La maison du bonheur (2)

- Par l'auteur HDS Arnaud Desens -
Auteur homme.
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Récit libertin : La maison du bonheur (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2013 dans la catégorie Plus on est
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(8.0 / 10)

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La maison du bonheur (2)
Douchés mais encore chauds nous avions regagnés la chambre d'Emilie. Je descendais chercher la bouteille de vin. Pendant ce temps là les filles se chauffaient en se masturbant. Je le rejoignais et elles me sucèrent ensemble. L'une léchant ma queue pendant que l'autre s'occupait de mes couilles. Svetlana aventura sa langue vers mon anus que je lui offrait bien volontiers. Emilie ne m'avait toujours pas dit où elle avait trouvée cette slovaque experte en sexe mais pour le moment ce n'était pas le sujet. J'appréciais le double plaisir buccal. Svetlana me doigta et Emilie lui proposa de m'enculer avec son gode ceinture. La belle blonde sauta presque de joie.
- Super. Et après vois me prendrez en double. J'adore.
Elle s'équipa de l'engin pendant qu'Emilie continuait de me sucer.
- Tu va baiser Emilie pendant que je t'encule, me dit Svetlana.
Aussitôt dit aussitôt fait. Emilie écartait les jambes tout en se caressant prête a m'accueillir. J'offrais mon cul a Svetlana qui le prit sans ménagement. Pris en sandwich entre les deux filles j'étais un homme comblé. La bite noire de plastique me fourrait le cil sous les coup de Svetlana qui s'amusait comme une gamine. Emilie se tortillait sur le lit sous les coups de bite dont la puissance était renforcée par les va et vient du gode dans mon cul.
- Vous êtes trop bien tous les deux, dit Svetlana. J'adore baiser avec vous.
- Moi aussi je t'adore ma chérie, lui répondit Emilie. J'adore te voir enculer mon mec. Tu te rends compte que je t'aurais vu te faire prendre par une fille avant de te faire prendre par un homme.
Je ne répondis pas. J'en étais incapable. Au bord de l'explosion je pensais qu'a mon plaisir. A cette double jouissance qui allait me dévaster dans quelques secondes. Ma bite explosa dans la chatte d'Emilie en même temps que je jouissais sous les coups de bite de Svetlana. Je poussais un cri primal et m'effondrais sur le lit.
Svetlana vint lécher le sperme qui coulait d'Emilie avant de la prendre armée de son gode. Epuisé par mon orgasme total, luisant de sueur je les regardais. Spectacle surréaliste que cette bite d'un noir profond planté sur cette slovaque a la peau de lait. Elle baisais mon amante comme un mec. Lui lâchant des mots crus. La traitant de chienne, de pute, de salope. Elle mina l'orgasme, agitant son pénis factice comme s'il éjaculait. Elle vint me le faire sucer avant de le retirer et de la tendre a Emilie.
- Maintenant a moi. Un dans chaque trou.
Elle me branla un peu avant de s'empaler sur moi offrant sa croupe a Emilie. Quand cette dernière encula je sentis la bite artificielle frôler la mienne a travers la barrière de chair qui séparait les deux trou de Svetlana. Je restais plus ou moins passif. Svetlana et Emilie faisant tout le travail. Elle seins de la belle slovaque ballotaient sous mes yeux. Elle hurlait des morts crus. Des "baises moi fort". Des "j'aime vos grosses bites". Des "encules moi salope à queue". Au fur et à mesure son accent revenait. Puis ce furent des mots en slovaque. Je ne peux les reproduire ici mais je pense que l'esprit était le même. Elle fini par exploser. Sa chatte se vida en même temps que mes couilles et nos jus mêlés se répandirent sur moi.
Nous étions épuisés. Repus de sexe. Dégoulinants de sueur, de foutre, de mouille. Trop fatigués pour aller prendre une nouvelle douche nous nous sommes allongés sur le lit souillé par nos ébats et nous sommes endormis dans ses effluves de sexe.

Vers une heure du matin je me suis réveillé. Mes deux belles dormaient lovées l'un contre l'autre. J'observais leurs petites chattes toutes lisses. Leurs seins blancs. Je pensais a leur petit cul. A tout ce qu'elles m'avaient donné ce soir. Je remontais un drap sur elles et descendais au salon pour y boire un verre et dormir sur le canapé. Un surprise m'y attendait.

Je m’allongeais sur le grand canapé, me couvrais d’un plaid et sombrais dans un sommeil réparateur qui me sembla ne durer que quelques secondes. Je fus réveillé par la porte d’entrée qui claqua et des voix d’homme dont celle d’Errant. Il tentait de chuchoter mais pris d’alcool sa tentative ne portait pas ses fruits. Il pénétra dans le salon sans me voir et en embrassant à pleine bouche un mec plutôt mignon. Dans la pénombre je reconnus la description qu’il m’avait fait de Fabien. Très vite le baiser se fit plus chaud et les deux se retrouvèrent à poil, les vêtement jetés un peu partout, dont un caleçon qui m’atterrit sur le visage. Je ne bougeais pas d’un pouce et profitais du spectacle du petit frère d’Emilie suçant goulument la bite de son ami. J’avais de ma position une vue plongeante sur mon petit cul.
Ce fut Fabien qui me remarqua le premier. Il tapa sur la tête de son suceur en lui disant qu’ils n’étaient pas seuls. Erwann se retourna, et me fit son plus beau sourire, celui qui vous donne envie de l’embrasser et qui vous dit prend moi le cul. Il me présenta à Fabien qui semblait déjà bien me connaitre.
— Ah oui, celui qui t’as dépucelé du cul. Je comprends pourquoi il te fait mouiller ta culotte. Enchanté.
— Qu’est-ce que tu fous là, me demanda Erwann, en s’installant sur le canapé ?
— Et toi, tu ne devais pas passer le week-end chez ta mère ?
— Oui mais je me vois mal ramener Fabien pour baiser chez la grenouille de bénitier qui me sert de mère, alors…
— Il peut se joindre à nous, plus on est de fous, proposa Fabien qui se branlait doucement en attendant de poursuivre ce qui était déjà bien engagé.
— Non ma conne de soeur n’est pas d’accord pour qu’il me touche. Elle peut profiter de sa grosse bite mais pas moi. D’ailleurs pourquoi t’es là et pas avec elle?
— Elle dort avec Svetlana, une amie. J’ai préféré venir ici.
— Une amie, ça veut dire une petit salope que vous avez baisé par tous les trous. Et moi je ne pourrais pas m’amuser.
Il retira le plaid et devant ma demi érection demanda à Fabien de venir me sucer. Il ne se fit pas prier et malgré quelques protestation pour la forme je me laissais faire. Une petite pipe nocturne ne peut pas faire de mal. Erwann en profita pour enculer son ami qui n’en demandait pas tant. Très vite mon suceur perdit sa concentration et me laissa me finir a la main pendant qu’Erwann je faisait jouir. Je lui envoyais un jet de sperme au visage et Erwann se vida les couilles dans son cul. Ravi Fabien s’essuya le visage et se lécha les doigts. Erwann m’invita à monter dans sa chambre pour poursuivre mais je refusais poliment, cette petite pipe m’ayant suffit pour le moment.

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