé dans mes fesses.
Voila qui va calmer tes chaleurs anales. Avance un peu avec la barre articulée tu peux le faire. Regarde en haut. Il a fait descendre une sorte de carcan ou il m'a fait mettre le cou et les poignets avant de le boulonner. Une corde fixée au carcan m'empèchait de tomber en avant ou en arrière. Comme tu l'as fort justement dit, il faut que ce soit crédible. Si t'as rien à me dire de spécial avant un moment ouvre ta gueule. que je te mette un baillon boule J'ai réalisé ce qu'il allait faire pour que ce soit crédible quand je l'ai vu prendre une cravache fine. Aprés l'avoir fait siffler dans l'air il l'a abattue sur mes fesses, plusieurs foi sans s'arrêter.
J'ai failli oublier. Il est allé chercher un miroir puis un deuxième qu'il a mis à l'opposé. Comme ça tu vois tout ce qui va marquer ton corps d'esclave. Je suis avec toi mais il faut que ce soit réaliste. Il a continué avec la cravache sur mon dos, les reins, les fesses avant de changer de cravache, prenant une plus large,Il l' abattue sur les cuisses et sur mon ventre. Comme j'avais le poids sur les couilles, le coup sur les cuisses a attérri un peu sur les couilles me faisant gueuler sur le baillon. Bah elles seront d'une belle couleur plus tard. Il a pris des pinces crocos et aprés avoir pressé puis pincé un téton il a posé la pince un peu spéciale Avec une vis pour mordre un peu plus le téton. Tu vas voir tu apprécieras. Il a fait de même de l'autre coté et a serré un peu les pinces. Je nai pas vu sa main mais quand il a saisi mon sexe j'ai été étonné de le sentir raide dans sa main. Tu aimes! Ca ils vont apprécier. Il a tiré d'un coup à fond mon prépuce en arrrière me faisant gueuler dans le baillon. Bien , je passerais de temps en temps rafraichir un peu les traces de cravaches et te donner à boire. De la vraie eau. La bas ce sera ma pisse. Essaie de te reposer. Il a éteint , monté l'escalier et éteint ausi , je ne voyais plus rien, entendais le bruit du métro passer, assez loin. j'avais mal partout. J'ai perdu la notion du temps.

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