La jeune fille des bois
Récit érotique écrit par Calinou2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La jeune fille des bois
La jeune fille des bois
Par une soirée de forte chaleur, je décidais d’aller faire une promenade en solidaire dans le bois avoisinant mon domicile. Celui-ci était difficile d’accès du fait, qu’il bordait une nationale. Etant d’un caractère plutôt téméraire, je n’avais aucune appréhension à effectuer cette petite virée.
J’arrivais donc sur le sentier à une heure assez tardive puisque le soleil nous avait quitté pour laisser place à sa chère amie la lune. La journée avait été dure et je laissais donc mes pensées vaquer à des choses beaucoup plus frivoles que les problèmes que j’avais rencontrés pendant la journée. Au bout d’une vingtaine de minutes de marche, un bruit me fit alors sursauter sans toutefois m’inquiéter plus que de raison.
La fin du sentier se terminait pour arriver dans une prairie à l’herbe verte et fraîche. Exténuée par cette chaleur je décidais de m’allonger dans l’herbe. N’arrivant toujours pas à me refroidir j’en convins qu’il me fallait quitter mon petit top ( je ne portais pas de soutien gorge ) et laissait respirer mon corps. Le bruit que j’avais entendu la première fois ce re-manifesta et cette fois ci retint toute mon attention quand je me rendis compte que c’était un homme âgé d’une trentaine d’année tout à fait charmant. Le problème est qu’il était armé d’un fusil celui-ci revenant probablement de la chasse. Lorsqu’il m’aperçut son expression faciale changea du tout au tout pour passer d’un air guilleret à celui d’un pervers sexuel. Au début cela m’étonna fortement mais la brise qui se leva et caressa ma peau dénudée me rappela que j’étais entièrement nue. L’inconnu se rapprocha et sans hésiter m’assena une gifle tout en me traitant de salope exhibioniste, une « aguicheuse des bois. Des frissons me parcoururent alors le bas ventre, cette façon de me parler ou plutôt de m’insulter m’excitait au plus haut point. Ne connaissant sa réaction je décidais de prendre les devants et je sautais littéralement sur la bosse qui transparaissait à travers son pantalon. Le « chasseur » plutôt ravi n’hésita pas une seconde et me fourra son chibre entier dans la bouche. Sa virilité se sentait dans les vas et vient qu’il m’obligeait à effectuer en me maintenant la tête. La fréquence devenait insoutenable et mes lèvres commençaient à me brûler quand l’homme lâcha prise pour me prendre sans délicatesse et me retourner. Je savais très bien ce qu’il avait en tête : me sodomiser. Ce que je ne savais pas en outre est qu’il allait le faire avec le canon de son fusil. Je le sue bien assez tôt quand je sentis la froideur du métal contre ma rondelle déjà bien dilatée par mon jus dégoulinant de ma chatte. Au bout d’incessants vas et vient l’objet fut remplacé par sa bite bien tendue. J’espérais qu’il s’occuperait de ma foufoune mais au lieu de ça il me retourna une fois de plus, m’agrippa par les cheveux et me fourra sa verge turgescente dans la bouche pour y déverser une quantité phénoménale de sperme que j’avalais en partie et que je laissais ruisseller sur mon corps. Epuisée par cet effort je m’endormis et me réveillais à l’aube le corps souillé de semence.
Je ne connu finalement jamais le prénom de mon amant d’un soir et ne le revis jamais mais je gardais cet épisode au plus profond de moi et aimais me le rappelais comme la plus exceptionnelle balade en forêt de ma vie.
fin
Par une soirée de forte chaleur, je décidais d’aller faire une promenade en solidaire dans le bois avoisinant mon domicile. Celui-ci était difficile d’accès du fait, qu’il bordait une nationale. Etant d’un caractère plutôt téméraire, je n’avais aucune appréhension à effectuer cette petite virée.
J’arrivais donc sur le sentier à une heure assez tardive puisque le soleil nous avait quitté pour laisser place à sa chère amie la lune. La journée avait été dure et je laissais donc mes pensées vaquer à des choses beaucoup plus frivoles que les problèmes que j’avais rencontrés pendant la journée. Au bout d’une vingtaine de minutes de marche, un bruit me fit alors sursauter sans toutefois m’inquiéter plus que de raison.
La fin du sentier se terminait pour arriver dans une prairie à l’herbe verte et fraîche. Exténuée par cette chaleur je décidais de m’allonger dans l’herbe. N’arrivant toujours pas à me refroidir j’en convins qu’il me fallait quitter mon petit top ( je ne portais pas de soutien gorge ) et laissait respirer mon corps. Le bruit que j’avais entendu la première fois ce re-manifesta et cette fois ci retint toute mon attention quand je me rendis compte que c’était un homme âgé d’une trentaine d’année tout à fait charmant. Le problème est qu’il était armé d’un fusil celui-ci revenant probablement de la chasse. Lorsqu’il m’aperçut son expression faciale changea du tout au tout pour passer d’un air guilleret à celui d’un pervers sexuel. Au début cela m’étonna fortement mais la brise qui se leva et caressa ma peau dénudée me rappela que j’étais entièrement nue. L’inconnu se rapprocha et sans hésiter m’assena une gifle tout en me traitant de salope exhibioniste, une « aguicheuse des bois. Des frissons me parcoururent alors le bas ventre, cette façon de me parler ou plutôt de m’insulter m’excitait au plus haut point. Ne connaissant sa réaction je décidais de prendre les devants et je sautais littéralement sur la bosse qui transparaissait à travers son pantalon. Le « chasseur » plutôt ravi n’hésita pas une seconde et me fourra son chibre entier dans la bouche. Sa virilité se sentait dans les vas et vient qu’il m’obligeait à effectuer en me maintenant la tête. La fréquence devenait insoutenable et mes lèvres commençaient à me brûler quand l’homme lâcha prise pour me prendre sans délicatesse et me retourner. Je savais très bien ce qu’il avait en tête : me sodomiser. Ce que je ne savais pas en outre est qu’il allait le faire avec le canon de son fusil. Je le sue bien assez tôt quand je sentis la froideur du métal contre ma rondelle déjà bien dilatée par mon jus dégoulinant de ma chatte. Au bout d’incessants vas et vient l’objet fut remplacé par sa bite bien tendue. J’espérais qu’il s’occuperait de ma foufoune mais au lieu de ça il me retourna une fois de plus, m’agrippa par les cheveux et me fourra sa verge turgescente dans la bouche pour y déverser une quantité phénoménale de sperme que j’avalais en partie et que je laissais ruisseller sur mon corps. Epuisée par cet effort je m’endormis et me réveillais à l’aube le corps souillé de semence.
Je ne connu finalement jamais le prénom de mon amant d’un soir et ne le revis jamais mais je gardais cet épisode au plus profond de moi et aimais me le rappelais comme la plus exceptionnelle balade en forêt de ma vie.
fin
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