La Grosse Sucette de Papy
Récit érotique écrit par CCCandice [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La Grosse Sucette de Papy
Les fêtes viennent de passer, et un début d’année commence. Seule dans mon appartement, mon nouveau mec vient de partir. Il s’appelle Flavien, Il est gentil, doux et surtout, il ne presse pas les choses et depuis Bruno, je n’ai pas envie d’aller trop vite. Bruno, je repense souvent à lui et à ce qui s’est passé entre nous. J’en viens même à me dire qu’il faudrait que j’aille sur sa tombe un jour, mais je n’ai aucune idée de l’endroit où il a été enterré et une partie de moi me dit qu’il faut que je laisse cette relation passagère, ce « contact » comme je l’ai appelée, là où elle est. Mais malgré Flavien – avec qui je suis en couple depuis trois semaines maintenant – j’ai toujours cette chose qui brûle dans mon bas ventre et jusque mon entrejambe lorsque je repense à tout ce qu’il s’est passé ces derniers mois, que ce soit cette escapade au fin fond de nulle part à bord de ma voiture avec Bruno ou encore la fois où je me suis retrouvée déguisée en infirmière chez le vieux, jouant les escortes pour le compte de Mélissa. Je repense aussi à cette fois là, chez le voisin de palier de Bruno. Toutes ces pensées me reviennent lorsque je suis seule chez moi et je dois bien avouer que l’excitation que je ressens lorsqu’elles me traversent l’esprit est telle que je m’ennuie lorsque je suis au lit avec Flavien…Flavien est parti donc, et je suis sur mon ordinateur, à zoner sur Facebook. Je vois qu’il m’a envoyé un message dans lequel il me souhaite bonne nuit et me dit qu’il a hâte que l’on se revoit. Je lui répond que « moi aussi » mais sans grande conviction. Soudain, une idée me traverse l’esprit ; cela fait maintenant un bon moment que je ne suis pas retournée sur ma fameuse boîte mail qui me servait à communiquer avec les seniors du site sur lequel j’avais rencontré Bruno. Malgré que ce soit le début de notre relation avec Flavien, je veux repartir sur des « bases saines » dans ma vie sentimentale et sexuelle, et quoi de mieux pour cela que de tirer un trait sur cette partie là de mon passé ? Je vais sur la boîte mail avec la ferme intention de la supprimer une bonne fois pour toute. Lorsque je suis dessus, je constate qu’une quantité non négligeable de nouveaux messages m’attend. Je décide de ne pas y prêter attention mais je ne peux éviter l’un d’entre eux – le dernier – qui me ramène quelques semaines en arrière et comportant comme objet la mention « Ma grosse sucette de Papy ». Je reconnais le style de ce type qui n’a jamais lâché l’affaire devant mes absences de réponses et qui est toujours revenu à la charge. J’hésite, puis j’ouvre le message : « Bonjour Candice, je ne t’ai pas adressé mes vœux pour la nouvelle année, je te souhaite plein de bonnes bites à sucer, mais surtout, j’ai un cadeau pour toi en pièce jointe… » je clique sur la pièce jointe, c’est une photo : son énorme queue en érection s’affiche. Elle est veineuse, surmontant des couilles rasées et se termine par un gros gland rose, lisse comme un galet de plage. Je ne peux m’en détourner. Je reste là à regarder ce membre érigé fièrement et je sens la chaleur emplir mon ventre. Je ne pense plus à Flavien, ni à la suppression de ma boîte mail, je regarde la bite de ce vieux et sort ma langue, faisant des mouvements avec, comme si je lui lustrait le gland. Sans m’en rendre compte, je reste là pendant 5 bonnes minutes quand mon téléphone se met à sonner. Reprenant mes esprit, je me lève et je vais le récupérer. Je me rends compte à ce moment-là que ma chatte est mouillée…non, définitivement, je crois que je n’en ai pas tout a fait terminé avec les seniors…Le lendemain, je passe la journée chez Flavien. On a regardé un film, joué à sa console de jeux, mangé un bon repas puis, on a fait l’amour à plusieurs reprises. Intensément, dans diverses positions. C’était bien, lui avait l’air très satisfait, mais je dois dire que je n’ai pensé qu’à une seule chose durant tout ce temps : l’énorme « sucette de papy ». Et autant dire que celle de Flavien ne lui arrive pas « à la cheville ». Et Flavien a un an de moins que moi et surtout, il veut que l’’on construise quelque chose. Le soir venu, je décide de rentrer chez moi, prétextant la fatigue : « mais…ça va ? T’as passé une bonne journée quand même ? » S’inquiète Flavien avec son beau regard bleuté. « oui, oui, ne t’en fais pas, je suis juste crevée… » il sourit, le mensonge passe comme une lettre à la poste. Je pars de chez lui, conduit vite, je n’ai qu’une seule idée en tête : ma boîte mail pour vieux. J’arrive chez moi, retire mes bottines à la hâte et je file m’installer devant mon ordinateur. J’ouvre la boîte mail et décide de regarder la « Sucette » une nouvelle fois : ma chatte s’agite sous ma culotte, je mets quelques doigts dessus et frotte sans quitter le membre du regard. En quelques instants