La ferme des sapins - histoire érotique

La semaine suivante, le samedi matin, je n’avais pensé qu’à ça toute la semaine, mon petit trou avait besoin de ça et je ne connaissais qu’eux. J’ai donc décidé de passer les voir à leur ferme. Ni une ni deux, j’enfile mon cuissard et un blouson ouvert et j’enfourche la bécane. Ce n’était pas si loin mais complètement isolé La boîte aux lettres était au bout d’un chemin de terre et on devinait à peine les toits de la ferme et des hangars.
Je suis rentré dans la cour de ferme. Un chien a aboyé, je me suis arrêté et une voix a crié : Couché le chien !
La tête de Jean est apparue à la porte ouverte.
-Ah c’est toi. Entre, on parlait de toi, laisse ton vélo contre le mur.
A l’intérieur il n’y avait que lui et un de ceux que j’avais sucé. La cuisine ou je suis entré était propre mais sans touches féminines.
-Assieds-toi, mets-toi à l’aise, enlève ton blouson. Dis donc avec les bretelles, il suffit que tu les écartes un peu et on voit tes tétons.
J’ai rougi. Vous savez tout de moi déjà. Je les ai un peu écartés montrant des tétons dressés en pointe.
-Justement on se demandait ce que tu fous. En vacances ?
Pour le moment oui mais j’ai eu mon CAP au collège et je cherche un taf pour la rentrée.
-Un CAP de quoi ?
Un CAP de mécanicien agricole.
-Nous on n’a rien fait de tout ça le père et la mère sont décédés ensemble dans un accident et on a pu garder la ferme un moment sous surveillance. Maintenant on est chez nous tout à fait. Il y a du boulot pour nous trois et si tu es aussi bon du cul que pour le taf on peut faire affaire.
Ben je venais pour le cul mais le boulot je prends, si vous voulez de moi.
-On va attendre Pierre. Lui qui parle peu c’est Éric. Il va arriver pour le casse-croûte du matin. Tu devines que tu serviras aussi de fille pour nous.
Ben je ne sais pas trop mais je m’habituerais. Enfin je pense. Éric est arrivé.
-Salut toi. Besoin de bites ?
J’en pouvais plus de rougir surtout quand il a pincé un téton.
En fait oui je suis venu pour savoir si vous aviez aimé.
-Oui t’as un bon cul à prendre et reprendre. Alors les frangins ? Vous disiez quoi ?
-On voulait ton avis pour l’embaucher. Il a un CAP de mécanicien agricole et on se disait qu’une fille de son genre ça pourrais servir.
-Vous voulez le travestir ?
- Non, juste à poil sous un tablier les fesses à l’air.
Je bandais comme un dingue, m’imaginant le cul visible à tous à chaque moment.
-Ben s’il est intéressé on peut faire un essai. On a toujours les tabliers de la mère. Tu sais cuisiner aussi Dominique ?
Oh il se rappelais de mon prénom.
Les trucs simples oui mais je peux apprendre.
=Commence par te foutre à poil !
J’ai vite fait d’enlever le cuissard. Je bandais comme un fou.
-Y a un problème les mecs il ne va pas se balader bite en avant ! les gens qui passent vont bien voir ce qu’il est !
-Attends j’ai vu sur le net, ne fait pas l’étonné Dominique on est pas des sauvages et on a du réseau. Donc j’ai vu sur le net des slips ouverts derrière pour montrer les fesses et il y a des trucs pour attacher la queue entre ses cuisses.
- Approche, on va voir ça. Si ça marche ton cul sera notre petite chatte. Enfin petite ou plus ouverte. J’ai marché jusqu’à lui. Il m’a poussé par les fesses jusque dans un coin ou un portable était posé sur une table. En deux trois clics il s’est retrouvé sur Amazon et sur les sous-vêtements j‘ai vu des ces petits slips sans fond et peu après des cages de différents sortes pour enfermer ma bite.
Je ne pourrais plus me branler ?
-Tu verras que tu jouiras même sans bander avec l’habitude. Jean, tu peux monter chercher un tablier comme ceux qu’elle mettait pour la cuisine.
-Ok j’arrive.
Éric s’amusait à donner de petits coups sur ma queue, je gémissais comme une fille sans m’en rendre compte.
-Tiens, mets ça.
Une simple lanière en haut tenait le tablier au cou et une autre permettait de serrer à la taille mais j’avais les fesses à l’air et j’ai de suite adoré la sensation.
-Penche toi sur l’écran regarde les slips sans fond. Oui comme ça, écarte un peu les cuisses.
J’ai senti un doigt graisseux passer sur mon trou de mec et presque de suite un gland, celui d’Éric s’est glissé en moi. Oh que c’était bon de le sentir et de l’avoir tout au fond de moi. Il a remué sa queue me faisant gémir, j’étais venu pour ça mais c’était encore mieux de savoir que les autres mataient. Les pages défilaient, toutes excitantes j’en avais vu moi aussi sur les vidéos mais les cages m’affolaient un peu car toutes emprisonnaient la bite dans différentes positions et il y en avait même avec un truc électrique fixé dessous ou sur la bite qui envoyait des décharges.
-Regarde celui-là, il n’a pas de limite de portée, enfin suffisante pour te prévenir de te préparer.
Le prix était effarant pour moi et je ne pouvais pas répondre, tout au plaisir de sa bite qui me ramonait le trou. Il s’est dégagé en giclant encore sur mon trou remplacé par Paul qui n’a rencontré aucune difficulté à s’introduire dans le jus de son frère. Ils avaient mis des vidéos cochonnes plus axées sur la soumission et dès que je touchais ma queue une main me retenait ou serrait mes couilles. Paul a joui aussi et Éric s’est collé à mes fesses , pénétrant facilement il a mis plus de remps à jouir, son gland glissant facilement dans mon cul. J’étais en feu.
-Si on se décide ce sera souvent l’un ou l’autre ou encore les trois qui te prendront. Tu aimes ça, ça se voit. Je vais te faire jouir mais sans presque te toucher.
Il a manœuvré mon prépuce deux fois et j’avais tellement envie que dès qu’il a lâché j’ai giclé dans le tablier.
-On va casser la croûte et on fera un tour dans le domaine. C’est vaste et on fait de tout. On a déboisé un coin pour le maïs et le fourrage, des vaches et un taureau, on est auto suffisant comme ils disent. Tu verras si on est d’accord sur l’essentiel.