La maison du bonheur (4)

- Par l'auteur HDS Arnaud Desens -
Auteur homme.
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Récit libertin : La maison du bonheur (4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2013 dans la catégorie Plus on est
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La maison du bonheur (4)
Le reste de la matinée fut tranquille. Tous fatigués de notre nuit et du début de journée nous trainions dans la maison du lit au canapé et du canapé au fauteuil. Je me décidais a préparer le déjeuner. Nous nous retrouvâmes autour d'un plat de pâtes. Nous mangeâmes avec plaisir. Echangeant des propos anodins sur des sujets banals. Jusqu'a ce que Svetlana décide de nous raconter quelques unes de ses aventures sexuelles.
— Avant d’arriver en France j’avais un copain Jarek qui jouait dans une équipe de foot. J'allais le voir le samedi. J'en avais rien à faire du match ce que j'attendais c'était l'aprés match quand en sueur il me prenait dans les toilettes, dans sa voiture ou derrière les tribunes. Dans ces moments là il était déchainé. Bourré de testostérone il me baisait comme une bête. Je m’en réjouissais.
« Son équipe, qui n’était pas mauvaise, avait fini par se qualifier pour la finale d’une coupe quelconque. Ils partaient deux jours. En bus. Et je pus partir avec eux. Nous nous étions installé au fond du bus. Moi contre la vitre, et Jarek juste à côté. Il passa le début du trajet à discuter avec un de ses coéquipier m’ignorant complètement. J’ai posé ma main sur sa cuisse. Il n’a pas bougé. Je suis remonté et j’ai caressé son sexe au travers de son pantalon de jogging. Il m’a regardé, a fait remarqué que nous n’étions pas seul, mais j’ai continué et j’ai même mis ma main dans son slip, le branlant devant son copain qui n’en revenait pas. Il n’osa pas protester pour ne pas attirer l’attention du reste du bus. J’ai dis à son copain que je pouvais aussi le masturber quand j’en aurait fini avec Jarek.
« Je ne suis pas allé jusqu’au bout laissant Jarek frustré et son copain aussi. Nous sommes arrivé dans un hôtel pourri. Les chambres étaient toutes petites et les douches sur le palier. Jarek était d’autant plus déçus que nous devions partager la chambre à trois. Moi ça me plaisait assez, me disant que l’on pourrait s’amuser un peu.
« Les gars sont allé s’entrainer au stade et je suis restée seule. Je n’avais pas envie d’aller les voir, et la ville n’offrait pas grand chose à faire, à part un bar occupé par une population exclusivement masculine. Si tout cela se passait aujourd’hui j’y serais allé et j’aurais chauffé un ou deux mecs pour qu’ils me baisent dans les toilettes. Je trouve que c’est super excitant de se faire prendre dans les toilettes.
« Enfin, je suis retourné à l’hotel, j’ai pris une douche, et je me suis allongée nue sur le lit. Je me suis caressée les seins, je pensais au copain de Jarek. J’imaginais qu’il avait une grosse bite et qu’il m’obligeait à le sucer. Je mouillais et glissais un doigt dans ma chatte. Souvent seule chez mes parents je faisais pareil, je pensais à des mecs et à ce qu’ils pourraient me faire. J’utilisais des objets pour me branler. J’adorais ma bouteille de shampoing, longue et pas trop large. Mais rien de comparable avec une vraie bite.
« Les garçons sont rentrés alors que je n’avais pas fini. J’étais chaude, dégoulinante. Jarek a commencé à m’engueuler. Son copain a voulu sortir, mais je me suis levé d’un bond j’ai fermé la porte a clef. J’ai embrassé Jarek, j’ai pris sa bite en main, ainsi que celle du copain et je les ai branlé avant de les sucer. J’alternais les bites. Les deux mecs étaient soumis à ma bouche, à mes mains. Je sentais ma chatte juter sur le sol. Je me suis allongé et j’ai demandé à Jarek de me prendre. C’est alors que l’on frappa à la porte. Le copain de Jarek, par réflexe est allé ouvrir. Deux autres joueurs sont rentré. Trop heureux de me voir nue en train de me faire baiser, ils n’ont pas hésité une seconde. Ils ont fermé derrière eux, et sont venu m’offrir leurs queues pour que je les suce.
« J’avais 4 bite pour moi. Jarek jouit en moi. Ma chatte était pleine de son foutre quand un autres venu prendre sa place. Je les entendais congratuler Jarek d’avoir une copine aussi ouverte, aussi chaude. Lui ne disait rien, il reprenait ses esprit. Moi je suçais tout ce qui passait. L’un d’eux me demanda si j’étais d’accord pour me faire enculer. J’acceptais bien volontier, mais j’exigeais que ce soit Jarek qui m’ouvre le cul. Il se leva vint vers moi et me gifla avant de sortir en claquant la porte. Tant pis pour lui, un autre de ses copains prendrait mon cul.
« Je fus prise en double, une bite dans chaque trou, et le troisième vint se finir dans ma bouche. J’étais couverte de sueur et de foutre. Les trois gars me laissèrent frissonnante de plaisir.
« J’allais me doucher sans prendre la peine de me couvrir d’une serviette, offrant ma nudité a qui voudrait la voir, me foutant que l’on voit les traces de sperme qui coulaient sur moi.
« L’eau chaude chassa tout cela et me remit d’aplomb. Je restais longtemps sous le jet, me frottant le corps, me massant.
« Le temps que je regagne la chambre, tout le morne savait qu’il y avait un salope qui baisait tout ce qui passait. Jarek revint et me hurla dessus, me traitant de tous les noms, de pute, de trainée, de salope. Je restais calme et quand sa colère se fut calmée, je le giflais comme il l’avait fait avec moi. Je lui dis que oui j’étais une salope, j’aimais le sexe, et que ça ne le gênais pas quand il m’enculais dans les vestiaires après ses matchs, alors que ses potes étaient juste à côté. Que ça ne le gênais pas que je le suce dans les toilettes, au café, quand ils fêtaient ses victoires. Et que je savais très bien qu’il baisait d’autres filles quand il jouait a l’extérieur. D’autres petites putes comme moi. Je sortis de la chambre en claquant la porte.
« Dans la salle du restaurant tous les regards se tournèrent vers moi. Je devinais ce qu’ils pensaient tous. Je leur dit que je remerciais ceux qui m’avaient fait jouir. Que c’était super mais que la boutique était fermée pour la soirée. J’ajoutais que si le lendemain ils gagnaient j’étais d’accord pour tous les sucer.
« Ils perdirent, et je ne sais pas si j’étais contente de ça »

Nous étions tous bouche bée. Svetlana nous regarda en riant et lâcha:
— Bon alors on baise

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Texte coquin : La maison du bonheur (4)
Histoire sexe : Une rose rouge
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