je mouille intensément et là, je ressens comme une pulsion : je mets mon plus beau rouge à lèvres pétant et retire mon pull ainsi que mon chemisier en-dessous. Ma plantureuse poitrine, piégée dans un soutif violet à dentelles, ne demande qu’à sortir ! Je prends mon téléphone portable et je vais fouiller dans mon armoire : Bingo ! Je retrouve le gode-ventouse en plastique et transparent que je m’étais achetée il y a quelques années. Il n’a pas jamais beaucoup servi, j’ai toujours préféré utiliser mes doigts et mon imagination mais il allait être parfait pour le cadeau que je compte bien offrir en retour à mon correspondant…Je mets mon téléphone en mode caméra pour filmer. Je ne cadre que mes lèvres rouges tout d’abord, on n’aperçoit que le bout de mon nez au-dessus : je préfère garder l’anonymat dans un premier temps. Je filme mes lèvres charnues et mord celle du dessous sensuellement. Je passe tout doucement ma langue autour de ma bouche, lentement dans un premier temps puis, je la déroule petit à petit à l’extérieur et enfin, je l’exhibe en entier et prend soin d’ouvrir ma bouche le plus grand possible. Je pose mon téléphone sur mon bureau et le cale pour qu’il reste statique et filme à présent ma poitrine. Je m’empare du gode – qui doit faire 10-12 cm à tout casser –, le colle par la ventouse sur le bureau face au téléphone et je degraffe mon soutien-gorge qui atterri à mes pieds sur le parquet. Je dévoile ma poitrine nue à l’écran puis met le gode entre mes seins, piégé dans ma chaire d’une blancheur d’opale. Toujours doucement, sensuellement, je le fait glisser à l’intérieur, empoignant mes seins tout autour du sextoy qui disparaît presque entièrement entre mes deux dunes à mesure que je le branle. J’effectue ces vas et viens pendant quelques minutes puis baisse ma tête et sort ma langue qui, bien longue, arrive sans peine à trouver le gland du gode que je lèche et imbibe de ma salive. J’arrive à le mettre dans ma bouche et à l’engloutir ainsi qu’une toute petite partie de la hampe. Je salive pas mal et déverse ma bave qui coule le long du gode jusque sur mon bureau. Je le sors de ma bouche, faisant de longs filets de salive du sextoy jusqu’à mes lèvres – il est maintenant maculée de mon rouge à lèvres- et je reprends la masturbation entre mes seins, accélérant le mouvement. La bave sur le plastique se propage sur ma chaire blanche et fait briller ma poitrine ce qui donne une image très appréciable à l’écran. Je respire fort en faisant les vas et vient car j’éprouve un plaisir intense et ma chatte, trempée à présent, ne pourrait me faire dire le contraire ! Me voir faire ça sur l’écran de mon téléphone est jouissif ! Je crache à longs filets sur ma poitrine pour lubrifier encore plus mes seins et accélère encore le mouvement en haletant : « Bonne année Monsieur…imaginez que c’est vous et votre grosse sucette ! » Je susurre.
Toujours à fond, le sextoy dans mes seins, je regarde l’écran d’ordinateur cette fois-ci sur lequel se trouve, en grand, la grosse sucette du papy ; j’imagine que c’est cette énorme bite que je branle, imbibée de ma salive, même si je sais que rien ne vaut le réel et que surtout, la réplique que je possède en gode est bien plus fine et petite que la vraie. Une idée me vient en tête : « Un instant » je dis dans un souffle et retourne vers ma penderie. J’ouvre un tiroir d’une petite commode à côté et cherche dedans pour retrouver un masque de nuit que j’avais acheté pour dormir en avion. Je retourne vers le bureau, enfile le masque et à l’aveugle, je présente mon visage devant le gode que je frotte de partout sur mon visage, me badigeonnant de ma propre salive un peu partout : sur les levres, le menton, les joues. Je sors ma langue et la passe sur le silicone du sextoy, remontant toute la longueur jusqu’au gland que je prends en bouche et suce comme un bonbon. En experte, et sans voir ce que je fais – ce qui a le don de m’exciter encore plus – je m’emparre du gode trempé avec ma petite main et le branle frénétiquement dans un bruit de mouillé qui ajoute quelque chose d’exaltant à la séquence. Je le prends en bouche tout en le masturbant et j’effectue de grands mouvements de tête vers le bas, imaginant qu’il s’agit du véritable membre à l’écran d’ordinateur. Je me masturbe par-dessus ma culotte sous ma jupe avec mon autre main et je sens la chaleur de ma mouille à travers le tissu inondé. Je retire ma main du gode et le prend entier dans la bouche : je sens le bout du gland taper au fond de mon palais tandis que mes lèvres effleurent le bureau couvert de bave. Je remonte rapidement jusqu’au gland et replonge jusqu’à atteindre la ventouse du sextoy. En même temps, Je me masturbe de plus en plus vite sous le bureau et j’ai écarté ma culotte. Je me passe le bout de mes doigts fin sur l’ouverture béante de ma chatte et mon clitoris, je goutte jusque sur le parquet et mes jambes flagellent presque, je tords mes doigts de