La maison du bonheur (3) - histoire érotique

Vers 8h c'est Svetlana qui me réveilla en descendant dans la cuisine. Nue elle cherchait de quoi se restaurer en ouvrant placards et frigo. Je l'observais bien installé dans le canapé, au travers de la porte vitrée. Elle fut rejointe par Fabien et Erwann. Le premier portait un tee-shirt trop court qui laissait voir ses fesses et son sexe. Erwann plus pudique avait enfilé un caleçon. Ils ne furent pas surpris de découvrir Svetlana nue dans la cuisine. Elle non plus bien au contraire elle les accueillit en les embrassant.
— Bonjours les garçons. Tu dois être Erwann, et toi, son petit copain. Vous voulez manger un bout. D’après ce que j’ai entendu cette nuit vous devez avoir faim. C’est dommage que vous ne soyez pas arrivés plus tôt, J’aurais eu trois bites. Le nombre idéal. Une dans chaque trou. Mais ça peut encore s’arranger.
Elle prit la queue de Fabien et la branla jusqu’à ce qu’il bande puis se mit a genou et le suça. Elle demanda à Erwann de s’approcher.
— Il ne faut pas avoir peur. Tu préfères les mecs, c’est cool pour moi, ceci dit une pipe est une pipe. Et ça peut t’ouvrir des horizons. Pourquoi ce contenter des mecs, les filles peuvent aussi être bien.
Erwann ôta son caleçon. Il bandait déjà. Svetlana ravie le suça en même temps que Fabien. Alternant les bites. Branlant, suçant chacun des deux.

— Tu profites du spectacle ?
Emilie s’était glissée derrière moi sans que je l’entende. Elle m’embrassa et s’allongeât sur le canapé pour regarder son frère et son ami découvrir les joies d’une bouche féminine.
— Tu l’as trouvée où cette fille. Elle est dingue.
— C’est elle qui m’est tombée dessus. Dans les toilettes de la fac. Je me lavais les mains après, enfin tu vois, je l’ai vue sortir d’une cabine débraillée, les seins à l’air, du foutre coulant sur sa poitrine. Un mec est sorti juste après, m’a jeté un rapide coup d’oeil et a pris ses jambes à son cou. Elle s’est essuyé, s’est rhabillée et m’a tendu la main pour se présenter. « Svetlana, enchantée. Ne t’inquiète pas j’adore sucer les mecs dans les toilettes, c’est un peu un hobby, mais si tu veux je peux te lécher la chatte, j’adore aussi ». Texto. J’ai rigolé. J’ai tout de suite pensé qu’elle serait parfaite pour notre première plan à trois. Je ne me suis pas trompée.
— Bien au contraire, elle est parfaite. Regarde ton frère et son copain.
Svetlana s’était allongée sur la table de la cuisine, Erwann entre ses jambes et Fabien dans sa bouche. Les deux mecs semblaient apprécier la situation.
— Tu veux les rejoindre, me demanda Emilie ?
— Je crois que pour le moment ils n’ont pas besoin de nous. Si on restait tous les deux. Une petite douche, ça te dit.
— Attends un peu, j’aimerais regarder encore un peu.
— Ca ne te dérange pas de regarder ton frère baiser.
— Tu sais, je crois que non.
Fabien et lui avait changé de place. Svetlana toujours entre les deux. Emilie avait posé sa main sur ma queue et la caressait tendrement.
— Tu ne m’as jamais raconté comment ç’était avec Erwann.
— Tu es sûre de vouloir en savoir plus ?
— Oui, je suis un peu curieuse. Un peu salope aussi. Je pense à ton fantasme avec Marc et sa soeur, et je me dis que ça pourrait être Erwann et moi.
Erwann avait quitté la bouche de Svetlana pour aller enculer son copain qui lui enculait Svetlana désormais à plat ventre sur la table. Elle recommençait à parler slovaque.
Je racontais à Emilie ce qui c’était passé le jour où j’avais dépucelé son frère. Elle avait lâché ma bite pour se caresser.
Svetlana hurla de plaisir. Fabien et Erwann, à la demande de Svetlana se retirèrent et se branlèrent sur elle. Ils lâchèrent leur foutre sur ses seins et son visage. Elle les embrassa, leurs langues se mêlant dans le foutre.
Je ne sais pas si l’un d’eux nous avait remarqué. Ils restèrent dans la cuisine et nous montâmes dans la salle de bain pour nous amuser à notre tour. Sous la douche je léchais la chatte d’Emilie déjà bien chaude. Elle fut rapide a jouir dans ma bouche. Je me relevais, la retournais et la plaquer contre le mur pour la prendre par derrière.
— Tu crois que l’on va tenir longtemps à ce rythme là me demanda-t-elle en sortant de la cabine.
Je finissais de me savonner, des traces de spermes s’écoulaient encore dans la bonde. Je ne trouvais rien à lui répondre. En réalité je m’en foutais un peu. Je prenais mon pied. Elle aussi. Tous les occupants de la maison aussi. Il n’y avait pas de tabou et de barrière. Personne ne forçait personne. Alors autant profiter au maximum.

Svetlana était remontée, avait fait le lit et ramassais ses affaires dans la chambre.
— Tu t’en vas, lui demandais-je.
— Non, c’est trop bien ici. Je range un peu. Et puis il faudrait que je passe chez moi prendre des fringues. Quoique je ne sois pas sûre que ça sera très utile.
— Les garçons sont en bas ?
— Non ils sont dans leur chambre. Je crois qu’ils dorment. Ou ils baisent.

Emilie descendit. J’avais préparé un petit déjeuner.
— Que fait-on ?
— On se repose un peu et on recommence.