pieds. Je prends encore le gode jusqu’au bout une demie-douzaine de fois dans des gros bruits visqueux et j’imagine le gland se vider au plus profond de ma gorge au moment où pour la dernière fois, mes lèvres touchent ‘la ventouse du sextoy ; je pousse un très long gémissement aigü, atténué par les quinze centimètres en silicone dans ma bouche mais tout de même bien audible et je sens que j’explose : mon corps entier se raidit et ma chatte expulse une fine pluie de gouttelettes qui vont s’écraser sur le parquet…Je reste quelques secondes comme ça, le gode aux portes de ma gorge puis remonte doucement le long pour le ressortir de ma bouche dans un bruit de ventouse. Je prends soin de baver jusque sur mon menton puis mes seins. Je reprends mon souffle et sourit, masturbant l’objet macculé par ma salive et dit : « J’espère que mon cadeau vous fait plaisir…à bientôt Monsieur ! » après ça, je coupe la caméra de mon téléphone. Je retire le masque de nuit et constate que mon bureau est couvert de bave tout autour du gode qui lui est trempé comme si je l’avais plongé dans un évier. Le parquet est luisant de mes gouttes de mouille et je souris à nouveau. J’envoie directement un mail au « papy » en lui glissant la pièce jointe. Je souris encore. Même lorsque j’éteins mon ordinateur, je souris : cela faisait longtemps que je n’avais pas atteint un tel orgasme, et je me sentais de nouveau en vie.
A SUIVRE
Toujours à fond, le sextoy dans mes seins, je regarde l’écran d’ordinateur cette fois-ci sur lequel se trouve, en grand, la grosse sucette du papy ; j’imagine que c’est cette énorme bite que je branle, imbibée de ma salive, même si je sais que rien ne vaut le réel et que surtout, la réplique que je possède en gode est bien plus fine et petite que la vraie. Une idée me vient en tête : « Un instant » je dis dans un souffle et retourne vers ma penderie. J’ouvre un tiroir d’une petite commode à côté et cherche dedans pour retrouver un masque de nuit que j’avais acheté pour dormir en avion. Je retourne vers le bureau, enfile le masque et à l’aveugle, je présente mon visage devant le gode que je frotte de partout sur mon visage, me badigeonnant de ma propre salive un peu partout : sur les levres, le menton, les joues. Je sors ma langue et la passe sur le silicone du sextoy, remontant toute la longueur jusqu’au gland que je prends en bouche et suce comme un bonbon. En experte, et sans voir ce que je fais – ce qui a le don de m’exciter encore plus – je m’emparre du gode trempé avec ma petite main et le branle frénétiquement dans un bruit de mouillé qui ajoute quelque chose d’exaltant à la séquence. Je le prends en bouche tout en le masturbant et j’effectue de grands mouvements de tête vers le bas, imaginant qu’il s’agit du véritable membre à l’écran d’ordinateur. Je me masturbe par-dessus ma culotte sous ma jupe avec mon autre main et je sens la chaleur de ma mouille à travers le tissu inondé. Je retire ma main du gode et le prend entier dans la bouche : je sens le bout du gland taper au fond de mon palais tandis que mes lèvres effleurent le bureau couvert de bave. Je remonte rapidement jusqu’au gland et replonge jusqu’à atteindre la ventouse du sextoy. En même temps, Je me masturbe de plus en plus vite sous le bureau et j’ai écarté ma culotte. Je me passe le bout de mes doigts fin sur l’ouverture béante de ma chatte et mon clitoris, je goutte jusque sur le parquet et mes jambes flagellent presque, je tords mes doigts de pieds. Je prends encore le gode jusqu’au bout une demie-douzaine de fois dans des gros bruits visqueux et j’imagine le gland se vider au plus profond de ma gorge au moment où pour la dernière fois, mes lèvres touchent ‘la ventouse du sextoy ; je pousse un très long gémissement aigü, atténué par les quinze centimètres en silicone dans ma bouche mais tout de même bien audible et je sens que j’explose : mon corps entier se raidit et ma chatte expulse une fine pluie de gouttelettes qui vont s’écraser sur le parquet…Je reste quelques secondes comme ça, le gode aux portes de ma gorge puis remonte doucement le long pour le ressortir de ma bouche dans un bruit de ventouse. Je prends soin de baver jusque sur mon menton puis mes seins. Je reprends mon souffle et sourit, masturbant l’objet macculé par ma salive et dit : « J’espère que mon cadeau vous fait plaisir…à bientôt Monsieur ! » après ça, je coupe la caméra de mon téléphone. Je retire le masque de nuit et constate que mon bureau est couvert de bave tout autour du gode qui lui est trempé comme si je l’avais plongé dans un évier. Le parquet est luisant de mes gouttes de mouille et je souris à nouveau. J’envoie directement un mail au « papy » en lui glissant la pièce jointe. Je souris encore. Même lorsque j’éteins mon ordinateur, je souris : cela faisait longtemps que je n’avais pas atteint un tel orgasme, et je me sentais de nouveau en vie.
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